Les Écrennes

Les Écrennes est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Les Écrennes

L'église Saint-Laurent.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux
Maire
Mandat
Gilles Nestel
2020-2026
Code postal 77820
Code commune 77165
Démographie
Gentilé Écrennois
Population
municipale
606 hab. (2018 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 00″ nord, 2° 51′ 00″ est
Superficie 18,50 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Les Écrennes
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Les Écrennes
Liens
Site web les-ecrennes.com

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à environ 16,5 kilomètres au sud- est de Melun[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont : Le Châtelet-en-Brie, La Chapelle-Gauthier, Fontenailles, Pamfou, Valence-en-Brie, Échouboulains par ordre décroissant de population en 2012 : respectivement : 4 401 h, 1484, 1064, 937, 896, 520.

    Communes limitrophes de Les Écrennes
    Le Châtelet-en-Brie La Chapelle-Gauthier Fontenailles
    Le Châtelet-en-Brie Fontenailles,
    Échouboulains
    Le Châtelet-en-Brie Pamfou - Valence-en-Brie Échouboulains

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier des Les Écrennes.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés :

    • le ru du Châtelet, long de 12,86 km[2], affluent de la Seine ;
      • le ruisseau des Grands Champs, 9,20 km[3], affluent du Châtelet ;
        • le fossé 01 de la Ferme la Gatellerie, 0,95 km[4], qui conflue avec le ruisseau des Grands Champs ;
      • le ru Guénin[Note 1], 5,39 km[5], et ;
      • le fossé 01 du Petit Noyer, 1,52 km[6], qui confluent avec le Châtelet ;
    • le fossé 01 de la Forêt Domaniale de Villefermoy, 2,95 km[7], qui conflue avec le ru de Villefermoy.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 11,12 km[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,8 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 734 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,7 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,6 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[13] à 11,6 °C pour 1991-2020[14].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[16],[Carte 2] : le « Massif de Villefermoy », d'une superficie de 4 790 ha, un site où entre 1976 et 1997, un minimum de 122 espèces d’oiseaux ont été répertoriées sur l’ensemble du massif forestier de Villefermoy, dont 93 qui ont niché au moins une fois durant la période 1990-1997, ce qui représente environ 60 % du peuplement avien régional[17],[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal des Écrennes comprend un ZNIEFF de type 2[Note 3],[19],[Carte 3], le « Massif de Villefermoy » (7 033,23 ha), couvrant 12 communes du département[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Les Écrennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 85 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés[26] dont le plus important est La Grande Commune.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,7% ), terres arables (34,8% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2% ), zones urbanisées (2,3 %)[27].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 6].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 257 dont 95,7 % de maisons et 3,5 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 90,1 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 8,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 86,3 % contre 11,2 % de locataires et 2,6 % logés gratuitement[31] -[Note 7].

    Transports

    La commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau Transdev :

    • No 41 (Melun – Montereau-Fault-Yonne)[32] ;
    • No 42 (Le Chatelet-en-Brie – Champagne-sur-Seine )[33].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Les Escreines en 1209[34] ; Ecclesia de Grenis en 1232[35] ; Parrochia de Escrannis en 124[36] ; Les Escrannes en 1384[37] ; Escraenes en Brie en 1385[38] ; Les Escranes en 1498[39] ; Le moulin des Ecrennes en 1618[40],[41].

    Pluriel de l'oïl escraine, écrienne « hutte, chaumière, lieu de la veillée »[42], écrennes ou escrennes désignaient en vieux français des masures ou même caves servant en général d'atelier[43], cabanes à fond excavé utilisées depuis l'époque mérovingienne et au cours du haut Moyen Âge pour le filage et le tissage de la laine[44].

    Homonymie avec Écrosnes (Eure-et-Loir) et Écriennes (Marne).

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 2003 Daniel Giraut    
    2003 septembre 2008 Jean-Claude Mareschal    
    3 octobre 2008 En cours Claude Géhin    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [45],[46].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune des Écrennes est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [47],[48],[49].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[50]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 juillet 2022[47],[51].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [47],[52].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[54].

    En 2018, la commune comptait 606 habitants[Note 8], en augmentation de 1,51 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    368280290281295379377364350
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    349328327294292279300293319
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    302290244251287276218215225
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    224222237381557638621618605
    2017 2018 - - - - - - -
    604606-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Événements

    Dernier week-end de septembre chaque année :

    • Samedi soir : feu d'artifice ;
    • Dimanche : vide grenier.

    Économie

    Agriculture

    Les Écrennes est dans la petite région agricole dénommée la « Brie humide » (ou Brie de Melun), une partie de la Brie à l'est de Melun[Carte 7]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[57].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[58]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 11 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 65 ha en 1988 à 79 ha en 2010[57]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles des Écrennes, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture aux Les Écrennes entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[57],[Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 11 10 7
    Travail (UTA) 17 8 7
    Surface agricole utilisée (ha) 713 793 556
    Cultures[59]
    Terres labourables (ha) 657 750 542
    Céréales (ha) 425 491 373
    dont blé tendre (ha) 268 322 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 73 58 49
    Tournesol (ha) 84
    Colza et navette (ha) 135 158 s
    Élevage[57]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 213 132 81

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Laurent du XIIe – XIIIe siècle[60].
    • Ferme de la Grande Commune.
    • Rendez-vous de chasse de la Loge des Prés

    Personnalités liées à la commune

    • [néant]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Nature en attente de mise à jour.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    7. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Les Écrennes, » sur Géoportail (consulté le 3 avril 2020)..
    2. « Sites Natura2000 des Écrennes » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    3. « Zones ZNIEFF des Écrennes » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    4. « Les Écrennes - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    6. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 3 avril 2020 ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Chatelet (F4750600) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Grands Champs (F4429800) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Ferme la Gatellerie (F4429840) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru Guénin (F4428002) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Petit Noyer (F4429300) ».
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Forêt domaniale de Villefermoy (F4449700) ».
    8. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 7 janvier 2019
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Les Écrennes et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
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    18. « site Natura 2000 FR1112001 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    32. Transdev, ligne 41
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