Isigny-le-Buat

Isigny-le-Buat est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 3 272 habitants[Note 1] (les Isignois).

Pour les articles homonymes, voir Isigny et Le Buat.

Isigny-le-Buat

Mairie d'Isigny-le-Buat.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie
Maire
Mandat
Jessie Orvain
2020-2026
Code postal 50540
Code commune 50256
Démographie
Gentilé Isignois
Population
municipale
3 272 hab. (2018 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 08″ nord, 1° 10′ 17″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 215 m
Superficie 73,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Isigny-le-Buat
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Isigny-le-Buat
Géolocalisation sur la carte : Manche
Isigny-le-Buat
Géolocalisation sur la carte : France
Isigny-le-Buat
Géolocalisation sur la carte : France
Isigny-le-Buat
Liens
Site web www.isigny-le-buat.com

    Géographie

    Cette commune est située à 30 km à l'est du mont Saint-Michel. Couvrant 7 331 hectares, son territoire était le plus étendu des communes de Basse-Normandie[1] avant la création de Tinchebray-Bocage le .

    Isigny-le-Buat et ses communes associées

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 934 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Hilaire-du-Harcouët », sur la commune de Saint-Hilaire-du-Harcouët, mise en service en 1991[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 947,2 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 39 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,9 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Isigny-le-Buat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,3 %), terres arables (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,6 %), forêts (4,1 %), zones urbanisées (2,5 %), eaux continentales[Note 7] (0,7 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la commune est créé par l'union de celui des deux anciennes communes, Isigny (Isigny-les-Bois)[24] et Le Buat.

    Isigny est désignée en latin médiéval sous les formes de Isienio vers 1120, de Iseneio 1168, Ysigné vers 1191, Isigneio en 1214, Ysigney en 1488[25],[26].

    François de Beaurepaire propose le nom de domaine gallo-roman *Isiniacum, basé sur le nom de personne germanique Iso (cité par Marie-Thérèse Morlet)[25]. Il y a plusieurs noms de ce type dans la Manche. En outre, on trouve Isigny-sur-Mer (Calvados), Saint-Lubin-d'Isigny (Eure-et-Loir), Isigné (Sarthe), Isenay (Nièvre) et peut-être Isignacum, un lieu non identifié du Gard[25]. Cependant, on rencontre ce type de toponyme : nom de personne germanique + suffixe -(i)acum principalement au nord de la France, plus germanisé. Dans ce cas, il s'agit du suffixe -INIACU, forme allongée de -acum, basé à l'origine sur des anthroponymes terminés en -in qui a acquis une autonomie.

    Le Buat signifie en ancien français, un « lavoir »[27], peut-être « un canal, un conduit d'eau ».

    Histoire

    Le nom de la commune vient de la fusion en 1969 des communes d'Isigny et du Buat.

    En 1973, la commune a encore fusionné avec Les Biards, Chalandrey, La Mancellière, Le Mesnil-Bœufs, Le Mesnil-Thébault, Montgothier, Montigny, Naftel et Vezins, qui ont gardé le statut de communes associées.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1969 1973 Auguste Pinel   Négociant
    Ancien maire d'Isigny
    1973 1999 Bernard Pinel DVD puis UDF Conseiller général (1967-2004)
    1999[28] mars 2008 Maurice Orvain DVD  
    mars 2008[29] mai 2020 Érick Goupil[30] DVD puis UDI Magasinier cariste
    mai 2020[31] En cours Jessie Orvain SE Exploitante agricole

    Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et cinq adjoints[30]. Neuf de ces conseillers sont respectivement maires délégués des communes associées des Biards, de Chalandrey, de La Mancellière, du Mesnil-Bœufs, du Mesnil-Thébault, de Montgothier, de Montigny, de Naftel et de Vezins.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2018, la commune comptait 3 272 habitants[Note 8], en diminution de 1,21 % par rapport à 2013 (Manche : −0,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Avant les fusions et associations de 1969 et 1973

    Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    Les Biards[C 1] 1 180 1 104 1 163 1 042 1 164 1 073 1 040 1 021 1 057 1 042 976 951 911
    Le Buat[C 2] 400 356 396 426 372 385 398 420 409 417 414 405 401
    Chalandrey[C 3] 685 577 670 706 701 660 653 706 726 653 609 579 548
    Isigny[34] 400 353 376 385 372 361 351 341 351 343 342 317 324
    La Mancellière[C 4] 560 493 543 587 592 581 619 660 637 592 606 395 542
    Le Mesnil-Bœufs[C 5] 460 391 416 421 429 402 418 401 420 402 416 405 390
    Le Mesnil-Thébault [C 6] 550 503 547 513 561 542 569 574 583 575 546 535 510
    Montgothier[C 7] 580 558 616 651 650 662 665 679 667 678 644 654 578
    Montigny[C 8] 620 469 685 705 608 625 607 600 602 620 602 537 534
    Naftel[C 9] 240 260 225 269 260 248 273 276 256 268 240 243 250
    Vezins[C 10] 712 644 668 599 631 565 607 616 656 651 631 653 595
    Total 6 187 5 708 6 305 6 304 6 340 6 140 6 200 6 294 6 364 6 241 6 026 5 674 5 583
    Année 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    Les Biards 880 845 801 779 735 702 706 695 635 640 699 679 652 581 564 508
    Le Buat 404 424 451 420 403 385 388 399 354 366 369 359 357 358 322 294
    Chalandrey 566 547 565 528 520 465 460 457 413 420 409 395 434 425 401 364
    Isigny 311 336 337 314 320 313 311 322 286 290 310 297 296 250 267 267
    La Mancellière 530 505 510 534 532 515 505 478 422 375 391 381 391 359 334 320
    Le Mesnil-Bœufs 400 351 350 360 352 315 293 320 275 296 297 312 311 304 281 240
    Le Mesnil-Thébault 501 512 505 462 448 434 424 427 392 377 355 372 333 370 355 317
    Montgothier 566 538 510 529 512 484 485 462 381 422 425 406 378 364 350 333
    Montigny 538 521 511 519 516 501 497 474 451 469 456 499 486 427 384 352
    Naftel 260 240 260 226 226 215 217 204 222 203 228 229 210 206 186 181
    Vezins 591 580 523 516 524 522 509 471 383 404 595 441 444 441 406 361
    Total 5 547 5 399 5 323 5 187 5 088 4 851 4 795 4 709 4 214 4 262 4 534 4 370 4 292 4 085 3 850 3 537

    Après les fusions et associations de 1969 et 1973

    Évolution de la population  [modifier]
    1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    3 1503 1473 2073 0503 1863 2823 2993 272
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population des communes associées

    Population municipale 2018[36] :

    Communeshab.
    Les Biards429
    Chalandrey309
    Isigny-le-Buat849
    La Mancellière283
    Le Mesnil-Bœufs187
    Le Mesnil-Thébault286
    Montgothier243
    Montigny (Manche)241
    Naftel180
    Vezins265

    Transport

    Ferroviaire

    Gare d'Isigny-le-Buat.

    La commune se trouve sur l'ancienne ligne Domfront - Avranches de chemin de fer.

    Économie

    • Société beurrière d'Isigny-le-Buat (Lactalis)
    • Électropoli
    • Sirec
    • Mgpi
    • Groupe Lactatraite & Lactaproflex
    • Ouest remorques
    • Lemaitre services automobiles
    • Lemonnier
    • Transports Daligault

    Les déchets métalliques à haute teneur en aluminium en provenance de la métropole de Strasbourg sont traités dans la commune[37].

    Lieux patrimoniaux

    Patrimoine religieux

    • La chapelle Notre-Dame-de-la-Miséricorde-et-du-Rosaire de Pain-d'Avaine (XVIe siècle), dans le bourg d'Isigny. Restaurée en 1986 et rouverte au culte. Exposition statuaire d'art religieux.
    • L'église Saint-Martin d'Isigny, extérieure au bourg.
    • L'église Saint-Jean du Buat (XVIIIe siècle).
    • L'église Saint-Martin des Biards dont le clocher en bâtière du XVIe siècle est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[38].
    • L'église Saint-Pierre de Naftel abrite une croix en pierre du XVe siècle et une Vierge à l'Enfant (vers 1500) classées à titre d'objets.
    • L'église Saint-Martin de Chalandrey (XVIIIe siècle) dont les bancs proviennent de l'abbaye de Savigny.
    • L'église Notre-Dame de Montigny abrite une croix de procession du
      classée à titre d'objet aux Monuments historiques[39].
    • L'église Notre-Dame de Montgothier (XVIIIe siècle).
    • L'église Saint-Brice du Mesnil-Bœufs (XVe siècle).
    • L'église Notre-Dame de Vezins (XVIIe siècle).
    • L'église Saint-Pierre du Mesnil-Thébault (XIXe siècle).
    • L'église Saint-Pierre de La Mancellière en partie du XVe siècle, tour du XIXe siècle.

    Patrimoine civil

    • Le château de La Mancellière.
    • Le manoir de la Faverie, appartenant au XIXe siècle à la famille Le Marié, reconnaissable aux trois mains sculptées figurant au-dessus de la porte principale[40].
    • Le logis de Montgothier (XVIIIe siècle) est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[41].
    • Le logis d'Isigny, sur lequel au Moyen Âge se dressait un château fort à deux ponts-levis entouré de douves et d'étangs. Propriété de Jean de Brecey seigneur d'Isigny, fidèle au roi Henri IV durant la Ligue (1589-1591). Cette place forte reçut 30 soldats lors du siège d'Avranches en 1589. La princesse d'Harcourt vend en 1701 les terres d'Isigny à la famille Godard d'Isigny, puis par succession à la famille Le Roy de Brée et Foisil. Le logis est restauré et ses étangs asséchés vers 1890 par Henri Foisil[réf. nécessaire].
    • Le château du Bois-Tyrel.
    • Les barrages de Vezins et La-Roche-Qui-Boit. Retenue d'eau de 18 km de long, navigable sauf à proximité du barrage. Lieux de pêche au blanc réputés (brochet, sandre, carpe). Ce sont les étendues d'eau les plus importantes de la Manche. Une base de loisirs, propriété de la commune, y est implantée : la base de la Mazure. Une association gère ces activités de loisirs essentiellement basées sur l'eau et l'hydroélectricité, l'accueil de classes vertes. En , l'État décide de ne pas reconduire la concession au bénéfice d'EDF et décide la destruction des deux barrages.

    Activité et manifestations

    Sports

    L'Étoile sportive d'Isigny-le-Buat fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[42].

    Manifestation

    • Les Féériques de Montgothier, spectacle de sons et lumières créé en 1993 par Antoine Gautier-Sauvagnac, présentant, chaque samedi soir de juillet et d'août, dans les jardins d'une vieille bâtisse normande du XVIIIe siècle, une série de tableaux évoquant l'histoire, les traditions et le folklore de la région. Huit cents bénévoles, originaires du canton d'Isigny-le-Buat, y participent en costumes. Grâce à une tribune panoramique érigée en 2005, 4 000 personnes peuvent assister au spectacle chaque soir de représentation. L'association est en sommeil depuis .

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Sources

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Annuaire-mairie.fr - Isigny-le-Buat » (consulté le ).
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Saint-Hilaire-du-Harcouët - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Isigny-le-Buat et Saint-Hilaire-du-Harcouët », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Saint-Hilaire-du-Harcouët - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Isigny-le-Buat et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Hippolyte Sauvage, « Canton d'Isigny-les-Bois : Isigny-les-Bois », Revue historique, archéologique et monumentale de l'arrondissement de Mortain, tome 2, impr. d'Élie fils, Saint-Lô, 1882, p. 50-46.
    25. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 141 - 142.
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, Genève, 1996, Page 765 (ISBN 2600001336).
    27. Cahier des Annales de Normandie - René Lepelley - Les noms de communes de l'arrondissement d'Avranches (Manche) - page 562.
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    Références à Cassini

    Voir aussi

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