Joachim Son-Forget

Joachim Son-Forget, né Kim Jae Duk le à Séoul (Corée du Sud), est un homme politique français.

Pour les articles homonymes, voir Son et Forget.
Cet article possède un paronyme, voir Saint-Forget.

Joachim Son-Forget

Joachim Son-Forget en 2017.
Fonctions
Député français
En fonction depuis le
(4 ans, 2 mois et 23 jours)
Élection 18 juin 2017
Circonscription 6e des Français établis hors de France
Législature XVe (Cinquième République)
Groupe politique LREM (2017-2018)
NI (2018-2019)
app. UAI (2019)
UAI (2019)
NI (depuis 2019)
Prédécesseur Claudine Schmid
Biographie
Nom de naissance Kim Jae Duk
Date de naissance
Lieu de naissance Séoul (Corée du Sud)
Nationalité Française
Kosovare (depuis 2018)
Suisse (depuis 2020)
Parti politique PS (jusqu'en 2014)
LREM (2016-2018)
JSFee/VA (2019-2020)
Diplômé de Université de Dijon
EPFL
Profession Médecin

Il est membre du Parti socialiste (PS) puis intègre La République en marche (LREM). Il est élu député dans la circonscription des Français établis en Suisse et au Liechtenstein en 2017. Il se fait remarquer à partir de l'année 2018 par de multiples polémiques, qui causent son départ de LREM en 2018, puis du groupe UDI, Agir et indépendants, qu'il avait rejoint peu après. Il fonde en parallèle son propre parti, Valeur absolue, qui est dissous en 2020.

Situation personnelle

Famille

Né à Séoul le , sous le nom de Kim Jae Duk[1], Joachim Forget est recueilli en , à l'âge de trois mois[2],[3]. Il est adopté par une famille française (composée d'une mère au foyer et d'un juriste)[4] et grandit alors à Langres[5].

Il est marié en secondes noces avec une femme coréenne[6]. Vivant à Genève avec son épouse, leur fille et son garçon né de son premier mariage, il travaille jusqu'en 2019 à Lausanne au CHUV comme radiologue spécialisé en IRM cérébrale[7],[8].

Joachim Son-Forget obtient la nationalité kosovare en « à titre exceptionnel ». Il explique avoir été « très tôt captivé par la richesse culturelle et humaine du pays » ; il est par ailleurs vice-président du groupe d'amitié France-Kosovo à l'Assemblée nationale. Il obtient en 2018 la « médaille présidentielle du dixième anniversaire de l'indépendance de la République du Kosovo »[9],[10],[11].

Études

Joachim Son-Forget fait ses études à Dijon, Paris puis Lausanne[5]. En 2005, il est titulaire d'un master recherche en sciences cognitives (co-accrédité par l'université Paris-Descartes, l'EHESS et l'ENS Paris)[12] qu'il valide avec un mémoire encadré par Stanislas Dehaene. Poursuivant aussi des études de médecine, il obtient en 2008 son diplôme de fin de deuxième cycle des études médicales à l'université de Dijon puis passe l'examen classant national[13]. À la suite de cet examen, il décide de poursuivre son cursus médical en Suisse et d'y effectuer l'intégralité de son internat, en tant qu'interne en radiologie au centre hospitalier universitaire vaudois à Lausanne[7].

Il obtient en 2015 un doctorat en sciences médicales en neurosciences cohabilité par l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et l'université de Lausanne. Sa thèse, rédigée sous la direction d'Olaf Blanke et Reto Meuli, porte sur le thème des mécanismes visuo-vestibulaires de l'auto-conscience corporelle[14].[source insuffisante]

Autres activités

Joachim Son-Forget officie un jour et demi par semaine au CHUV en Suisse, comme radiologue spécialiste du cerveau[15].

Il a comme passion le tir au fusil, sur cibles de 300 à 1 000 mètres[4]. Jouant du clavecin, il assure la première partie d'un concert de bienfaisance d'Alexandre Tharaud, au Victoria Hall de Genève, le [16],[17]. Le , il donne un récital au festival libanais Al-Bustan lors des 25 ans du festival, à guichet fermé[18], dans le cadre de la résidence des Pins à Beyrouth[19].

Il est également président d'un think-tank franco-suisse, Global Variations, créé en 2018, s'intéressant à la géopolitique des innovations technologiques et plus particulièrement dans le domaine des sciences cognitives [20],[21].[pertinence contestée]

En 2019, il sort un single En couleurs avec le rappeur français Doc Gyneco, rencontré dans une émission de télévision animée par Cyril Hanouna[22].

Parcours politique

Militant du Parti socialiste

Il est secrétaire de la section genevoise du Parti socialiste français au sein de la fédération des Français de l'étranger, et président du comité des militants du Parti socialiste européen en Suisse[7],[23],[24], avant de prendre ses distances en 2014[réf. nécessaire].

Élection et débuts sous l’étiquette LREM

En 2017, candidat nommé par La République en marche (LREM) aux élections législatives dans la sixième circonscription des Français établis hors de France (qui comprend la Suisse et le Liechtenstein), Joachim Son-Forget est élu avec 63,2 % des voix au premier tour des élections législatives le , contre 15,7 % pour sa principale concurrente, la députée sortante Claudine Schmid, investie par Les Républicains[25]. Mais la forte abstention ne lui permet pas d'être directement élu[alpha 1]. Au second tour, il obtient 74,9 % des voix alors que l'abstention culmine à 81,2 %[5]. À l'Assemblée nationale, il rejoint le groupe La République en marche.

Le , lors du congrès de LREM, il présente une liste défiant les ténors du parti, qui défend une pratique horizontale du pouvoir dans l'organisation du mouvement[26]. Sa liste « Territoires, En Marche ! » est battue, obtenant 92 voix sur 521, soit 17,66 % des suffrages, à main levée[27],[28]. En , après six mois à l'Assemblée nationale, il est classé à la 446e place des parlementaires par le magazine Capital avec notamment sept interventions dans l'hémicycle et neuf en commission, classement qui ne prend pas en compte les éléments qualitatifs d'activité des députés[29],[30].

Il est l'auteur et premier signataire d'une tribune dans le journal Le Monde co-signée par 249 députés s'insurgeant contre la pratique de la pêche électrique en mer du Nord[31],[32]. Dans la suite, il rédige une proposition de résolution européenne dont il est premier signataire et rapporteur en commission des Affaires économiques et en hémicycle[33]. L'Assemblée nationale adopte ce texte porté par les groupes LREM et MoDem qui appelle le gouvernement à « s'oppose[r] à l'autorisation de cette technique, sous toutes ses formes »[34].

Candidature à la direction de La République en marche

Après la nomination de Christophe Castaner comme ministre de l'Intérieur en , il se déclare candidat pour lui succéder à la direction de La République en marche[35]. Il propose qu’une coprésidente, issue de la société civile, spécialiste des questions environnementales, soit élue à ses côtés[36]. Stanislas Guerini succède à Christophe Castaner[37], tandis que Joachim Son-Forget remporte 18 % des voix[38]. Selon les journalistes Jérémy Marot et Pauline Théveniaud, sa candidature permet d'éviter que celle de Stanislas Guerini soit la seule, ce qui « ferait mauvais genre » ; elle est facilitée par Stanislas Guerini et Philippe Grangeon, qui lèvent « la principale barrière à l'entrée : obtenir le soutien de trois sénateurs du parti »[39]. Il ne parvient pas à intégrer le bureau exécutif du parti comme il l'espérait[39].

Prises de position polémiques et départ de LREM

Sur son compte Twitter, Joachim Son-Forget « s'autorise une liberté de ton qui se démarque » et est qualifié par certains observateurs de mauvais choix ou de troll politique[24],[40],[41]. Le , il prend la défense du forain parisien Marcel Campion[42], après que ce dernier a tenu publiquement des propos estimés homophobes[43]. Sa défense de Marcel Campion est condamnée par son collègue Stanislas Guerini et par le président du groupe La République en marche à l'Assemblée nationale, Gilles Le Gendre[42]. Le , Joachim Son-Forget estime que le président Donald Trump est « gâteux »[44]. Il précise qu'il entend par là que le président américain est comme une personne qui « souffre d'incontinence d'urine voire de matières fécales et « gâte » ses draps »[45]. Le , il tient sur Twitter des propos jugés sexistes à l'encontre de la sénatrice d'opposition Esther Benbassa, critiquant sa manière de se maquiller. La polémique enfle quand Joachim Son-Forget répond aux critiques par une photo d'Esther Benbassa maquillée, envoyée une cinquantaine de fois à différents contradicteurs, ce qui est considéré comme du harcèlement par la sénatrice[46]. Il continue dans la nuit du 27 au par de nombreux tweets « familiers » et de « troll », selon les propos du HuffPost[47]. Lors de la dernière semaine de l'année 2018, le nombre d'abonnés à son compte Twitter est passé de 6 000 à 42 000[24].

Le , le groupe La République en marche se désolidarise de ses propos par la voix de son président[48], qui annonce l'envoi d'une lettre d'avertissement du bureau exécutif du parti[49]. Ces réserves sont accueillies avec circonspection par l'intéressé, qui fait savoir qu'être compris ou pas ne lui fait « ni chaud ni froid »[50] ; il explique avoir souhaité « faire le buzz en utilisant les principes de la psychologie cognitive »[51]. Il revendique sa liberté d'expression et le fait de ne pas avoir de « chef »[52]. Trois jours plus tard, il démissionne du parti et du groupe LREM[53],[54]. Il siège comme député non-inscrit[55]. En , il vote pour la confiance au nouveau gouvernement Jean Castex[56].

Parti éphémère et rapprochement avec la droite

Il annonce le participer à la création d'un nouveau parti, baptisé Je suis français et européen (JSFee), tout en continuant à soutenir Emmanuel Macron[24]. Son-Forget fixe comme but à son parti d'être « une représentation de la culture française principalement, mais aussi européenne », précisant que la « culture française va de Diderot à Booba »[60]. Prônant selon ses termes « plutôt des idées de droite », il soutient le référendum d'initiative citoyenne (RIC), qui émerge lors du mouvement des Gilets jaunes, ainsi que la baisse des dépenses publiques et des prélèvements obligatoires[61]. JSFee prend par la suite le nom de Valeur absolue[62]. Après l'avoir annoncé en décembre, Joachim Son-Forget renonce finalement en à présenter une liste aux élections européennes de 2019, préférant « former les jeunes » à la politique via son nouveau parti, qui a l'ambition d'être une « école de vie ». Il annonce dans le même temps que celui-ci réunit 6 000 membres[63].

Il s'apparente à l'Assemblée nationale au groupe UDI, Agir et indépendants (UAI) le [64]. Il en devient membre le de la même année[65].

Témoin d'une agression à Nice en , il utilise l'expression « chances pour la France », en vogue dans les milieux d'extrême droite, pour désigner les agresseurs d’origine immigrée[66]. En décembre suivant, il s'affiche publiquement avec Marion Maréchal, figure de la famille Le Pen et du Rassemblement national. Il évoque alors une « amitié naissante » avec « quelqu'un qu'il apprécie ». Fortement critiqué par le président du groupe UAI Jean-Christophe Lagarde, il quitte son groupe parlementaire à l'Assemblée quelques jours plus tard. Il redevient député non-inscrit et évoque un « cheminement ouvertement à droite »[67].

En 2020, il fait à nouveau polémique en publiant un selfie avec Alexandre Benalla, connu pour une affaire de violences en manifestation, et en essayant d'en faire son collaborateur parlementaire. Le , il annonce sur le plateau de Touche pas à mon poste ! sa candidature à l’élection présidentielle de 2022[68]. Le lendemain, il diffuse sur Twitter un lien permettant d'accéder à des vidéos privées à caractère sexuel impliquant Benjamin Griveaux, député et candidat aux élections municipales de 2020 à Paris, dans une relation extraconjugale. Il explique son acte par sa volonté de « prévenir » le concerné[69].

Au cours de l’année 2020, le site internet du parti Valeur absolue indique que celui-ci est désormais dissous.[réf. nécessaire]

Il est élu en conseiller consulaire dans la deuxième circonscription de Suisse, étant l’unique élu de la liste « Français en Suisse – Libres ! », qui obtient 11 % des suffrages[70],[71].

Notes et références

Notes

  1. Les résultats du premier tour tiennent compte de l'abstention : il faut obtenir un nombre de suffrages au moins égal au quart du nombre des électeurs inscrits pour être directement élu et pas seulement la majorité absolue des suffrages exprimés (article L. 126 du Code électoral).

Références

  1. Louis San, « Tweets sexistes, clavecin et arts martiaux : Joachim Son-Forget, le député qui a quitté LREM au nom de "l'impertinence" », sur francetvinfo.fr, .
  2. Sébastien Falletti, « Joachim Son-Forget, député éclectique », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le )
  3. « Joachim Son-Forget, le député « en marge » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  4. « Karaté, tir au fusil, Kosovar... 7 choses à savoir sur le député Joachim Son-Forget », sur L'Obs (consulté le )
  5. « Joachim Son-Forget élu par les Français de Suisse », sur Tribune de Genève, .
  6. Arnaud Vaulerin, « Joachim Son-Forget, corépublicain », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
  7. Christian Lecomte, « Joachim Son-Forget, résilient de la République », Le Temps, (lire en ligne, consulté le )
  8. J. Son-Forget, « profil Linkedin », sur https://www.linkedin.com
  9. « Un député LREM né à Séoul et représentant les Français de Suisse devient... Kosovar », Libération, (lire en ligne).
  10. Jean-Brice Willemin, « Premier bilan avec l'atout suisse d'Emmanuel Macron », Le Matin, (ISSN 1018-3736, lire en ligne, consulté le ).
  11. « Le député Joachim Son-Forget décoré par le Président de la République du Kosovo », sur kosovo.ambafrance.org (consulté le )
  12. E. Dupoux - M. Dutat / Original design : Aran Down, « CogMaster », sur http://www.studio7designs.com (consulté le ).
  13. « Arrêté de classement ECN 2008 » [PDF], sur www.cng.sante.fr (consulté le ).
  14. « Visuo-vestibular mechanisms of bodily self-consciousness », sur EPFL,
  15. « Claveciniste, radiologue, karatéka, twittos compulsif : qui est le sulfureux député Joachim Son-Forget ? », sur LCI, (consulté le )
  16. « Concert de bienfaisance "Aidons la Syrie " », sur cdegeneve.ch (consulté le )
  17. « Joachim Son-Forget, résilient de la République », Le Temps, (lire en ligne).
  18. (en) « Bach en marche – Joachim Son Forget, harpsichord », sur albustanfestival.com, 12 février-17 mars 2019 (consulté le ).
  19. Edgar Davidian, « Joachim Son Forget : le clavecin, c’est comme le tai-chi-chuan… », L'Orient-Le Jour, (lire en ligne, consulté le ).
  20. Mathieu van Berchem, « Joachim Son-Forget, le député «suisse» à l’agenda présidentiel », sur http://www.swissinfo.ch, Swissinfo, (consulté le )
  21. David-Julien Rahmil, « Comment Alexandre Benalla est devenu le prince des trolls sur les réseaux sociaux », sur http://www.ladn.eu, L'ADN, (consulté le )
  22. Par Aurélie Rossignol, « Le député Joachim Son-Forget et Doc Gynéco ont enregistré un morceau sur les Gilets jaunes », sur leparisien.fr, (consulté le )
  23. « Ces militants PS qui ne veulent plus de Hollande en 2017 », Le Figaro, (lire en ligne).
  24. Clément Pétreault, « Joachim Son-Forget : Le « roi des trolls » fonde son parti politique », sur Le Point, (consulté le )
  25. « Large victoire du candidat pro-Macron en Suisse », sur 20min.ch, (consulté le )
  26. Arthur Berdah et Mathilde Siraud, « La République en marche : la liste qui veut défier les ténors du parti », Le Figaro, samedi 18 / dimanche 19 novembre 2017, p. 2 (lire en ligne)
  27. « Castaner (officiellement) élu à la tête de La République En Marche », sur Le HuffPost, (consulté le )
  28. « Joachim Son-Forget, le député «suisse» à l’agenda présidentiel », swissinfo.ch, (lire en ligne, consulté le ).
  29. Laure Equy, « Accusés de manquer d'assiduité, les députés LREM protestent », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
  30. Guillaume Narduzzi-Londinsky, « Les macronistes sont-ils (vraiment) les "cancres" de l’Assemblée nationale ? », Les Inrocks, (lire en ligne, consulté le ).
  31. BLOOM Association, « 20171129 Question au gouvernement Pêche électrique », (consulté le ).
  32. « Pêche électrique : « Cette pratique fait honte à l’Europe et nous décrédibilise sur la scène internationale » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  33. « N° 632 - Proposition de résolution européenne de M. Joachim Son-Forget relative à l'interdiction de la pêche électrique », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  34. « L'Assemblée soutient à l'unanimité l'interdiction de la pêche électrique », Le Point, (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Stanislas Guerini et Joachim Son-Forget candidats officiels pour prendre la tête de LaREM », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  36. Manon Rescan, « Castaner fait ses adieux à La République en marche, les ambitions s’aiguisent pour le remplacer », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Stanislas Guerini, un nouveau patron pour sortir LREM du coma politique », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Stanislas Guerini, un marcheur historique pour LREM », sur LExpress.fr, (consulté le ).
  39. Jérémy Marot et Pauline Théveniaud, Les Apprentis de l'Élysée, Plon, , 280 p., p. 316.
  40. « Comment Joachim Son-Forget est devenu un député-troll - Par Tony Le Pennec | Arrêt sur images », sur www.arretsurimages.net, (consulté le )
  41. « Joachim Son-Forget a (encore) passé sa nuit à écrire n'importe quoi sur Twitter », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  42. Alexis Boisselier, « Les propos homophobes de Marcel Campion provoquent un malaise au sein d’En marche », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  43. David Perrotin, « Quand Marcel Campion tient des propos homophobes en pleine réunion publique », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  44. « « Donald le gâteux » : un député LREM se lâche sur Trump », sur L'Express, (consulté le ).
  45. « « La France kisses your ass », la réponse fleurie d'un député français au tweet de Trump », sur HuffPost Maghreb, (consulté le ).
  46. « Tweets sexistes visant la sénatrice écolo Esther Benbassa : les explications alambiquées du député LREM », sur Libération, (consulté le ).
  47. « Sur Twitter, Joachim Son-Forget persiste et signe », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  48. « Le groupe LaREM se désolidarise de Joachim Son-Forget après ses tweets contre Esther Benbassa », sur lci.fr, (consulté le ).
  49. B. L., « Joachim Son-Forget va recevoir une « lettre d'avertissement » », sur BFM TV, (consulté le ).
  50. Florian Fischbacher, « L'idiosyncrasie de Joachim Son-Forget », sur Le Temps, (consulté le ).
  51. « Le député LREM accusé de sexisme envers une sénatrice s'explique (et c'est compliqué) », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  52. « Visé par un avertissement de conduite, Joachim Son-Forget se lâche sur LREM », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  53. « Joachim Son-Forget quitte La République en Marche », sur Le Parisien, (consulté le ).
  54. « Le député Son-Forget, auteur de dérapages sur Twitter, quitte LREM », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
  55. Tugdual Denis, « Info VA : Joachim Son-Forget démissionne de la République en marche », sur Valeurs actuelles (consulté le ).
  56. AFP, « Panorama du vote de confiance pour Jean Castex », sur lentreprise.lexpress.fr, (consulté le ).
  57. « Annonce no 1481 », Journal officiel de la République française, no 5 de la 151e année, (lire en ligne).
  58. « Valeur absolue », sur Journal officiel de la République française, .
  59. « Joachim Son-Forget : l’homme qui fait de la politique autrement », sur Contrepoints, (consulté le ).
  60. « «Je suis français (et européen)» : démissionnaire de LREM, Joachim Son-Forget créé son propre parti », sur RT en Français (consulté le ).
  61. « Le député provocateur Joachim Son-Forget rejoint l'UDI en promettant de s'amender », sur Le Figaro, (consulté le ).
  62. « Alexandre Benalla ne deviendra pas l’assistant parlementaire de Joachim Son-Forget », sur L'Obs, (consulté le ).
  63. Hubert Guerin, « EXCLU : Joachim Son-Forget : « Je ne serai pas candidat aux européennes » », sur vl-media.fr, (consulté le ).
  64. « Joachim Son-Forget (ex-LaREM) devient apparenté UDI », sur Le Figaro, (consulté le ).
  65. « Modifications à la composition des groupes », sur Assemblée nationale (consulté le ).
  66. « Joachim Son-Forget (ex-LREM) un député en vacances à Nice filme une agression et témoigne auprès de la police », sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, .
  67. « Politique. Le député Joachim Son-Forget quitte le groupe UDI et s’affiche avec Marion Maréchal », sur Ouest-France, (consulté le ).
  68. Astrid de Villaines, « De député LREM bien élevé à l'illégalité, le virage trash du député Joachim Son-Forget », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  69. Ronan Tésorière, « Joachim Son-Forget, le député qui a relayé l’article attaquant Benjamin Griveaux « pour le prévenir » », sur Le Parisien, (consulté le ).
  70. M. N., « Élections consulaires : En Marche et l’union de la gauche se partagent la victoire », sur Le Dauphiné libéré, (consulté le ).
  71. « Résultats du vote à l’urne & par internet - Elections des conseillers des Français de l’étranger et des délégués consulaires », sur geneve.consulfrance.org (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • Portail de la politique française
  • Portail de la Suisse
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.