Dysfonction érectile

La dysfonction érectile (autrefois appelée impuissance sexuelle) consiste, soit dans l'impossibilité durable d'obtenir une érection valable, soit de ne pouvoir la maintenir si elle est obtenue avec une rigidité pénienne suffisante pour l'accomplissement de l'acte sexuel au moment précis de la pénétration. Lorsqu'elle ne consiste que dans une absence de désir sexuel, il est alors question d'aphanisis.

Dysfonction érectile
Spécialité Urologie, psychiatrie et psychologie
CISP-2 Y07
CIM-10 F52.2, N48.4
CIM-9 302.72, 607.84
DiseasesDB 21555
eMedicine 444220
eMedicine med/3023 
MeSH D007172
Traitement Psychothérapie
Médicament Yohimbine, papavérine, méthyltestostérone (en), ginseng (en), sildenafil citrate (d), sildénafil et vardénafil
Patient UK Erectile-dysfunction

Mise en garde médicale

Épidémiologie

Sa fréquence est difficile à déterminer en raison d'une sous-estimation probable des cas déclarés et de la définition donnée à la dysfonction érectile (incapacité à obtenir ou à maintenir une érection satisfaisante). Les différentes données ne sont donc pas comparables. Son incidence s’accroît avec l'âge.

En France, plus de 30 % des hommes de plus de 40 ans présenteraient un problème de dysfonction érectile[1]. Un même ordre de grandeur est retrouvé en Amérique[2].

La survenue d'une dysfonction érectile avant 60 ans est fortement corrélée avec le risque d'avoir une maladie cardiovasculaire[3]. Cela impose la recherche et la prise en charge des facteurs de risque cardiovasculaire et des mesures hygiéno-diététiques. Ainsi, la mise sous régime et exercice physique chez l'obèse permet parfois d'améliorer la dysfonction[4].

Le diabète est un facteur de risque important de dysfonction érectile[5].

Le tabagisme est un facteur de risque reconnu[6], sans qu'il y ait besoin d'avoir d'autres maladies.

L'alcoolisme est un facteur de risque.

Physiopathologie

La stimulation sexuelle cause la libération de monoxyde d’azote qui est un des principaux médiateurs à l’origine d’une érection. Cette libération est localisée et démarre à partir des cellules endothéliales des corps caverneux d’une part et des neurones non adrénergiques et non cholinergiques d’autre part. Sous contrôle de récepteurs spécifiques, les récepteurs P2y, et à l’intérieur du muscle, ce monoxyde d’azote active la guanylate cyclase, ce qui a pour conséquence d’entraîner une transformation de la guanosine triphosphate en guanosine monophosphate cyclique (GMPc). L’accumulation de GMPc mène, entre autres, à une relaxation de la musculature lisse des artères péniennes et du tissu intra-caverneux, ainsi qu'à l’engorgement du pénis et, in fine, à l’érection.

Causes

Causes chimiques

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L'isotrétinoïne ainsi que certains neuroleptiques, consommés à long terme, peuvent provoquer définitivement la dysfonction érectile. Le tabac qui contient du goudron provoque, à long terme, selon l'âge de la personne ou selon sa condition physique, la dysfonction érectile car il est nocif pour les artères et les vaisseaux sanguins.

Causes organiques

Les maladies cardiovasculaires sont concernées au tout premier rang. Diabète, hypertension artérielle, hyperlipidémie, ou athérosclérose affectent la vasodilatation des vaisseaux, ce qui va altérer l’afflux sanguin et la fonction érectile au niveau du pénis.

Les maladies neurologiques (accidents vasculaires cérébraux, sclérose en plaques, maladie d’Alzheimer, mais aussi traumatisme du système nerveux…) ou des déséquilibres hormonaux (insuffisance en hormones mâles liée à un hypogonadisme, maladies thyroïdiennes…) provoquent eux aussi des dysfonctions érectiles.

Au niveau de la verge, certaines pathologies spécifiques sont également à l’origine de troubles de l’érection (maladie de Lapeyronie[7], avec fibrose des tissus érectiles).

De nombreux médicaments ont également un impact négatif connu sur la fonction érectile. On parle alors d’iatrogénie médicamenteuse. Le problème est fréquemment rencontré, notamment avec des thérapeutiques comme les antihypertenseurs, les antidépresseurs, les neuroleptiques[8], les diurétiques, les bêta-bloquants[9], les hypolipémiants, ou la chimiothérapie[10].

Un geste chirurgical au niveau pelvien (prostatectomie radicale) peut lui aussi avoir comme conséquences des troubles de l’érection[11].

Causes psychiques

Chez beaucoup d’hommes, la fonction érectile peut être perturbée par le stress, un problème psychologique ou une réaction émotionnelle. Des troubles anxieux, une faible estime de soi, une relation affective perturbée, ou une dépression peuvent déclencher ou aggraver une dysfonction érectile. Ces facteurs psychologiques sont considérés comme les principales causes empêchant une vie sexuelle satisfaisante chez les jeunes[12].

Diagnostic

Pour affirmer la nature d'une dysfonction érectile, il doit y avoir recours à l'enregistrement des érections nocturnes du sommeil paradoxal (présentes et excellentes en cas de blocage psychologique ou de perte sensitive, médiocres ou nulles en cas de pathologies organiques). Cet examen, toujours essentiel pour orienter le diagnostic, n'est plus utile, de nos jours, si mais seulement si la personne atteinte de trouble de l'érection est certain de la bonne qualité de ses érections diurnes ou nocturnes et déclare que c'est la survenue d'une nouvelle ou d'un nouveau partenaire, dans sa vie sexuelle, qui a provoqué le défaut récent et total. L'origine sensitive de la dysfonction érectile est aussi questionnée : elle est conditionnée par une disparition partielle ou totale des sensations de volupté à la surface de la verge (usure et non-renouvellement des corpuscules de Krause), notamment au niveau du frein, pouvant s'accompagner d'une douleur cutanée ou d'une modification d'aspect de la peau (kératinisation) du prépuce, et peut se manifester dans un premier temps dès l'absence de stimulation visuelle, à la suite des préliminaires. Si l'aphanisis peut conduire à la dysfonction érectile, elle peut également en être la conséquence.

L'association avec une maladie cardiovasculaire doit être systématiquement recherché (au minimum un électrocardiogramme, avec si besoin une épreuve d'effort).

Au niveau biologique, la recherche d'un diabète doit être systématique (mesure de la glycémie à jeun). Un dosage du taux de testostérone peut orienter vers une cause endocrinienne.

Traitements

Traitements non médicamenteux

Historiquement, l'impuissance sexuelle a fait l'objet de différents traitements, dont par exemple l'électrothérapie[13].

La prise en charge des dysfonctions d'origines psychogène peut faire appel à une psychothérapie individuelle ou de couple mais il n'existe pas de réelle évaluation de l'efficacité de ce type de traitement.

En revanche la prise en charge des dysfonctions d'origines organiques est possible. Une étude du Professeur Pierre Lavoisier, publiée dans le journal américain The PhysioTherapy Journal[14], a démontré l'efficacité de sa méthode IC-Force[15] dans le traitement du trouble de l'érection.

Le changement de mode de vie peut avoir un effet bénéfique[16] dont l'arrêt du tabac[17]. La consommation d'alcool à doses raisonnables ne semblent pas jouer significativement sur la fonction érectile[18]. La prise de compléments alimentaires peut réguler ou atténuer des troubles mineurs de la circulation ou du stress (ex: ail, phytothérapie antistress).

Traitements par voie orale

« Remède contre l'impuissance des Hommes » selon Paracelse.

Les médicaments à prendre par voie orale sont souvent prescrits. Proposant un mode de prise « à la demande » pour une utilisation ponctuelle, ou en continu pour un besoin plus quotidien, ils présentent des contre-indications et des précautions d’emploi qu’il est nécessaire de bien respecter. Les effets secondaires de ces médicaments sont liés à leur mode d’action, et le médecin choisit telle ou telle molécule en fonction de son patient.

Les inhibiteurs de la phosphodiestérase 5 sont le sildénafil, le tadalafil ou le vardénafil. Ils ont des résultats tangibles et sont disponibles. L'udénafil, le mirodénafil, l'avanafil et le lodénanafil sont en cours d'expertise. Ces produits ne jouent pas sur la libido. Le sildénafil, chez l'homme sans dysfonction érectile, peut prolonger l'érection avec éjaculation, sans jouer sur la période réfractaire (temps entre deux érections successives)[19].

Ils doivent être pris « à la demande », c'est-à-dire, peu avant une activité sexuelle prévue. Les différences essentielles entre les différents produits sont le délai d'action (qui règle le délai entre la prise du médicament et l'acte sexuel) et la durée d'action. La sensibilité individuelle varie pour chaque produit et l'échec répété de l'un d'eux doit faire essayer un autre produit de la même classe[9]. Une prise quotidienne du tadalafil à doses moindres peut être proposée, avec un résultat amélioré[20].

Les échecs de la voie orale, soit par mauvais usage au mauvais moment, soit par décharge d'adrénaline plus puissante à contracter les artères que ce que les médicaments obtiennent en dilatation, sont fréquents dans les blocages anciens et serrés.

Ils sont contre-indiqués en cas de prise de médicaments de type dérivé nitré, en raison du risque d'hypotension. Même si le risque de survenue d'accident cardiaque ne semble pas majoré, la prescription doit être prudente sur ce terrain[9].

Traitements par voie locale

Le traitement local est destiné à induire une érection. L’une des modalités consiste à pratiquer une injection dans le pénis de prostaglandine E1 (PGE1), de bimix (papavérine/phentolamine (en)) ou de trimix (papavérine/phentolamine/PGE1)[16]. Une autre passe par l’insertion dans l’urètre d’un applicateur libérant un petit bâtonnet contenant la substance active. Ces traitements nécessitent une phase d’apprentissage auprès d’un professionnel de santé, de façon à minimiser les risques de douleur ou de mauvaise administration.

L'alprostadil peut être administrée au moyen d’une goutte de crème déposée à l’extrémité du pénis (méat)[21]. La structure chimique de la molécule est identique à celle de la prostaglandine E1, dont l'action comporte une vasodilatation des vaisseaux sanguins du tissu érectile des corps caverneux et une augmentation du débit des artères caverneuses, entraînant une rigidité pénienne.

Pompe à vide

La pompe à vide, aussi appelée vacuum ou érecteur à dépression, s'utilise en conjonction avec un anneau de constriction, que l'on appelle également anneau pénien : le sang est d'abord aspiré dans le pénis grâce au vide d'air exercé dans un tube puis afin de maintenir l'érection le sujet fait glisser un anneau de constriction (espèce de garrot) à la base de la verge afin de maintenir son érection et avoir un rapport sexuel. L'anneau pénien peut rester en place maximum 30 minutes. Il existe deux têtes de pompes pour le vacuum : manuelle ou électrique.

Les résultats sont comparables à l'injection intra-caverneuse mais il offre plusieurs avantages, en termes de coût, de tolérance et d'acceptation[22]. En revanche, le Vacuum[23] et l'injection peuvent être utilisés simultanément contre la dysfonction érectile.

Ce traitement mécanique permet à l'homme de retrouver sa capacité érectile et de redonner de la souplesse au pénis.

Testostérone

La prise de testostérone peut avoir une certaine efficacité en cas de taux sanguin bas de cette hormone[16],[24].

Opération chirurgicale

En dernier lieu, la mise en place d'une prothèse pénienne peut être proposée[25]. Elle peut être semi-rigide (et donc parfois délicate à masquer) ou gonflable, à l'aide d'une pompe située dans le scrotum. En plus une hernie peut être la raison pour cette maladie et l'intervention peut aider[26].

Histoire

Dans l’Ancien Droit

C'est en 1426 qu'est prononcée la première annulation de mariage connue en France pour dysfonction érectile[27]. En effet, dans l’Ancien Droit français, la dysfonction érectile était un empêchement dirimant au mariage[28],[29]. Deux preuves de médecine légale étaient utilisées pour vérifier la sexualité des époux :

  • Dans la preuve dénommée « visite » on examinait la conformation anatomique des organes sexuels et l’on vérifiait les érections ainsi que l’ouverture et la profondeur du vagin[30].
  • En 1587[31] fut mise en place la preuve dite du « congrès » (du latin congressus), où les époux devaient accomplir le « devoir conjugal » en présence d’un groupe de médecins, chirurgiens et matrones.

Le congrès est introduit en France en 1587[31]. Pour l’historien Pierre Darmon, c’est une institution « inexplicablement et spécifiquement française[32] ». L'affaire du congrès subi en 1659 par le marquis de Langey et le scandale qui suivit, aboutirent à sa suppression. Le marquis de Langey, déclaré ''impuissant'' à la suite du résultat négatif de l'épreuve subie avec sa femme, Marie de Saint-Simon, voit son mariage annulé avec interdiction de se remarier[33]. Il décide de vivre maritalement avec Diane de Montault de Navailles avec qui il a sept enfants en sept ans. En 1675, il obtient l'autorisation de se remarier légalement, sa première épouse, remariée aussi de son côté (avec trois enfants), étant décédée. Pierre Darmon note à ce propos que le remariage d’un ''impuissant'' présumé n’avait rien d’exceptionnel[34]. À la suite de ce scandale, le procureur Chrétien-François de Lamoignon obtient du Parlement de Paris, par arrêt du , la suppression définitive du congrès[35].

Le Code civil

Le Code civil abolit le trouble de l'érection comme empêchement dirimant au mariage[31], qui n'y est pas mentionnée. Il faut attendre 1903 pour que la Cour de Cassation juge que cette dysfonction érectile ne fait pas obstacle au mariage[36]. Elle était encore retenue toutefois pour le désaveu de filiation légitime, mais uniquement lorsqu’elle était accidentelle et perceptible par un examen extérieur. L’article 313 interdisait expressément d’invoquer la dysfonction érectile naturelle pour le désaveu de paternité :

« Le mari ne pourra, en alléguant son impuissance naturelle, désavouer l’enfant : il ne pourra le désavouer même pour cause d’adultère, à moins que la naissance ne lui ait été cachée, auquel cas il sera admis à proposer tous les faits propres à justifier qu’il n’en est pas le père. »

 Article 313 ancien du Code civil[37]

L’arrêt de 1958 et l’erreur sur la personne

Depuis l’arrêt des et du tribunal civil de Grenoble, un mariage pour cause de dysfonction érectile peut être annulé en cas de tromperie, si cette dysfonction érectile a été masquée. Depuis 1975, l’aptitude à des relations sexuelles « normales » est devenue une qualité essentielle d’une personne, et la dysfonction érectile peut constituer un cas d'annulation si elle est dénoncée dans les 6 premiers mois du mariage[38].


Notes et références

    1. (en) François Giuliano, Marie Chevret-Measson, Anne Tsatsaris, Caroline Reitz, Michel Murino, Patrick Thonneau, « Prevalence of Erectile Dysfunction in France: Results of an Epidemiological Survey of a Representative Sample of 1 004 Men », European Urology, vol. 42, no 4, , p. 382-389 (ISSN 0302-2838, PMID 12361905, DOI 10.1016/S0302-2838(02)00323-8, lire en ligne, consulté le )
    2. (en) Laumann EO, Paik A, Rosen RC, « Sexual dysfunction in the United States: prevalence and predictors » JAMA 1999;281:537-544 PMID 10022110
    3. (en) Jia-Yi Dong, Yong-Hong Zhang, Li-Qiang Qin, « Erectile Dysfunction and Risk of Cardiovascular Disease: Meta-Analysis of Prospective Cohort Studies » J Am Coll Cardiol. 2011 58:1378-1385 PMID 21920268
    4. (en) Esposito K, Giugliano F, Di Palo C. et al. « Effect of lifestyle changes on erectile dysfunction in obese men: a randomized controlled trial » JAMA 2004;291:2978–84 PMID 15213209
    5. (en) Clark NG, Fox KM, Grandy M « Symptoms of diabetes and their association with the risk and presence of diabetes: findings from the Study to Help Improve Early evaluation and management of risk factors Leading to Diabetes (SHIELD) » Diabetes Care 2007;30:2868-2873 PMID 17712027
    6. (en) Mannino DM, Klevens RM, Flanders WD, « Cigarette smoking: an independent risk factor for impotence? » Am J Epidemiol. 1994;140:1003-1008 PMID 7985647
    7. Ferretti L, Faix A, Droupy S, « La maladie de Lapeyronie [Lapeyronie's disease] », Prog Urol, vol. 23, no 9, , p. 674-84. (PMID 23830262, DOI 10.1016/j.purol.2013.02.012, lire en ligne [PDF])
    8. (en) Serretti A, Chiesa A. « A meta-analysis of sexual dysfunction in psychiatric patients taking antipsychotics » Int Clin Psychopharmacol. 2011;26:130-140 PMID 21191308
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    10. (en) F. Giuliano, S. Droupy, « Sexual side effects of pharmacological treatments », Progrès en Urologie, (lire en ligne)
    11. (en) « Systematic Review and Meta-analysis of Perioperative Outcomes and Complications After Robot-assisted Radical Prostatectomy », European Urology, (lire en ligne)
    12. « L'impuissance chez les jeunes | Vitaemed.com », sur www.vitaemed.com (consulté le )
    13. Camille Bajeux, « L’impuissance sexuelle au cabinet du Docteur Bourguignon (1924-1953) », Histoire, médecine et santé, no 16, , p. 121–139 (ISSN 2263-8911, DOI 10.4000/hms.2791, lire en ligne, consulté le )
    14. (en) Pierre Lavoisier, Pascal Roy, Emmanuelle Dantony, Antoine Watrelot, Jean Ruggeri, Sébastien Dumoulin, « Pelvic-Floor Muscle Rehabilitation in Erectile Dysfunction and Premature Ejaculation » Physical Therapy Volume 94 Number 12
    15. (fr) « Description de la méthode IC-Force »
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    28. Antoine Gaspard Bocuher d'Argis et Jean Bouhier, Principes sur la nullité du mariage, pour cause d'impuissance, Londres, (OCLC 774266205).
    29. Iacub 2002, p. 101.
    30. Iacub 2002, p. 102-103.
    31. Iacub 2002, p. 103.
    32. Darmon 1979, p. 211-212.
    33. Darmon 1979, p. 81-87.
    34. Darmon 1979, p. 219.
    35. Darmon 1979, p. 219-223.
    36. Gabrielle Houbre, « Un corps sans sexe ? Un procès en nullité de mariage et un verdict confondants dans la France du XIXe siècle », Corps et psychisme, no 69, , p. 139-140 (lire en ligne)
    37. Article 313 ancien du Code civil, sur Légifrance
    38. Henri-Daniel Cosnard, « L'impuissance, cause de nullité de mariage », Revue Juridique de l'Ouest, vol. 10, no 2, , p. 181–185 (DOI 10.3406/juro.1986.1389, lire en ligne, consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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