Fourquevaux

Fourquevaux est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Fourquevaux

Axe principal du village, avec sa salle des fêtes sur la gauche et sa mairie sur la droite.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Sicoval
Maire
Mandat
Olivier Capelle
2020-2026
Code postal 31450
Code commune 31192
Démographie
Gentilé Fourquevalois
Population
municipale
784 hab. (2018 )
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 30′ 27″ nord, 1° 37′ 03″ est
Altitude Min. 165 m
Max. 256 m
Superficie 10,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Escalquens
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Fourquevaux
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Fourquevaux
Géolocalisation sur la carte : France
Fourquevaux
Géolocalisation sur la carte : France
Fourquevaux
Liens
Site web site officiel

    Ses habitants sont appelés les Fourquevalois.

    Géographie

    Accès et localisation

    Commune de l'aire urbaine de Toulouse située dans le Lauragais, à 19 km au sud-est de Toulouse.

    Communes limitrophes

    Fourquevaux est limitrophe de six autres communes.

    Carte de la commune de Fourquevaux et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Fourquevaux[1]
    Odars Préserville
    Belberaud Labastide-Beauvoir
    Montlaur Baziège

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Marcaissonne un affluent de l'Hers-Mort.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 003 hectares ; son altitude varie de 165 à 256 mètres[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 733 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ségreville », sur la commune de Ségreville, mise en service en 1961[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à 22 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 14,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[15] : les « Rives du ruisseau de Tissier » (8 ha)[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Fourquevaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,7 %), zones agricoles hétérogènes (25 %), zones urbanisées (3,1 %), forêts (0,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La ligne 201 du réseau Tisséo relie la commune à Malepère, un quartier de Toulouse, permettant une correspondance avec le Linéo L7 en direction du centre-ville de Toulouse, la ligne 357 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Revel.

    Histoire

    Héraldique

    Blasonnement des armes du village de Fourquevaux :

    « De gueules à la bande d'argent »[23].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[24],[25].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton d'Escalquens (avant le redécoupage départemental de 2014, Fourquevaux faisait partie de l'ex-canton de Montgiscard).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981  ? François Fonteilles DVG  
    mars 2001 2008 Robert Demur    
    mars 2008 2014 Henri Valés    
    2014 mai 2020 François Aumonier SE Cadre (en secteur privé)
    mai 2020 En cours Olivier Capelle   Fonctionnaire

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2018, la commune comptait 784 habitants[Note 6], en augmentation de 4,67 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    616764637687694795822833865
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    729692622627611594559529541
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    522503505444443452448392392
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    345351460557639716759765771
    2013 2018 - - - - - - -
    749784-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[30] 1975[30] 1982[30] 1990[30] 1999[30] 2006[31] 2009[32] 2013[33]
    Rang de la commune dans le département 165 169 157 169 168 186 190 197
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges du département de la Haute-Garonne en 2007 en pourcentage[34].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,0 
    5,2 
    75 à 89 ans
    8,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    12,0 
    19,3 
    45 à 59 ans
    19,3 
    22,6 
    30 à 44 ans
    21,4 
    23,1 
    15 à 29 ans
    21,6 
    18,4 
    0 à 14 ans
    16,6 

    Enseignement

    Fourquevaux fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par une école élémentaire[35].

    Culture et festivité

    Comité des fêtes, bibliothèque[36],

    Activités sportives

    Tennis, chasse, pétanque, randonnée pédestre[37],

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Sicoval[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Façade de l'orangerie du château de Fourquevaux.
    Vue de la place du village, depuis l'entrée de la salle des fêtes.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Paul Laurens, peintre
    • Paul Albert Laurens
    • Armand de Perpessac
    • Marquèse de Fourquevaux (vers 1170-1244) : de son vrai nom Marquèse de Pailhès, elle est l'une des 200 cathares de Montségur qui ont été brulés vifs le 16 mars 1244, n'ayant pas voulu abjurer leur foi. Fuyant la croisade contre les albigeois, elle se réfugie d'abord à Toulouse en 1226, puis rejoint Montségur en 1234. Elle a épousé vers 1190 le chevalier Raimond Hunaud de Lanta (seigneur de Lanta) et est mère de 5 enfants, dont Corba Hunaud de Lanta est l'épouse de Raimond de Péreille, fils de Guillaume-Roger de Mirepoix et de Fournière de Péreille (Raimond de Péreille est baron de Roquefixade, seigneur de Durfort, seigneur et commandant de la forteresse de Montségur). Corba accompagnera Marquèse sur le bûcher ; idem pour la petite-fille de Marquèse : Esclarmonde de Péreille (dite : "la dame blanche de Montségur") ; ce sont donc trois générations de la même famille qui disparaissent le même jour. Marquèse de Fourquevaux est la fille de Bernard Amiel de Pailhès (cité comme seigneur de Pailhès en Ariège en 1187 et 1201). Pour les cathares et la postérité, Marquèse porte le nom de Fourquevaux, car née à Fourquevaux vers 1170[39].
    • Joseph de Fourquevaux

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ségreville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Fourquevaux et Ségreville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ségreville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Fourquevaux et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Fourquevaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF les « Rives du ruisseau de Tissier » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Charles d'Hozier, Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696. Vol. 15 : Languedoc (2e partie) (lire en ligne), p. 1225-2452.
    24. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    25. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020 (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « Résultats du recensement de la population de la Haute-Garonne en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    35. http://www.fourquevaux.fr/fr/information/40102/l-ecole
    36. http://www.fourquevaux.fr/fr/information/40103/la-bibliotheque
    37. http://www.fourquevaux.fr/fr/information/40080/associations
    38. http://www.sicoval.fr/fr/mon-logement/dechets.html
    39. vie et généalogie de Marquèse de Fourquevaux reconstituée par Thierry del Rosso-d'Hers, descendant de Marquèse de Fourquevaux
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