Mittelbergheim

Mittelbergheim est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Elle est classée parmi les Plus Beaux Villages de France.

Mittelbergheim

Rue de la Montagne.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Sélestat-Erstein
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Barr
Maire
Mandat
Marie-Josée Cavodeau
2020-2026
Code postal 67140
Code commune 67295
Démographie
Gentilé Mittelbergheimois, Mittelbergheimoises [1]
Population
municipale
635 hab. (2018 )
Densité 166 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 48″ nord, 7° 26′ 33″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 340 m
Superficie 3,83 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Andlau
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Obernai
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Mittelbergheim
Géolocalisation sur la carte : Bas-Rhin
Mittelbergheim
Géolocalisation sur la carte : France
Mittelbergheim
Géolocalisation sur la carte : France
Mittelbergheim

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Géographie

    Localisation

    Il est situé sur la route des vins et la Véloroute du vignoble d'Alsace (EuroVelo 5), au cœur de la région Alsace entre Sélestat et Strasbourg.

    Le village est situé sur l'axe de deux villages : Barr à 1,2 km et Epfig à 4,2 km. Il est aussi situé au pied d'une côte qui sépare la vallée de Barr de la vallée de Villé.

    Communes limitrophes de Mittelbergheim
    Barr Barr
    Andlau
    Eichhoffen Saint-Pierre

    Géologie et relief

    Le village est dominé par des montagnes dont l'une est couronnée par les ruines du château d'Andlau, détruit au XVIIIe siècle.

    Par temps clair, il est possible d'apercevoir de manière exceptionnelle la chaîne des Alpes depuis le village pourtant situé au maximum à 340 m d'altitude[2].

    Hydrographie

    • L'Andlau sépare le village de son voisin Eichhoffen.

    Voies de communication et transports

    Entrée du village de Mittelbergheim par la D 362.

    Urbanisme

    Typologie

    Mittelbergheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Andlau, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 2 916 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (62,3 %), prairies (20,1 %), zones urbanisées (10,2 %), forêts (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    L'origine du nom est dérivée de l'allemand Mittel = milieu, Berg = montagne et Heim = village : littéralement village de la montagne du milieu, image reprise sur son blason.

    • Berckheim, 1255.

    Histoire

    Vue sur le village avec en arrière-plan les églises catholique et protestante.
    Mittelbergheim sous le soleil de décembre.
    Wilhelmine, reine des Pays-Bas, en présence de jeunes villageoises, peignant à Mittelbergheim, en juillet 1936.

    Le territoire où est situé Mittelbergheim est déjà occupé à l'époque des Francs puis semble-t-il par les Romains. Son nom d'origine est alors « Berg », signifiant montagne. Vers le IXe siècle, l'empereur Charles le Gros offre à son épouse Richarde[Note 2] ce morceau de territoire. Après le décès de Richarde, les terres passent sous la tutelle de l'évêque de Strasbourg qui les cède ensuite à la famille des Berckheim. La ville de Strasbourg prend ensuite possession des lieux. Au XIIIe siècle, Mittelbergheim (Mittel-Berckheim) est la résidence principale des nobles de la famille des Berckheim, issue de la branche des comtes d'Andlau dont ils se séparent début XIIIe siècle (choisissant alors le nom de Berckheim en raison de Mittel-Berckeim où ils demeurent). Ils disposent d'un château à cet endroit, le château de Crax. À la droite de ce château se trouve la montagne appelée Crax ou Krax où existait un bourg détruit en 1296 par l'évêque Conrad de Lichtenberg et les Strasbourgeois alors en guerre contre Cunon de Berckheim (les ruines vont servir à la construction de Lichtenau). Le mot krax signifiait couvent dans le langage des vagabonds alsaciens du XVIe siècle[13]. La paroisse de Mittelbergheim est pendant de longues années rattachée à la paroisse d'Andlau. Après la Réforme introduite en 1545, une nouvelle paroisse catholique, dont Gertwiller fait partie, voit le jour. Le simultanéum est établi dans le village jusqu'en 1894. Au XXe siècle, Mittelbergheim comprend quelques industries textiles qui ont malheureusement toutes disparu. On y fabriquait surtout de la bonneterie et des chaussons de laine.

    Un fabricant de meubles haut de gamme de renommée mondiale la société Seltz, fondée en 1930 a été placé en liquidation judiciaire le [14],[15],[16].

    Politique et administration

    Canton

    Mittelbergeim appartenait au canton de Barr dans l'arrondissement de Sélestat-Erstein. Le Décret n° 2014-185 du portant délimitation des cantons dans le département du Bas-Rhin[17], a incorporé le canton de Barr au canton d’Obernai.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mai 2020 Alfred Hilger[18]    
    mai 2020 En cours Marie-Josée Cavodeau [19]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

    En 2018, la commune comptait 635 habitants[Note 3], en diminution de 3,5 % par rapport à 2013 (Bas-Rhin : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9369259647541 0341 0059751 0371 020
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 0091 023996954971931864774800
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    788723677593609667676688610
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    639640651647628617653653655
    2018 - - - - - - - -
    635--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Plus de la moitié du territoire de Mittelbergheim est composée de vignobles dont les vins sont appréciés, notamment le grand cru zotzenberg.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La richesse du patrimoine de la commune lui permet d'être classé parmi les Plus Beaux Villages de France.

    Église catholique Saint-Etienne
    Église Saint-Étienne (catholique).

    L'église a été construite en 1893 grâce à l'initiative du curé Victor Brach avec des matériaux en grès des Vosges. Les plans de cette église ont été réalisés par l'architecte barrois Heinrich dans le style qui avait cours à cette époque. Le curé de Mittelbergheim a pu acquérir le terrain grâce à l'héritage de sa mère. L'évêché de Strasbourg a ajouté une somme de 10 000 marks dont 4 000 marks provenant de l'héritage personnel de l'évêque. La municipalité de Mittelbergheim a donné une subvention de 5 000 marks et la paroisse protestante a ajouté une somme de 2 000 marks pour dédommager le culte catholique pour le mobilier resté dans l'ancienne église. L'église catholique a en outre reçu de nombreux dons privés et a bénéficié du travail de nombreux bénévoles qui ont permis sa construction.

    L'église Saint-Étienne a été consacrée le et a été dédiée au patron des vignerons. Elle est l'aboutissement de plusieurs siècles d'histoire religieuse mouvementée dans le village.

    Lors de la Réforme de 1575, malgré le ralliement d'une grande partie de la population au protestantisme, les quelques rares catholiques encore présents sur place décident de garder leur église qui était l'actuelle église protestante. Avec ce bras de fer, les protestants iront au culte à Andlau. Vers 1600, chassés des églises d'Andlau, ils organisent le culte dans l'église de Mittelbergheim. Une époque floue aboutit en 1695 à un compromis imaginé par Louvois, ministre de Louis XIV pour « les Français de l'extérieur » : le simultanéum, convention religieuse ordonnant aux protestants d'accueillir les catholiques dans leur église. À Mittelbergheim, le chœur leur fut réservé. Cette cohabitation tendue prit fin deux siècles plus tard.

    Église protestante
    Église protestante.

    L'église protestante a probablement été construite à l'emplacement d'une ancienne chapelle consacrée à Saint-Étienne dont l'origine remonte à l'année 1180. Cette chapelle du XIe siècle comportait une crypte d'on a extrait des pierres permettant d'élever une petite église. L'église romane de la fin du XIIe siècle fut construite avec des pierres provenant de la carrière du Stein. À cette époque la tour comporte deux niveaux et la nef primitive mesure 8 mètres de large sur 20 mètres de long. Un cimetière entoure l'église. À partir du XIIIe siècle la nef est allongée à 17 mètres et la tour est rehaussée d'un niveau. Au XIVe siècle la nef est élargie à 11 mètres et une sacristie est construite. La chapelle est réaménagée dès le XVe siècle et surélevée d'un niveau. Au XVIe siècle la réforme luthérienne est introduite à Mittelbergheim. En 1614 plusieurs transformations ont lieu : les fenêtres romanes sont remplacées par de grandes baies de style gothique. La tour est rehaussée d'un cinquième niveau, avec un toit à quatre pans en pointe. Un escalier extérieur est aménagée pour permettre d'accéder à la tribune. Avec la mise en place du simultaneum, l'ancienne chapelle est transformée en chœur pour les catholiques. Le plafond et la voûte de la crypte sont démolis. En 1752, le clocher est détruit par un incendie provoqué par la foudre. Un deuxième incendie déclenché par la foudre en 1803 détruit à nouveau la flèche du clocher. Une nouvelle restauration s'impose. La hauteur totale du clocher passe à 35 mètres avec une flèche effilée. Vers 1852, le cimetière qui se trouvait à côté de l'église est transféré. En 1860 l'église est pourvue d'un nouvel orgue Stiehr et Mockers et en 1861 une nouvelle horloge mécanique à trois cadrans est ajoutée. Vers 1894, avec la construction de la nouvelle église catholique, le simultaneum prend fin. En 2000 une nouvelle cloche est installée.

    • Fresque du XVe siècle (église protestante)
    Pressoir de la cour dimière

    (Situé 27 rue Principale) Au XVIe siècle, le village comptait plusieurs dizaines de pressoirs en bois. Les deux plus importants pressoirs étaient situés dans la cour dimière. L'un des pressoirs daté de 1727, est l'un des huit rescapés de l'époque médiévale qui fonctionna jusqu'en 1952. Il remplaça un ancien pressoir construit en 1571. L'usure de la vis en bois et l'humidité de l'ensemble obligeait la communauté à les restaurer périodiquement. Des réparations furent entreprises au cours des XVIIIe et XIXe siècle. Pour des raisons de coût, seul l'imposant linteau et les piliers étaient en chêne massif, permettant de résister à de fortes pressions en mobilisant du personnel. La cour dimière appartenait aux seigneurs Maximilien et Frédéric Ziegler jusqu'en 1562 et faisait plus tard partie du bailliage de Barr. C'est grâce à la famille Adam, propriétaire du pressoir et à la famille Jean Rohrer pour l'emplacement que la commune de Mittelbergheim a pu mettre en valeur cet élément important du patrimoine local[Note 4].

    Moulin à huile du XVIIIe siècle

    Ce moulin à huile, en grande partie du XVIIIe siècle, est dans un état de conservation remarquable. Il est l'un des rares en Alsace à n'avoir subi aucune dégradation. En 1991, Paul Gerling, propriétaire de la ferme où est entreposé le moulin, fit don à la commune de Mittelbergheim du moulin à huile qui se trouvait dans sa cour. L'équipement se compose d'une meule dormante horizontale d'un diamètre de 2,14 m, d'une meule en grès d'une épaisseur de 38 cm et d'un poids de trois tonnes. Le moulin est également muni d'une meule volante verticale d'un diamètre de 1,45 m, d'une épaisseur de 38 cm et d'un poids de 1 380 kg. La presse en chêne d'une seule pièce supporte trois vérins. L'ensemble mesure 1,60 m en hauteur et 2,75 m de large. Un fourneau à bois composé de briques est équipé d'une plaque servant à tempérer la matière broyée avant de la passer sous la presse. Un broyeur est utilisé pour concasser certaines plantes oléagineuses avant leur passage sous les meules. L'ensemble, dont tout le mécanisme est en bois, est actionnée par un système de roues dentées et d'axes de transmission. Le mécanisme était entraîné par un cheval.

    Hôtel de ville (1620)
    Pierre tombale de moine (fin du XIIe siècle).

    Cet hôtel de ville de style Renaissance présente un plan presque carré. L'escalier extérieur mène à une loggia, coiffée d'un toit à bulbe, servant probablement aux cérémonies publiques (...)

    Pierre tombale (fin du XIIe siècle)

    Située 2 rue du Rotland, cette dalle funéraire provient d'un édifice aujourd'hui disparu des environs de Mittelbergheim. Elle ne comporte aucune inscription et représente un religieux en vêtements sacerdotaux, qui est peut-être le chanoine Conrad, fondateur du prieuré d'Ittenwiller à Saint-Pierre.

    Maisons de la Renaissance

    C'est entre 1540 et 1630[Note 5] que l'essentiel du village aux maisons de pierre tel qu'il se présente aujourd'hui, a été construit dans le style des maisons rurales de l'époque de la Renaissance allemande. En une centaine d'années, la quasi-totalité des petites maisons médiévales ont été remplacées par de grandes maisons en pierre. La disponibilité des matériaux a permis cette mutation rapide de l'architecture. Présente dans le sous-sol calcaire, la « grande oolithe » du Jurassique, qui se délite en plaques dures, est un excellent matériau de construction. La pierre extraite sert à édifier la maison et l'excavation devient cave à vin. Cinq carrières autour du village permettent de rajouter des étages et des dépendances. Au lieu-dit Ziegelscheuer, le tuilier fabrique les tuiles. Hautes, avec un ou deux étages d'habitation et deux ou trois étages de greniers, les maisons sont ouvertes sur l'extérieur par de nombreuses fenêtres, tant en pignon sur rue qu'en façade sur cour. Une maison classée présente un pignon à redans (en marches d'escalier). Le village de Mittelbergheim est unique en Alsace par le nombre de maisons de cette époque encore debout (80 en tout) et leur bon état de conservation.

    • Maison du XVIe siècle.
    • Puits du XVIe siècle.
    • Pressoir animé. Situé au 7 rue de l'École. Il est constitué d'automates de Rudy Klein mettant en scène les activités viticoles d'antan.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Mittelbergheim se blasonnent ainsi :
    « D'argent à la montagne de trois coupeaux de sinople. »[24].

    Culture populaire

    Cinéma

    C'est dans cette commune que s'est déroulé en 1974 le tournage du film « Les Vacanciers » de Michel Gérard, avec Alice Sapritch, Paul Préboist, Michel Galabru et d'autres.

    Littérature

    Le poète Czeslaw Milosz, prix Nobel de littérature 1980 a séjourné [25] en 1951 dans ce village qui l'a aidé à retrouver sa sérénité[26]. Il lui a consacré un poème[27] qu'on peut lire à la page 24 d'Enfant d'Europe (Editions L'Age d'Homme, 1980). Depuis 2002 ce poème est affiché dans l’allée qui mène au vieux moulin à huile, datant du XVIIIe siècle ; lors de la remise du prix Nobel à Czesław Milosz, il est le seul de ses poèmes qui ait été interprété à Oslo[28]. Sur la place Fauth a été apposée une plaque commémorative, offerte en par l’ambassadrice Ursula Gacek, représentante permanente de la République de Pologne auprès du Conseil de l’Europe[29]. On y lit ces mots en polonais et en français :

    « Je suis la voix d’une autre Europe (…) Malgré les divisions du passé nous avons tous beaucoup de choses en commun (…) C’est pourquoi j’ai senti que j’avais le droit de penser que l’Europe était ma patrie. »

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Annette Saemann, Mini-guides des châteaux d’Alsace, Strasbourg, Centre d’étude des châteaux-forts, 16 p.
      Châteaux, et manoirs de Mittelbergheim (2010)
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4)
      Mittelbergheim, p. 761
    • Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 663 p. (ISBN 2-7165-0250-1)
      Mittelbergheim, p. 229

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Née en 841, elle devient la première abbesse du couvent d'Andlau. Elle a été canonisée en 1049 par la pape Léon IX.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    4. D'après les explications données par les fiches historiques visibles dans le village
    5. D'après un texte de Christiane Boeckel et les Amis de Mittelberghem

    Références

    1. https://www.habitants.fr/bas-rhin-67
    2. https://www.panoramio.com/photo_explorer#view=photo&position=302&with_photo_id=88859251&order=date_desc&user=6260940
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 d'Andlau », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Liber vagatorum, 1862
    14. « Liquidation totale chez Seltz - France 3 Alsace » (consulté le ).
    15. « A  la une - Mittelbergheim : Seltz en liquidation - e-alsace », sur www.e-alsace.net (consulté le ).
    16. « A  la une - Mittelbergheim : du mobilier intelligent - e-alsace », sur www.e-alsace.net (consulté le ).
    17. Décret n ° 2014-185 du ministère de l'Intérieur sur la réorganisation des cantons du département du Bas-Rhin
    18. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
    19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    25. Cahiers Lituaniens n°12, p. 27, Czesław Miłosz et Mittelbergheim : le poète, le sage et les tentations du diable, par Andrzej Franaszek.
    26. Cahiers lituaniens n° 12 p. 25
    27. Aujourd’hui consul général de la République de Pologne à New-York
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