Pézarches

Pézarches (prononcé [pe.ˈzaʁʃ]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pézarches

L'église Saint-Nicolas-et-Sainte-Geneviève.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Alexandre Denamiel
2020-2026
Code postal 77131
Code commune 77360
Démographie
Gentilé Pézarchois
Population
municipale
388 hab. (2018 )
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 15″ nord, 2° 59′ 35″ est
Altitude Min. 107 m
Max. 139 m
Superficie 8,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Pézarches
Géolocalisation sur la carte : France
Pézarches

    Géographie

    Localisation

    Pézarches est une commune rurale de la vallée de l'Yerres, située à l'est de la capitale à une distance d'une cinquantaine de kilomètres du boulevard périphérique (porte de Charenton)[1].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont : Faremoutiers, Hautefeuille, Lumigny-Nesles-Ormeaux, Touquin.

    Communes limitrophes de Pézarches
    Hautefeuille Faremoutiers Faremoutiers
    Lumigny-Nesles-Ormeaux Touquin
    Lumigny-Nesles-Ormeaux Lumigny-Nesles-Ormeaux Touquin

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Pézarches.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    • la rivière l’Yerres, longue de 98,23 km[3], affluent en rive droite de la Seine ;
      • le fossé 01 de la Commune de Pézarches, 2,92 km[4], et ;
      • le fossé 01 de la Commonnerie ou ru de la Poix, 5,55 km[5], qui confluent avec l’Yerres.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,74 km[6].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[9].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,2 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 730 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[12]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 27 km à vol d'oiseau[13], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[14] à 11,6 °C pour 1991-2020[15].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17],[Carte 1] :

    • « L'Yerres de sa source a Chaumes-en-Brie », d'une superficie de 18 ha, un tronçon de 40 km de l'Yerres qui héberge une faune piscicole et une végétation aquatique devenues rares en Ile-de-France[18],[19].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Pézarches comprend deux ZNIEFF de type 2[Note 2],[20],[Carte 2] :

    • la « Forêt de Crécy » (6 897,74 ha), couvrant 17 communes du département[21] ;
    • la « Forêt de Malvoisine » (994,15 ha), couvrant 5 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Pézarches est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[23],[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 34 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[28] dont Les Aulnettes et la Cabane du Prussien, L'Epinette, La Garenne de chênes, Les Grés Rigny de Pézarches.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,3% ), forêts (41,4% ), zones urbanisées (3,4 %)[29].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[30],[31],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    Planification

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[32].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 156 dont 95,4 % de maisons et 3,9 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 89,8 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 89,1 % contre 10,2 % de locataires et 0,7 % logés gratuitement[33] -[Note 6].

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales RD 231 et RD 402. On y accède de Paris par l'autoroute A4, sortie no 13 en direction de Provins.

    Transports

    Pézarches est desservie par les lignes d’autocars : SEME0150.

    Une station de covoiturage, situé au croisement des départementales 402 et 231, disposant d'un arrêt sur ces lignes d'auticars, de stationnement pour voitures et vélos, ainsi que d'une borne de recharge des voitures électriques, a été mise en service en 2016[34].

    Toponymie

    Pézarches, Peserches vers 1222, semble représenter l'ancien français pesarch « chaume de pois, champ de pois »[35].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune était intégrée depuis 1926 à l'arrondissement de Provins du département de Seine-et-Marne.

    Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Meaux[36].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rozay-en-Brie[37]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Coulommiers.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois Rivières, créée fin 1993.

    Le , celle-ci fusionne avec la communauté de communes de la Brie des Templiers pour former la communauté de communes du Pays de Coulommiers.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de Seine-et-Marne prescrit sa fusion avec la communauté de communes de la Brie des moulins.

    La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie est ainsi créée le , dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[38]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1817 1833 Jean-Louis Douval    
    1834 1842 Jacques Michel    
    1844 1853 Antoine Pivert    
    1853 1884 Jean-Pierre Desplaces    
    1884   Victor Moussu    
    1888 1908 Jean-Pierre Lecoq    
    1908 1919 Julien Coulple    
    1919 1925 Jules Roland    
    1925 1945 Clément Bourgeois    
    1945 1951 Emile Daudin    
    1951 1959 Eugène Michel    
    1959 1961 André Sivert    
    1961 1963 Lucien Racinet    
    1963 1965 Raymond Roland    
    1965 1977 Pierre Gaudin    
    1977 1983 Émile Bigot PCF  
    1983 1995 Jean Marc Hurand    
    1995 2001 Pierre VenoT    
    2003 en cours Alexandre Denamiel   Chef d'entreprise
    Réélu pour le mandat 2014-2020

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [39],[40].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Pézarches gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[41].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[42]. La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB)La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[41],[43].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de la région de Touquin qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [41],[44],[45].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].

    En 2018, la commune comptait 388 habitants[Note 7], en diminution de 5,13 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    116115139170183169180166179
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    166205203188205184186202180
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    182169178154157153161159162
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    160149166237225267344355404
    2017 2018 - - - - - - -
    392388-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2005, les enfants de la commune étaient scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal regroupant Pézarches, Hautefeuille et Touquin[49].

    Économie

    • ZI de l'Épinette

    Agriculture

    Pézarches est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[50].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[51]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 86 ha en 1988 à 68 ha en 2010[50]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Pézarches, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Pézarches entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[50],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 9 7 4
    Travail (UTA) 27 10 6
    Surface agricole utilisée (ha) 771 567 271
    Cultures[52]
    Terres labourables (ha) 741 564 268
    Céréales (ha) 574 431 181
    dont blé tendre (ha) 345 238 107
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 177 138 s
    Tournesol (ha) 75 s s
    Colza et navette (ha) s 48 29
    Élevage[50]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 66 33 1

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de Pézarches » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Zones ZNIEFF de Pézarches » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Pézarches - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    2. « Plan séisme consulté le 18 mars 2020 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yerres (F4--0210) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commune de Pézarches (F4703000) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commonnerie (F4703500) ».
    6. 77360 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 19 février 2019
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