La Gaude

La Gaude est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Situé à 10 km au nord-ouest de Nice, le village de La Gaude s'étend entre les communes de Vence et Cagnes-sur-Mer.

Pour les articles homonymes, voir Gaude (homonymie).

La Gaude

Vue du village depuis une impasse du chemin des Tuilières.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Bruno Bettati
2020-2026
Code postal 06610
Code commune 06065
Démographie
Gentilé Gaudois
Population
municipale
6 816 hab. (2018 )
Densité 520 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 22″ nord, 7° 09′ 13″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 349 m
Superficie 13,1 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cagnes-sur-Mer-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Gaude
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
La Gaude
Géolocalisation sur la carte : France
La Gaude
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La Gaude
Liens
Site web http://www.lagaude.fr/

    Ses habitants sont appelés les Gaudois.

    Géologie et relief

    Le village est surplombé par le Baou de Saint-Jeannet et fait partie du Moyen Pays provençal. La superficie de la commune est de 1 310 hectares et son altitude varie de 24 à 349 mètres[1].

    Le territoire de La Gaude, dans l'arrière-pays niçois, s'étend entre collines et vallons.

    Le Baou des Noirs, le baou de Saint-Jeannet (au centre) et le baou de La Gaude.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    La commune est délimitée par deux cours d'eau[2] : la Cagne, rivière limitrophe à l'ouest de La Gaude, et le Var, fleuve limitrophe à l'est.

    La Gaude dispose d'une station d'épuration, La Gaude - Tuilière, d'une capacité de 5 000 équivalent-habitants[3].

    Sismicité

    La classification sismique de La Gaude est de 4 (sismicité moyenne)[4], quelques secousses sont ressenties mais elles sont d'une magnitude faible[5].

    Climat

    Le climat est classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[6].

    Histoire et toponymie

    Une occupation romaine est bien attestée à La Gaude[7]. Les Romains construisent probablement des postes militaires à La Gaude et dans les environs[8], ainsi qu'en témoignent les nombreux vestiges retrouvés dans ces lieux : tombes à compartiments et sous tegulae, inscriptions, pièces, chaussée antique reliant le quartier des Terres blanches à Vence[9],[10]. Au pied du village, un cénotaphe romain[11], voisin de l'ancienne voie Julia Augusta, appelée de nos jours voie Aurélia, témoigne d’une occupation humaine dès l'antiquité. Cette voie romaine[12] passait près de l’actuelle ruine connue sous le nom de bastide templière.

    Après les attaques des Sarrasins, au IXe siècle, les habitants redescendent de Saint-Jeannet sur un plateau plus fertile. Au Xe siècle, le village se forme aux lieux-dits La Condamine et Trigance[13]. « La Gauda » est citée en 1075[14]. Un village important a sans doute existé à l’origine dans le quartier de la Grande Bastide, autour d'une paroisse et d'un fabuleux château attribué aux Templiers, appelé château de la Gaude. Mais le village se convertit à l'hérésie cathare : devenu un des repaires des Albigeois qui furent condamnés au concile de Latran en 1204, le village est brûlé et ruiné de fond en comble[15]. Il ne renaît de ses cendres que plus tard et plus loin, au XIIIe siècle, sous le nom de Alleganza ou Alliganza (en bas latin alia gens, « autre pays »), lorsque prirent fin les guerres contre les Vaudois des bords du Var[16]. Lorsque le Var devient frontière, La Gaude est de nouveau détruite.

    Au XVe siècle, le village est complètement dépeuplé par une épidémie de peste en 1467 et déserté jusqu'à la fin du XVIe siècle. Quelques maisons réapparaissent alors, devenant communauté indépendante en 1599 en se séparant de Saint-Jeannet. Les pestes et les guerres ne favorisent pas sa résurrection, tentée par un apport de colons génois venus d'Oneglia parmi lesquels se trouvent plusieurs Pisani, qui deviennent plus tard seigneurs de La Gaude : Mgr Charles Pisani fut le dernier évêque de Vence et seigneur de La Gaude à partir de 1783. Plusieurs marquis, seigneurs de La Gaude et de Saint-Jeannet sont connus au tout début du XVIIIe siècle sous le nom de Claude II et Claude III, de Villeneuve-Torenc[17].

    De nouveaux pillages en 1704 et 1707, dont le dernier dure cinq jours et cinq nuits, n'entament pas sa réhabilitation.

    Au XXe siècle, le visage de La Gaude se transforme avec l’arrivée de l’eau. Séduit par l'endroit, Marcel Pagnol le choisira comme lieu de séjour, après y avoir acquis une propriété (l'actuel domaine de l'Étoile)[18].

    Le nom de La Gaude apparaît dès 1026 sur le Cartulaire de l'abbaye de Lérins[19] sous la forme de Alagauda. Des variantes de ce nom lui sont attribués comme Gauda[19] ou Alagaudam. L'étymologie de ce nom n'est pas établie[Note 1]. Le nom actuel du village est La Gaude, mais Alagauda reste utilisé en langue d'Oc[20].

    Les Templiers

    Une commanderie des Templiers est établie dans le village, comme l'atteste un document de 1155[21].

    Urbanisme

    Typologie

    La Gaude est une commune urbaine[Note 2],[22]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[25] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,7 %), zones urbanisées (35,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %), eaux continentales[Note 4] (0,2 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[31].

    Voies routières

    La Gaude est traversée par la Route de Saint-Laurent du Var (M118), mais il faut emprunter la Route de Cagnes (M18) pour se rendre au village.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Les lignes de bus 47, 49, 57 et 707 desservent la commune[32]. Des départs sont aussi programmés depuis le Stade de La Gaude les soirs de matchs à Nice au stade de l'Allianz Riviera[33].

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la Métropole Nice Côte d'Azur. Elle est couverte par le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le par le Conseil métropolitain[34].

    Limites du territoire communal de La Gaude, sur OpenStreetMap.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1968 (décès) Louis-Michel Féraud    
    1968 1989 André Féraud    
    1989 2008 Pierre Tanguy RPR-UMP Médecin
    2008 2009 Michel Meïni[35] SE Agent immobilier
    2009 2017[36],[37] Michel Meïni UMP-LR Agent immobilier
    2017 2020 Bruno Bettati[38] DVD[39] Gérant de société
    2020 En cours Bruno Bettati[40] LR Gérant de société

    Élections de  : les résultats du 2e tour :

    • « La Gaude pour tous » conduite par Michel Meïni : 1 669 voix ;
    • « L'Évolution durable » conduite par Pierre Tanguy : 1 665 voix.

    Malgré ce faible écart de quatre voix, Michel Meïni devient maire de La Gaude et peut gérer la commune avec ses colistiers. C'est grâce aux habitants du quartier de la Baronne que Michel Meïni a gagné les élections, ce quartier ayant voté massivement pour sa liste « La Gaude pour tous ».

    Après une première invalidation par le Tribunal administratif de Nice, les élections de sont de nouveau annulées par le Conseil d'État[41], la haute juridiction considérant que « deux manœuvres, directement ou indirectement imputables à M. Meïni avaient été de nature à altérer la sincérité du scrutin compte tenu du faible écart de voix » : il s'agissait du piratage du site internet de la liste Tanguy à la veille du scrutin, et du fait que M. Meïni « avait trompé les électeurs sur sa qualité professionnelle ». Ce candidat avait en effet prétendu être « professeur de droit » alors qu'il est en réalité gérant d'une agence immobilière. De nouvelles élections ont eu lieu en  :

    • La Gaude pour tous conduite par Michel Meïni : 1 900 voix ;
    • L'Évolution durable conduite par Jean-Pierre Alfonsi : 1 209 voix ;
    • La Gaude - Cap à gauche conduite par Frédéric Lefèvre : 439 voix.

    M. Michel Meïni aura de nouveaux démêlés avec la justice en 2017 : il sera contrôlé à la frontière suisse avec 20 000 € en petites coupures, « dissimulés dans la poche intérieure de son pantalon et provenant d'un compte bancaire non déclaré au fisc français »[42], puis condamné pour fraude fiscale à l'impôt sur le revenu et à l'ISF à 6 mois de prison avec sursis ; il s’était affranchi d’environ 60 000[43],[44].

    Budget et fiscalité 2019

    La mairie.

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[45] :

    • total des produits de fonctionnement : 7 230 000 , soit 1 099  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 6 141 000 , soit 933  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 1 338 000 , soit 203  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 2 182 000 , soit 332  par habitant ;
    • endettement : 4 801 000 , soit 730  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 14,22 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 15,08 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 68,83 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 27 350 [46].

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].

    En 2018, la commune comptait 6 816 habitants[Note 5], en augmentation de 3,7 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +0,5 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    601573634675791804784738802
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    626609616567546551524631514
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    592593611509579608623608704
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 0721 6312 3093 0974 9516 1706 5426 7636 452
    2018 - - - - - - - -
    6 816--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • La Gaude compte une crèche, et plusieurs écoles maternelles[51] et primaires[52]. Les collèges sont situés à Saint-Jeannet et à Vence.

    Santé

    • Un grand nombre de professionnels et établissements de santé, médecins et pharmaciens, possèdent leur cabinet ou officine à La Gaude[53].

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    La Gaude possédait naguère un grand nombre d'horticulteurs spécialisés dans la culture de l'œillet et de petits exploitants : l'agriculture était représentée surtout par les fruits et légumes, les oliveraies et les vignobles. De nos jours, une production et une vente de produits de l'agriculture biologique subsiste partiellement[55] : apiculture, produits agro-alimentaires.

    Tourisme

    Commerces

    • Commerces de proximité[59].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux[60] :

    • L'église paroissiale. Au Moyen-âge, une chapelle remplace l'église Saint Pierre au lieu-dit Sainte-Apollonie ; en 1895, une croix est érigée à l'emplacement de cette ancienne chapelle[61].
    • La chapelle des Pénitents blancs[62], ou chapelle Saint-Ange[63]. Cette chapelle Saint-Ange est décorée de fresques par le peintre Alexis Obolensky et de vitraux par le maître-verrier Alain Peinado.
    • Oratoire Saint-Michel[64].

    Autres patrimoines :

    Patrimoine naturel :

    • Plusieurs chemins de grande randonnée traversent La Gaude et sont inscrits au Plan Départemental des Itinéraires de Promenade et de Randonnée (PDIPR)[68] : un itinéraire de promenade commençant au vieux chemin de Vence, se prolonge par le chemin des Maires, par la voie Aurélia, par le chemin des Bastides (axe transversal), et conduit jusqu’à l’extrémité du chemin des Ambonnets. La voie Aurélia ainsi que le chemin des Bastides et le chemin des Maires, répertoriés comme chemins de grande randonnée, sont balisés grâce au mobilier type de poteaux et flèches du Conseil Départemental, et à la signalisation blanc et rouge agréée par la Fédération Française de Randonnée Pédestre (FFRP) ; ils ont été homologués sous le numéro GR 653A. Ces chemins GR 653A sont aussi une des voies d’accès vers les chemins de Saint-Jacques de Compostelle : ils ont été homologués par la FFRP en février 2009, grâce à l’action de l’Association des Amis des Chemins de Compostelle et de Rome[69], en tant que portion du chemin qui va de Menton à Arles. Dans cette région des Alpes-Maritimes, les pèlerins au départ de l’Italie l’empruntent en passant par les villages de Gattières, La Gaude puis Vence.

    Héraldique

    Blason
    D’azur au coq essorant d’or posé sur une terrasse de sinople[70].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Personnalités liées à la commune

    • Marcel Pagnol a habité la commune (l'actuel Domaine de l'Étoile).
    • Denys Amiel, dramaturge et critique littéraire.
    • Chaïm Soutine a logé dans le village à partir de 1918 et peint de multiples toiles représentant les rues de La Gaude, comme Paysage de Cagnes (La Gaude)[71] ou les environs, entre autres Route de Cagnes à la Gaude.
    • Jean Faurez réalise son film Virevent à La Gaude en 1948.
    • Henri Perrotin et Jean Hippolyte Marie Ambayrac réalisent la première mesure mondiale et précise de la vitesse de la lumière.
    • Jean Accart (1912-1992), général d'aviation et as de la Seconde Guerre Mondiale, est décédé dans la commune.
    • Michèle Brabo y a passé une grande partie de son enfance et par la suite, plusieurs séjours jusqu'à sa mort en 2013. Elle est inhumée au cimetière de Vence avec son mari, le peintre Albert Brabo.

    Notes et références

    Notes

    1. Le toponyme pourrait être issu d'un vieux mot germanique, « walda ou gaud », signifiant « forêt » ; mais le latin gabata, « auge, bassin, creux de terrain » est parfois aussi proposé, voir le site du département des Alpes-Maritimes.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
    2. L'eau dans la commune
    3. Description de la station LA GAUDE TUILIERES
    4. « Zonage sismique de la France - Le Plan Séisme », sur www.planseisme.fr (consulté le )
    5. « Didacticiel de la réglementation parasismique > Département : 06 > Commune : LA GAUDE > Bâtiment existant de classe II - Le Plan Séisme », sur www.planseisme.fr (consulté le )
    6. Table climatique
    7. La Gaude, sur www.departement06.fr/patrimoine-par-commune/
    8. Liste des villes et villages de la Provence romaine
    9. « Trésor du patrimoine, La Gaude », sur departement06.fr
    10. Archéologie ligure et romaine en pays de Vence
    11. Le sarcophage romain de La Gaude
    12. Le pont romain
    13. Abbé Eugène-François Tisserand, Histoire de Vence, cité, évêché, baronnie, de son canton, et de l'ancienne viguerie de Saint-Paul du Var, Paris, Belin, 1860, p. 21.
    14. Cité en 1075, le site d'Alagauda occupe le promontoire destiné plus tard à recevoir le château de la Gaude
    15. Abbé Eugène-François Tisserand, Histoire de Vence, cité, évêché, baronnie, de son canton, et de l'ancienne viguerie de Saint-Paul du Var, Paris, Belin, 1860, p. 34.
    16. Abbé Eugène-François Tisserand, Histoire de Vence..., Paris, Belin, 1860, p. 271.
    17. Abbé Eugène-François Tisserand, Histoire de Vence, cité, évêché, baronnie, de son canton, et de l'ancienne viguerie de Saint-Paul du Var, Paris, Belin, 1860, p. 249 et 292.
    18. Monographie d'Edmond Rossi, Histoire et Légendes de La Gaude, http://pays-d-azur.hautetfort.com
    19. Cartulaire de l'abbaye de Lérins publié sous les auspices du ministère de l'instruction publique. Partie 1 : par MM. Henri Moris,... Edmond Blanc,... ; Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes., 1883-1905 (lire en ligne)
    20. « La Gaude histoire de noms », sur lagaude.fr (consulté le )
    21. Abbé Eugène-François Tisserand, Histoire de Vence, cité, évêché, baronnie, de son canton, et de l'ancienne viguerie de Saint-Paul du Var, Paris, Belin, 1860, p. 31.
    22. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    26. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    32. « Les transports », sur lagaude.fr (consulté le )
    33. « Lignes Foot », sur Lignes d'Azur (consulté le )
    34. « Urbanisme », sur nicecotedazur.org
    35. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
    36. Poursuivi devant le Tribunal correctionnel de Grasse pour fraude fiscale, M. Meïni a démissionné le 27 février 2017 : voir le site de francebleu.fr
    37. Lire les nouveaux développements de cette démission dans Nice-Matin du 11 mars 2017.
    38. Nice-matin du vendredi 17 mars 2017.
    39. AFP, « Alpes-Maritimes : un maire condamné pour un mur construit sans facture », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    40. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr
    41. Voir la décision no 317471 du 29 avril 2009 du Conseil d'État : Texte du jugement
    42. Nice-Matin du 11 mars 2017.
    43. « Élu maire après la démission de Michel Meïni poursuivi pour fraude fiscale », Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le )
    44. Nice-Matin du 27 avril 2017.
    45. Les comptes de la commune
    46. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    51. École maternelle
    52. École élémentaire
    53. Professionnels et établissements de santé
    54. Paroisse Saint-Véran Saint-Lambert
    55. Production, vente de produits de l'agriculture biologique
    56. Gites de France, chambres d'hôtes
    57. Restaurant Mirabelle
    58. Restaurant La Ginguette gaudoise
    59. Commerces et services de proximité
    60. Église et chapelle
    61. La Gaude, un pays de contraste, doux et violent
    62. La chapelle des Pénitents blancs ou chapelle Saint-Ange
    63. La chapelle Saint-Ange
    64. Oratoire Saint-Michel sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux
    65. Institut de recherche dit centre d'études et de recherche I.B.M., sur patrimages.culture.gouv.fr/
    66. La Gaude, histoire d’eau
    67. Monument aux morts, Conflits commémorés : 1870-1871- 1914-1918 - 1939-1945
    68. On consultera la page du site du Conseil départemental des Alpes-Maritimes
    69. « Bienvenue sur les chemins de Compostelle en Provence-Alpes-Côte d'Azur-Corse », sur www.compostelle-paca-corse (consulté le ).
    70. Nice Côte d'Azur 3 : La Gaude, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    71. Voir le tableau « Paysage de Cagnes (La Gaude) », sur abcgallery.com (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
      Canton de Roquebillière : pp. 949 à 950 : La Gaude
    • Émile Boniffacy, Évolution sociale d'une commune provençale pendant sept siècles : La Gaude, Paris, A. Picard, 1912
    • Charles Bilas, Le château de La Gaude, Alandis Éditions, 2002
    • Edmond Rossi, Histoires et Légendes de La Gaude, 2004
    • Marie-Odile Ascher, La Gaude, Éditions Alan Sutton, 2005 (ISBN 978-2842539818)
    • Alex Benvenuto, La Gaude au fil des jours, Serre éditeur, 2001 (ISBN 978-2864101581)

    Articles connexes

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