Levroux (commune déléguée)

Levroux est une ancienne commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Levroux
commune déléguée

La maison de bois et la collégiale Saint-Sylvain en 2010.

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Levroux
Statut Commune déléguée
Maire délégué Alain Fried
2016-2020
Code postal 36110
Code commune 36P01
Démographie
Gentilé Levrousains
Population 2 752 hab. (2016)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 58′ 41″ nord, 1° 36′ 49″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 190 m
Superficie 56,43 km2
Élections
Départementales Levroux
(chef-lieu)
Historique
Date de fusion
Commune(s) d'intégration Levroux
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Levroux
commune déléguée
Géolocalisation sur la carte : Indre
Levroux
commune déléguée
Géolocalisation sur la carte : France
Levroux
commune déléguée
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Levroux
commune déléguée

    Le , elle devient une commune déléguée à l'issue de la fusion avec sa voisine Saint-Martin-de-Lamps, au sein de la commune nouvelle de Levroux[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le nord[2] du département, dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.

    Les communes limitrophes[2] et chefs-lieux[2] sont : Moulins-sur-Céphons (km), Bretagne (km), Francillon (km), Bouges-le-Château (km), Villegongis (km), Brion (km), Vineuil (km), Châteauroux (20 km), Issoudun (29 km), La Châtre (52 km) et Le Blanc (57 km).

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux[3] et lieux-dits[3] de la commune sont : la Boutelaie, les Boiseries, la Maison Blanche, la Gaité, le Méez et Bellevue.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[4].

    Hydrographie

    Climat

    Le mercredi vers 19 h, une tornade[5] a provoqué de gros dégâts (toiture arrachées, vitres brisées, arbres emportés) dans la commune.

    Voies de communication et transports

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux à 20 km.

    La commune est desservie par les lignes A et S du réseau L'Aile Bleue[6].

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre à 18 km.

    Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de Valençay.

    Réseau électrique

    La commune possède un poste source[7] sur son territoire.

    Urbanisme

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[8] de la commune :

    Date du relevé 2013
    Nombre total de logements 1 609
    Résidences principales 80,8 %
    Résidences secondaires 5,1 %
    Logements vacants 14,1 %
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 68,2 %

    Toponymie

    Pour suivre un décret de la Convention (An II), la commune avait changé de nom pour La Fontaine[9]. Au cours de la Révolution française, elle porta le nom de Richelaine.

    Ses habitants sont appelés les Levrousains[10].

    Histoire

    Antiquité

    Deux sites témoignent de l'occupation humaine aux époques celtique et gallo-romaine : la colline des Tours, oppidum celtique circulaire du Ier siècle av. J.-C., situé au nord de la ville, et le quartier des Arènes[11], au sud, où l'on a retrouvé les traces d'ateliers métallurgiques du IIe siècle av. J.-C. et d' un théâtre gallo-romain[12].

    Moyen Âge

    Levroux succède à une agglomération gallo-romaine. Deux châteaux y sont construits : le premier au Xe siècle au milieu du bourg ; le second est mieux placé sur une colline ; avec les étangs et des fossés, il complète le dispositif défensif qui protège collégiale, granges, fours, pressoirs[13]. Le mur d’enceinte du bourg, symbole de ses privilèges communaux, ne faisait cependant que 60 cm d’épaisseur et m de haut[14].

    Familles seigneuriales[15]

    Comme Brion et Bouges, Levroux relève au départ des princes de Déols, fondateurs et seigneurs de Châteauroux, connus depuis le Xe siècle puis fondus dans les Chauvigny. André (II) de Chauvigny, fils cadet d'André Ier et Denise de Déols, reçoit Levroux de son frère aîné Guillaume Ier de Châteauroux en 1218. Sa descendante Blanche de Chauvigny, fille de Philippe Ier de Chauvigny-Levroux, apporte Levroux à son mari Guy II Le Bouteiller de Senlis seigneur d'Ermenonville[16] (branche cadette issue de Raoul Ier sire de Luzarches et d'Ermenonville, frère cadet des sires de Chantilly Guy V et Guillaume II Le Bouteiller de Senlis dans la première moitié du XIIIe siècle), et à leur fils Guy III de Senlis d'Ermenonville. La fille de Guy III, Blanche de Senlis, dame de Levroux, épouse en deuxièmes noces Imbaud du Peschin (famille bourbonnaise). Leur fils Louis du Peschin, sire de Levroux, épouse Iseult de Sully-Beaujeu, aussi descendante des Chauvigny-Châteauroux puisqu'elle était l'arrière-petite-fille de Guillaume III, seigneur de Châteauroux.

    Jacquette du Peschin, dame de Levroux, fille de Louis et d'Iseult de Sully, épouse Bertrand V de La Tour- Bertrand Ier comme comte d'Auvergne et de Boulogne[17],[Note 1], et leur arrière-petite-fille, la comtesse d'Auvergne Madeleine, épouse Laurent II de Médicis duc d'Urbino : ils sont les parents de la reine Catherine de Médicis, comtesse d'Auvergne et dame de Levroux. Catherine cède en 1581 sa baronnie de Levroux à Alphonsine Strozzi dame de Bressuire, petite-fille de son cousin germain le maréchal Piero Strozzi et femme de Scipione Fieschi (Scipion de Fiesque). Leur fils François de Fiesque (1586-1621) se marie avec Anne Le Veneur de Tillières[18], dame de Brion (lointaine descendante des Déols-Châteauroux, dont elle tenait Brion) ; leur fils Charles-Léon de Fiesque n'a lui-même qu'un fils, Jean-Louis-Marie de Fiesque, † sans postérité en 1708. Levroux passe alors à son cousin germain Alexandre-Charles de Bréauté (fils de Pierre de Bréauté et Marie de Fiesque, sœur de Charles-Léon), déjà seigneur de Brion, lui-même sans postérité.

    Levroux et Brion échoient alors à un petit-cousin d'Alexandre-Charles de Bréauté, Antoine-François marquis de Longaunay, né en 1664, gouverneur de Carentan, sans parenté avec les Déols-Châteauroux (il était le petit-fils de Suzanne de Bréauté, la sœur de Pierre de Bréauté et la belle-sœur de Marie de Fiesque). Les Longaunay de Dampierre gardent Brion et Levroux au long du XVIIIe siècle.

    De la fin du Moyen Âge à la Révolution

    La ville de Levroux est touchée par la crise démographique de l’élection d’Issoudun au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 421 feux en 1709 à 397 en 1726[19]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[20].

    XIXe et XXe siècles

    Levroux a été longtemps, avec Graulhet, l'un des centres français de la pelleterie, particulièrement du parchemin ; depuis le début du XXe siècle la production n'a cependant jamais cessé de décroître et le dernier artisan parcheminier a cessé son activité en 2004. La production est désormais exclusivement industrielle.

    En 1861, la commune de Saint-Phallier lui est rattachée.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 31 décembre 2015 Alain Fried[21],[22],[23] UDI[24] Chirurgien dentiste retraité
    Liste des maires délégués successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1er janvier 2016 En cours Alain Fried UDI Chirurgien dentiste retraité

    Instances judiciaires et administratives

    La commune dispose des services suivants :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2016, la commune comptait 2 752 habitants[Note 2], en diminution de 2,93 % par rapport à 2011 (Indre : −3,29 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 8002 6202 7192 9753 0583 1613 1663 3853 576
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 5293 8674 0144 1384 2774 0864 1374 2034 077
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 0934 1964 0323 4653 4103 3373 2543 2683 312
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 2293 1363 1333 1243 0452 9142 8392 8352 752
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune possède comme lieux d'enseignements[34] : une école maternelle publique (Joseph Pêcherat), une école primaire privée (Clairefontaine), une école élémentaire publique (Joseph Pêcherat) et un collège public (Condorcet). Les lycées publics de secteur[35] se trouvent à Châteauroux (lycée général Jean Giraudoux et lycée polyvalent Blaise Pascal).

    Équipement culturel

    • Musée du cuir et du parchemin : il retrace les différentes étapes de la production (sélection des peaux de chèvre, chevreau, agneau, qui sont ensuite plongées dans un bain de chaux et séchées à l'intérieur d'un cercle de bois) et expose des maquettes mettant en scène le parcheminier.

    Santé

    La commune possède un hôpital local[36].

    Sports

    • Tennis Association Levrousaine
    • Football Club Levrousain

    Médias

    La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

    Cultes

    Culte catholique

    La commune de Levroux dépend de l'archidiocèse de Bourges, du doyenné du Boischaut Nord[37] et de la paroisse de Levroux. Le lieu de culte est la collégiale Saint-Sylvain.

    Économie

    Le premier employeur de la commune est l'hôpital public[38].

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[39].

    La culture de la lentille verte du Berry[40] est présente dans la commune.

    L'activité de traitement des cuirs (mégisserie) d'implantation ancienne à Levroux a encore une certaine importance. Deux PME, Bodin-Joyeux (fondée en 1860, et rachetée en par Chanel) et Rousseau, emploient une centaine de personnes (deuxième secteur économique de la commune par le nombre d'emplois)[38]. Les cuirs sont destinés à la maroquinerie, l'industrie de l'habillement, la ganterie et les chaussures[38] et sont exportés à 60 %[38].

    Levroux, qui a donné son nom à des fromages réputés, garde du Moyen Âge une industrie originale, la fabrication du parchemin.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    • Collégiale Saint-Sylvain (XIIIe siècle) : on peut admirer le (probablement) plus ancien buffet d'orgue de France, abritant un instrument moderne mais d'esthétique et de composition XVIIe siècle de Jean-Loup Boisseau,  Classée MH (1840, classement par liste de 1840)[41],[42].
    • Monument aux morts[43] (1922) : il représente un « poilu » désarmé, la tête en appui sur sa paume et le regard tourné vers le sol, dans une attitude qui exprime toute une gamme de sentiments empreints de gravité. Le sculpteur Ernest Nivet, originaire de Levroux, s'est inspiré très visiblement pour cette œuvre du « Penseur de Rodin ».
    • Porte de Champagne : datant de 1435-1506, elle est proche de la collégiale Saint-Sylvain et les superbes ruines des tours de Levroux qui se dressent au-dessus de la ville depuis le Moyen Âge rappellent avec majesté l'empreinte féodale de la ville,  Classée MH (1944, Porte de Champagne)[44].
    • Berger couché : datant de 1930, le sculpteur Ernest Nivet (1871-1948) élève de Rodin, version monumentale en pierre de son berger couché sur le ventre de 1906, offert à la ville de Levroux par maître Bouillon et transféré sur la place de l'Hôtel-de-Ville en 1994,  Inscrite MH (2017, La statue « Le berger allongé » dite aussi « Le berger couché sur le ventre », avec son socle)[45].
    • Tours : vestige de l'ancien château,  Inscrite MH (1927, Château (vestiges))[46].
    • Maison de bois : maison en colombage datant du XVe siècle,  Inscrite MH (1922, Maison de bois à l'angle de la place et de la rue)[47].
    Les pèlerins avaient autrefois l'habitude d'y faire une halte.
    • Fontaine Sainte-Rodène.

    Labels et distinctions

    Levroux a obtenu au concours des villes et villages fleuris une fleur en 2013, 2014, 2015 et 2016[48].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Levroux
    Blason
    De gueules à la tour, flanquée de deux échauguettes, avec ses avant-murs mouvant des flancs, le tout d'argent ajouré hormis les avant-murs et maçonné de sable, les avant-murs ouverts du champ ; au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre Brunaud, Levroux et sa région, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 978-2-84910-485-9).
    • Bertrand Puard, Liberty Street, Nouveau Monde Éditions.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Bertrand V-Ier était le fils de Bertrand IV de La Tour et de la comtesse Marie, fille de Godefroy de Montgascon et petite-fille du comte Robert VII. Godefroy et Blanche Le Bouteiller de Senlis avaient été mariés, en troisièmes noces pour les deux, sans postérité.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

    Références

    1. « arrêté préfectoral portant création de a commune nouvelle de Levroux » (consulté en )
    2. Site de Lion 1906 : Indre, consulté le 10 septembre 2012.
    3. Site du Géoportail : Levroux, consulté le 15 décembre 2013.
    4. Site de la prévention du risque sismique : Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre, consulté le 30 juillet 2016.
    5. « Levroux : de lourds dégâts après la tempête », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, (lire en ligne).
    6. Site du conseil départemental de l'Indre : Les horaires de l’Aile Bleue, consulté le 7 mars 2016.
    7. « Un grand défi technique pour ERDF », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, .
    8. Site de l'Insee : Levroux, consulté le 6 septembre 2016.
    9. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, (lire en ligne).
    10. « Nom des habitants des communes françaises, Levroux », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
    11. Olivier Buchsenschutz, Anne Colin, Gérard Firmin, Brigitte Fischer, Jean-Paul Guillaumet, Sophie Krausz, Marc Levéry, Philippe Marinval, Laure Orellana, Alain Pierret, Le Village celtique des Arènes à Levroux. Synthèses, Levroux, FERAC - ADEL, 2000 = Revue archéologique du Centre de la France, supplément 19, 333 p. (ISBN 2-913272-04-5)
    12. Olivier Buchsenschutz, « L'Âge du fer à Levroux » (Indre), Dossiers d'archéologie, no 326, mars-avril 2008, p. 44-49.
    13. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 52.
    14. Berry médiéval, op. cit., p. 57.
    15. « Seigneurs de Levroux », Le Blog de Bernard du Berry
    16. « Le Bouteiller de Senlis, p. 7 et 8 », sur Racines & Histoire
    17. « Bertrand de La Tour comte d'Auvergne, p. 328 », sur Histoire généalogique de la Maison d'Auvergne, t. Ier, par Etienne Baluze, chez Antoine Dezallier à Paris, 1708
    18. « Le Veneur de Tillières, p. 6 », sur Racines & Histoire
    19. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 168.
    20. Zeller, op. cit., p. 145 et 153.
    21. Site du ministère de l'Intérieur : Résultats des élections municipales de 2001, consulté le 18 février 2013.
    22. Site du ministère de l'Intérieur : Résultats des élections municipales de 2008, consulté le 28 novembre 2009.
    23. [PDF] Site de la préfecture de l'Indre : Résultats des élections municipales de 2014, consulté le 28 avril 2014.
    24. Site de l'Union des démocrates et indépendants : Fédération d'Indre, consulté le 26 septembre 2016.
    25. Site de la préfecture de l'Indre : Direction Départementale des Finances Publiques, consulté le 25 août 2012.
    26. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
    27. Site de Berry Province, consulté le 5 février 2013.
    28. Site de Région de Gendarmerie du Centre : « Groupement de l'Indre »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), consulté le 23 août 2012.
    29. Site du conseil départemental de l'Indre : Avec le Département, des routes encore plus sûres !, consulté le 9 mars 2016.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
    34. Site de l'académie d'Orléans-Tours : « Coordonnées des établissements scolaires publics et privés sous contrat »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), consulté le 16 août 2012.
    35. Site de l'académie d'Orléans-Tours : Tableau des secteurs de recrutement collèges et lycées, consulté le 20 août 2012.
    36. Site hopital.fr : Hôpital local (Levroux), consulté le 24 août 2012.
    37. Site de l'archidiocèse de Bourges : Doyenné du Boischaut Nord « Copie archivée » (version du 7 décembre 2009 sur l'Internet Archive), consulté le 4 mai 2013.
    38. Bruno Mascle, « Bodin-Joyeux : la qualité dans la peau », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, , p. 9.
    39. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
    40. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Lentilles vertes du Berry, consulté le 11 novembre 2014.
    41. « Eglise Saint-Sylvain », notice no PA00097368, base Mérimée, ministère français de la Culture
    42. « Inventaire du mobilier de l'église », base Palissy, ministère français de la Culture
    43. Francesca Picou-Lacour et Lucien Lacour, Sur les pas d'Ernest Nivet dans l'Indre, Châteauroux, Les Amis d'Ernest Nivet, , 52 p..
    44. « Porte de Champagne », notice no PA00097370, base Mérimée, ministère français de la Culture
    45. « Statue Le berger allongé », notice no PA36000042, base Mérimée, ministère français de la Culture
    46. « Vestiges du château », notice no PA00097367, base Mérimée, ministère français de la Culture
    47. « Maison de bois, dite Maison Saint-Jacques », notice no PA00097369, base Mérimée, ministère français de la Culture
    48. Site des villes et villages fleuris : Toutes les communes fleuries, consulté le 22 décembre 2016.
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