Liste des familles nobles d'Auvergne

La liste des familles nobles d'Auvergne comprend les principales familles nobles originaires ou possessionnées dans la province d'Auvergne et du Velay.

Dénombrement

Les premières listes de la noblesse d'Auvergne sont celles des convocations aux séances aux États et aux bans et arrière-bans, en particulier les « monstres » (les revues) de gens de guerre mobilisées, comme celle faite à Saint-Affrique. en 1387 pour Bernard d'Armagnac, comme comte de Rodez et aussi de Carlat, qui comporte 248 noms (dont un bonne moitié de Rouergats)[1], avec des noms représentés plusieurs fois, et des familles absentes faute de représentants en âge de porter les armes.

Les recherches de faux nobles faites entre 1653 et 1727 et les anoblissements et confirmations entre 1643 et 1771 ont été publiées par Louis de Ribier ainsi que les différends fonds de preuves de noblesse pour l'école militaire, les pages, l'institution Saint-Louis de Saint-Cyr, les chapitres nobles.

Le dernier recensement est la convocation à l'assemblée primaire de la noblesse du Rouergue en 1789. La liste qui comporte environ 250 familles a été publiée par Régis Valette dans son Catalogue de la noblesse. Comme les listes précédentes, elle omet certaines familles d'Auvergne séjournant dans une autre province (comme celle de Noailles en Rouergue), et comporte des familles d'autres provinces.

On trouvera certains blasons dans l'armorial des familles d'Auvergne.

Sommaire :	Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

A

des Aix de Veygoux et - de Rochegude[2]
d'Albiat[2]
d'Aldebert de Seveyrac[2]
d'Anglars (de la Garde, de Bassignac)[2] (Haute-Auvergne)
d'Anterroches[2], d'extraction chevaleresque (Haute-Auvergne)
d'Antil de Ligondès[2]
d'Apchon puis de Saint-Germain d'Apchon[2] (Haute-Auvergne) famille attestée avant le XII^e siècle, rivalisait alors avec les Beaufort pour être la première de Haute-Auvergne (condamnée lors des Grands jours d'Auvergne)
d'Armagnac famille attestée avant le XII^e siècle, originaire d'Aquitaine, implantée en Auvergne à la restauration
Arragonès d'Orcet[2]
d'Aurelle de Colombines[2] (Haute-Auvergne)
d'Aurillac[3] (Haute-Auvergne)
d'Austressal
Autier de Villemontée[2]
d'Auvergne famille attestée avant le XII^e siècle

B

de Baffie (Ambert, Baffie, Viverols, ...)
de Balzac d'Entraigues/d'Entragues
de Bar de la Garde[2]
Bardet de Burc[4]
de Bayle[2]
de Beauclair (Haute-Auvergne)[4]
de Beaufort. Disputait aux comtours d'Apchon le titre de première famille de Haute-Auvergne
de Bégon de Larouzière
de Benoît de Fontenille[2]
de Béral de Massebeau (Haute-Auvergne)[4]
Bérard de Chazelles[2]
Bertrand, de Gironde
Beus ou Beuf dit du Crozet (Sauvessanges, Viverols)
Beynaguet de Pennautier[4]
Blau de Gibertès[2]
Blot de Chauvigny
de Boismontbrun (de Bostmembrun)
de Boisset de La Salle (Carladès)
de Boisset de Torsiac
de Boissieux[2] (Haute-Auvergne)
de Boissieux (verriers)[5]
de Bonnevie de Pogniat[2]
de Bonafos de Bélinay et - de La Mothe (Haute-Auvergne)
Bony de Lavergne (Haute-Auvergne)
de Bostfranchet ou Beaufranchet (Saillant)
de Bosredon[2]
de Bouillé du Charriol[2]
de Bourbon-Malauze[3] (famille condamnée lors des Grands jours)
de Brezons[3], comtours, famille attestée avant le XII^e siècle
de Brioude[3], famille attestée avant le XII^e siècle
de Brugier de Rochebrune[2]
Brugière de Barante (Empire)[2]
de Brun (verriers)[5]

C

de Cabanes Comblat[2](Carladez)
de Cabrière (Cabrières)
de Cadilhac (Carladez)
de Caissac[2]
Calemard (Viverols, Saillant, etc.)
Cambefort[2]
Capelle de Clavières[6]
de Cardaillac, baillis de Carlat, vicomtes de Murat, seigneurs de Saint-Cernin[7] (famille attestée avant le XII^e siècle, originaire du Quercy)
de Carlat (famille attestée avant le XII^e siècle, originaire de Millau)
de Cassagnes de Beaufort[8] (Carladez)
de Cère (Carladès)
de Chabrol[2]
de Chabannes de Curton (Haute-Auvergne) et - de La Palice[2]
de Chalambel (restauration)[2]
de Chalus[2]
Chalvet de Rochemonteix[2] (Haute-Auvergne)
de Chantal
de Chapteuil[3], famille attestée avant le X^e siècle
de Chapt de Rastinhac (Carladez)
Chapel de La Pachevie[2]
de Chaunac-Lanzac et de Chaunac de Montlauzis (Carladez) (assemblée primaire) [9]
Chardon du Ranquet[2]
Charrier de Fléchac[2]
de Chaudesaygues de Tarrieux[2] (Haute-Auvergne)
de Chaumeil (Haute-Auvergne)
de Chavagnac[10]
de Chazette de Bargues[2]
de Chazelles-Lunac, de Chazelles, maintenue noble en 1666, baron d'Empire en 1811[11], issu de la famille de Chazel (de Nîmes) qui prend le nom de Chazelles et se fait agréger à la famille Chazelle de Saint-Flour par un arrêt du 24 avril 1784[12].
de Claviers, comtours, famille attestée avant le XII^e siècle
Coffinhal du Noyer (Empire)[2] (Carladès)
de Coisse (Arlanc)
de Colomb du Theil (verriers)[5]
Collinet de Niossel[13] (Haute-Auvergne)
de Conquans de Lacam (Carladez)[2]
Constant (seigneur du Bouchet, Vertolaye)
de Cordeboeuf de Beauverger de Montgon[2]
de Corn d'Ampare[9]
Cornaro de Curton[13]^,[14] (Haute-Auvergne)
de Corneillan[9]
de Cosperec de Langonnet [9]
de Courtihes de Giat[2]
de Cousin de La Tour-Fondue[2]
del Crest[3]
du Crozet de Bellestat et - de Cumignat[2]

D

Dacbert de Bosredon
Dalmas[3], famille attestée avant le XI^e siècle
Dalmas d'Aubières[2]
Delapchier du Chassin (noblesse de robe)[15]
Delolm de Lalaubie (Restauration)[2] (Haute-Auvergne)
Delzons (noblesse d'Empire)[2] (Haute-Auvergne)
de Dienne (de Saint-Eustache)[2] (Haute-Auvergne), comtours, famille attestée avant le XII^e siècle
de Douhet d'Auzers[2] (Haute-Auvergne)
Delpuech ou du Puy de Dienne et - de Cheylade[16]^,[13] et - de Chavagnac[2] (Haute-Auvergne), comtours, famille attestée avant le XII^e siècle
Delpuech-Delperrié (de Montbrison)[17]
Delpech de Montereau[18]
Dubois de Saint-Étienne[2]
Dupont de Ligonnès; d'extraction chevaleresque[19]

E

d'Escaffre (Carladez)
d'Espinschal[2] (Haute-Auvergne)(famille condamnée lors des Grands jours)
d'Estaing[2]
d'Estang (Vigneroux) (Haute-Auvergne)

F

Falcon de Longevialle[2] (Haute-Auvergne)
de Falvard[20] (Haute-Auvergne)
du Fayet de la Tour[2] (Haute-Auvergne)
de Felzins de Montmurat[21]
de Feydin (Feydin/Feydit) [22]
de Filiquier (verriers)[13]^,[5], (Haute-Auvergne)
de Fontanges[2] (Haute-Auvergne)
de Fortet (Haute-Auvergne)
de Frédeville
de Frétat

G

de Gaches de Venzac et de Belmont[23] (Carladez)
de Gageyron ou Gageron (Viverols, Craponne, famille noble depuis 1403)
de Gain de Montagnac[2]
de Gausserand (Carladès)
de Gayffier
de Gilbertès (cf. Blau)
Gilet d'Auriac[2]
de Giou de Mamou (Haute-Auvergne), comtours
de Gironde
Famille Giraud des Écherolles
Famille Girot de Langlade
de Glandières de Balsac
Greil de Volpilhère et - de Messilhac[2] (Carladez)
Green de Saint-Marsault (Haute-Auvergne)
de Grenier (verriers)[5]
de Guirard de Montarnal[24] (Carladez)
de Giat

H

Higonnet (noblesse d'Empire)[2] (Carladès)
d'Humières[2] (extraction) (Carladès)

I

de Issard : voir Yssard
des Issards
Izarn : voir Yzarn.

J

Jurien de La Gravière (Restauration)

L

de Lacarrière et - de Comblat et - de La Tour[2] (Carladès)
de La Chassaigne de Sereys[2]
de La Garde de Chambonas (Carladès)
de La Garde de Saignes (Haute-Auvergne)
de Laplanche de Fontenille (Bellenaves)-(Pays du Bourbonnais)
Laporte d'Entraigues (Artense), milieu du XV^e siècle
de Langeac[2]
de Larochelambert[2]
de La Rochette de Rochegude[2]
de La Rocque de Sévérac (Carladès)
de La Roque-Montal (Haute-Auvergne)
de La Salle de la Barrière (Haute-Auvergne)
de La Salle du Doux et - de Rochemaure (Haute-Auvergne)
de Lastic et - Saint-Jal[2] (Haute-Auvergne)
de La Tour, famille attestée avant le XII^e siècle
de La Tour de La Borie[2]
de La Tour de La Placette devenue de La Tour d'Auvergne
de la Vaissière de Lavergne[25] (Haute-Auvergne)
de Lavalette-Cornusson[26] (Haute-Auvergne)
de Lapanouse de Viescamp[27] (Haute-Auvergne)
Le Groing[2]
de Lentilhac
de Léotoing et - de Léotoing d'Anjony (Haute-Auvergne)
de Ligonye de Rangouse[2] (Haute-Auvergne)
du Ligondès[2] (Haute-Auvergne)
de Loubens de Verdalle (restauration)[2]

M

Maffre[23] (Carladès)
Manhès (noblesse d'Empire)
de Méallet et - de Fargues[2] (Haute-Auvergne)
de Mercœur[3], famille attestée avant le XII^e siècle
de Messac[16] (Haute-Auvergne)
de Métivier de Vals[2] (Haute-Auvergne)
de Meymont
de Molen de La Vernède
de Molette de Morangiès[2]
de Montagnac[2]
de Montal de Laroquebrou (Haute-Auvergne), famille attestée avant le XII^e siècle
de Montamat (Carladez)
de Montboissier et de Montboissier-Beaufort Canillac[2] (Haute-Auvergne), comtours, famille attestée avant le XII^e siècle, (famille condamnée lors des Grands jours)
de Montcelard ou Montcelar (Eglisolles)
de Montclar[2] (Haute-Auvergne)
de Montjou (Carladez) (Carladès)
de Montgolfier
de Montmorin-Saint-Hérem[2]
de Montheils (de Marcilhac, de Ladinhac)[28] (Carladez)
de Montravel (Beurrières)
de Montrognon de Salvert[2]
de Montvalat[23] (Carladez)
de Morel de La Colombe et - de La Chapelle d'Apchier[2]
de Moret de Montarnal[29] (Carladez)
du Motier de La Fayette[2]
de Murat (vicomtes) (Haute-Auvergne)
de Murat-Sistrières : cf. Sistrières
de Murat de Vernines

N

de Nerestang
de Noailles (Haute-Auvergne)
de Nonette[3] (Haute-Auvergne) famille attestée avant le XII^e siècle, (famille excommuniée, fonde Saint-Flour)
de Nozières-Montal (Haute-Auvergne)

0

Ollier
Olivier dit Calard ou Calhard (Viverols, seigneur de Fraissonnet puis de La Faye à Olmet)

P

Pagès des Huttes et - de Vixouze (Carladès)[14]
de La Panouse (voir : La)
de Passefons de Carbonat[14] (Haute-Auvergne)
du Pastural (Grandrif)
de Pélamourgues (Carladès)[2]
Pélissier de Féligonde[2]
du Pescher (Grandrif)
de Pestels[2] (Haute-Auvergne) (un membre de cette famille condamnée lors des Grands jours)
de Peyronnenc de Saint-Chamarand[2] (Haute-Auvergne)
de Peyrusse des Cars[23] (Haute-Auvergne)
de Peyre ou de Pierre de Pierrefort (Haute-Auvergne)
de Polignac[3], d'extraction chevaleresque : famille attestée avant le XII^e siècle
de Ponsonailles de Grizolles[30]
du Pouget de Nadaillac[9] (Carladez)
Potignat (Polignac changement à la révolution) (Haute-Auvergne)
du Prat, famille chevaleresque attestée depuis le XII^e siècle, devenue Pratt, écuyer (Basse-Auvergne, Mauriac).
de Puel de Parlan[23] (Haute-Auvergne)

Q

de Conquans (Carladez)[31]

R

de Raffin de la Raffinie[32] (Haute-Auvergne)
de Ribérolles[2]
de Ribier[2]
de Rigal[2] (Haute-Auvergne)
de Riolz (verriers)[5]
Robert de Lignerac[2] (Haute-Auvergne)
de Robert (verriers)[5]
de Rochefort d’Ally[2]
de Rochette de Lempdes[2]
Rochon du Verdier[33] (Velay), famille de baillis de Montboissier, annoblie par la reine Margot
de Rodez-Bénavent (Carladez), famille attestée avant le XII^e siècle
de Rogier ou de Rouzier (Haute-Auvergne)
de Roquemaurel[2]
de La Roue (Saint Anthème)
de Rieu (Carladès)

S

de Sablon du Corail, anobli en 1757 pour services militaires
de Saint-Martial de Conros[2] (Haute-Auvergne)
de Saint-Nectaire alias de Seneterre[2]
de Saint-Pol ou Saint-Paul[33], d'extraction chevaleresque
Salvaige de Lamargé[2] (Haute-Auvergne)
de Sampigny d'Effiat[2]
de Sarrazin[2]^,[33]
Sarret de Fabrègues et - de Saint-Cernin[2] (Haute-Auvergne)
de Sartiges[2] (Haute-Auvergne)
de Sauret d'Auliac[2]
de Scorailles[2], comtours, famille attestée avant le XII^e siècle
de Sedaiges et - de Vacheresse[2]
de Sévérac, d'extraction chevaleresque
de Sistrières-Murat[14] (Carladès)
de Solages[2]
de Soualhart de Fontallart[2]
de Suère (verriers)[5]

T

de Tassy de Montluc[2]
Teilhard ou Teillard : famille de magistrats originaire de Murat, quatre branches nobles (les branches ci-après sont demeurées bourgeoises : Teillard de Laterrisse, Teillard-Chambon, Teillard de Nozerolles) :
- a) Teilhard d'Auzelles et Beauvezeix, maintenue de noblesse du 20 décembre 1666[34].
- b) Teillard de Tissonnières, anoblissement par lettres patentes de mai 1751 de Louis XV[35].
- c) Teillard de Chabrier, anoblissement par lettres patentes du 22 juin 1816 de Louis XVIII[36], famille divisée depuis en trois rameaux : Teillard d'Eyry, Teilhard de Chardin, Teillard (de) Rancilhac de Chazelles (le nom Rancilhac de Chazelles relevé par décret du 27 janvier 1869[37]).
- d) Teillard de Beinac : famille créée chevalier de l'Empire par lettres patentes du 5 août 1809 de Napoléon[38].
Teyras de Grandval[2], anoblissement simple.
de Thélin, d'extraction chevaleresque, 1541, famille originaire d'Auvergne (Clermont-Ferrand), maintenue 1669 par la noblesse de Champagne par M. de Caumartin. Élevé au titre de comte par le duc de Guise, dans les fonctions du secrétaire de Claude de Lorraine et sénéchal de Champagne.
de Tournemire[2] (Haute-Auvergne) (famille dont un membre a été condamné à la décapitation et confiscation)
de Tourtoulon, olim de Tourtoulou (Haute-Auvergne), simple extraction.
de Trémiolles (Grandrif)
de Turlande (Carladès), d'ancienne extraction, famille attestée avant le XI^e siècle, (famille de saint Robert)
de Trémeuges[2] (Haute-Auvergne), d'extraction chevaleresque.
de Turenne d'Aynac (d'Aubepeyre)[39], d'extraction chevaleresque, famille attestée avant le XII^e siècle, originaire du Limousin).

U

d'Ussel (Haute-Auvergne), famille attestée avant le XII^e siècle, rameau de celle de Limoges)

V

Vacher de Tournemine (Restauration)[2] (Haute-Auvergne)
de Vedel
de Vertamy (Eglisolles, Viverols, Usson-en Forez)
de Vertolaye
de Veyrac
de Veyre (Haute-Auvergne)
de Vigier d'Orcet (Haute-Auvergne)
Vimal[2]
de Vissaguet (Arlanc)
de Valaquier
de la Valette-Parisot[9] (famille du Rouergue)
de Verdier de Mandilhac (Carladez)
de Vic (Carladès) (rameau de la famille des comtes de Rodez)
de Vigouroux, famille d'ancienne extraction attestée au XIII^e siècle
de Vigouroux, olim de Lastic-Vigouroux, barons de Vigouroux[23], à ne pas confondre avec la famille de Vigouroux d'Arvieu (famille bourgeoise du Rouergue connue dès le XIII^e siècle et anoblie au XV^e siècle)

Y

d'Yzarn de Freissinet[23] (Carladès)

Notes et références

Jean-Justin Montlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés', 1849, p. 141
1789, Auvergne 7, Régis Valette, 1989, p. 231
Christian Lauranson-Rosaz, L'Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudan) du VIII^e au XI^e siècle, Le Puy, Cahiers de la Haute-Loire, 1987
Rietstap
Tristan Busser, Les gentilshommes verriers de la Haute-Auvergne du XVI^e au XIX^e siècle, 2008, Aurillac.
Catalogue des gentilshommes d'Auvergne. Procès-verbal de l'assemblée de l'Ordre de la noblesse réunie le 4 mars 1789
Le Baron de Gaujal place cette famille dans la liste des plus considérables du Rouergue. Marc-Antoine de Gaujal, Études historiques sur le Rouergue, Paris, Imprimerie administrative Paul Dupont, 1859, p. 139.
Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.553.
Langonnet Morbihan
comte Albert de Remacle (1868-1945), Dictionnaire généalogique : Familles d’Auvergne, 3 volumes, index, ARGHA, Chamalières, 1995, volume 1 (ISBN 2-9503286-5-2), notice « Chavagnac (de) » (pages 506-509).
E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, supplément, 1977, page 123.
Grands notables du Premier Empire, CNRS, 1979, page 17.
(assemblée primaire 1789)
Selon Régis Valette, ne figure pas dans la liste de l'assemblée primaire de la Noblesse d'Auvergne de 1789.
Famille de Chabot
Présents en 1387, à la revue des hommes d'armes du comte de Rodez, vicomte de Carlat
Maintenu le 2 juin 1701 par M. Lambert d'Herbigny, intendant de Lyon
Receveur des finances d'Auvergne
Seigneur de Pomeyrols en 1754. Famille originaire du moulin du pont de Mars sur la frontière entre le Vivarais et le Velay. R. de Saboulin Bolena, Liberté Égalité, Fraternité ou la mort, Mende, SLAL, 1988.
Seigneurs de Falvard, Leymery, Chalusset, Bomparant, Bogros, Châteaux-Pailloux, la Vareill, Montluc, etc. Bonne noblesse de la Basse-Auvergne, connue dès 1512. Convoquée à l'assemblée de la noblesse à Riom (1789). Armes : "D'argent, au chêne de sinople, glanté d'or et surmonté d'un corbeau de sable, à trois molettes de gueules, deux et une". Remacle, Dictionnaire des anciennes familles de l'Auvergne.
Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.60.
Jean Baptiste Bouillet, Nobiliaire d'Auvergne volume 2, Clermont Ferrand, de PEROL, 1847, 424 p. (lire en ligne), p 350
1789, Rouergue 43, Régis Valette, 1989, p.366
Jean, seigneur de Sénergues, Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.617.
Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, III Autres généralités p.72.
Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Millau et de Villefranche (1701) p.627.
Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, I Élections de Rodez (1701) p.405.
Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier
Le Baron de Gaujal place cette famille, dont un rameau a fait souche en Suisse, dans la liste des plus considérables du Rouergue. Marc-Antoine de Gaujal, Études historiques sur le Rouergue, Paris, Imprimerie administrative Paul Dupont, 1859, p. 27.
Chapitre noble de Blesle 1789.
1789, Quercy 42, Régis Valette, 1989, p.366
Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.423.
Ambroise Tardieu, Dictionnaire des anciennes familles d'Auvergne, Moulins, 1884
Louis de Ribier, Preuves de la noblesse d'Auvergne, t I, p. 455
A.D. du Cantal, fonds Comblat
Louis de Ribier, ibid., t VI, p. 70
Noms à caractère nobiliaire obtenus par décret de 1803 à 1956, p. 91
Louis de Ribier, ibid., t. VI, p. 68
Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.718.

Sources

Louis de La Roque, Édouard de Barthélémy, Catalogue des gentilshommes d'Auvergne et de Rouergue qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l'élection des députés aux États Généraux de 1789, Paris, Dentu, 1863.
Jean-Baptiste Rietstap, Liste des noms pour la Région Auvergne
Jean-Justin Montlezun, Revue des gens de guerre du Rouergue et du Carladez en 1387
Sartiges d'Angle, Notice historique sur les bans et arrière-bans d'Auvergne, 1864, « Rôles des gentilshommes d'Auvergne en 1503 » (ne comprend pas que des nobles)
Rôles des gentilshommes de Haute-Auvergne en 1533 - Ban et arrière ban
Régis Valette, Catalogue de la noblesse française : Catalogue provincial. De Louis XVI à la fin du XX^e siècle, Paris, Robert Laffont, 1989, 4^e éd., 409 p. (ISBN 2-221-05925-5)
Jean-Baptiste Bouillet, Nobiliaire d'Auvergne
Ambroise Tardieu, Dictionnaire des anciennes familles d'Auvergne, Moulins, Dérosiers, 1884 (réédition Jeanne Laffitte, 1976)
Armorial général d'Auvergne dressé par Charles d'Hozier, I (Élection de Riom), II (Élections de Saint-Flour)
Louis de Ribier, Preuves de la noblesse d'Auvergne, 6 parties en 4 volumes, 1° - Recherches générales de la noblesse d'Auvergne. 2° - Pages auvergnats dans les Écuries du Roi. II. 3° - Gentilshommes d'Auvergne admis dans les Écoles royales militaires . III. 4° - Demoiselles auvergnates admises dans la Maison de Saint-Cyr. 5° - Les anoblis et les confirmations de noblesse en Auvergne, 1643-1771. IV. 6° - Les anoblis de l'Empire et de la Restauration en Haute-Auvergne, 1808-1830. Paris, Honoré Champion 1907-1933 (Réimpression 1982)
Albert de Remacle, Dictionnaire généalogique des familles nobles et notables d'Auvergne, 3 volumes, index, ARGHA, Chamalières, 1995 (834 patronymes)
Albert de Remacle, Armorial des familles d'Auvergne, ARGHA, Chamalières, 1998
Tristan Busser, Les gentilshommes verriers de la Haute-Auvergne du XVI^e au XIX^e siècle, 2008, Aurillac.
Hervé Bernard, Noblesse chevaleresque d'Auvergne Gayffier : Gay compagnon - Fier chevalier, 2011, Biarritz.

Voir aussi

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Portail de l’Auvergne
Portail du royaume de France
Portail de la Noblesse française

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[1] Jean-Justin Montlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés', 1849, p. 141

[Régis_Valette_1989_p_231-2] 1789, Auvergne 7, Régis Valette, 1989, p. 231

[Christian_Laurenson-Rosaz_1987-3] Christian Lauranson-Rosaz, L'Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudan) du VIII^e au XI^e siècle, Le Puy, Cahiers de la Haute-Loire, 1987

[Rietstap-4] Rietstap

[Tristan_Russier_2008-5] Tristan Busser, Les gentilshommes verriers de la Haute-Auvergne du XVI^e au XIX^e siècle, 2008, Aurillac.

[6] Catalogue des gentilshommes d'Auvergne. Procès-verbal de l'assemblée de l'Ordre de la noblesse réunie le 4 mars 1789

[7] Le Baron de Gaujal place cette famille dans la liste des plus considérables du Rouergue. Marc-Antoine de Gaujal, Études historiques sur le Rouergue, Paris, Imprimerie administrative Paul Dupont, 1859, p. 139.

[8] Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.553.

[Régis_Valette_Quercy_p.363-9] Langonnet Morbihan

[10] te Albert de Remacle (1868-1945), Dictionnaire généalogique : Familles d’Auvergne, 3 volumes, index, ARGHA, Chamalières, 1995, volume 1 (ISBN 2-9503286-5-2), notice « Chavagnac (de) » (pages 506-509).

[11] E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, supplément, 1977, page 123.

[12] Grands notables du Premier Empire, CNRS, 1979, page 17.

[assemblée_1789-13] (assemblée primaire 1789)

[Valette-14] Selon Régis Valette, ne figure pas dans la liste de l'assemblée primaire de la Noblesse d'Auvergne de 1789.

[15] Famille de Chabot

[Présents_en_1387-16] Présents en 1387, à la revue des hommes d'armes du comte de Rodez, vicomte de Carlat

[17] Maintenu le 2 juin 1701 par M. Lambert d'Herbigny, intendant de Lyon

[18] Receveur des finances d'Auvergne

[19] Seigneur de Pomeyrols en 1754. Famille originaire du moulin du pont de Mars sur la frontière entre le Vivarais et le Velay. R. de Saboulin Bolena, Liberté Égalité, Fraternité ou la mort, Mende, SLAL, 1988.

[20] Seigneurs de Falvard, Leymery, Chalusset, Bomparant, Bogros, Châteaux-Pailloux, la Vareill, Montluc, etc. Bonne noblesse de la Basse-Auvergne, connue dès 1512. Convoquée à l'assemblée de la noblesse à Riom (1789). Armes : "D'argent, au chêne de sinople, glanté d'or et surmonté d'un corbeau de sable, à trois molettes de gueules, deux et une". Remacle, Dictionnaire des anciennes familles de l'Auvergne.

[21] Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.60.

[22] Jean Baptiste Bouillet, Nobiliaire d'Auvergne volume 2, Clermont Ferrand, de PEROL, 1847, 424 p. (lire en ligne), p 350

[Régis_Valette_Rouergue_p.366-23] 1789, Rouergue 43, Régis Valette, 1989, p.366

[24] Jean, seigneur de Sénergues, Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.617.

[25] Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, III Autres généralités p.72.

[26] Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Millau et de Villefranche (1701) p.627.

[27] Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, I Élections de Rodez (1701) p.405.

[28] Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier

[29] Le Baron de Gaujal place cette famille, dont un rameau a fait souche en Suisse, dans la liste des plus considérables du Rouergue. Marc-Antoine de Gaujal, Études historiques sur le Rouergue, Paris, Imprimerie administrative Paul Dupont, 1859, p. 27.

[30] Chapitre noble de Blesle 1789.

[31] 1789, Quercy 42, Régis Valette, 1989, p.366

[32] Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.423.

[:0-33] Ambroise Tardieu, Dictionnaire des anciennes familles d'Auvergne, Moulins, 1884

[34] Louis de Ribier, Preuves de la noblesse d'Auvergne, t I, p. 455

[35] A.D. du Cantal, fonds Comblat

[36] Louis de Ribier, ibid., t VI, p. 70

[37] Noms à caractère nobiliaire obtenus par décret de 1803 à 1956, p. 91

[38] Louis de Ribier, ibid., t. VI, p. 68

[39] Armorial général du Rouergue de Charles d'Hozier, Pierre Hocquellet, 2009, II Élections de Villefranche et de Millau (1701) p.718.