Famille Vian

Origine

Vue du village de Gattières

Dès le début du XVIIIe siècle, la famille Vian est installée à Gattières, aujourd'hui dans le département des Alpes-Maritimes, à l'époque paroisse du Comté de Nice, qui par le traité de Turin du , sera cédée au royaume de France – dont elle est séparée par le fleuve Var – par Charles-Emmanuel III, roi de Sardaigne, duc de Savoie et prince de Piémont de 1730 à 1773.

Pendant la période allant de 1727 à 1771 où les actes sont rédigés en latin, on voit apparaître dans les registres des baptêmes, mariages et sépultures de Gattières des « Viana », « Viane », même « Viani », mais dans l'acte de mariage daté du de Claude Vian[g 1] (« matrim : claudii vian cum giulia siccarda ... »[1]), comme dans l'acte de baptême daté du de son fils Antoine[g 2] (« bap. Antonii Vian : Anno 1752. die 4. martii. Antonius Vian filius Claudii, et Julia Siccarda coniugum, natus hodie et ... »[2]), le patronyme est orthographié Vian comme de nos jours.

En France, le nom est surtout porté dans le Sud-Est. Il est souvent originaire d'Italie (Vénétie). C'est une forme courte du prénom Vivian, Vivien (latin Vivianus)[3].

Arbre généalogique descendant

Voir aussi

Vidéo

Bibliographie

ouvrages consultés pour les sources

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Henri Vian réalise de nombreuses ornementations d'intérieur de grande qualité : cheminées, vases à monture de bronze, lustres, balustrades, etc. L'entreprise est installée au no 5 de la rue de Thorigny, en plein cœur du quartier du Marais (3e arrondissement), dans l'hôtel Salé construit par Jean Boullier de Bourges, pour Pierre Aubert de Fontenay-en-Brie au XVIIIe siècle et devenu au XXe siècle le Musée Picasso : « Un nouveau locataire se présenta. Henri Vian, maître bronzier et ferronnier d'art, qui comme bien d'autres voulait installer dans un vieil hôtel du Marais ses atelier et ses salons d'exposition. Vian ajouta des boiseries, des cheminées, modifia le caractère du vestibule haut, créa un petit salon dans la salle du conseil morcelée, mais, il conserva en place beaucoup d'éléments anciens. » [lire en ligne].
    Vian réalise entre autres une grille intérieure de la villa Arnaga d'Edmond Rostand à Cambo-les-Bains, en l'occurrence celle de la bibliothèque : « Dans la bibliothèque, la grille en fer forgé dessinée par Vian reprend ces caractéristiques : courbes, fleurs et bien évidemment le fer. Enfin, l’évocation de l’Art nouveau est partout dans les jardins et les toiles avec la redondance de deux motifs iconographiques typiques, le cygne et l’hortensia. », (Cf. p. 29 [lire en ligne]).
    Vian participe aux expositions universelles de 1878, 89 où il obtient la médaille d'or de la classe « Bronzes d'art, fontes d'art diverses, ferronneries d'art, métaux repoussés » et 1900 en tant que rapporteur du jury de la même classe [lire en ligne]. Il est nommé le au grade de chevalier de la Légion d'honneur (« Cote LH/2704/50 », base Léonore, ministère français de la Culture). Son épouse Jeanne Brousse dirige l'entreprise après le décès de son mari en 1904.
  2. Mairie de Paris (7e arrondissement), 1904, Registre des décès (vue 23/31) [lire en ligne]
  3. Louise Augustine Jeanne Brousse est l'héritière des « Papeteries Brousse » située à l'époque 14 rue des Lions-Saint-Paul à Paris 4e. Employé de commerce à son mariage le , son père Firmin Brousse[g 7] se déclare quelque vingt ans plus tard commissionnaire en papiers, domicilié à cette même adresse, lors du mariage de sa fille le  ; il y figure ensuite comme grossiste en papier, puis comme rentier à son décès le .
    En 1893, il commercialise le papier filigrané Gloria Victis, papier créé par T.H. Saunders (en) à l’occasion de l’exposition universelle de Paris de 1878 [lire en ligne] et il n'est pas impossible qu’à cette occasion Brousse ait signé un contrat de distribution ou acheté le filigrane à la maison Saunders. Le papier filigrané est en effet l'objet de toutes ses attentions et va lui procurer sa fortune : il dépose au greffe du tribunal du commerce de la Seine successivement la marque L'Express le sous le no 41961, puis la marque Gloria Victis le sous le no 42304, marques pour servir d'enveloppe à des cahiers de papier à cigarettes de dimensions et de couleurs variables. Brousse invente également cette même année 1893 un étui distributeur de feuille de papier à cigarettes, « système amélioré d'emballage » qui « laisse donc les papiers à cigarettes absolument intacts, sans perforation ni gommage ; il peut être appliqué avec une égale facilité à toutes sortes de papiers, que ce soit avec des bords gommés ou autrement. » Il en dépose le brevet en France (no 228367), en Belgique (no 103698), en Angleterre (no 5174), en Allemagne (no 75730) et aux USA (no 509790) [lire en ligne] ; l'adresse 14 rue des Lions-Saint-Paul à Paris 4e est confirmée par l’enregistrement du brevet en Allemagne [lire en ligne].
    Cinq ans plus tard en 1898, Firmin Brousse invente « une nouvelle machine pour filigraner et faire des cigarettes » [lire en ligne].
  4. Mairie de Noisy-le-Grand, 1914, Registre des décès [lire en ligne]
  5. Mairie de Paris (13e arrondissement), 1917, Registre des décès [lire en ligne]
  6. Henriette Marie Lucie Vian se suicide par dépit amoureux en se jetant sous un bus[29].
  7. Mairie de Noisy-le-Grand, 1910, Registre des mariages [lire en ligne]
  8. Henri Louis Edmond Vian, matricule no 6508 de l’École Nationale et Spéciale des Beaux-Arts, est élève de Henri Deglane (à l'atelier le ). Admis en 2e classe le , il obtient un total de 24 ½ valeurs dont cinq 3e Médailles en exercices d'histoire de l'architecture, dessin, en mathématiques, dessin ornemental et perspective ; 1re classe le , il obtient un total de 11 ½ valeurs dont une 2e Médaille en dessin, admis au 2e essai du Concours de Rome le , 9e logiste le . Il envoie au directeur de l'École Nationale et Spéciale des Beaux-Arts une lettre datée du , où mobilisé et se sachant malade, il informe avoir désigné l'École des Beaux-arts comme sa légataire universelle [lire en ligne].
    (source : AGORHA (Accès Global et Organisé aux Ressources en Histoire de l'Art)
  9. Dès la déclaration de la guerre de 14-18, Henri Louis Edmond Vian s'engage volontairement le à la mairie du 6e arrondissement de Paris et est affecté au 19e escadron du train des équipages. Nommé brigadier le , il est versé dans l'artillerie au 105e régiment d'artillerie lourde le puis passe au 107e le . Enterré vivant dans un trou d'obus[29], il est réformé et pensionné temporairement à 100% en 1919, définitivement en 1921 pour « dégénérescence mentale avec demi-mutisme ; bouffées délirantes ; réactions violentes »[34]. Un certificat de combattant lui est refusé le et il est déclaré irrécupérable le puis interné à l'hôpital de Ville-Évrard (Seine-Saint-Denis).
  10. Mairie de Ville-d'Avray, 1944, Registre des décès [lire en ligne]
  11. Dans la nuit du 22 au , Paul Vian est assassiné dans sa maison de Ville-d'Avray par des cambrioleurs ; enfin on le suppose, car les coupables ne seront jamais retrouvés et l'enquête sera déclarée close le . Paul meurt avant son transfert à l'hôpital ; Boris arrive trop tard et ne verra le corps de son père qu'après l'autopsie, le ventre ouvert. Il conduit le deuil des femmes au cimetière voisin de Marnes-la-Coquette ; personne n'aura le cœur d'écrire à Lélio, Alain et Jean Lhespitaou, toujours retenus en Allemagne. Boris étant « le plus sage de ses fils », comme l'a écrit Paul dans son testament, il doit veiller sur sa famille. La maison des Fauvettes est vendue dans la précipitation ainsi que les meubles et les bibelots. Yvonne, sa veuve, et sa sœur Alice se retrouvent dans un minuscule appartement du 16e arrondissement de Paris, au no 30 du boulevard Exelmans[37].
  12. Mairie de Marnes-la-Coquette, 1917, Registre des mariages [lire en ligne]
  13. Yvonne Ravenez, de huit ans l'aînée de son mari, est la fille de l'industriel Paul Louis Woldemar Ravenez[g 13]. Le Figaro du qui annonce sa mort écrit « AUTOMOBILISME : M. Ravenez, chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'instruction publique, vient de mourir. Il s'était depuis longtemps consacré à de nombreuses et importantes affaires se rapportant aux chemins de fer, à la métallurgie, à l'automobile et aux assurances. Il était notamment président des établissements Decauville, président des Aciéries de France, administrateur des Compagnies d'assurances Foncière Vie et Incendie, etc. M. Ravenez, qui n'était âgé que de cinquante-trois ans, fut un des pionniers de l'automobile à qui il a fait accomplir des progrès considérables. C'est à lui qu'on doit les premières voiturettes pratiques qui, sous le nom de "voiturelles", furent le clou du salon de 1898, à la galerie des Machines. [lire en ligne] » (voir Famille Ravenez
  14. Ravenez ou Woldemar-Ravenez ?
  15. Mairie de Paris (14e arrondissement), 1976, Registre des décès [lire en ligne]
  16. Mairie de Ville-d'Avray, 1918, Registre des naissances [lire en ligne]
  17. Mairie de Paris (3e arrondissement), 1984, Registre des décès [lire en ligne]
  18. Mairie de Ville-d'Avray, 1920, Registre des naissances [lire en ligne]
  19. Mairie de Paris (7e arrondissement), 1959, Registre des décès [lire en ligne]
  20. Le matin du , J'irai cracher sur vos tombes, film inspiré de son roman, est projeté au cinéma Le Marbeuf près des Champs-Élysées. Vian a déjà combattu les producteurs. Il est convaincu que l'adaptation n'est pas de style, et il a publiquement dénoncé le film, annonçant qu'il souhaitait faire enlever son nom du générique. Michelle est venue, tous les amis sont là. Mais Boris, que son éditeur Denis Bourgeois (adjoint de Jacques Canetti et directeur du secteur « variétés » chez Philips) a convaincu d'aller à la projection malgré ses hésitations, ignorera ce qu'est devenu son roman à l'écran : accompagné de Denis Bourgeois et Jacques Dopagne à la projection, il s'effondre dans son siège quelques minutes après le début du film et, avant d'arriver à l'hôpital Laennec, meurt d'une crise cardiaque.
  21. Mairie de Paris (10e arrondissement), 1941, Registre des mariages [lire en ligne]
  22. Biographie de Michelle Marie Léglise
  23. Carole Vian, née le , décédée en 1998[48], joue son propre rôle dans Le Désordre à vingt ans, film documentaire de Jacques Baratier sur Saint-Germain-des-Prés sorti en France le . [lire en ligne]
  24. Mairie de Ville-d'Avray, 1921, Registre des naissances [lire en ligne]
  25. Mairie de Paris (14e arrondissement), 1984, Registre des décès 713 [lire en ligne]
  26. Président d'honneur de la Compagnie nationale des Experts (fondée en 1971), collectionneur d'instruments anciens (notamment d'instruments mécaniques : orgues de barbarie etc.), mondialement connu comme facteur et restaurateur d'instruments à cordes, Alain Vian a tenu sa boutique – ou plutôt sa caverne d'Ali Babano 6 de la rue Grégoire-de-Tours à Paris dans (6e arrondissement), de 1953/54 jusqu'à l'été 1995, peu de temps avant sa mort. Signe des temps, avant Alain Vian, c'était une maison close ("Chez Zita") qui occupait les lieux, et c'est maintenant une boutique dédiée au multimédia et à Internet ... Avant guerre, il avait créé et présidé le Cercle Legâteux : club d'échecs, tournages de films en Pathé-Baby, avec entre autres acteurs son frère Boris et Alfredo Jabès. En 1942, il était batteur dans le trio du clarinettiste Claude Abadie (ancien élève de l'École Polytechnique, qui deviendra un des responsables de la Banque de Paris et des Pays-Bas). Le , il avait créé avec son frère Boris, dans un bistrot du no 33 de la rue Dauphine à Paris dans (6e arrondissement), qui se nommait déjà le Tabou, le Club du Tabou où l'on dansera d'abord au son d'un pick-up : jusqu'en juin 1947 qui verra l'apparition d'un véritable orchestre dont Alain Vian sera l'animateur avec son frère Boris. (Sources : site Boris Vian)
  27. Mairie de Ville-d'Avray, 1924, Registre des naissances [lire en ligne]
  28. Mairie de Neuilly-sur-Seine, 2003, Registre des décès [lire en ligne]
  29. Jean Lhespitaou est un ancien camarade de Boris Vian[53],[54] à l'École centrale[55],[56],[57].

Site Geneanet

Cet article puise ses sources particulièrement documentées de la base Pierfit mise en ligne il y a plus de 10 ans par Guillaume de Tournemire [lire en ligne] du site GeneaNet, site Internet de généalogie proposant une base de données alimentée par les participants et à destination du public où tous les individus contemporains nés il y a moins de 100 ans sont masqués.

La généalogie de la famille Vian renvoie à des sources référencées et consultables aux différentes archives départementales des départements concernés ; les fiches individuelles donnent les liens permettant de visionner directement les actes d'État civil de l'individu en question quand cela est possible, à défaut d'afficher une image de l'acte d'État civil du registre correspondant.

Enfin, les actes les plus récents, encore indisponibles auprès des mêmes archives départementales, ont été retranscrits pour les besoins de l'article ; ils proviennent des services de l'État civil des différentes mairies concernées en vertu des possibilités ouvertes par la loi [lire en ligne].

  1. Guillaume de Tournemire, « Claude VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  2. Guillaume de Tournemire, « Antoine VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  3. Guillaume de Tournemire, « Pierre VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  4. Guillaume de Tournemire, « Bernardin VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  5. Guillaume de Tournemire, « Séraphin VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  6. Guillaume de Tournemire, « Henri Séraphin Louis VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  7. Guillaume de Tournemire, « Firmin BROUSSE », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  8. Guillaume de Tournemire, « Louise Augustine Jeanne BROUSSE », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  9. Guillaume de Tournemire, « Henriette Marie Lucie VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  10. Guillaume de Tournemire, « Henri Louis Edmond VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  11. Guillaume de Tournemire, « Paul VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  12. Guillaume de Tournemire, « Yvonne RAVENEZ dite Mère Pouche », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  13. Guillaume de Tournemire, « Louis Paul Woldemar RAVENEZ », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  14. Guillaume de Tournemire, « Lélio VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  15. Guillaume de Tournemire, « Boris VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  16. Guillaume de Tournemire, « Alain VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
  17. Guillaume de Tournemire, « Ninon VIAN », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).

Autres sources

Lors de la rédaction de leurs biographies, la plupart des auteurs repris dans l'article sur Boris Vian n'a pu – pour cause ! – consulter les actes d'état civil des protagonistes, du moins ceux pour lesquels s'appliquaient les dispositions anciennes avant la promulgation de la loi N° 2008-696 du relative aux archives : cette nouvelle loi abolit le délai antérieur des 100 ans et fixe de nouveaux délais de communication concernant les archives d'État civil, à savoir 75 ans pour les registres de naissances et de mariages, les registres de décès et les tables décennales étant immédiatement communicables [lire en ligne].

  1. Gattières, BMS 1709 à 1759 (vue 184/209) [lire en ligne]
  2. Gattières, BMS 1709 à 1759 (vue 190/209) [lire en ligne].
  3. Origine du nom "VIAN" [lire en ligne].
  4. Gattières, BMS 1693 à 1709 (vue 4/74) [lire en ligne].
  5. Gattières, BMS 1709 à 1759 (vue 191/209) [lire en ligne].
  6. Gattières, BMS 1709 à 1759 (vue 56/209) [lire en ligne].
  7. Gattières, BMS 1709 à 1759 (vue 179/209) [lire en ligne].
  8. Gattières, NMPD 1818 à 1826 (vue 210/242) [lire en ligne].
  9. Gattières, BMS 1774 à 1792 (vue 45/136) [lire en ligne].
  10. Gattières, BMS 1709 à 1759 (vue 197/209) [lire en ligne].
  11. Gattières, NMPD 1827 à 1839 (vue 143/392) [lire en ligne].
  12. Gattières, NMPD 1760 à 1803 (vue 160/417) [lire en ligne].
  13. Gattières, NMPD 1877 à 1885 (vue 45/167) [lire en ligne].
  14. Gattières, NMPD 1803 à 1817 (vue 380/442) [lire en ligne].
  15. Gattières, NMPD 1760 à 1803 (vue 340/417) [lire en ligne].
  16. Gattières, NMPD 1869 à 1876 (vue 159/160) [lire en ligne].
  17. Gattières, NMPD 1827 à 1839 (vue 154/392) [lire en ligne].
  18. Paris 3e, D 1874 (vue 2/31) [lire en ligne].
  19. Paris reconstitué (XVIe siècle-1859), M 1857 (vue 12/51) [lire en ligne].
  20. Créteil, N 1832 (vue 28/275) [lire en ligne].
  21. Paris 3e, D 1887 (vue 6/31) [lire en ligne].
  22. Paris reconstitué (XVIe siècle-1859), N 1858 (vue 16/51) [lire en ligne].
  23. Paris 7e, D 1904 (vue 23/31) [lire en ligne].
  24. Paris 4e, M 1884 (vue 16/31) [lire en ligne].
  25. Paris 6e, N 1866 (vue 17/31) [lire en ligne].
  26. Noisy-le-Grand, D 1914 [lire en ligne].
  27. Paris 3e, N 1886 (vue 26/31) [lire en ligne].
  28. Paris 13e, D 1917 [lire en ligne].
  29. Boggio 2009, p. 12.
  30. Noisy-le-Grand, M 1910 [lire en ligne].
  31. Bourg-la-Reine, N 1889 [lire en ligne].
  32. Lettre d'Henri Vian au directeur de l'école des Beaux-Arts (source : AGORHA) [lire en ligne].
  33. Paris 3e, N 1892 (vue 10/31) [lire en ligne].
  34. Dossier militaire d'Henri Vian [lire en ligne].
  35. Paris 3e, N 1897 (vue 3/31) [lire en ligne].
  36. Ville-d'Avray, D 1944 [lire en ligne].
  37. Boggio 2009, p. 78-79..
  38. Marnes-la-Coquette, M 1917 [lire en ligne].
  39. Neuilly-sur-Seine, N 1889 [lire en ligne].
  40. Paris 14e, D 1976 [lire en ligne].
  41. Ville-d'Avray, N 1918 [lire en ligne].
  42. Paris 3e, D 1984 [lire en ligne].
  43. Ville-d'Avray, N 1920 [lire en ligne].
  44. Paris 7e, D 1959 [lire en ligne].
  45. Paris 10e, M 1941 [lire en ligne].
  46. Boggio 2009, p. 43-44.
  47. Bordeaux, N 1920 [lire en ligne].
  48. Entretien avec Nicole Bertolt, NRP Collège, [lire en ligne].
  49. Ville-d'Avray, N 1921 [lire en ligne].
  50. Paris 14e, D 1984 [lire en ligne].
  51. Ville-d'Avray, N 1924 [lire en ligne].
  52. Neuilly-sur-Seine,D 2003 [lire en ligne].
  53. Liste des candidats nommés par le ministre de l'Éducation nationale élèves ingénieurs à l'école centrale des arts et manufactures à la suite du concours d'admission de 1939 [lire en ligne].
  54. Diplôme d'ingénieur des arts et manufactures, promotion 42B, J.O. du [lire en ligne].
  55. Listes supplémentaires des candidats nommés élèves ingénieurs à l'école centrale des arts et manufactures à la suite du concours de 1939 [lire en ligne].
  56. Diplôme d'ingénieur des arts et manufactures, promotion 42B, J.O. du [lire en ligne].
  57. Boggio 2009, p. 29.
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