Caylus (Tarn-et-Garonne)

Caylus [kɛlys], anciennement Caylus-Bonnette, est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Caylus.

Caylus

Halle.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron
Maire
Mandat
Vincent Cousi
2020-2026
Code postal 82160
Code commune 82038
Démographie
Gentilé Caylusiens, Caylusiennes
Population
municipale
1 457 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 14′ 12″ nord, 1° 46′ 18″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 385 m
Superficie 96,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quercy-Rouergue
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Caylus
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Caylus
Géolocalisation sur la carte : France
Caylus
Géolocalisation sur la carte : France
Caylus
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont appelés les Caylusiens et les Caylusiennes.

    Géographie

    Localisation

    Commune située en limite méridionale des causses du Quercy, proches des départements du Lot au nord et Aveyron à l'est. Elle a donné son nom au causse de Caylus.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Bonnette, affluent de l'Aveyron, arrose son territoire ainsi que les ruisseaux de Barthe Redonde et de Fonpeyrouse.

    Voies de communication et transports

    La ligne 203 du réseau liO relie la commune à Montauban et à Rodez[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 851 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ginals », sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 914 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 41 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[12] à 14 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Caylus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,8 %), zones agricoles hétérogènes (36,7 %), prairies (19 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), terres arables (2 %), zones urbanisées (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Plusieurs hypothèses ont été émises sur l’étymologie du nom de Caylus. Un chevalier romain, nommé Caius Lucius, aurait fait construire un château, à l’origine de la ville qui porte son nom. Ailleurs, la tradition orale rapporte que Caylus vient de Caii lux, en référence à des feux allumés depuis la tour. Une autre source indique de Caylus vient de Castri locus. Toutes ces hypothèses ont été réfutées dans le Bulletin archéologique et historique de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne publié en 1888. L’auteur explique que Caylus dérive de la forme latine Castluscium ou Castellucium, qui par contractions successives, devient Castlucium, Castluz, Castlux, puis Caylucium en latin, et Caylutz ou Caylus en roman[20].

    Le village s'appelait anciennement Caylus-de-Bonnette[21], ou Caylus-Bonnette, afin de ne pas être confondu avec la seigneurie de Caylus dont le château se trouvait au lieu-dit du Rocher de Caylus, commune de Saint-Affrique[22]

    Sur l'Atlas de Trudaine, le toponyme utilisé est Caylux[23].

    Histoire

    Le château

    Un castrum existait déjà avant 1176 et appartenait à Armand et Bertrand de Montpesat. Il fut échangé cette année-là contre les seigneuries et châteaux de Montpezat-de-Quercy et de Monclar-de-Quercy et devint possession du comte Raymond V de Toulouse[24].

    Ville

    La ville est prise par Simon de Montfort en 1211, incendiée, puis subit un second siège l'année suivante. En 1227 le comte de Toulouse installe les templiers à Lacapelle Livron. Il développe par ailleurs une véritable bastide accolée à l’ancien castrum. Caylus est annexé au domaine royal en 1270, en même temps que le comté de Toulouse. Avant la guerre de Cent Ans, Caylus est devenue une vraie ville, presque autant peuplée que Saint-Antonin, deuxième ville du Rouergue. En plus des guerres et de leurs malheurs, la peste noire de 1348 élimine un tiers de la population. La paix est de retour en 1444.

    En 1562, les troupes calvinistes de Symphorien de Durfort, sire de Duras, s'emparent de la ville et massacrent 250 habitants. Caylus prendra le parti catholique, adhère au parti de la Ligue et accueille en 1622, Louis XIII y établit son quartier général durant le siège de Saint-Antonin.

    Caylus ne se releva jamais des guerres de religion. Au XVIIIe siècle, les fortifications furent en grande partie démolies. De ville, Caylus est progressivement devenue un bourg rural.

    Une légende est attachée à la construction de l'église de pèlerinage Notre-Dame-de-Livron : « la délivrance miraculeuse d'un dragon malfaisant, réalisée par le chevalier de Lagardelle, grâce à la protection de la Vierge ».

    Héraldique

    Blason
    De gueules au château de trois tours d'or maçonné de sable, surmonté d'une croisette cléchée, vidée et pommetée de douze pièces aussi d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Mairie de Caylus.

    La commune fait partie de l'arrondissement de Montauban, de la communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron et du Pays Midi-Quercy. Elle était le chef-lieu du canton de Caylus, avant le découpage territorial de 2014 et son intégration au nouveau canton de Quercy-Rouergue

    Controverse démocratique : représentation de Caylus au sein de la communauté de communes.

    A l’été 2020, l’élection d’un vice président est mise en cause par des membres du conseil communautaire ainsi que par des habitants de Caylus, commune de la CCQRGA. En effet, c’est un conseiller municipal de la liste minoritaire de Caylus qui est élu premier vice-président en charge de l’économie. Le président de la communauté de communes, Gilles Bonsang, argue que l’élection à un poste de vice-président d’un élu ayant perdu les élections municipales n’est pas contraire à la loi. La partie adverse explique qu’il s’agit de respecter l’esprit de la démocratie en reconnaissant le vote des électeurs de Caylus. Ainsi, Serge Regourd, élu de Laguépie, conseiller régional et spécialiste de droit public dénonce l’irrégularité de l’élection du vice-président à l’économie, le mépris de l’intérêt général et du service public. Lors d’un conseil communautaire, Gilles Bonsang menace d’user de son pouvoir de police afin de mettre fin au débat, menace jugée abusive par Serge Regourd. Le maire de Caylus, Vincent Cousi, informe le préfet Pierre Besnard de la situation[25],[26].

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1941 1944 François Mazelier    
    septembre 1944 1948 Henri-Camille Amic    
    décembre 1948 1965 Gaston Férié    
    mars 1965 1971 Dr Robert Lafon    
    mars 1971 1972 Roland Delort    
    octobre 1972 1983 Dr Robert Lafon    
    mars 1983 1989 Paul Raynal    
    mars 1989 2001 Dr Christian Nicolas    
    mars 2001 juin 2020 Christian Maffre DVG  
    juin 2020 En cours Vincent Cousi SE  

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2018, la commune comptait 1 457 habitants[Note 4], en diminution de 3 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5 0005 1315 4115 3985 3195 4245 1525 3025 363
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    5 2124 9734 9504 8294 9284 6444 5634 2654 033
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 6543 7703 5292 5802 4882 3822 0892 0061 788
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 6621 6581 3641 4091 3081 3241 5261 5361 450
    2018 - - - - - - - -
    1 457--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
    Rang de la commune dans le département 14 17 21 27 27 24 26 30
    Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

    Vie locale

    Culture et festivités

    Musée : la Maison du Patrimoine et de l'Environnement[38].

    Divers

    • Le village de Caylus comprend une des cinq stations Météo-France du département. Elle relève la température, la pluie, le vent ainsi que tout autre paramètre météorologique. Ainsi, le , cette station a relevé une rafale de 99 km/h en raison d'un très violent orage remontant du sud-ouest. Ce même soir, le vent avait atteint plus de 130 km/h dans le secteur de Montauban.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    Patrimoine civil

    • Cascade pétrifiante de Saint-Pierre de Livron à Caylus (site inscrit depuis 1942). Elle se situe dans la vallée de la Bonnette le long de la route D 97.
    • Château et garenne de Mondésir.
    • Dolmen au lieu-dit Saint-Amans.
    • Donjon du XIIIe siècle remanié.
    • Grotte du Four.
    • Habitat gallo-romain et mobilier au camp de Caylus.
    • hameau de Cornusson, rattaché à la commune de Caylus, comporte un très beau château, une église remarquable et de petites maisons traditionnelles anciennes, dont l'une[43] a été immortalisée par le peintre et dessinateur J. Bergère de Montauban.
    • Manoir de Gauléjac du XVe siècle.
    • Pigeonnier de Racanière, pigeonnier.
    • Portail de l'ancienne chapelle des pénitents blancs sur la place de la Halle.
    • Porte de ville inscrite aux Monuments historiques en 1927.
    • Tumulus du Saoul.
    • Village médiéval : maisons anciennes (maison des Loups...), halle, place du Marché.
    • Voie romaine.

    Personnalités liées à la commune

    • Le père Évariste Huc (1813-1860), missionnaire en Chine et au Tibet et auteur des Souvenirs d'un voyage dans la Tartarie et le Tibet, est né à Caylus.
    • Maurice Rajaud, un habitant de Caylus, est mort volontaire en Espagne, lors de la guerre civile[44].
    • Antoine Edmond de la Contrie-Perdrix, Chevalier de la Motte et des Granges[45].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Chanoine Edmond Albe, « La Châtellenie de Caylus au XIVe siècle », dans Bulletin archéologique et historique de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, 1905, tome 33, p. 317-361 (lire en ligne)
    • Pierre Garrigou Grandchamp, « Caylus aux XIIIe et XIVe siècles. Urbanisme et architecture civile d'un castelnau quercynois », dans Congrès archéologique de France. 170e session. Monuments de Tarn-et-Garonne. 2012, Société française d'archéologie, Paris, 2014, p. 199-213, (ISBN 978-2-901837-53-4)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Lignes régulières dans le Tarn-et-Garonne », sur liO : Service Public Occitanie Transports (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ginals - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Caylus et Ginals », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ginals - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Caylus et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne et Abbé F. Galabert, « Étymologie du nom de Caylus », Bulletin archéologique et historique de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, vol. 16, (ISSN 2420-2460, lire en ligne, consulté le ).
    21. Confirmations de privilèges accordés en 1370 par le roi Charles V
    22. André Soutou, « Testament du seigneur de Caylus : (commune de St-Affrique) en 1182 », Revue du Rouergue, vol. 32, , p. 29-37 (lire en ligne).
    23. « Atlas de Trudaine ».
    24. André de Bellecombe, Histoire du château, de la ville et des seigneurs et barons de Montpezat et de l'Abbaye de Pérignac, Lafitte, , 319 p. (présentation en ligne), p. 25-26.
    25. « Saint-Antonin-Noble-Val. Conseil communautaire: la polémique et la querelle au cœur du débat », sur ladepeche.fr (consulté le ).
    26. « Saint-Antonin-Noble-Val. Polémique au conseil communautaire à Saint-Antonin : et ça continue encore et encore », sur ladepeche.fr (consulté le ).
    27. Résultat de l'élection présidentielle de 2012 à Caylus sur le site du ministère de l'Intérieur
    28. Résultat de l'élection présidentielle de 2007 à Caylus sur le site du ministère de l'Intérieur
    29. Résultat de l'élection présidentielle de 2002 à Caylus sur le site du ministère de l'Intérieur
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. La Maison du Patrimoine et de l’Environnement Midi-Quercy
    39. « Église Saint-Amans-le-Vieux (ancienne) », notice no PA00095733, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Eglise Saint-Jean-Baptiste », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    41. « Église paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    42. « Église paroissiale Saint-Roch », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    43. « Les petites toulousaines - », sur Les petites toulousaines (consulté le ).
    44. «Rajaud, tué pour la liberté en Espagne» Éditions La Brochure (ISBN 978-2-917154-76-2).
    45. Il est né le à Château-Thierry. En 1783, il poursuit ses études à l'Ecole Militaire Royal de Rebais en Brie. Le , il s'engage dans l'armée républicaine sous le nom d'emprunt "Antoine Edmond", dans le bataillon auxiliaire des Colonies. Il est affecté à la 111 éme demi-brigade, puis à la 46 éme demi-brigade. Il participe à la bataille d'Ostende dans l'armée d'Angleterre, à la bataille de Zurich dans l'armée du Rhin. Le , il est gravement blessé à la bataille d'Oberhausen et il est fait prisonnier par les autrichiens. Il fut échangé contre l'enseigne Stemmer par la commission militaire datée du . Il rentre France, où il est réformé à la suite de ses blessures après 9 ans 6 mois et 15 jours de service. Il est nommé le , receveur des contributions à vie à Caylus, puis le , percepteur des contributions directes des communes de Caylus, Mouillac et Espinas. Il est durant plusieurs années, électeur et élu de sa circonscription de Montauban, mais aussi membre du conseil municipal de Caylus jusqu’en 1843. Antoine est décédé le à Caylus et il est inhumé dans le cimetière de Caylus au côté de sa femme Elisabeth née de Labarthe-Pradal. En son souvenir, une rue de Caylus porte son nom "Antoine Edmond Delacontrie, soldat de l'an II[réf. souhaitée]
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