Méry-sur-Marne

Méry-sur-Marne est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Méry.

Méry-sur-Marne

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Isabel Frade
2020-2026
Code postal 77730
Code commune 77290
Démographie
Gentilé Mérycards
Population
municipale
668 hab. (2018 )
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 57′ 52″ nord, 3° 12′ 03″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 196 m
Superficie 5,79 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saâcy-sur-Marne
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-sous-Jouarre
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Méry-sur-Marne
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Méry-sur-Marne
Géolocalisation sur la carte : France
Méry-sur-Marne
Géolocalisation sur la carte : France
Méry-sur-Marne
Liens
Site web mery-sur-marne.fr

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé dans une boucle de la Marne (rive droite) face à Saâcy-sur-Marne sur l'autre rive, à km à l'ouest de Luzancy et km de La Ferté-sous-Jouarre.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 52 mètres à 196 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 80 mètres d'altitude (mairie)[2].

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Méry-sur-Marne.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    • la rivière la Marne, longue de 514,26 km[3], principal affluent de la Seine, ainsi que :
      • un bras de 0,39 km[4] ;
      • le ru Philippe, long de 3,91 km[5], affluent de la Marne.

    Le ru de Courcelles[Note 1] se jette dans la Marne.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 2,58 km[6].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,8 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,3 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 729 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -4,8 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 1,9 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[9]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 55 km à vol d'oiseau[10], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[11] à 11,6 °C pour 1991-2020[12].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[14],[Carte 1] :

    • les « Boucles de la Marne », d'une superficie de 2 641 ha, un lieu refuge pour une population d’Œdicnèmes criards d’importance régionale qui subsiste malgré la détérioration des milieux[15],[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Méry-sur-Marne comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[17],[Carte 2], le « plan d'eau de Méry-sur-Marne » (98,74 ha)[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Méry-sur-Marne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saâcy-sur-Marne, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[22] et 4 703 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 101 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés[27] dont Courcelles sous Méry, le Limon.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (43,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,3% ), terres arables (29,7% ), zones urbanisées (12,4% ), prairies (7,3% ), eaux continentales[Note 7] (5,1% ), zones agricoles hétérogènes (2% ), cultures permanentes (0,1 %)[28].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[29],[30],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[31]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 325 dont 96,6 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 2,8 % d'appartements[Note 8].

    Parmi ces logements, 78,2 % étaient des résidences principales, 8,8 % des résidences secondaires et 13 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 90,9 % contre 6,3 % de locataires et 2,8 % logés gratuitement[32].

    Transports

    La commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau Transdev :

    • No 31 (La Ferté-sous-Jouarre - La Ferté-sous-Jouarre)[33] ;
    • No 32 (Saacy-sur-Marne - La Ferté-sous-Jouarre)[34] ;
    • No 32S (Bassevelle - La Ferté-sous-Jouarre)[35].

    Toponymie

    Méry en 1793 et en 1801[36].

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa que dicitur Mery vers 1135[37],[38],[39] ; Meri en 1151[40],[39],[41] ; Meri au XIIIe siècle[42],[39],[41].

    L'étymologie possible de Méry-sur-Marne est un nom qui se serait formé à partir du nom de personne romaine Marius plus le suffixe gallo-romain -acum, d'où « le lieu de Marius ».

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 2008 Michel Delaitre    
    2008 2010 Bernard Desferet    
    2010 2014 Michel Delaitre    
    2014 2020 Jean-Pierre Clément    
    2020   Isabel Frade[43]   Gestionnaire locative[44]

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [45],[46].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Méry-sur-Marne est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [47],[48],[49].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[50]. La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[47],[51].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [47],[52].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Méricards[53].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].

    En 2018, la commune comptait 668 habitants[Note 9], en augmentation de 3,41 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    443406415467474468433517418
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    340350321300300281273296261
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    273244265246284260244242313
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    286363374378492483581594607
    2013 2018 - - - - - - -
    646668-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 263, représentant 662 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 780 euros[57].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 74, occupant 310 actifs résidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69,9 % contre un taux de chômage de 7,5 %.

    Les 22,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,5 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,3 % de retraités ou préretraités et 6,8 % pour les autres inactifs[58].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 15 dont 3 dans la construction, 3 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’information et communication, 2 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, et action sociale et 6 étaient relatifs aux autres activités de services[59].

    En 2019, 15 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 14 individuelles.

    Agriculture

    Méry-sur-Marne est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[60].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[61]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 2 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 106 ha en 1988 à 92 ha en 2010[60]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Méry-sur-Marne, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Méry-sur-Marne entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[60],[Note 11]
    Nombre d’exploitations (u) 2 0 1
    Travail (UTA) 3 0 1
    Surface agricole utilisée (ha) 212 0 92
    Cultures[62]
    Terres labourables (ha) s 0 s
    Céréales (ha) s s
    dont blé tendre (ha) s s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) s s
    Élevage[60]
    Cheptel (UGBTA[Note 12]) 20 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Rémy.

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    écartelé : au 1) et au 4) bandé d’or et de gueules, au 2) et au 3) palé d’argent et de sable, au chef de gueules ; sur le tout d’azur au chevron d’argent chargé de cinq mouchetures d’hermine de sable, accompagné de trois demi vols aussi d’argent.
    Détails
    Ces armes sont à l'origine celle de la famille Lechassier de Mery de Montferrand (1 et 4 Méry, 2 et 3 Montferrand sur le tout de Lechassier)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Non référencé par SIGES.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    10. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    11. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    12. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de Méry-sur-Marne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Zones ZNIEFF de Méry-sur-Marne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Méry-sur-Marne - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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