Coulombiers (Vienne)

Coulombiers est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Coulombiers.

Ne doit pas être confondu avec Colombiers (Vienne).

Coulombiers

Monument aux morts.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Isabelle Mopin
2020-2026
Code postal 86600
Code commune 86083
Démographie
Gentilé Colombériens
Population
municipale
1 134 hab. (2018 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 08″ nord, 0° 11′ 08″ est
Altitude Min. 127 m
Max. 156 m
Superficie 27,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lusignan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Coulombiers
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Coulombiers
Géolocalisation sur la carte : France
Coulombiers
Géolocalisation sur la carte : France
Coulombiers

    Géographie

    Localisation

    Coulombiers est située à 18 km au sud-ouest de Poitiers.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Coulombiers
    Boivre-la-Vallée Béruges Fontaine-le-Comte
    Marçay
    Lusignan Cloué

    Géologie et relief

    La région de Coulombiers présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées.

    Le terroir se compose, sur les plateaux du seuil du Poitou[1] :

    • pour 97 % de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) ;
    • pour 3 % d'argile à silex peu profonde.

    En 2006, 91,3 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 5,8 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 3 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2].

    Hydrographie

    La commune est traversée par 4,7 km de cours d'eau dont les principaux sont le Palais, un affluent du Clain, sur une longueur de 3,4 km et le Rune sur une longueur de 1,2 km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 770 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lusignan-Inra », sur la commune de Lusignan, mise en service en 1965[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 817,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 14 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Voies de communication et transports

    Le centre bourg est traversé par la D 611[16].

    La commune est également traversée par l’autoroute A10 et la ligne de chemin de fer Paris-Bordeaux.

    .

    Urbanisme

    Typologie

    Coulombiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), forêts (5,2 %), prairies (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), zones urbanisées (1,9 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la ville proviendrait du latin columba qui signifie colombier[23].

    Histoire

    Comme la plupart du reste de la France, Coulombiers accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires[24].

    En 1848, avec la Révolution française de 1848 et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté le  : un peuplier[25].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1888 1917 Henri Papault    
    1917 1925 Hilaire Parnaudeau    
    1925 1929 Anatole Papault    
    1929 1946 Louis Sire    
    1946 1947 Louis Pin    
    1947 1953 Marcel Vadier    
    1953 1959 Louis Pin    
    1959 1971 André Authé    
    1971 1987 André Hubert    
    1987 1989 Jean Bougrier    
    1989 1995 Pierrette Pin    
    1995 2001 Madeleine Mancini    
    2001 2020 Daniel Amilien    
    mai 2020 En cours Isabelle Mopin DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Énergies nouvelles

    Sur le site des Fontenelles, à cheval sur les communes de Cloué et de Coulombiers, devrait s'installer sept éoliennes en 2014-2015. Les études sont menées depuis mars 2009. Le parc devrait produire 31 000 MWh/an soit l'équivalent se la consommation électrique de 14 000 personnes.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2018, la commune comptait 1 134 habitants[Note 7], en augmentation de 0,98 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    650600552571597643662771758
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    883812805749744735786769744
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    754746722666656660662624633
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    6396707249199621 0171 0491 0831 149
    2018 - - - - - - - -
    1 134--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 39 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[30], il n'y a plus que 24 exploitations agricoles en 2010 contre 29 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont légèrement diminué et sont passées de 2 108 hectares en 2000 à 2 053 hectares en 2010. 59 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 20 % pour les oléagineux (colza surtout et tournesol), 2 % pour les protéagineux, 12 % pour le fourrage et 1 % reste en herbes. En 2000, un hectare (0 en 2010) était consacré à la vigne[30].

    8 exploitations en 2010 (contre 4 en 2000) abritent un élevage de bovins (508 têtes en 2010 contre 568 têtes en 2000). 3 exploitations en 2010 comme en 2000 abritent un élevage d'ovins (36 têtes en 2010 contre 35 têtes en 2000). L'élevage de volailles, comme celui des ovins est stagnant: 268 têtes en 2000 répartis sur 12 fermes contre 270 têtes en 2010 répartis sur 9 fermes[30].

    L'élevage de chèvres a disparu en 2010 (554 têtes sur 3 fermes en 2000)[30]. Cette disparition est révélatrice de l’évolution qu’a connu, en région Poitou-Charentes, cet élevage au cours des deux dernières décennies: division par trois du nombre d’exploitations, augmentation des effectifs moyens par élevage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par 10 des chèvreries de 10 à 50 chèvres qui représentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par 6 des élevages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette évolution a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisé des départs d’éleveurs en préretraite[31].

    Un élevage industriel de porcs (GAEC du Gabouret) se trouve sur le territoire communal (2 000 têtes).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La croix de mission : depuis le XVIIe siècle, des croix de mission sont édifiées à l'occasion de missions populaires dans les villages et les bourgs. Les plantations de ces croix deviennent fréquentes à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, notamment à partir de 1905, en réaction à la laïcisation de la société. Celle de Coulombiers date de 1926. Elle est en bois de chêne et de fonte. Une première croix avait été plantée en décembre 1908 pour clôturer une semaine entière de cérémonies religieuses. La croix était destinée à perpétuer le souvenir de cette semaine. Elle avait été financée grâce à la générosité de deux familles. Une nouvelle croix est posée en 1926.
    • Via Turonensis : la commune est traversée par la voie de Tours vers Compostelle empruntée par les pèlerins des Chemins de Compostelle, sur le GR655.
    • Le lavoir alimenté par la rivière Palais

    Patrimoine naturel

    Deux sites sont classés comme zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) [32]:

    • La forêt de l'Épine,
    • L'étang de Maupertuis

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[33], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un peuplier noir d'Italie qui se trouve au 66, de la route nationale.

    La forêt de l'Épine

    La forêt de l’Épine est une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) située à une dizaine de kilomètres au sud-ouest de Poitiers. C'est un massif de 600 hectares incluant plusieurs petits étangs. La forêt occupe un plateau faiblement ondulé. La forêt a connu une occupation industrielle ancienne qui a été à l'origine d'une surexploitation liée à une ancienne forge qui exploitait le fer sur place. De plus, la forêt a subi une dégradation récente due à la construction de l'autoroute A10 dont le tracé a écorné sa pointe sud .

    La forêt est essentiellement peuplée de trembles, de bouleaux, de chênes et de quelques hêtres.

    D'un point de vue botanique, les mares et les étangs de la forêt de l’Épine constituent un habitat fragile et précieux, notamment les étangs Saunier et du Merle. On y trouve une des rares plantes carnivores de France : l'Utriculaire citrine.

    La forêt est d'une remarquable richesse mycologique puisque 200 espèces de champignons y ont été recensées.

    La forêt est aussi un abri pour des rapaces. Sept espèces différentes y ont été observées parmi lesquelles des espèces menacées et protégées au niveau national comme le Busard Saint-Martin, le Faucon hobereau ou la Bondrée apivore. Il est possible aussi de voir plusieurs passereaux rares en Poitou et protégés dans toute la France comme le Pouillot siffleur ou le Gros-bec casse-noyau.

    La forêt est aussi une réserve de chevreuils.

    L'étang de Maupertuis

    L’étang de Maupertuis se situe sur la commune de Coulombiers, à quelques kilomètres au sud de la forêt de l’Épine. C’est une zone classée d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). La zone classée englobe, en fait, deux étangs, ainsi que quelques mares et lambeaux de landes périphériques et des boisements attenants. Dans ce secteur du seuil du Poitou, le relief est peu différencié et les étangs occupent une petite cuvette au sein d’un plateau couvert de limons reposant sur des assises argileuses tertiaires remaniées. Sur ces sols limoneux ou limono-sableux profonds, acides et hydromorphes, les étangs et les habitats humides les ceinturant présentent un certain nombre de caractères typiques : eaux acides et pauvres en substance nutritives, subissant selon les saisons des variations de niveau, bordées de ceintures de végétation amphibie ou palustre - cariçaie, jonçaie - et de boisements de saules.

    L’étang de Maupertuis et les zones limitrophes accueillent de nombreux oiseaux d’eau à différents moments cruciaux de leur cycle biologique : nidification des Grèbe huppé et Grèbe castagneux, deux espèces peu communes dans le département de la Vienne. L’étang est aussi une halte migratoire pour certains canards et petits échassiers. Enfin, c’est une zone d’alimentation pour de nombreuses espèces dont quelques rapaces nichant aux alentours.

    Concernant les mammifères, les étangs constituent aussi une zone de chasse favorite pour les chauves-souris (la Murin de Daubenton), qui trouvent là les nombreux insectes qui représentent l’essentiel de leur diète.

    Quant aux invertébrés, ils se signalent par la présence du Cordulégastre annelé, une des plus grandes libellules de France, dont le thorax et l’abdomen sont ornés de cercles jaunes sur un fond noir.

    La zone abrite encore quelques éléments floristiques intéressants tels que l’Utriculaire citrine, une curieuse plante aquatique carnivore dont les feuilles possèdent de petites urnes (les utricules) capables de piéger par aspiration les micro-invertébrés aquatiques qui lui apportent un complément de nutrition azotée dans ces eaux très pauvres en sels nutritifs.

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Lusignan-Inra - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Coulombiers et Lusignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Lusignan-Inra - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Coulombiers et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. À la suite du décret du 5 décembre 2005, le tronçon de la RN 11 de Fontaine-le-Comte à Frontenay Rohan-Rohan, au niveau de l’échangeur avec la RN 248, est renommé D 611
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    24. Robert Petit 1989, p. 29.
    25. Robert Petit, Les arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers, CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, , 235 p. (ISBN 978-2-905061-20-1), p. 216.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    31. Agreste – Bulletin no 11 de décembre 2005
    32. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011
    33. Poitou-Charentes Nature, 2000

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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