Plouray

Plouray [pluʁɛ] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne. Elle fait partie du Pays du Roi Morvan et culturellement du « Bro Pourlet » (pays de Guéméné). On y portait auparavant le costume aux mille boutons, nom donné surtout à la tenue des femmes.

Plouray

L'église Saint-Yves.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Communauté de communes Roi Morvan Communauté
Maire
Mandat
Michel Morvant
2020-2026
Code postal 56770
Code commune 56170
Démographie
Gentilé Plouraysiens
Population
municipale
1 091 hab. (2018 )
Densité 28 hab./km2
Population
agglomération
25 412 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 47″ nord, 3° 23′ 12″ ouest
Altitude 197 m
Min. 170 m
Max. 296 m
Superficie 39,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gourin
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Plouray
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Plouray
Géolocalisation sur la carte : France
Plouray
Géolocalisation sur la carte : France
Plouray

    Géographie

    Plouray est une commune rurale du nord-ouest du département du Morbihan appartenant à la communauté de communes du Pays du Roi Morvan. Par ses traditions, elle appartient au Pays Pourlet et à la Basse-Bretagne. Le bourg de Plouray est excentré au nord-ouest de la commune. Il est situé à l'intersection des axes routiers Rostrenen-Le Faouët (départementale 790) et Gourin-Guémené-sur-Scorff (départementale 1) et à 12 kilomètres au sud-ouest de Rostrenen et à 40 kilomètres au nord-ouest de Pontivy. La commune est bordée au nord et à l'ouest par la rivière Ellé. Des cours d'eau plus modeste drainent le territoire communal dont le ruisseau de Stanven, long de 7,7 km, un affluent de la rive gauche de l'Ellé. Elle est dominée au sud par une ligne de crête séparant les bassins versants de l'Ellé et de l'Aër qui culmine à 296 mètres d'altitude au voisinage du village de Kerroc'h. La commune a une superficie de 3 909 hectares dont 492 hectares de bois (taux de boisement de 12,5% contre 16,4 % pour le département du Morbihan) [1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 085 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 16,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rostrenen », sur la commune de Rostrenen, mise en service en 1954[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 145,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952 et à 40 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[12], à 12 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Plouray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 1,8 % 69
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 19,5 % 766
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 13,3 % 521
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 42,3 % 1660
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 4,4 % 173
    Forêts de feuillus 13,6 % 532
    Forêts de conifères 4,3 % 166
    Forêt et végétation arbustive en mutation 1,0 % 38
    Source : Corine Land Cover[20]

    L'occupation des sols met en évidence la prédominance des territoires agricoles sur la forêt et les milieux semi-naturels ainsi qu'une faible urbanisation du territoire. Les territoires agricoles, qui occupent 79,5 % de la surface communale, ont conservé en grande partie leur structure bocagère. La forêt, qui occupe 17,9 % de la surface communale, est constituée majoritairement de feuillus.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Plouray en 1427, en 1481 et en 1514 ; Plouzayen 1536[21] .

    Plourae en breton[21].

    L’origine du nom de la commune est controversée. Si on se réfère à la forme la plus ancienne de son nom, Plouré, on associe plou désignant une paroisse à , c'est-à-dire René, du nom de son ancien patron. Il fait d’ailleurs encore l’objet d’un culte dans l’église Saint-Yves. Cependant, si on retient la forme « Plou-Wroc », comme on la trouve parfois, on pense d’abord à Saint Guroc.

    Histoire

    Moyen Âge et Temps Modernes

    Plouray ressortissait juridiquement de la sénéchaussée d' Hennebont et sur le plan religieux du doyenné de Guéméné avant la Révolution française.

    Le fief de Plouray

    Le fief de Plouray, Mellionnec, et ses annexes de Plougernevel et Saint Caradec-Trégomel formaient au XIIIe siècle une enclave du vicomté de Rohan entre le vicomté de Gourin à l'ouest et la seigneurie de Guéméné à l'est. Au début du XVIe siècle, la seigneurie de Plouray appartenait à Jean IV de Rieux d'ou le nom qui lui était donné de terre du Maréchal de Rieux. En 1527, Louis IV sire de Guéméné en hérite à la suite de son mariage avec Louise de Rieux, fille du maréchal et désormais la seigneurie de Plouray fait partie intégrante de la seigneurie de Guéméné qui sera érigée en principauté en 1570[22].

    Maisons nobles et seigneuries

    Blason des Toulbodou, sr de Guidfoss.
    le manoir de Penguilly, milieu du XVIe siècle.

    Une douzaine de manoirs existaient autrefois sur le territoire de Plouray : Restromar, Cornouët, Saint-Noay, Limerho, Kersoulou, Goulo, Guidfoss, Kerroc'h, Kergadelau, Kervéno, Cohinec et Stanguen. Les propriétaires de ces manoirs étaient des vassaux des seigneurs de Guémené. Les terres de Plouray étaient en effet des arrière-fiefs de cette seigneurie.

    Les propriétaires du manoir de Restromar étaient les Le Trancher aux XVIe et XVIIe siècles. En 1540, il appartenait à Eustache Le Trancher. Jacques Le Trancher en rendit aveu en 1632 comme sire de Bodeno et Restromar. Les armes des Le Trancher étaient : d'or au croissant de gueules, accompagné de 3 étoiles de même.

    Le manoir de Penguilly était une juveigneurie de celui du Dréorz en Priziac. Il appartenait en 1449 à Alain le Scanff qui rendait aveu à Charles Le Scanff, sieur du Dréorz. Les armes des Le Scanff étaient : d'azur à trois glands d'or, les coques d'argent.

    Le manoir de Saint-Noay appartenait en 1526 à Jean de Saint-Noay et Catherine de Loes. Plus tard, en 1634, un autre Jean de Saint-Noay, dans un aveu au prince de Guémené, déclare qu'il existe dans la maîtresse vitre de l'église de Plouray, deux écussons qui sont d'argent à deux sangliers de sable, et deux grandes tombes à fleur de terre armoyées du dit sanglier en bosse, dans le chœur, du côté de l'évangile.

    Les propriétaires du manoir de Guidfoss étaient, aux XVIe et XVIIe siècles, les Toulbodou, une famille originaire du manoir éponyme en la paroisse de Locmalo. C'est après avoir quitté son manoir de Guidfoss en Plouray pour une partie de chasse que l'un des membres de cette famille, Jehan de Toulbodou, fut surpris par un violent orage dans la vallée de l'Ellé près du Faouët. Craignant pour sa vie, il invoquera le secours de sainte Barbe. Ayant eu la vie sauve, il fera édifier avec le concours de Jean de Bouteville, baron du Faouët, une chapelle en l'honneur de sa protectrice à cet endroit. Les armes des Tolbodou étaient : d'or semé de feuilles de houx de sinople[23].

    La Belle Époque

    Lors des élections législatives de 1906, le clergé local fit pression sur les électeurs, refusant l'absolution aux hommes et même aux femmes dont les maris ne voteraient pas bien, c'est-à-dire en faveur de Guy de Salvaing de Boissieu, lequel fut d'ailleurs réélu député[24].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989
    Réélu en 1995, 2001, 2008, 2014 et 2020[25]
    En cours Michel Morvant RPR-UMP-LR Conseiller général de 1985 à 2011
    Président de la Communauté de Communes Roi Morvan Communauté

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2018, la commune comptait 1 091 habitants[Note 5], en diminution de 3,19 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4801 3281 3701 2871 4531 5811 5711 6391 662
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4871 4701 5581 4541 5471 6051 6441 6031 671
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7191 8531 9881 9691 9671 9781 9911 8901 684
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 5011 4061 3581 3011 2001 1441 1101 1041 136
    2018 - - - - - - - -
    1 091--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La principale industrie présente sur la commune est une usine de découpe de volaille (Doux).

    Voir aussi Économie à Roi Morvan Communauté

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Dolmen près de Plouray.
    • Église Saint-Yves de Plouray
    • Le manoir de Penguilly, situé à 1,5 km au nord-ouest du bourg de Plouray, est une construction homogène du milieu du XVIe siècle. Il est la propriété successive des familles Le Scanff, Le Grant, Bahuno, Boutiez. Le logis est constitué de deux corps accolés à un étage carré. Chaque corps est desservi par un escalier. Il possède des fenêtres à meneaux, une porte en anse de panier et un pigeonnier à une rangée de boulins sous la corniche du corps est[30].
    • Un peu en retrait de l'agglomération se trouve à l'emplacement d'une ancienne ferme, une communauté religieuse du bouddhisme tibétain ouverte à tous [31]. Lors de sa visite en France en , le Dalai Lama a visité la congrégation Pel Drukpay Tcheutsok à Plouray le , siège du Gyalwang Drukpa en Europe[32],[33].
    • Le dolmen de Guidfosse se trouve sur un endroit élevé d'une forêt limitrophe.
    • Sur la commune, on trouve l'arbre le plus âgé du département.

    Patrimoine naturel

    L’ouest de la commune, en direction de Tregornan et de la Trinité fait partie du Site Natura 2000 Rivière Ellé, FR5300006[34].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'argent au croissant de sable accompagné de trois étoiles de gueules; au chef de sable émanché de deux pièces et deux demies chargée de deux et deux demies mouchetures d'hermine d'argent, les demies mouvantes des flancs.
    Détails
    Armes de la famille Le Trancher.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Transports

    Voir Transports à Roi Morvan Communauté

    Télécommunications

    Voir Télécommunications à Roi Morvan Communauté

    Santé

    Voir Santé à Roi Morvan Communauté

    Enseignement

    Voir Enseignement à Roi Morvan Communauté pour les collèges et lycées.

    Culture et loisirs

    Voir Culture et loisirs à Roi Morvan Communauté

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Gourin sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Rostrenen - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Plouray et Rostrenen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Rostrenen - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Plouray et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    21. « Étymologie et Histoire de Plouray », sur infobretagne.com (consulté le ).
    22. Secrétariat d'état à la culture, Le Faouët et Gourin, inventaire topographique, Imprimerie Nationale, .
    23. "Les arrières-fiefs de la seigneurie de Guémené par M.L.Galles", bulletin de la société polymathique du Morbihan,2e semestre 1867
    24. "Journal officiel de la République française. Débats parlementaires. Chambre des députés", n° du 2 juillet 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6230676q/f25.image.r=Langonnet?rk=1845502;4
    25. « Municipales à Plouray : un 7e mandat pour Michel Morvant », sur Le Télégramme, (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Secrétariat d'état à la culture, Le Faouët et Gourin, inventaire topographique, Imprimerie Nationale, .
    31. voir Site de Drukpa Plouray
    32. Drukpa Plouray
    33. Programme de la visite de Sa Sainteté le Dalaï Lama en France
    34. « SITE NATURA 2000 - Rivière Ellé », DIREN -Bretagne.


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