Juliette Méadel

Juliette Méadel est une avocate, haute fonctionnaire et femme politique française, née le à Paris[1]. Elle est porte-parole du Parti socialiste français de 2014 à 2016 et secrétaire d'État chargée de l'Aide aux victimes de à . En elle est candidate aux élections municipales à Montrouge.

Pour les articles homonymes, voir Méadel.

Juliette Méadel

Juliette Méadel en .
Fonctions
Conseillère municipale de Montrouge
En fonction depuis le
(1 an, 2 mois et 17 jours)
Élection 28 juin 2020
Maire Étienne Lengereau
Secrétaire d’État chargée de
l’Aide aux victimes

(1 an, 2 mois et 29 jours)
Président François Hollande
Gouvernement Valls II
Cazeneuve
Prédécesseur Nicole Guedj (indirectement)
Successeur fonction supprimée
Porte-parole du Parti socialiste

(1 an, 5 mois et 16 jours)
Avec Olivier Faure
Corinne Narassiguin
Prédécesseur David Assouline
Successeur Razzy Hammadi
Conseillère du 14e arrondissement de Paris

(6 ans et 17 jours)
Élection 16 mars 2008
Maire Pascal Cherki
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Paris (France)
Nationalité française
Parti politique PS (2005-2018)
SE (depuis 2018)
Fratrie Cécile Méadel
Diplômée de Université Paris-Sorbonne
Université Panthéon-Assas
Sciences Po Paris
ENA
EFB
Site web www.demainmontrouge.fr

Biographie

Vie personnelle

Fille de Lucien Méadel, haut fonctionnaire et ancien directeur de cabinet d'Édith Cresson[2], et d'une mère enseignante, elle est la sœur de la sociologue Cécile Méadel. Avec son époux, Mehdi Ababou[3], analyste financier à l'agence de notation Moody's[1], elle a quatre fils[1],[4], dont le dernier est né en [5].

Formation

Diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris (1998)[6], elle est titulaire d'un DEA de philosophie (Paris-I, Sorbonne)[7] et d’un doctorat de droit privé. Réalisée entre 2001 et 2005 sous la direction du professeur Michel Germain, à Paris-II, sa thèse s'intitule « Les marchés financiers et l’ordre public »[8].

Elle est titulaire du certificat d'aptitude à la profession d'avocat et ancienne élève de l'ENA (promotion Robert-Badinter), dont elle sort en 2011[9].

Vie professionnelle

Juliette Méadel a pratiqué comme avocate, inscrite au barreau de Paris[7] pendant les quatre premières années de sa vie professionnelle[10], de 2005 à 2009.

Spécialisée en droit des sociétés commerciales et en droit pénal des affaires, elle est intervenue tant sur des dossiers de contentieux des affaires (droit des entreprises en difficulté, redressement judiciaire), qu’en tant qu’avocat conseil en fusions-acquisitions et en droit des sociétés cotées. Elle a enseigné le droit des sociétés et le droit commercial à l’Université de Paris II et de Paris XIII, et à l’Essec pendant cinq ans[réf. nécessaire]. Elle a travaillé à New York et à Paris, au sein du cabinet anglo-saxon Cozen and O'Connor[11].

À sa sortie de l'ENA, en 2011, elle entre à la direction générale du Trésor, au service des politiques macroéconomiques[12]. Elle entre à la Cour des comptes en 2014 comme rapporteure extérieure, ce qui avait provoqué une controverse du fait de son autre casquette : porte-parole du PS[13]. Elle est nommée conseillère référendaire à la Cour des comptes le [14]. De février à , Juliette Méadel est membre du groupe de travail du président de la République sur le service national universel, projet qu’elle avait soutenu au sein du Parti socialiste, après les attentats de [15]. À ce titre, elle est membre du groupe de travail sur le service national universel[16], écrit régulièrement dans la presse[17] et enseigne à Sciences Po Paris[18].

Entre 2017 et 2019, elle enseigne à Science-Po Paris, un cours d’introduction à l’évaluation des politiques publiques centré autour des politiques de sécurité, de la lutte anti-terroriste et de l’aide aux victimes d’attentats.

Vie politique

Membre de la direction nationale du Parti socialiste en 2005 (elle est alors responsable nationale du Projet et chargée de la coordination auprès de François Rebsamen)[7], après avoir été proche de Laurent Fabius, elle entre dans l'équipe de campagne de Ségolène Royal pour l'élection présidentielle de 2007[1]. Elle est chargée des dossiers, discours et relations avec les intellectuels pour la candidate qu'elle accompagne lors de ses déplacements en France.

Elle est candidate malheureuse aux élections régionales en Île-de-France en 2004, puis conseillère municipale à Paris 14e entre 2008 et 2014[19].

À la présidentielle de 2012, elle participe à la campagne de François Hollande[20], en tant que responsable de la petite enfance et de la lutte contre les discriminations.

La même année, elle initie avec Gaëtan Gorce la contribution « Dessine-moi un parti », puis elle est première signataire de la motion intitulée « Question de principes » au congrès du parti socialiste[21] qui milite pour la transformation du PS et le non-cumul des mandats[22]. Cette motion obtient 5,2 % des suffrages des militants et s'est ensuite ralliée à Harlem Désir[23]. Elle entre alors à la direction nationale du Parti socialiste (Congrès de Toulouse - 2012[24]).

Elle fonde, en 2012, une association : « L'avenir n'attend pas[25] » qui a pour objet de valoriser l'innovation sociale avant de diriger le groupe de réflexion Terra Nova, aux côtés de François Chérèque[26] entre [27] et [28]. Son passage à la direction générale de cette association proche du Parti socialiste est donc bref[29],[30].

Sociale-démocrate[31], elle intervient régulièrement dans la presse sur des sujets comme la contractualisation[32],[33], l'Europe[34] ou le non-cumul des mandats[35],[36].

Ses principales activités politiques portent sur :

  • la politique de l'enfance[37] ;
  • la régulation des activités économiques et financières[38] ;
  • la transformation des organisations politiques, et en particulier du PS qu'elle propose de « dynamiter »[39] ;
  • l'égalité homme-femme[40].

À l'occasion du conseil national du PS du , elle est nommée secrétaire nationale à l'Industrie, au Numérique et à l'Économie sociale et solidaire[41], puis porte-parole du Parti socialiste[42],[43] en [44].

Elle ne conduit pas la liste du Parti socialiste aux élections régionales de 2015, pour les Hauts-de-Seine, ce qui suscite des débats au sein de la fédération locale du PS[45],[46].

Le , elle est nommée secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargée de l'Aide aux victimes, et se consacre aux victimes des attentats terroristes qui ont endeuillé la France en 2015[47]. En , le ministère de la Justice annonce le rattachement du Secrétariat général d’aide aux victimes (Sgav) à la Chancellerie [48]. Juliette Méadel regrette alors qu'il n'y ait plus "d'incarnation politique" pour la défense des victimes[49].

Elle soutient Manuel Valls pour la primaire citoyenne de 2017[50]. À la suite de la défaite de ce dernier face à Benoît Hamon, elle déclare qu'elle votera pour Emmanuel Macron dès le premier tour de l'élection présidentielle, estimant que le candidat du Parti socialiste n'est pas en mesure de se qualifier pour le second tour[51]. Le , à 6 jours du 2e tour, elle publie une tribune sur Libération intitulée "Madame Le Pen, vous n’aurez pas nos haines", tribune signée par de nombreux artistes, cinéastes, humoristes, économistes etc. et qui appelle à faire barrage à Marine Le Pen et à soutenir ainsi Emmanuel Macron, son adversaire[52].

Pour les élections législatives de 2017, elle est candidate dans la 10e circonscription de Seine-et-Marne[53]. Elle est éliminée dès le premier tour[54].

Le , Juliette Méadel s’exprime au micro de France Info et, entre autres propos, souligne que l’attentat de Nice, perpétré le est « le premier qui a volontairement touché des enfants »[55], négligeant ainsi les attentats terroristes perpétrés par Mohammed Merah entre le 11 et le , quatre ans plus tôt, qui ont fait sept victimes, dont trois enfants dans une école juive de Toulouse[56].

La réponse vive de Juliette Méadel aux critiques, où elle n’exprime aucun regret, attire une réplique de la députée Aurore Bergé : « Ce qui est déplacé, c’est d’oublier Toulouse, pas de vous le rappeler »[57].

Après l’affaire Harvey Weinstein, le , elle lance un appel à travers une tribune intitulée « Dénoncer c’est bien, protéger c'est mieux » afin de mieux protéger les victimes de harcèlement sexuels avec le soutien de signataires comme Annick Girardin, Delphine Ernotte, Manuel Valls, Dominique Schnapper, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Roselyne Bachelot, Luc Carvounas[58].

En , elle a été radiée du PS par le bureau fédéral des adhésions de la fédération de Seine-et-Marne en raison de son soutien affiché à La République en marche avant la dernière élection présidentielle[59]. Elle confirme l’information le suivant sur France Info[60].

En , elle lance l’opération « Youth Europe » avec l’association qu’elle préside, L’avenir n’attend pas. Cette opération, à laquelle l’Obs consacre cinq pages[61], se fixe pour objectif de verser au débat public des propositions sur les deux sujets clefs de l’élection européenne : l’immigration et l’écologie[62].

Au nom de L’avenir n’attend pas, le , Juliette Méadel réunit les vingt plus gros réseaux associatifs dans le domaine de la jeunesse, de l’Europe, de la solidarité : l’Unioppss, la Ligue de l’enseignement, la Fédération Léo Lagrange, les Jeunes européens, Unis-Cité, Europanova, Confrontations Europe, l’UEJF, France libertés, International School Sport Fédération, le président de France Terre d’Asile et celui de la Fédération des acteurs de la solidarité, Louis Gallois.

Le , à Montrouge, elle réunit ces mêmes associations en y ajoutant les associations spécialisées dans l’écologie, comme la Fondation pour la nature et l’homme, fondée par Nicolas Hulot, et France nature environnement. Cette conférence débat a lieu avec Nicolas Hulot, Allain Bougrain-Dubourg, Yves Blein et Aurélie Piets, elle est animée par la journaliste Daphnée Roulier. Cette grande conférence réunit 500 personnes et se tient dans une école d’enseignement supérieur, à Montrouge.

Le , elle annonce sa candidature à l'élection municipale de à Montrouge[63],[64], ville dans laquelle elle a emménagé en 2014 avec sa famille[65], sans le soutien d’aucun parti, ni aucune étiquette politique. Elle construit un projet pour une ville verte, dynamique et bienveillante[non neutre]. Projet dans lequel elle invente plusieurs concepts comme « la fabuleuse cuisine », parrainée par Thierry Marx, « la maison des victimes et de la résilience », parrainée par Françoise Rudetzski, « L’institut de l’enfance », parrainé par Caroline Goldman, La fondation Robert Doisneau, parrainé par Annette Doisneau et Françine Deroudille, et La Boussole. Elle est soutenue par l’artiste montrougien Combo. La liste qu'elle emmène arrive en deuxième position à l'issue du second tour, avec un score de 39,75 % (soit 4 685 voix), derrière le maire sortant UDI dont la liste obtient 45,08 % (5 313 voix)[66]. Elle préside le groupe d’opposition « Demain Montrouge » à la Mairie de Montrouge, dont elle est élue, avec 8 de ses colistiers[67],[68].

Secrétariat d'État à l'Aide aux victimes

Juliette Méadel[69] entre au gouvernement 3 mois après les attentats de , pour mettre en place un ministère chargé de l’aide aux victimes d’attentats et autres catastrophes et corriger les dysfonctionnements qui ont été constatés en [70].

Elle met en place la première politique interministérielle de l’aide aux victimes en créant dans chaque département, les comités locaux d’aide aux victimes[71]. Au moment des attentats de Nice, elle a mis en place la maison d’aide aux victimes et veillé à la bonne prise en charge de celles-ci. Elle crée un service public de l’aide aux victimes[72] et le premier guichet unique de l’aide aux victimes qui a permis de réaliser toutes les démarches administratives en ligne et l’accompagnement personnalisé des victimes 5. Elle a engagé une réforme du FGTI et plaidé pour l’introduction d’un juge spécifique pour l’indemnisation des victimes[73].

Sous son ministère, les dépassements d’honoraires et les frais d’appareillages des victimes d’attentats furent pris en charge intégralement par la sécurité sociale[74] ; elle obtint par ailleurs l’exonération d’impôts sur le revenu pour les victimes des attentats de 2015 et de 2016[75]. Juliette Meadel, avec le président de l’association France urbaine a lancé un label pour inciter les grandes villes à adopter les formations aux gestes qui sauvent[76]. Elle a aussi lancé la première formation aux « mots qui sauvent »[77] avec des psychiatres et infirmiers. Entre janvier et , le secrétariat d’État à l’aide aux victimes a réuni en trois colloques, l’ensemble des psychiatres et psychologues spécialisés dans la prise en charge des victimes de traumatisme pour proposer les vingt mesures phares en la matière et notamment la mise en place d’un centre national de ressources pour la prise en charge du psycho-traumatisme[78]. Juliette Méadel a organisé la 1re Conférence internationale pour l’aide aux victimes (CIVIC) à l’Unesco[79], avec Robert Badinter comme président d’honneur[80] le qui donne lieu, trois mois après, à la première feuille de route de l’aide aux victimes qu’elle signe[81], au nom de la France, à Bruxelles le en présence du président de la République François Hollande[82]. À l’échelon national, elle crée ensuite le comité interministériel de l’aide aux victimes[83] qui rassemble la plupart des membres du gouvernement. Enfin, elle crée le Secrétariat général à l’aide aux victimes, afin de « graver dans le marbre » les réalisations du secrétariat d’État à l’aide aux victimes[83]. Sa suppression, par le gouvernement d’Édouard Philippe passe très mal auprès de certaines personnalités comme Françoise Rudetzki, Caroline Anglade, Emmanuel Domenach… et les députés Georges Fenech et Sébastien Pietrasanta[84] dont le rapport d’information parlementaire avait souligné l’efficacité de l’action menée par le secrétariat d’État à l’aide aux victimes[85].

Juliette Méadel continue à défendre les victimes de violences en particulier de violences sexuelles en lançant une mobilisation dans La Tribune[86].

Réaction publique après l'acquittement de Georges Tron

En , après l'acquittement de Georges Tron, accusé de viol par deux anciennes collaboratrices, par la Cour d'assises de Bobigny, Juliette Méadel publie un tweet : « Accusations de viols : #GeorgesTron acquitté. Verdict désespérant pour les droits des #victimes. Le doute ne doit pas bénéficier aux accusés ! C’est le retour du droit de cuissage ? #metoo n’aura donc servi à rien ? Le parquet doit faire appel ».

L'affirmation « le doute ne doit pas bénéficier aux accusés » suscite de vives critiques car jugée par tous les commentateurs qui se sont exprimés sur ce sujet comme contraire aux principes élémentaires du droit[87],[88].

Le , Juliette Méadel répond aux critiques par un nouveau tweet : « Coup de gueule, oui. Il n’est évidemment pas question de remettre en cause la présomption d’innocence. Il n’empêche que le renoncement fréquent à porter plainte s’explique aussi par la procédure actuelle et par les modes de preuve. Il faut que ça change. Fait de société majeur ! »[89].

Le , elle publie une tribune dans le Monde[90], où elle propose une réforme législative pour mieux défendre les victimes de viol qui sont en « situation de subordination ». Selon elle, la procédure pénale française n’est pas équitable et elle devrait être mise en conformité avec les engagements internationaux de la France, et en particulier la convention d’Istanbul. Juliette Méadel exige, lorsque la plaignante se trouve en « situation de subordination » par rapport à l'homme qu'elle accuse, l'inversion de la charge de la preuve : tout homme victime de dénonciation serait présumé coupable, sauf à apporter la preuve qu'il ne s'est livré à aucun harcèlement [91] ; cette exigence, comme en son temps le rejet du bénéfice du doute, suscite de nombreuses critiques[92].

Publications

  • Les Marchés financiers et l’ordre public (préf. Michel Germain), Paris, LGDJ, 2007
  • L’Avenir des règles de marché : le problème de la détermination de leur nature, contribution au colloque « Bicentenaire du Code de Commerce 1807-2007 : quel Code de commerce pour demain ? » Litec, oct. 2007
  • « La faute lucrative en droit français », Les Petites Affiches,
  • « Faut-il introduire la class action en droit français ? » Rev. jur. Science po :
  • « La loi sur la class action : vraie réforme ou faux semblant ? » in Alain Gourio et Jean-Jacques Daigre, Droit bancaire et financier. Mélanges AEDBF France VI, Paris, Revue Bancaire, 2013
  • « La liberté de la concurrence et l’intérêt général. À quoi sert la concurrence »[93], Revue des droits de la concurrence. 2013
  • L'Aide aux victimes - Livre blanc - - La documentation française
  • La Mémoire traumatique, une affaire d’État ? - « La mémoire nous joue-t-elle des tours », sous la direction de Muriel Flis Trèves et René Frydman, PUF,
  • L’Ordre public financier de 2000 à 2017 : quelle évolution ? Autour du droit bancaire et financier et au-delà, in Mélanges en l’honneur de Jean-Jacques Daigre, Joly Editions, Paris. [94]

Références

  1. Cécile Daumas, « Juliette Méadel. Le dessein de Juliette » sur Libération, .
  2. « Lucien Meadel », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  3. Annonce de la naissance d'un de leurs fils dans le carnet du Monde du 12 novembre 2011, p. 21.
  4. « Juliette Méadel enceinte : La nouvelle secrétaire d’État dévoile son ventre rond », sur purepeople.com (consulté le ).
  5. « La secrétaire d’État Juliette Méadel est (à nouveau) maman », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  6. http://www.sciences-po.asso.fr/profil/juliette.meadel98.
  7. Nathalie Segaunes, « Juliette Méadel, du droit des affaires à l’aide aux victimes » sur L'Opinion, .
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  9. « PS : Juliette Méadel, une parole déjà très maîtrisée », sur lefigaro.fr, (consulté le )
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  13. « Cour des comptes : deux nominations très politiques », Le Point, (lire en ligne, consulté le )
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  15. « VIDÉO - Juliette Méadel : "Le service national universel est une révolution" », sur RTL.fr (consulté le )
  16. « Service national universel : vers une partie obligatoire, l’autre facultative », SudOuest.fr, (lire en ligne, consulté le ).
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  21. Bruno Vincens, « La sceptique, le satisfait et la combative », L’Humanité, .
  22. Jean-Louis Bianco et Juliette Méadel, « Député ou maire, il faut choisir », Libération, .
  23. Joseph D'arrast, « Juliette Méadel, Sociale-démocrate, version brut de décoffrage », La revue parlementaire, .
  24. Le Nouvel Obs : À l'assaut de Solférino.
  25. Les Nouvelles News, Pour Juliette Méadel l'Avenir n'attend pas.
  26. Les Échos, Avec le duo Chereque Meadel Terra Nova veut se relancer
  27. La Vie : Portrait d'une directrice de think-tank.
  28. L'Observateur : Terra Nova perd sa tête.
  29. Voir sur juliettemeadel.fr.
  30. Voir sur blogs.mediapart.fr.
  31. La Lettre du Pouvoir, Juliette Méadel sociale démocrate.
  32. Entourage, Juliette Méadel chantre de la contractualisation.
  33. [PDF] Les Échos La nouvelle politique industrielle sera contractuelle.
  34. Le Monde, Le Parlement Européen doit rejeter le budget de l'UE.
  35. Libération, Député ou Maire.
  36. Jean-Louis Bianco et Juliette Méadel, « Député ou maire, il faut choisir », Libération, (lire en ligne).
  37. Juliette Méadel et Daniel Bloch, « Éducation: prendre le problème à la racine », La Tribune, .
  38. Géraldine Meignant, « Petits arrangements pour enterrer un débat », L'Expansion, .
  39. Ivan Best, « Juliette Méadel : Il faut dynamiter le Parti socialiste », La Tribune, (lire en ligne).
  40. Corine Chabaud, « Juliette Méadel, portrait d'une directrice de think tank », La Vie, .
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  43. Le Figaro : « Juliette Méadel, une parole déjà très maîtrisée ».
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  93. Mélanges en l'honneur de Jean-Jacques Daigre : autour du droit bancaire et financier et au-delà, Issy-les-Moulineaux, Joly éditions, 821 p. (ISBN 978-2-306-00079-3, lire en ligne).

Voir aussi

Article connexe

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