La Barthe-de-Neste

La Barthe-de-Neste est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Labarthe et Barthe.

La Barthe-de-Neste

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses
Maire
Mandat
Philippe Solaz
2020-2026
Code postal 65250
Code commune 65069
Démographie
Gentilé Labarthais
Population
municipale
1 225 hab. (2018 )
Densité 161 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 04′ 50″ nord, 0° 23′ 03″ est
Altitude Min. 516 m
Max. 658 m
Superficie 7,62 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lannemezan
(banlieue)
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neste, Aure et Louron
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
La Barthe-de-Neste
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
La Barthe-de-Neste
Géolocalisation sur la carte : France
La Barthe-de-Neste
Géolocalisation sur la carte : France
La Barthe-de-Neste
Liens
Site web www.mairiedelabarthe.fr

    Ses habitants sont appelés les Labarthais[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Barthe-de-Neste se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[2].

    Elle se situe à 30 km à vol d'oiseau de Tarbes[3], préfecture du département, à 19 km de Bagnères-de-Bigorre[4], sous-préfecture, et à km de Capvern[5], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[2].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[6] : Escala (1,8 km), Izaux (2,0 km), Montoussé (2,9 km), Avezac-Prat-Lahitte (4,1 km), Lortet (4,1 km), Saint-Arroman (4,1 km), Tuzaguet (4,6 km), Bizous (4,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, La Barthe-de-Neste fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[7].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes
    Carte de la commune de La Barthe-de-Neste et des proches communes.
    Communes limitrophes de La Barthe-de-Neste[8]
    Lannemezan
    Avezac-Prat-Lahitte Escala
    Izaux Montoussé

    Hydrographie

    Le canal de la Neste traverse le village du sud au nord à l'ouest de la commune.
    La Neste traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite sud-ouest avec la commune de Montoussé.
    Le ruisseau de la Torte prend sa source sur la commune et la traverse d'ouest en est vers la commune d'Escala.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 964 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lannemezan », sur la commune de Lannemezan, mise en service en 1970[14]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 159,3 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 35 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[20].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[22], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[24] : la « Neste moyenne et aval » (283 ha), couvrant 25 communes dont une dans la Haute-Garonne et 24 dans les Hautes-Pyrénées[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] : les « Garonne amont, Pique et Neste » (1 788 ha), couvrant 112 communes dont 42 dans la Haute-Garonne et 70 dans les Hautes-Pyrénées[26].

    Urbanisme

    Typologie

    La Barthe-de-Neste est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[28],[29]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lannemezan, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[30] et 7 451 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[31],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,7 %), forêts (25,6 %), zones urbanisées (17,7 %), prairies (13,3 %), terres arables (9,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 621[36].
    Parmi ces logements, 88,4 % sont des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes départementales D929, D938 et D639.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant La Barthe-de-Neste au sud de Lannemezan.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[37] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    • Guilhermus Dati vicecomes Siluensis, latin (1022, Marca, Histoire Béarn) ;
    • Sancii de Barta, Sancii de La Barta, latin et gascon (1083, cartulaire de Bigorre) ;
    • a vicecomite de Siluis, latin (v. 110, Fors Bigorre) ;
    • vicecomitis de Barta, latin et gascon (1140-1141, ctes Bonnefont) ;
    • Sancio de Labarta, Auarchet de La Bartha (v. 1180, cartulaires Bigorre) ;
    • Sancius de Labarta, latin et gascon (1191 n.st., actes Bonnefont ; etc.) ;
    • Labarthe de Nestès (1614, Guillaume Mauran).1 ;
    • Labarthe en Nestes (1739, registres paroissiaux) ;
    • La Barte de Nestés (1767, Larcher, cartulaire du Comminges) ;
    • Labarthe (1790, Département 1) ;
    • la Barthe-de-Nestes (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Étymologie : mot gascon barta (= lande parsemée de broussailles et d’arbustes, souvent en bordure de cours d’eau).

    Nom occitan : La Barta de Nestés.

    Histoire

    L'ancien château en 2014.

    Les vicomtes de Labarthe

    À l'origine, La Barthe-de-Neste était érigée en vicomté. La famille vicomtale semble un rameau cadet des vicomtes/comtes d'Aure issus d'Auriol/Auréol (vers 915-950), premier seigneur d'Aure connu : il était sans doute le premier époux de Faquilène/Gersende d'Astarac, le gendre d'Arnaud Ier Garcie de Gascogne comte d'Astarac, et le beau-frère d'Arnaud II.

    Ses successeurs en Labarthe[38] sont Dat Auriol (père de Guillaume Dat) et Mansion Auriol, fl. vers l'an mil, deux frères, possibles fils cadets d'Auriol d'Aure et Faquilène (leurs frères aînés seraient Guillaume Auriol, Garcia Auriol et Arnaud Auriol d'Aure ; leur demi-frère cadet serait Louis comte de Bigorre, Faquilène s'étant remariée avec Ramon Dat comte de Bigorre). En tout cas, on trouverait ensuite comme vicomtes de Labarthe : Auriol Manse († vers 1065), fils de Mansion Auriol († vers 1020) < père de Sanche Ier Auriol († vers 1085) < Auger († vers 1140) < Espain († vers 1160) < Odon († vers 1185) < Sanche II (fl. vers 1180), et son frère Arnaud-Guillaume/Guilhem Ier († vers 1225) < Sanche III († vers 1235 ; fils d'Arnaud-Guillaume), x Mathilde de Comminges < Arnaud-Guillaume/Guilhem II († vers 1260), x 1235 la fille héritière de Bernard comte d'Aure < parents de Véronique[39] (x Arnaud-Bernard d'Armagnac-Fézensaguet, frère cadet de Géraud VI d'Armagnac ; sans postérité) ; et de Brunissende de Labarthe, héritière de Labarthe et d'Aure, qui transmet la vicomté de Labarthe et le comté d'Aure à son mari Bertrand Ier de Fumel, d'où Arnaud-Guilhem III et la suite des vicomtes de Labarthe, comtes d'Aure, avec son fils Géraud et son petit-fils Jean de Labarthe-Fumel, dernier comte et vicomte de la dynastie, mort le en léguant ses biens au connétable Bernard VII d'Armagnac, arrière-arrière-petit-fils de Géraud VI ci-dessus : voir l'article Quatre-Vallées.

    La Barthe fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

    Cadastre napoléonien de La Barthe-de-Neste

    Le plan cadastral napoléonien de La Barthe-de-Neste est consultable sur le site des Archives départementales des Hautes-Pyrénées [40]

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    La mairie en 2017.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 1989 février 2019[43] Maurice Loudet PS Conseiller général du canton de La Barthe-de-Neste (1994-2015)
    22 février 2019 En cours
    (au 8 juin 2020[44])
    Philippe Solaz[45]    

    Historique administratif

    Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, Vallée de Nestès, baronnie de Labarthe, chef-lieu canton de La Barthe-de-Neste (depuis 1790). Réunie à Mour en 1808 (?), prend le nom de La Barthe-de-Neste en 1889[46].

    Intercommunalité

    La Barthe-de-Neste appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en et qui réunit 57 communes.

    Services publics

    La commune de La Barthe-de-Neste dispose d'une agence postale.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49]. En 2018, la commune comptait 1 225 habitants[Note 9], en augmentation de 1,83 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    420358448592732770777784825
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    810800812800856921799695679
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    568554545515556598620716784
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 0161 3361 3641 1371 0861 0561 1531 1671 217
    2018 - - - - - - - -
    1 225--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population et société

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[52].

    Le foyer rural en 2019.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête foraine du 14/06 au 17/06

    Sports

    Club de football, centre d'équestre.

    Office du tourisme, communauté des communes et chambre d'agriculture

    Cultes

    Office du tourisme, communauté des communes et chambre d'agriculture

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé : au premier et au quatrième d'or aux quatre pals de gueules, au deuxième et au troisième d'or au lévrier rampant de gueules.

    Voir aussi

    Le monument aux morts municipal.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Nom des habitants des communes françaises sur le site Habitants.fr, consulté le 8 octobre 2013.
    2. « Métadonnées de la commune de Barthe-de-Neste », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre La Barthe-de-Neste et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre La Barthe-de-Neste et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre La Barthe-de-Neste et Capvern », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de La Barthe-de-Neste », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.
    8. Carte IGN sous Géoportail
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Lannemezan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre La Barthe-de-Neste et Lannemezan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Lannemezan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre La Barthe-de-Neste et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Barthe-de-Neste », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune de Barthe-de-Neste », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF la « Neste moyenne et aval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « Garonne amont, Pique et Neste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Unité urbaine 2020 de Lannemezan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    31. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    32. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    33. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannemezan », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    36. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de La Barthe-de-Neste
    37. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    38. « La Barthe », sur Monarchie-Noblesse.
    39. La première rédaction de l'article indiquait que « La vicomté réunissait en une seule main la souveraineté du pays des Quatre Vallées, grâce au mariage de Véronique vicomtesse d'Aure avec Sanche Ier (II) ». Mais cela semble douteux : problème de chronologie ; et l'on trouve partout que l'union de Labarthe et d'Aure/Quatre-Vallées s'est faite par le mariage de la fille du comte Bernard d'Aure avec Arnaud-Guillaume II de Labarthe en 1235 : cf. le travail universitaire référencé à la note 10 de l'article Quatre-Vallées.
    40. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de La Barthe-de-Neste en 1825
    41. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à La Barthe-de-Neste » (consulté le ).
    42. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à La Barthe-de-Neste » (consulté le ).
    43. Démission La Nouvelle République des Pyrénées, 1er février 2019
    44. Jean Claude Du Pont, « La Barthe-de-Neste. Un village convivial avec les atouts de la ville », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
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