Isigny-sur-Mer

Isigny-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 3 619 habitants[Note 1] (les Isignais).

Pour les articles homonymes, voir Isigny.

Isigny-sur-Mer
De haut en bas, de gauche à droite : le château de Castilly ; l'église Saint-Georges d'Isigny-sur-Mer, vue de l'Aure à Isigny-sur-Mer ; l'hôtel de ville de la commune ; l'église Notre-Dame de Vouilly ; la chapelle Saint-Roch de Neuilly-la-Forêt.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Bayeux
Intercommunalité Communauté de communes Isigny-Omaha Intercom
Maire
Mandat
Éric Barbanchon
2020-2026
Code postal 14230 et 14330
Code commune 14342
Démographie
Gentilé Isignais
Population
municipale
3 619 hab. (2018)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 07″ nord, 1° 06′ 03″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 64 m
Superficie 61,44 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Isigny-sur-Mer
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Trévières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Isigny-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Isigny-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Isigny-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Isigny-sur-Mer
Liens
Site web www.isigny-sur-mer.fr

    Géographie

    Situé au fond de la baie des Veys, le territoire d'Isigny-sur-Mer est bordé à l'ouest par la Vire et au nord par son ultime affluent, l'Aure, qui arrose le bourg. La commune fait partie du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 10,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 754 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont, mise en service en 1997[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 913,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 50 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Isigny-sur-Mer est une commune rurale[Note 6],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Isigny-sur-Mer, dont elle est la commune-centre[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    La commune, bordée par l'estuaire de la Vire, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté dans la mention [William de] Ysini vers 1150, Esigny (sans date).

    Voir Isigny-le-Buat.

    Isigny devient « Isigny-sur-Mer » en 1924.

    Histoire

    L'histoire d'Isigny, bourg de moyenne importance, est intrinsèquement liée à l'activité économique locale. L’industrialisation de la transformation laitière s'y développe dès le début du XIXe siècle. La dynastie des Dupont d'Isigny crée plusieurs usines, où les fameux caramels d'Isigny seront créés. Puis ce sera la Coopérative laitière d’Isigny qui tiendra le haut du pavé[Quoi ?]. Parallèlement, les foires agricoles et les marchés feront d’Isigny un centre réputé.

    Le port, souvent oublié, connut une activité importante : accueillant le petit cabotage, il permit de maintenir et de développer des activités commerciales et industrielles (importation de bois du nord, exportation de beurre et de charbon de la mine de Littry). La pêche y tint un rôle important jusqu'à la fin des années 1970 (pêche aux moules, le fameux « Caïeu d'Isigny », et aux coques à partir de petites embarcations, les picoteux, armées par les pêcheurs du quartier des Hogues).

    La ville fut desservie par les chemins de fer du Calvados, une compagnie de chemin de fer secondaire.

    En 1924, Isigny devient Isigny-sur-Mer.

    Détruite à plus de 60 % par deux vagues de bombardements le , Isigny fut presque entièrement reconstruite. Le général de Gaulle rendit visite à ses habitants le et le .

    La famille de Walt Disney serait originaire d'Isigny, le nom « d'Isigny » s'étant au fil des générations transformé en Disney[22].

    Le , les communes de Castilly, d'Isigny-sur-Mer, de Neuilly-la-Forêt, des Oubeaux et de Vouilly fusionnent pour former la commune nouvelle d'Isigny-sur-Mer par un arrêté préfectoral du [23]. Les communes de Castilly, d'Isigny-sur-Mer, de Neuilly-la-Forêt, des Oubeaux et de Vouilly deviennent des communes déléguées et Isigny-sur-Mer est le chef-lieu de la commune nouvelle.

    Politique et administration

    Mairie d'Isigny-sur-Mer.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 2017[24] En cours Éric Barbanchon[25] UDI Technicien de laboratoire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de vingt-neuf conseillers dont le maire et huit adjoints[25].

    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Isigny-sur-Mer
    (siège)
    CC Isigny-Grandcamp-Intercom17,442 508 (2018)144
    Castilly14142CC Isigny-Grandcamp-Intercom12,20306 (2018)25
    Neuilly-la-Forêt14462CC Isigny-Grandcamp-Intercom21,20444 (2018)21
    Les Oubeaux14481CC Isigny-Grandcamp-Intercom4,27209 (2018)49
    Vouilly14763CC Isigny-Grandcamp-Intercom6,33152 (2018)24

    La commune appartient à la communauté de communes Isigny Omaha Intercom créée le .

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2018, la commune comptait 3 619 habitants[Note 8].

    Évolution de la population  [modifier]
    2015 2016 2017 2018
    3 6743 6563 6393 619
    (Sources : Insee à partir de 2015[26].)

    Économie

    La crème d'Isigny.
    Une laiterie d'Isigny vers 1900.

    Isigny est célèbre pour les produits du terroir fabriqués à partir du lait, comme le beurre et la crème qui bénéficient d'une AOP[27]. On y fabrique aussi des fromages : mimolette, pont-l’évêque, camembert AOP, trésor d’Isigny, etc., notamment à la coopérative « Isigny Sainte-Mère ».

    La commune est aussi connue pour ses confiseries, en particulier les caramels de la société Dupont d'Isigny.

    Depuis la deuxième moitié du XXe siècle, l'ostréiculture est largement développée à proximité dans la baie des Veys (Isigny-sur-Mer).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Georges du XIIIe siècle.
    • L’hôtel de ville se trouve dans un château du XVIIIe siècle, style Louis XVI.
    • Chapelle Saint-Roch (XVIe siècle).
    • Château de Castilly, du XVIIIe siècle, entouré d'un parc à la française classé de quatre hectares et de 1 200 mètres de douves.
    • L'église Notre-Dame de Vouilly, a pour origine une chapelle sépulcrale appartenant à un cimetière mérovingien au VIe siècle. L'édifice actuel date du VIIIe siècle, remanié aux XIIe, XIIIe et XIXe siècles. L'église fut fortifiée pendant la guerre de Cent Ans.
    • Le château de Vouilly date du XVIIe siècle, jardins à la française.
    • Église Sainte-Marie-Magdeleine du XIIe siècle des Oubeaux. L'édifice d'origine, d'orientation classique est-ouest, est devenu au XIXe le transept d'une nef orientée nord-sud, munie d'un clocher.
    • Fromagerie au lieu-dit de la Chevallerie aux Oubeaux.
    • Château[28] du XIe siècle d'architecture normande. Il appartenait à Odon, frère de Guillaume le Conquérant.
    • Église Notre-Dame-de-l’Assomption de Neuilly-la-Forêt.
    • L'ancien terrain d'aviation[29] : construit en 1944 par l’armée américaine, le terrain d’aviation dans son temps (plus de 200 hectares) a vu plus de 100 avions parqués sur son sol. Ces avions ont joué un rôle important dans les bombardements de Falaise-Argentan, là où étaient de nombreux équipements et résistants allemands.
    • La ferme des Carrières (ancienne ferme de la Résistance) à Neuilly-la-Forêt : Jean Picot s'installe dans la ferme en , il refuse l’humiliation de la défaite et répond à l'appel de général de Gaulle. Il met rapidement sa ferme à la disposition de prisonniers et résistants et mène de nombreuses missions. Après la libération d’Isigny-sur-Mer et des communes alentour, Jean Picot met sa ferme à la disposition de l’armée américaine pour des missions périlleuses derrière les lignes de l’ennemi. Jean Picot a été récompensé par la croix de guerre et la médaille de la Résistance. Une grande partie de la ferme fut détruite lors de la tempête du 26 décembre 1999.
    • La chapelle Saint-Roch fut construite en 1514 par Guillaume Verdery en bonne foi afin d'avoir sauvé son père de la peste[30]. Elle fut abandonnée puis restaurée en 1951 afin d'accueillir des pièces d'art.
    • Monument Signal, commémorant la libération de la ville. Il est situé sur la place du Général-de-Gaulle. Il est inauguré en 1957. Il fait partie d'une série de monuments semblables, portant le même titre, situés dans les communes où le Débarquement de 1944 eut lieu.

    Patrimoine disparu

    Buste d'Émile Demagny.
    • Buste en bronze d'Émile Demagny. Il était situé sur la place Gambetta, qui depuis a été rebaptisée place du Général-de-Gaulle. Il est réalisé par Léopold Bernstamm et inauguré en 1922. La statue était entourée d'une grille. Sous le régime de Vichy, elle est déboulonnée et fondue, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Le piédestal est resté vide.
    • Buste en bronze de Charles Boutrois. Il est réalisée par Alexandre Descatoire et inauguré en 1929. Sous le régime de Vichy, il est déboulonné et fondu, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Jean Boutrois écrit en vain au maréchal Pétain pour demander d'épargner le buste de son père Charles. Le piédestal est resté vide.

    Sports

    L'Étoile sportive d'Isigny-sur-Mer fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[31].

    Loisir pour tous Isigny, association de basket-ball, comprend des équipes jouant à un niveau départemental.

    Un club de tennis de table, né de la fusion entre les clubs originels d'Isigny-sur-Mer et Saint-Pellerin, regroupent des joueurs de tout âge.

    Jumelages

    Isigny-sur-Mer est jumelée avec :

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Énault (1824 à Isigny - 1900), journaliste et romancier.
    • Jean Lion (né en 1933 à Isigny-sur-Mer), footballeur professionnel.
    • Alain Hopquin (né en 1952), footballeur professionnel, résidant à Isigny jusqu'à son départ pour Lens.
    • Jean-Noël Levavasseur (né en 1965), journaliste et écrivain, a grandi à Isigny-sur-Mer.
    • Stéphane Allagnon (né en 1967), réalisateur de cinéma, a grandi à Isigny-sur-Mer.
    • Les ancêtres de Walt Disney seraient originaires de cette bourgade avant de partir pour l'Angleterre ; Disney — prononcé /ˈdɪzni/ — serait l'anglicisation de d'Isigny. Un bas-relief du Château de la Belle au bois dormant des parcs d'attractions et sur le drapeau du château des génériques des films Disney se trouve le blason de ces ancêtres. Cette découverte a été faite par des héraldistes quand Walt Disney a voulu ajouter un emblème à ces châteaux[32].

    Héraldique

    Les armes de la commune d'Isigny-sur-Mer se blasonnent ainsi :
    d'azur au chevron d'argent, accompagné en chef de deux ancres du même et en pointe d'un bœuf d'or ; au chef parti au I de gueules à la mitre d'or et au II palé d'or et de gueules[33].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Isigny-sur-Mer et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Isigny-sur-Mer et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Disney : "Mickey, Bambi, Picsou, Grincheux, n’existeraient pas sans Isigny-sur-Mer" », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le )
    23. « RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS N° 97 du 13 septembre 2016 », sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
    24. « Éric Barbanchon élu maire de la commune nouvelle », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    25. Réélection 2020 : « Municipales à Isigny-sur-Mer. Éric Barbanchon élu maire de la commune nouvelle », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Site fromages-aop.com
    28. « Château (ancienne résidence épiscopale) », notice no PA14000014, base Mérimée, ministère français de la Culture
    29. 474th FG
    30. panneau explicatif de la chapelle
    31. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – ES Isigny-s/-Mer » (consulté le )
    32. « Les Secrets de Disneyland Paris : Fantasyland », sur www.chroniquedisney.fr (consulté le ).
    33. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=2984

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Y. Bailly et Philippe Pesnelle, Au pays d’Isigny-sur-Mer
    • Philippe Pesnelle, La baie des Veys, éditions Sutton

    Articles connexes

    Liens externes

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