Piré-sur-Seiche

Piré-sur-Seiche est une ancienne commune française rurale, située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne. Depuis le , elle fait partie du Pays de Châteaugiron Communauté[1].

Pour les articles homonymes, voir Piré et Bataille de Piré.

Piré-sur-Seiche

La place de l'église de Piré-sur-Seiche

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Pays de Châteaugiron Communauté
Statut commune déléguée
Maire délégué Dominique Denieul
2019-2020
Code postal 35150
Code commune 35220
Démographie
Gentilé Piréen
Population 2 553 hab. (2016 en augmentation de 10,86 % par rapport à 2011)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 00′ 33″ nord, 1° 25′ 51″ ouest
Altitude Min. 31 m
Max. 86 m
Superficie 36,34 km2
Élections
Départementales Châteaugiron
Historique
Date de fusion
Commune(s) d'intégration Piré-Chancé
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Piré-sur-Seiche
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Piré-sur-Seiche
Géolocalisation sur la carte : France
Piré-sur-Seiche
Géolocalisation sur la carte : France
Piré-sur-Seiche

    Le , elle forme avec Chancé la commune nouvelle de Piré-Chancé.

    Géographie

    Carte de la commune de
    Piré-sur-Seiche.

    Piré-sur-Seiche est située au sud-est de Rennes et à 8 kilomètres de Janzé.

    C'est une commune rurale traversée par la Seiche.

    Communes limitrophes

    Châteaugiron Domagné Chancé
    Amanlis N Moulins
    O    Piré-sur-Seiche    E
    S
    Janzé Essé Boistrudan

    Transports

    La commune est desservie par le réseau de cars régional BreizhGo :

    Description du bourg

    « Au bourg de Piré-sur-Seiche (...), les maisons ont étroitement enserré l'enclos religieux. Elles sont à deux niveaux, couvertes de toitures « à coyaux »[2] avec de grandes lucarnes « gerbières »[3] débordantes, comme dans maints autres endroits du bassin de Rennes (...). À la hauteur du second niveau de ces demeures modestes, le cimetière forme une plate-forme artificielle sur laquelle fut fondée l'église des années 1540-1550. La reconstruction de sa façade occidentale [au XIXe siècle] [et le rajout devant l'église d'un clocher néogothique], l'aménagement (...) devant celle-ci à la place des halles d'un parking et d'un petit jardin ne font pas oublier la disposition d'origine qui tend à clore un espace dominé par la masse des lieux sacrés[4] »

    Toponymie et étymologie

    Du latin Piriacum (lieu planté de poiriers) en 1030 et 1040[réf. nécessaire], Plebe Pire en 1052[5], puis Pireium en 1197. La commune prend le nom de Piré en 1516 ; il est modifié en Piré-sur-Seiche en 1920.

    La forme reconstituée Pereg[5] a été proposée comme nom breton de la commune. En gallo, le nom s’écrit Pirae[6].

    Les habitants sont appelés les Piréens et Piréennes.

    Histoire

    Moyen Âge

    Propriété de Brient (ou Briant), fondateur de Châteaubriant au XIe siècle, ce dernier cède l'église Saint-Pierre de Piré et tous ses droits au prieuré de Saint-Sauveur de Béré et aux moines de Marmoutier. Conan II de Bretagne, duc de Bretagne approuva et d'autres propriétés furent transmises par la suite par Geoffroi Ier de Châteaubriant, fils de Brient, puis par Gaultier de Méral et Herbert, évêque de Rennes en 1197. Le seigneur de Châteaubriant, Geoffroy III, confirma les mêmes religieux dans la possession de leurs terres en Piré en 1217, ce qui devint le prieuré de la Franceule. Les terres appartenant aux abbés de Marmoutier étaient très étendues et la paroisse de Piré très importante.

    Le fief de la famille de Rosnyvinen

    Piré fut le fief des seigneurs de la famille de Rosnyvinen à partir du XVe siècle jusqu'à la Révolution française.

    La devise des Rosnyvinen est : Non ferit nisi læsus ("Il ne frappe que s’il est blessé"), adopté par la commune ainsi que leur cri : « Défends-toi ! »

    Autres faits de l'époque moderne

    En 1683, les Filles de la Charité s'installèrent à Piré[7].

    Révolution française

    Pierre Bouthemy, chapelain de Fouesnel (en Louvigné-de-Bais), recteur de La Valette en 1783, de Piré en 1787, fut prêtre insermenté en 1791, incarcéré à la prison Saint-Melaine de Rennes en 1792, s'exila à Jersey, puis fut nommé en 1803 recteur de Vergeal[8].

    Pendant la Révolution française, la population de la commune était paraît-il, selon une publication parue dans une revue de 1905 (l'année de la promulgation de la Loi de séparation des Églises et de l'État), favorable aux changements apportés par la Révolution, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire était celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté, fêtée à partir de 1795[9].

    En , sur le territoire de la commune, se déroula la Bataille de Piré entre les chouans et les républicains.

    Le XIXe siècle

    La production de "noyales" (toiles à voiles), concentrée dans une quarantaine de paroisses situées par la plupart au sud-ouest de Rennes, les principales étant Châteaugiron, Piré et Noyal (paroisse qui leur a donné leur nom), double, passant de 9 500 à 20 000 pièces, pendant la seconde moitié du XIXe siècle[10].

    Le , une tornade d'une extrême violence traversa notamment les communes de Piré-sur-Seiche et Domagné : elle « ravagea en quelques minutes une zone longue de 16 kilomètres et large de 600 à 800 mètres, dirigée du sud-ouest au nord-est. (...) Avec cela un roulement continu de tonnerre, mais sans coups violents. Dix hommes qui travaillaient dans un champ voisin ont vu aussi des éclairs rasant le sol et ont été violemment roulés à terre. (...) Sur tout le parcours de la tornade, une multitude d'arbres ont été brisés d'une manière qui ne peut être attribuée qu'à l'action du vent. »[11].

    La Belle Époque

    Piré-sur-Seiche fut desservi, grâce à la station de Piré-Chaumeré, entre 1904 et 1947 par la ligne de tramways allant de Rennes à La Guerche[12], qui empruntait le tracé de l'actuelle RD 463.

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Piré-sur-Seiche porte les noms de 98 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux René Guéin du Grandlaunay, né le à Andard (Maine-et-Loire), capitaine au 68e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Liévin, fut décoré de la Légion d'honneur et de la Croix de guerre et Jean-Marie Mellier, né le à Piré-sur-Seiche, sous-lieutenant au 38e régiment d'infanterie, mort dans l'ambulance le à Pierry (Marne)[13], décoré de la Croix de guerre[14].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Piré-sur-Seiche porte les noms de 6 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[14].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    Clément Dechepy, né le à Piré-sur-Seiche, marsouin au 23e régiment d'infanterie coloniale, est mort de ses blessures le à Haïphong (Tonkin) pendant la Guerre d'Indochine[14].

    Le XXIe siècle

    Le , la commune fusionne avec Chancé pour former la commune nouvelle de Piré-Chancé[15].

    Culture locale et patrimoine

    Le château de Plessis-Guériff

    Construit à l'emplacement d'un manoir qui datait de 1317, les Anglais le détruisent par le feu, chassant la famille Bonenfant. Ces derniers reprennent le château qui passe par alliance aux Rosnyvinen le . Le domaine comprend alors près de 300 fermes, moulins et manoirs. Le Nôtre crée le parc au XVIIe siècle. Vendu par la Révolution, il revient de nouveau à la famille en 1802, dévasté. Restauré par le général d'Empire Hippolyte-Marie-Guillaume de Rosnyvinen, comte de Piré, en 1818, il est finalement vendu par le dernier descendant en 1854 au vicomte de Nicolay. Il passe ensuite en 1866 à la famille Carron de la Carrière jusqu'en 1932 pour abriter la congrégation des Pères du Saint-Esprit puis est revendu en 2011 à Jean-Paul Legendre, dirigeant du groupe de BTP Legendre. Celui-ci a entrepris des travaux de rénovation et d'aménagement du château, dans l'optique d'y accueillir des séminaires, et des représentations[16]. Il invite aussi différents sculpteurs à exposer leurs œuvres dans le parc du château. On trouve dans le parc le cimetière des Pères du Saint-Esprit ayant vécu à Piré-sur-Seiche, dont la tombe de Mgr Guichard (1884-1936), vicaire apostolique de Brazzaville.

    Autres lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre dont il est fait mention dès le XIe siècle, est à l'emplacement d'une première église construite par Conan II au XIe. et reconstruite au XVIe siècle. Un décor Renaissance orne le bas-côté nord, le bas-côté sud est ajouté au bâtiment vers 1603. Le retable lavallois du maître-autel en pierre et en marbre de Mayenne fut construit de 1632 à 1634 par l'architecte Pierre Corbineau et le sculpteur Pierre Biardeau. Le tableau central est surmonté d'une statue de saint Pierre, œuvre du sculpteur nantais Barré. Jean de Rosnyvinen fait reconstruire entre 1752 et 1775 le chœur frappé par la foudre en 1741. Agrandie dans la seconde moitié du XIXe siècle, de 1871 à 1875, le recteur, l'abbé Moison ajouta un clocher de 58 m de haut, où furent accrochées quatre cloches. Le clocher s'effondra sur une quinzaine de mètres à la suite d'une tornade le et causa de gros dégâts à l'intérieur de l'église. La reconstruction nécessita deux années de travaux[17].
    • La chapelle de la Croix-Bouessée (1527-XVIIe-XVIIIe siècle), dans le cimetière[18].
    • Le calvaire (1587) du cimetière (1587).
    • L’ancien presbytère (XVIe-XVIIIe siècle).
    • Le château du Plessis-Guériff.
    • Le château de la Beauvais (XVIIe-XIXe siècle).
    • Le château de l’Espinay ou Epinay (XVIIe siècle)
    • Le manoir de la Bréhonnière (XVe-XVIIIe siècle).
    • La maison (XVIIe siècle), située 22 rue d’Anjou.
    • La ferme (XVIIe-XIXe siècle), située au lieu-dit la Touche-Marzelle ;
    • Les moulins à eau de Neuf, de la Joncherays, de Connag, de Berrue, Champusel, d’Atillé, de Taillepied.
    • Les moulins à vent des Grées, de Taillepied, du Clos-Corron.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires[19]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1er mai 1790 26 juillet 1790 Le Clerc de la Monnerie    
    26 juillet 1790 3 novembre 1791 Colliot    
    3 novembre 1791 30 nivôse an II Jaunay    
    30 nivôse an II 25 germinal an II Gallan    
    25 germinal an II 6 mai 1815 Colliot    
    6 mai 1815 5 octobre 1830 De la Grimaudière    
    5 octobre 1830 20 décembre 1846 Guérault   Conseiller général du Canton de Janzé (1833-1839)
    20 décembre 1846 12 août 1860 Frangeul    
    12 août 1860 14 mai 1871 Delachaussée    
    14 mai 1871 18 septembre 1885 J. Carron de la Carrière    
    3 janvier 1886 24 février 1909 P. Carron de la Carrière    
    24 février 1909 14 juillet 1910 J. Boursier    
    14 juillet 1910 10 décembre 1919 Paul Carron de la Carrière   Député
    10 décembre 1919 16 juillet 1922 J. Boursier    
    16 juillet 1922 12 août 1934 J. Carron de la Carrière    
    12 août 1934 12 juillet 1943 G. Beaugeais    
    12 août 1943 6 mai 1945 A. Letort    
    6 mai 1945 18 juillet 1946 François Cordelier    
    18 juillet 1946 21 mars 1965 Julien Mellier    
    21 mars 1965 26 mars 1977 Gaston Guais    
    26 mars 1977 juin 1995 Émile Grégoire   Agriculteur
    juin 1995 mars 2001 Auguste Monnier   Directeur de banque
    mars 2001 mars 2008 Léon Rupin   Agriculteur, retraité
    mars 2008 31 décembre 2018 Dominique Denieul[20] DVD Agriculteur
    Président de la Communauté de Communes

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

    En 2016, la commune comptait 2 553 habitants[Note 1], en augmentation de 10,86 % par rapport à 2011 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 0483 1723 4203 7073 5643 7723 7823 7253 767
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 6033 4423 4123 2333 2353 0222 9582 7712 667
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5462 4772 4132 0842 1362 1532 1002 1712 119
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2 0051 9501 7431 8091 7301 8772 0302 2832 523
    2016 - - - - - - - -
    2 553--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Qualité des eaux

    Un point de suivi de la qualité des eaux du Quincampoix est présent sur la commune[25].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

    Références

    1. Page de présentation de la commune de Piré-sur-Seiche sur le site du Pays de Châteaugiron Communauté
    2. Chevron rapporté à la base d'un versant pour adoucir la pente de l'égout.
    3. Ouvertures dans le mur d'un grenier ou d'une grange pour passer les gerbes ou le foin
    4. André Mussat, Arts et cultures de Bretagne : un millénaire, Rennes, Editions Ouest-France, , 380 p. (ISBN 978-2-737-31932-7, OCLC 34611255)
    5. « Résultats concernant « Piré-sur-Seiche » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
    6. Fiche descriptive de la ville de Piré-sur-Seiche sur Geobreizh.
    7. Jean-Martial Besse et Charles Beaunier, "Abbayes et prieurés de l'ancienne France", tome 8 "Province ecclésiastique de Tours", 1920, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5859266j/f216.image.r=Balaz%C3%A9?rk=1630909;2
    8. René Kerliver, "Répertoire général de bio-bibliographie bretonne", ivre premier, Les Bretons, 6, 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5816057v/f95.image.r=louvign%C3%A9-de-bais?rk=107296;4
    9. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399
    10. "Histoire de la Bretagne et des pays celtiques", tome 3, "La Bretagne Province", Skol Vreiz, 1986
    11. "Journal officiel de la République française. Lois et décrets", n° du 31 décembre 1890, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6437986s/f40.image.r=Domagn%C3%A9?rk=493564;4
    12. "Journal officiel de la République française. Lois et décrets", n° du 3 mai 1899, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6233979x/f4.image.r=Chaumer%C3%A9?rk=407727;2 et journal Ouest-Éclair no 1762 du 16 juin 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k640371w/f3.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4828350;0
    13. http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/arkotheque/client/mdh/base_morts_pour_la_france_premiere_guerre/resus_rech.php
    14. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=743
    15. Michèle Kirry, « Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle de Piré-Chancé à compter du 1er janvier 2019 », Recueil des actes administratifs d'Ille-et-Vilaine n°608, , p. 12-16 (lire en ligne [PDF])
    16. « Château des Pères : la Renaissance | le château des pères », sur www.chateaudesperes.fr (consulté le )
    17. Notice no IA00130805, base Mérimée, ministère français de la Culture
    18. Notice no IA00131040, base Mérimée, ministère français de la Culture
    19. Pour les maires de 1790 à 1977 : Joseph Thébault, Piré-sur-Seiche. Mille ans d'histoire, pages 140-141. (ISBN 978-2-9509011-0-1).
    20. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535, , p. 10-13 (ISSN 1285-7688)
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
    25. « Qualit'eau 35 n°30 p.5 - bulletin du réseau de suivi de la qualité des eaux superficielles en Ille-et-Vilaine » (consulté le )
    26. Erwan Le Gall, « Léon Letort : pionnier rennais de l’aviation », En Envor (consulté le 11 décembre 2013).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail d’Ille-et-Vilaine‎
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.