Nesle-Normandeuse

Nesle-Normandeuse est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Nesle (homonymie).

Nesle-Normandeuse

Château de Romesnil.

Logo
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Agnès Crept
2020-2026
Code postal 76340
Code commune 76460
Démographie
Gentilé Neslois
Population
municipale
523 hab. (2018 )
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 54′ 31″ nord, 1° 40′ 14″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 204 m
Superficie 9,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Blangy-sur-Bresle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eu
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Nesle-Normandeuse
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Nesle-Normandeuse
Géolocalisation sur la carte : France
Nesle-Normandeuse
Géolocalisation sur la carte : France
Nesle-Normandeuse

    Géographie

    La Cité Denin.


    Localisation

    Nesle-Normandeuse est située entre la Bresle et la Haute forêt d'Eu, à km de l'A28, à km de Blangy-sur-Bresle, à 11 km de Foucarmont et à 18 km d'Aumale.

    Située en Seine-Maritime, elle est limitrophe du département de la Somme.

    Hydrographie

    La commune est limitée à l'est par le fleuve côtier la Bresle, dans laquelle confluent deux ruisseaux, dont un dénommé Fontaine Saint-Pierre. Cette partie du territoire communal, marécageuse, est parsemée d'étangs.

    Hameaux

    La commune compte actuellement deux hameaux, Romesnil (au sud-ouest) et Bourbel (au sud-est).

    Voies de communication et transports

    La Ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers, qui assure les liaisons TER Hauts-de-France Beauvais - Le Tréport passe dans la commune. Il n'y a cependant plus d'arrêt en gare de Nesle-Normandeuse.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 833 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oisemont_sapc », sur la commune d'Oisemont, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 786,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le département de la Somme, mise en service en 1922 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Nesle-Normandeuse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blangy-sur-Bresle, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,3 %), prairies (27,1 %), forêts (16,3 %), zones urbanisées (4,6 %), eaux continentales[Note 7] (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Apud Nigellam entre 1137, 1175 et 1179; Parrochia de Nigella la Normandeuse en 1270; Eglise de Neele la Normandeuse en 1304[21]; Neelle Normandeuse en 1648; Nesle Normandeuse en 1704 (Pouillé); Neeles Normandeuse en 1715 (Frémont); Nelle Normandeuse en 1757 (Cassini); Nesle Normandeuse en 1953[22].

    Nesle : toponyme gaulois composé de *novio, « neuf, nouveau » et *ialo clairière, lieu défriché, essart ».

    L’adjectif normandeux, normandeuse, était en usage au Moyen Âge.
    À la place de la terminaison -osa on trouve, parfois employée de façon absolue, des noms terminés en -euse (-ouse en Basse-Normandie)[23].
    Nesle-Normandeuse, c'est-à-dire la « Nesle de Normandie » par opposition à ses homonymes picards, (la commune est située sur la Bresle, à la frontière normanno-picarde).

    Histoire

    Antiquité

    Dans la commune ont été retrouvées deux belles hachettes en silex d'époque gauloise, ainsi que des vestiges de tuiles gallo-romaines[24].

    En 1866, une extraction de cailloux a mis au jour un cimetière mérovingien. À côté de plusieurs squelettes ont été recueillis une épée, une lance, une boucle et deux vases[24].

    À la fin du XIXe siècle, on pouvait observer sur un des coteaux qui dominent la vallée de la Bresle, entre Nesle et Blangy, une enceinte circulaire terrassée et fossoyée comme celle de Brémont, à Vatierville, et celle de Cornemesnil, à Bouelles[24].

    Politique et administration

    En 1823, la commune de Nesle-Normandeuse, instituée lors de la Révolution française, absorbe celle de Bourbel[25].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Blangy-sur-Bresle[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Eu.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes de Blangy-sur-Bresle, créée fin 2001 et qui succédait au SIVOM de Blangy-sur-Bresle, créé au afin de gérer le ramassage et le traitement des odures ménagères ainsi que le ramassage scolaire.

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du ayant prescrit, ans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, les communautés de communes de Blangy-sur-Bresle et du canton d'Aumale, dont aucune n'atteignait le seuil légal, ont donc été amenées à fusionner.

    Cette fusion est intervenue le , créant la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle, dont Nesle-Normandeuse est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[26]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1805 1827 Boutry J.N.C.    
    1827 1875 Boutry N.H.N.    
    1902   d'Imbleval    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 1986 Jacky Dutartre UDF  
    1986 2004 Jean-Yves Le Du SE puis DVD Chef de fabrication
    2004[27] avril 2014[28] Brigitte Duchaussoy SE Retraitée
    avril 2014[29] juillet 2019[30] Daniel Martin DVD Président du syndicat intercommunal d’assainissement et d’eau potable ( ? → 2019)
    Démissionnaire
    septembre 2019[31] En cours
    (au 10 août 2020)
    Agnès Crept   Agricultrice
    Réélue pour le mandat 2020-2026[32]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2018, la commune comptait 523 habitants[Note 8], en diminution de 11,95 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    240249311275310309346351372
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    376402426401430433470539547
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    607726634594675658656613709
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    777707684606610576588590591
    2013 2018 - - - - - - -
    594523-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    À la rentrée du , les écoles de Nesle-Normandeuse (trois classes) et Pierrecourt (une classe) fusionnent en regroupement pédagogique intercommunal (RPI), pour une gestion commune de leurs établissements d'enseignement primaire[36]. Chacune des deux communes offre les services d'une cantine pour limiter les déplacements du milieu de journée[37],[38].

    L'éducation nationale prévoit la fermeture d'une des classes de ce RPI à la rentrée 2019-2020[39], entraînant la démission du maire et l'organisation de nouvelles élections municipales[30].

    Autres équipements

    • Salle Polyvalente « Jean-Yves-Le Du », nommée en l'honneur de l'ancien maire de la commune.

    Économie

    • L'activité verrière est encore très présente dans la commune, en particulier spécialisée dans le flaconnage.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La Verrerie de la gare.
    • Ancienne mairie-école, construite de 1879 à 1884 par l'architecte Vatan, architecte.
      Elle comportait à l'origine une salle de mairie, un logement pour l'instituteur, une salle d'école pour filles et garçons, des bâtiments agricoles. Le bâtiment est remanié en 1913, et la mairie déménagée[40]
    • Maisons et fermes des XVIIIe et XIXe siècles[41].
    • Église Saint-Lambert (XVIIe et XIXe siècles)
      La sacristie porte les dates de 1779 et 1893 sur le linteau de la porte du mur sud[42].
    • Château de Romesnil, construit comme rendez-vous de chasse pour Louis de Bourbon, prince de Dombes, comte d'Eu, en 1750. Une verrerie y fut créée en 1776-1780[24],[43],[44].
    Il est en cours de restauration depuis 2015, grâce notamment à l’association de sauvegarde du château de Romesnil (ASCR)[45]
    • Verrerie de la Gare, construite en 1882 par Albert Denin, est un des derniers témoins du développement de l'industrie du verre à la fin du XIXe siècle en vallée de la Bresle[46],[47]. L'entreprise a fermé en 1999.
    La communauté de commune souhaite en 2019 en faire un de ses pôles économiques, en y aménageant une « ruche artisanale » qui pourrait accueillir un ou deux jeunes artisans « qui veulent démarrer », dans le domaine du verre[48].
    • Maison Denin, du XVIIIe siècle, agrandie en 1828 et vers 1900[49].
    • Manoir de 1799, dont les parties agricoles datent du XIXe siècle[50]
    • La commune de Nesle-Normandeuse possède quatre étangs de pêche.

    Personnalités liées à la commune

    • Pauline Poulet[pourquoi ?], championne de France VTT UFOLEP 2008[réf. nécessaire].

    Voir aussi

    Bibliographie

    La commune de Nesle-Normandeuse a fait l'objet d'une enquête ethnographique conduite de à par deux chercheurs du Musée de l'Homme :

    Lucien Bernot et René Blancart (préf. Claude Lévi-Strauss, avec le concours de l’UNESCO), Nouville, un village français, vol. LVII, Paris, Reprinted Ed (éditeur original : Institut d’ethnologie, Musée de l’Homme), coll. « Travaux et mémoires de l’Institut d’Ethnologie », (1re éd. 1953), 464 p. (ISBN 2-88449-058-2, présentation en ligne).

    Ce livre est devenu un classique des sciences sociales et de la recherche ethnologique.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Oisemont_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Nesle-Normandeuse et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Oisemont_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Nesle-Normandeuse et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Blangy-sur-Bresle », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Archives de Seine-Maritime G. 7 p. 29, 205, 206.
    22. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 713.
    23. Cahiers Léopold Delisle, Volumes 17 à 20, Page 72
    24. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 186, lire en ligne sur Gallica.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. « Les maires de Nesle-Normandeuse », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    27. Blandine Thoreux, « Qu’envisagent les maires sortants du canton ? : À deux mois du premier tour des élections municipales, nous sommes allés à la rencontre des maires sortants du canton et leur avons demandé s'ils seraient de nouveau candidats », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne, consulté le ) « Élue première adjointe en 1995 puis maire de Nesle-Normandeuse en 2004, Brigitte Duchaussoy, 70 ans, sera à nouveau candidate en mars prochain ».
    28. « À Nesle-Normandeuse, Brigitte Duchaussoy contre ses propres adjoints : Drôle de situation dans ce petit village de la Vallée de la Bresle  : le maire sortant devra affronter une liste conduite par ses adjoints », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « « Daniel Martin, adjoint, a fait courir le bruit comme quoi je ne me représentais pas aux prochaines municipales et plusieurs conseillers sortants n’ont pas pris la peine de le vérifier auprès de moi », déplore Brigitte Duchaussoy. Faux puisque cette dame impliquée dans sa commune depuis 1995 a monté la liste «Bien vivre ensemble à Nesle-Normandeuse » pour les prochaines municipales, face à ses adjoints ».
    29. Blandine Tthoreux, « Daniel Martin est le nouveau maire : Une dizaine de personnes a assisté à l’élection du maire et des adjoints à la mairie de Nesle Normandeuse. Daniel Martin a été élu maire, il succède à Brigitte Duchaussoy », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne, consulté le ) « Daniel Martin était conseiller municipal depuis 10 ans et premier adjoint durant le dernier mandat ».
    30. Laure Besnier, « Nesle-Normandeuse : une classe ferme et le maire démissionne : Daniel Martin a démissionné de ses fonctions de maire de Nesle-Normandeuse (Seine-Maritime). En cause, la fermeture d'une des classes de l'école de sa commune », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne, consulté le ) « Il souligne l’importance des conséquences d’une fermeture d’une classe dans son école : « Le nombre d’élèves par classe va augmenter. » Et, toujours selon l’ancien maire, se sentant « impuissant » face à la situation, « les parents d’élèves vont déposer leurs enfants dans les établissements de Blangy ». Pour lui, c’est un signe annonciateur de la « fin du village ».
    31. Blandine Thoreux, « Seine-Maritime : Agnès Crept élue maire de Nesle-Normandeuse pour six mois : Ce mardi 24 septembre 2019 à Nesle-Normandeuse (Seine-Maritime), le conseil municipal au complet a élu son nouveau maire : Agnès Crept. Trois adjoints ont également été nommés », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne, consulté le ) « Deux des quinze élus se sont portés candidats pour succéder à Daniel Martin au poste de maire, et c’est finalement Agnès Crept qui a été élue. L’ancienne première adjointe a devancé l’ancien deuxième adjoint Michel Boulard. Ils ont respectivement obtenu 10 et 5 voix ».
    32. « Seine-Maritime : Agnès Crept garde son siège de maire à Nesle-Normandeuse : Au complet depuis le 28 juin 2020, le conseil municipal de Nesle-Normandeuse s'est réuni le premier week-end de juillet pour élire son maire et ses adjoints », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne, consulté le ) « Agnès Crept, maire de la commune depuis septembre 2019 (à la suite de la démission de Daniel Martin en juin 2019), a été réélue avec onze voix et quatre bulletins blancs ».
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Pierrecourt souhaite regrouper son école avec celle de Nesle-Normandeuse », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Gilbert Sellier tente donc un rapprochement avec Nesle-Normandeuse, où de nombreux enfants pierrecourtois sont déjà scolarisés. Un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) est sollicité. « Le retour ne semble pas du tout défavorable », affirme le maire ».
    37. Courrier picard, édition Picardie maritime, « Une rentrée avec des classes en moins », , p. 9.
    38. Xavier Togni et A. S., Courrier picard, édition Picardie maritime, « Des soucis malgré les difficultés », , p. 10.
    39. « Les fermetures de classe confirmées en comité technique : une mobilisation à Monchy-sur-Eu le 19 mars », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    40. « Mairie, école », notice no IA00057409, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Maisons et fermes », notice no IA00057407, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Eglise paroissiale Saint-Lambert », notice no IA00057408, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Château de Romesnil », notice no PA00101095, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Rendez-vous de chasse, Verrerie », notice no IA00057414, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Le château de Nesle-Normandeuse rouvre ses portes pour l’été », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    46. « Verrerie de la Gare ou verrerie Denin », notice no PA76000065, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Moulin à blé de Nesle, puis usine de flaconnage Denin », notice no IA00057467, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. Xavier Togni, « L’ancienne verrerie de Nesle-Normandeuse réhabilitée en ruche artisanale », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    49. « Maison Denin », notice no IA00057411, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Manoir », notice no IA00057410, base Mérimée, ministère français de la Culture.


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