Ceilhes-et-Rocozels

Ceilhes-et-Rocozels (en occitan Selha e Rocosèls) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Ceilhes-et-Rocozels

Le village.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Orb
Maire
Mandat
Fabien Soulage
2020-2026
Code postal 34260
Code commune 34071
Démographie
Gentilé Ceilhois
Population
municipale
326 hab. (2018 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 13″ nord, 3° 06′ 38″ est
Altitude Min. 426 m
Max. 821 m
Superficie 27,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Ceilhes-et-Rocozels
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Ceilhes-et-Rocozels
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Ceilhes-et-Rocozels
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Ceilhes-et-Rocozels

    Ceilhes se prononce comme abeille. Ses habitants sont appelés les Ceilhois.

    Géographie

    Carte

    Ceilhes-et-Rocozels est situé près de la frontière entre l'Hérault et l'Aveyron, entre Lodève et Camarès. Le village s'est construit sur la rive droite de l'Orb, entre les Monts de l'Espinouse et ceux de l'Escandorgue, au pied des Cévennes.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Ceilhes-et-Rocozels
    Fondamente
    (Aveyron)
    Roqueredonde
    Montagnol
    (Aveyron)
    Joncels
    Tauriac-de-Camarès
    (Aveyron)
    Avène

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[1],[2].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[3]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[4],[5].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 1] sont recensées sur la commune[6] :

    • les « Monts d'Orb » (13 437 ha), couvrant 6 communes du département[7] ;
    • les « Rougier de Camarès » (56 714 ha), couvrant 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et une dans l'Hérault[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Ceilhes-et-Rocozels est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,7 %), prairies (16,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,6 %), eaux continentales[Note 3] (0,8 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de Ceilhes a été connu sous les variantes : Raimundi Guilelmi de Silias (1101), ecclesiam S. Johannis de Silias (1135), prior de Siliis (1351), prieur de Ceilhes (1571).

    Le nom Ceilhes dérive de celui du latin sigilo synonyme de secalem = seigle'[15].

    Le nom de Rocozels a été connu sous les variantes : castro de Rochosello (1031), Willermi de Rocosello (1170), capelli castri de Rocosello (1180), rector de Rocoseli (1323), prieur de Rocarel (1571).

    Le nom Rocozels dérive de l'occitan rocós (rocheux) avec un suffixe diminutif -el'[16].

    Ceilhes-et-Rocozels s'écrit Selha e Rocosèls en occitan (norme classique).

    Histoire

    En l'an II, Rocozels est rattachée à Ceilhes qui prend le nom de Ceilhes-et-Rocozels. Les hameaux de Lacaze et Vides sont intégrés à la commune de Joncels. En l'an VI[17], les hameaux de la Blaquière et Salvagnac qui dépendaient de Joncels sont réunis à la commune de Ceilhes-et-Rocozels.

    Ceilhes

    Entrée des mines de la Rabasse, XIXe-XXe siècle

    Dès la période gallo-romaine, le site était exploité pour ses mines ; en subsiste les vestiges du village de Lascours (dès le IIe siècle av. J.-C.) Cette activité s’est poursuivie par période jusqu’en 1959.

    Au Moyen Âge, le village se développe comme en témoignent de nombreux éléments d’architecture et le château de Bouloc est construit dans la plaine ; il sera le refuge des seigneurs de Rocozels, qui connaîtront une grande destinée avec la création en 1736 du duché-pairie de Fleury.

    Le village était renommé pour ses importantes foires aux bestiaux qui remontent au Moyen Âge et qui ont perduré jusqu’au XXe siècle. Ceilhes était alors une petite ville très active.

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire républicaine » en an II[18].

    Aujourd’hui, les mines et les usines ont fermé, noyées par le barrage d'Avène.

    Rocozels

    Le Campmas de Rocozels est mentionné en 1147 comme appartenant à Pierre de Lodève qui le donne aux templiers. Il se trouvait dans la paroisse de Notre-Dame de Ceilhes. Puis en 1181, c'est au tour de l'évêque de Béziers de donner la chapelle castrale de Rocozels à ces mêmes templiers. Cet ordre militaire est encore mentionné en 1240[19].

    Héraldique

    Historiquement, la communauté de Ceilhes et Rocozels portait le blason suivant :

    « de sinople au pairle losangé d'argent et de gueules »[20].

    Démographie

    Au dernier recensement, la commune comptait 326 habitants.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9179619841 0131 0641 0391 0671 0171 032
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    950872964934911961964938826
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    758713842884921608608530479
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    430397405358283256305307323
    2018 - - - - - - - -
    326--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1912 1944 Marius Benavenq[23]    
    1947 1965 Aloïs Cambon[24]    
    1971 1989 Fernand Durand    
    1989 1997 Henri Audoli    
    1965 1971 Roger Allègre L.P.S.D.I.C.[25]  
    1997 2005 Ahmed Abdelkader[26] DVG  
    novembre 2005 2014 Jacques Cambon[27]    
    2014 En cours Fabien Soulage SE-DVG Artisan

    Lieux et monuments

    Art religieux

    Église de Rocozels
    Rocozels-1
    • L’église du hameau de Rocozels est l'ancienne chapelle du château médiéval aujourd'hui disparu de la famille féodale des Rocozels[réf. nécessaire] qui donna aux XIIe et XIIIe siècles deux évêques : Guillaume IV (évêque de Béziers) et Raymond III (évêque de Lodève). La chapelle fut donnée en 1181 aux templiers par Bernard IV de Gaucelin, évêque de Béziers et l'ordre du Temple l'érigea en paroisse[19]. C'est une église romane dont le porche daterait du XIIe siècle. Le clocher, le voûtement du chœur et de la nef seraient du XIIIe siècle. Elle a été transformée au début du XVIIIe siècle, comme l'atteste la date de 1709 gravée au-dessus de la porte d'entrée où figure également le blason aux armes des Rocozels. Les deux chapiteaux ornés sur chaque face d'une palmette et sur chaque angle d'un fleuron, proviennent de la chapelle disparue de Notre-Dame-des-Ubertes, qui se trouvait sur la même commune et qui a également appartenu aux templiers. L'église a fait l'objet d'un classement aux Monuments historiques en 1986[28].

    Les remparts

    Les spécialistes les appellent fortification d'agglomération. Les remparts de Ceilhes datent du Moyen Âge. Ils ont été construits au XIIIe et au XIVe siècle. La porte d'enceinte est remarquable. Les remparts englobent l’église Saint-Jean-Baptiste de Ceilhes qui voit sa partie est et sud fortifiée lors de leur construction, ils ont subi des réparations en 1621 (date inscrite sur une pierre en réemploi) après la prise de Ceilhes par Joyeuse en 1586. En 1621, 1622, 1629, le renforcement du lieu de Ceilhes est ordonné en raison de son importance pour le service du roi.

    La place du « Griffoul »

    La place du Griffoul est le lieu de Ceilhes le plus connu. Le Griffoul est la fontaine du village. Son nom signifie fontaine ou source jaillissante en occitan, s'écrit grífol[29] et se prononce [gri'ful].

    "Griffoul" : la fontaine du village

    La place du Griffoul se trouve au centre du village. On pense qu'il date du XVIIIe siècle. Dimensions du Griffoul :

    • Hauteur : 2,70 mètres ;
    • Capacité : 5 000 litres ;
    • Diamètre : 3,30 mètres.

    Le Tautàs

    Le Tautàs [taw'tas] (désigne en occitan un petit lac d'eau boueuse[29]), est un plan d'eau artificiel qui fut creusé à Ceilhes en 1973/74. La digue qui l'entoure et qui permet aux gens de se promener autour a été érigée au milieu de la plaine, presque au-dessus du château de Bouloc, ancienne résidence de Bernardin de Rosset de Rocozels qui avait épousé le 4 février 1680 Marie de Fleury, sœur du cardinal de Fleury, ministre de Louis XV.

    Le château de Bouloc-lez-Ceilhes

    Rosset de Fleury

    Blasonnement : Écartelé, au 1 d'argent, au bousquet de trois roses de gueules, rangées un et deux, la tige et les feuilles de sinople, qui est de Rosset ; au 2 de gueules, au lion d'or, qui est de Lasset ; au trois écartelé d'argent et de sable, qui est de Vissec de Latude ; au 4 d'azur à trois rocs d'échiquier d'or qui est de Rocozel et sur le tout d'azur à trois roses de gueules, qui est de Fleury. L'écu environné du manteau de pair surmonté d'une couronne ducale. (à partir de Jean Hercule en 1737)

    Le Fortiam Bonoloco (« Fort de Bonlieu ») édifié au Moyen Âge vers la fin du Xe siècle ou au début du XIe siècle (existence attestée en 1025), avait été profondément transformé aux XVIIe et XVIIIe siècles par les Rosset de Rocozels devenus Rosset de Rocozels de Fleury. Auparavant il avait appartenu aux familles seigneuriales des Alban et des Promillac. Au cours de la Révolution, le dernier seigneur de Bouloc André-Hercule-Marie-Louis de Rosset de Rocozels duc et pair de Fleury gagna l'étranger pour rejoindre l'armée des émigrés. Son épouse Aimée de Coigny duchesse de Fleury, amie très proche de la reine Marie-Antoinette avait été emprisonnée sous la Terreur et avait été sauvée de justesse de l'échafaud par la chute de Robespierre. Le château de Bouloc et les autres propriétés du duc furent vendues comme bien national à un fabricant de draps de Lodève.

    En 1964, le château de Bouloc a été rasé par la Compagnie nationale du Bas-Rhône lors de la mise en eau du barrage d'Avène destiné à contenir les crues de l'Orb. Les piliers du portail d'honneur érigé au XVIIIe siècle et surmontés de pots à feu ont été démontés et transférés à Montpellier, où ils ornent l'entrée du zoo de Lunaret. Une grande partie des pierres du château de Bouloc a été réemployée pour la construction en 1965 du monastère orthodoxe Saint-Nicolas du hameau de la Dalmerie situé sur la commune voisine de Joncels. Situé huit kilomètres en aval le barrage d'Avène à son niveau maximum de remplissage inondait seulement les parties inférieures du château. Une simple digue de quatre mètres de hauteur aurait permis de sauvegarder ce précieux élément du patrimoine du Languedoc. Mais il en fut décidé autrement et ce symbole de l'Ancien régime chargé de mille ans d'histoire disparut pour laisser la place à un plan d'eau.

    Le Tautàs est un ancien fort médiéval qui se dressait fièrement dans la plaine à quelques centaines de mètres au sud-ouest du village de Ceilhes en face de l'actuel Café du Lac, et en bordure du chemin vieux dénommé aussi « Peyral » (pèiral) (départementale D902) où subsiste encore l'ancienne bergerie du château, dite « Ferme du Bâtiment ».

    Sources : Charles Bonami, Dans la haute vallée de l'Orb, neuf siècles d'histoire (1025-1964). L'ancien château de Bouloc-lez-Ceilhes en Languedoc. La juridiction, les seigneurs, le château. Rodez : Subervie, 1974, 70 p.

    La « Ferme du Bâtiment », ancienne dépendance du château de Bouloc-lez-Ceilhes

    André-Hercule-Marie-Louis de Rosset de Rocozels de Fleury (1767-1810), dernier seigneur de Rocozels de Bouloc de Ceilhes et aussi dernier duc et pair de Fleury fut dépossédé de ses propriétés de Ceilhes en vertu de l'application du décret de l'Assemblée législative en date 2 septembre 1792, confisquant les biens des émigrés. Outre le château de Bouloc, des terres et des châtaigneraies, ce domaine comprenait aussi le moulin de Tali au Malpas détruit en 1861, le hameau de la Rode-Haute rasé en 1962-1963 par la Compagnie du Bas-Rhône (lors des travaux du barrage d'Avène), le mas de Meaux, et une bergerie : actuelle ferme dite du Bâtiment située au Saut des Cappelos. Mentionnée dans les reconnaissances féodales de 1489 et 1567, elle fut vendue comme bien national l'an II de la République (1794). La structure architecturale de cette bergerie est typique des constructions des vallées caussenardes. Les murs porteurs d'une largeur de plus d'un mètre à la base et les fenestrous lui donnent une allure défensive. Construite vraisemblablement à la fin du Moyen Âge, cette bergerie était aussi destinée à protéger des pillards les bêtes et les récoltes des seigneurs de Bouloc. Une voûte en plein-cintre en forme d'un long tunnel isole du troupeau l'étage d'habitation auquel on accède par un escalier extérieur menant à un vaste balet (perron) couvert du XVIIIe siècle. La toiture à longs pans repose sur des voûtes en berceau. Cette ancienne bergerie qui possède également une cave à fromage (pour le roquefort), a été répertoriée au Patrimoine de France en 1986 tout comme près d'une vingtaine de maisons du village, dont l'ancienne halle aux grains (du XVe siècle) à proximité de la fontaine du Griffoul.

    Le pont roman

    En amont du village, un beau pont de style roman, vraisemblablement construit au XIVe siècle franchit le cours de l'Orb. Il rappelle celui d'Espalion dans l'Aveyron. Constitué de trois arches séparées par des avant-becs triangulaires, il permet d'aller à Joncels depuis Ceilhes par la route départementale D138. À proximité se trouve un ancien moulin avec une belle fenêtre à meneau.

    pont roman du XIVe siècle

    Galerie d'image

    Personnalités liées à la commune

    Associations et festivités

    Le milieu associatif est très développé à Ceilhes-et-Rocozels. Différentes associations telles que la Boule ceilhoise, le Foyer rural de Ceilhes et Rocozels, le comité des fêtes et bien d'autres animent la vie rurale du village. La fête votive de Ceilhes a lieu le premier lundi d'août, sauf exception où elle peut être décalée une semaine avant pour ne pas empiéter sur celles des villages aux alentours.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    2. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    3. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    4. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    5. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Liste des ZNIEFF de la commune de Ceilhes-et-Rocozels », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « ZNIEFF les « Monts d'Orb » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « ZNIEFF les « Rougier de Camarès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 98
    16. Hamlin, p.327
    17. Bulletin des lois, an VI, 1er semestre, p.6, n°1509
    18. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 415.
    19. Jacques Bousquet, Le Rouergue au premier moyen âge (vers 800-vers 1250) : Les pouvoirs, leurs rapports et leurs domaines, Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, (présentation en ligne), p. 795 ; Émile Bonnet, « Les maisons de l'ordre du Temple dans le Languedoc méditerranéen », Cahiers d'histoire et d'archéologie, no 30, , p. 168-169, lire en ligne sur Gallica
      Les templiers semblent présents à Rocozels depuis 1147 (Capmas de Rocozels) et l'étaient toujours en 1240. Ces biens dépendaient de la commanderie de Sainte-Eulalie-de-Cernon. Outre la chapelle, les templiers possédaient également une maison et des auvents (Ayrals) au sein de l'enceinte castrale de Rocozels (donation confirmée en 1195 par Guillaume, fils de Frotard de Rocozels, cf. Bousquet, p. 813, note 75). La Gallia Christiana par M.H. Fisquet ainsi que l'édition en latin (Sainte-Marthe, 1739, t. VI) mentionnent à tort cette donation comme ayant été faite aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.
      .
    20. Charles d'Hozier, Armorial général de France (1697-1709) XVI Languedoc, I.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. "La médaille de Justes parmi les nations à Albert et Marie Anglade", Midi libre, 31 octobre 2012
    24. Bulletin municipal n°1, mars 1965
    25. Liste de progrès social et de défense des intérêts de Ceilhes
    26. Arnaud Chabé, « Six conseillers démissionnent, le maire aussi : élections en vue », Midi libre, 16 novembre 2005
    27. Les élections du 27 novembre 2005 à Ceilhes
    28. Notice no PA00103426, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. Diccionari General Occitan- Joan de Cantalausa

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Charles Bonami, « Dans la Haute Vallée de l'Orb : Les mines de Ceilhes-et-Rocozels au Moyen Age », dans Congrès Fédération Historique du Languedoc Méditerranéen et du Roussillon. 49. 1976. Alès, Actes : mines et mineurs en Languedoc-Roussillon et régions voisines, de l'Antiquité à nos jours, Montpellier, , 93-105 p.
    • Charles Bonami, À travers le temps dans la haute vallée de l'Orb : traditions et coutumes à Ceilhes-et-Rocozels, Hérault, Ceilhes-et-Rocozels, Charles Bonami, , 23 p.
    • Charles Bonami, L'ancien château de Bouloc-lez-Ceilhes en Languedoc : la juridiction, les seigneurs, le château dans la haute vallée de l'Orb, neuf siècles d'histoire (1025-1964), Rodez, Subervie, , 70 p.
    • Charles Bonami, « Dans la haute vallée de l'Orb, activités et échanges à propos des anciennes foires de Ceilhes (XVIe au XVIIIe siècle) », Études sur Pézenas et l'Hérault, , p. 9-20
    • Charles Bonami, « Les anciennes foires de Ceilhes », Bulletin de la Société Archéologique et Historique des hauts cantons de l'Hérault, , p. 137-144

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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