Briey (Meurthe-et-Moselle)

Briey est depuis une commune déléguée de Val de Briey et une ancienne commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand-Est[1].

Pour les articles homonymes, voir Briey.

Briey

Reste des fortifications.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Briey (chef-lieu)
Commune Val de Briey
Statut Commune déléguée
Maire délégué Francois Dietsch
Code postal 54150
Code commune 54099
Démographie
Gentilé Briotins
Population 5 758 hab. (2014 )
Densité 212 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 58″ nord, 5° 56′ 25″ est
Altitude Min. 174 m
Max. 323 m
Superficie 27,13 km2
Élections
Départementales Pays de Briey
Historique
Date de fusion
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Briey
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Briey
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Briey
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Briey
Liens
Site web ville-briey.fr

    Ancien siège d'un comté appartenant à la Famille de Briey (toujours représentée), Briey a donné son nom au bassin ferrifère le plus puissant d'Europe au début du XXe siècle : le Bassin de Briey (Famille De Wendel).

    Géographie

    Située en Meurthe-et-Moselle, dans une zone minière fortement industrialisée au nord-ouest de Metz, elle est une des villes importantes d'une vaste agglomération, incluant notamment Jœuf, Homécourt en Meurthe-et-Moselle, et, dans le département de la Moselle : Hagondange, Amnéville et Rombas. Cette agglomération, nommée Hagondange-Briey, qui compta plus de 130 000 habitants dans les années 1970, n'en comprenait plus que 112 000 en 1990. Désormais, elle ne fait plus qu'un avec l'agglomération de Metz, dont la ville principale n'est distante que de 30 kilomètres.

    La ville qui s'organise en quatre quartiers majeurs est traversée par le Woigot. Briey-Haut, cité médiévale dont le centre historique était autrefois lourdement fortifié, s'étend vers Mance et Moutiers s'arrête aux abords de la forêt domaniale de Moyeuvre-Grande. Elle surplombe Briey-Bas, "la ville basse", établie sur les deux rives du Woigot et sur les flancs du plateau briotin ; la "grand-rue", artère médiévale pentue et pavée, la relie à la "ville haute", entre des jardins en cascade.

    De l'autre côté, Briey-les-Hauts, touchant à Lantéfontaine, s'étend en direction de Valleroy et les Baroches. Enfin, Briey-en-Forêt qui a été créée dans les années 1960 autour de la Cité radieuse de Le Corbusier, dominant le plan d'eau de la Sangsue (lac artificiel creusé depuis le cours d'eau originel du Woigot à la même époque), dans la direction du village de Mance. Aujourd'hui se rajoute le quartier grandissant de la Cartoucherie (dont le nom rappelle le dépôt d'explosifs utilisé lors de l'exploitation des mines), maintenant appelé les Petits-Hauts.

    Briey est aussi une des villes contenant la plus grande superficie de la forêt de Moyeuvre sur son territoire.

    Briey est un carrefour routier conduisant vers Metz, Jarny, Longwy et Longuyon, Verdun, Thionville, le Luxembourg et les Ardennes (Sedan, Charleville-Mézières).

    Cette ville donne aussi son nom à un canton ainsi qu'à un arrondissement, un des quatre de Meurthe-et-Moselle avec Lunéville, Toul et Nancy, ainsi qu'à un plateau sur lequel Briey se situe.

    De nos jours a également lieu chaque année la grande foire de la Pentecôte qui dure quatre jours et attire un grand nombre de forains et de visiteurs. Briey propose aussi un marché (tous les mercredis), un marché de Noël et une grande fête médiévale.

    Toponymie

    L'origine du nom de la ville viendrait du mot celte « briga » qui signifie forteresse.
    Anciens noms[2] : Potestas Briacensis (1096) ; Briada (1096) ; Bricium (1105) ; Brigegium castrum, Brigeium (1106) ; Brigeyum (1106) ; Bragida (1106) ; Briacum (1130) ; Brieum (1138) ; Briei (1244) ; Briez (1480) ; Brieyum, Bryeyum (1544) ; Brie (1553) ; Brietz (XVIIe siècle) ; Bréy, Bryy, Brey (1618) ; Breyy (1634) ; Brieyy (1636) ; Bryey (1673) ; Brye (1680).

    Histoire

    Vestige des remparts.

    Les Romains y avaient bâti un fort en communication avec celui du Titelberg, il était le siège d'un comté au VIIIe siècle, les premiers comtes de Briey étaient d'origine commune avec la première maison de Bar[2]. On peut noter la présence du château des comtes de Bar, mentionnée en 1076. Elle est alors propriété de la Maison de Landres dite Maison de Briey.

    Une charte d'affranchissement fut accordée aux habitants de Briey en 1263.

    Au cours du XVe siècle, la prévôté de Briey est confiée par les ducs à plusieurs membres de la famille de Ficquelmont.

    Briey fut incendiée par les Messins en 1369, prise par Charles le Téméraire en 1475, ravagée par les protestants en 1591, puis par les Suédois en 1635. Sa forteresse fut démantelée par les Français en 1660. Enfin, la ville fut occupée par les troupes russes en 1815, allemandes en 1870 puis de 1914 à 1918 et de 1940 à 1944.

    Chef-lieu d'un bailliage (1751-1789), puis d'un district (1790-1795) et enfin d'un arrondissement depuis 1800.

    En 1790, Briey est rattaché au nouveau département de la Moselle dont Metz est le chef-lieu.

    En 1817, Briey, village de l'ancien duché de Bar sur le Woigot avait pour annexes, les fermes de la Folie, de la Madeleine et de la Solle, et les moulins de Deltzain et de la Caulre. À cette époque, il y avait 1 161 habitants répartis dans 296 maisons.

    De 1800 à 1871, Briey fut le siège d'une sous-préfecture du département de la Moselle. En 1871, l'arrondissement de Briey - moins quelques villages : Sainte-Marie-aux-Chênes, Saint-Privat-la-Montagne, Roncourt, où se déroulèrent d'importantes batailles - demeura français après que la plus grande partie du département de la Moselle eut été annexée à l'Empire allemand par le traité de Francfort. Ce même traité amputait le département voisin de la Meurthe des arrondissements de Sarrebourg et de Château-Salins. L'arrondissement de Briey, associé aux arrondissements du département de la Meurthe qui n'avaient pas été annexés, constitua avec eux le nouveau département de Meurthe-et-Moselle.

    Il fut un temps envisagé de rattacher Briey à la Meuse, ou de créer un nouveau département qui prendrait comme ses voisins le nom de la rivière qui le traversait, en l'occurrence la Chiers. Ces idées furent abandonnées.

    Lors de l'invasion allemande en août 1914, plusieurs personnalités des régions envahies furent fusillées par l'ennemi sans raison avouable. Occupée pendant toute la durée de la guerre par l'armée allemande, Briey se retrouva de 1914 à 1918 au nord de la ligne de front. Ses mines et son industrie furent réquisitionnées au profit de la machine de guerre allemande. D'aucuns prétendirent que la famille de Wendel, propriétaire des installations sidérurgiques, profita de ses relations parisiennes pour empêcher le bombardement du bassin de Briey par les forces françaises. Ainsi, en 1917, l'aviateur Lucien Bossoutrot « est mis aux arrêts par le Général Philippe Pétain pour avoir bombardé le bassin sidérurgique de Briey qui fournit du minerai de fer à l'Allemagne... et à la France. »[3].

    Politique et administration

    En 2010, la commune de Briey a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[4].

    Liste des maires

    Mairie de Briey.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1884 1889 Henry Bertrand Républicain Conseiller général du canton de Briey (1877-1901)
    1889 1895 Amédée Lebrun    
    1895 1904 Alfred Laurent    
    1904 1907 Louis Simon    
    1907 1909 Henri Munier    
    1909 1919 Ferdinand Watrin    
    1919 1935 François Marie Henri Lorentz    
    1935 1940
    (révoqué)[5]
    Alexis Giry Rad.ind. Conseiller général du canton de Chambley-Bussières (1937-1940)
    1940 1941 Cuny    
    1941 1944 Félix Navel    
    1944 1947 Alexis Giry    
    1947 1947 Marcel Vainker    
    1947 1959 Pierre Giry    
    1959 1984 Hubert Martin RI puis
    UDF-PR
    Médecin - Député (1962-1967 et 1968-1973) - Sénateur (1974-1992)
    1984 2016 Guy Vattier UDF
    puis UDI
    Député de Meurthe-et-Moselle (1988)
    Conseiller général du canton de Briey (1988-2001)
    Liste des maires délégués successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2016 En cours Guy Vattier UDI  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[7],[Note 1].

    En 2014, la commune comptait 5 758 habitants, en augmentation de 5,38 % par rapport à 2009 (Meurthe-et-Moselle : 0,15 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

               Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1872
    1 8021 4031 7841 6271 7301 9381 8861 8761 996
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    2 1392 1312 1432 0332 0012 2262 6302 8942 686
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    2 6662 8042 7792 9093 4435 3914 9665 3524 357
    1990 1999 2004 2009 2014 - - - -
    4 5144 8585 1375 4645 758----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[9].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Briey est un centre administratif : tribunal de grande instance, sous-préfecture, ONF, DDE, centre des Finances publiques, ainsi qu'une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Meurthe-et-Moselle.

    L'agriculture y tient une place importante, la ville comptant de nombreuses exploitations.

    L'hôpital Maillot est le troisième hôpital régional avec environ 500 lits, et comprend 900 employés.

    La ville compte quatre écoles dont deux écoles maternelles, ainsi que trois collèges et deux lycées dont un établissement privée collège et lycée l'Assomption.

    Du fait de son administration, de ses structures d'enseignement (3 500 élèves au total), et de l'importance des secteurs médicaux et judiciaires, Briey offre la particularité de doubler sa population de la nuit au jour.

    Sidérurgie

    Existence d'un haut-fourneau, situé à La Caulre et dont la durée de vie aurait été limitée.

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Vestiges préhistoriques et antiques.
    • Oppidum en éperon barré au lieu-dit Bois des Chèvres.
    • Vestiges de murs de défense.
    • Château fort, époque de construction : XVe siècle ; XVIe siècle ; XVIIe siècle. Château du type " éperon barré ", propriété des comtes de Briey puis de Bar, cité dès 955-960. Réparé et aménagé aux XVe, XVIe, XVIIe siècles, détruit par ordre de Richelieu en 1635. Près de son emplacement a été construit au XVIIIe siècle le couvent des cordeliers, actuelle sous-préfecture. Du château ne subsistent qu'une partie des courtines et la base d'une tour du sud-ouest.
    • Château de Wendel, parties constituantes : chapelle, époque de construction : 4e quart XIXe siècle. Château construit par l'architecte Albert Jasson pour Henri de Wendel en 1895.
    • Château de Brouchetière, parties constituantes : parties agricoles ; château d'eau ; parc. Époque de construction : 1er quart XXe siècle. Château construit après son mariage en 1905 pour Maurice de Wendel, dans le parc du château de son père Henri.
    • Ancien hôpital Saint-Charles, parties constituantes : chapelle, époque de construction : 1er quart XVIIe siècle ; XVIIIe siècle ; 4e quart XIXe siècle. Il s'agit peut-être du couvent des capucins de Briey, daté 1601, saisi comme bien national à la Révolution, transformé en service des postes et racheté en 1844 par les sœurs de Saint-Charles qui surélèvent le corps principal d'un étage, transforment l'édifice en bureau de bienfaisance, école, pensionnat puis hôpital civil. Chapelle construite en 1877 par Edouard Sibille architecte à Briey. Ensemble devenu propriété du département, en cours de transformation en logements. Chapelle rasée en 1984.
    • Beffroi reconstruit en 1722 et inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 30 octobre 1989[10].
    • Hôtel de ville époque de construction : XVIIIe siècle. Construit sur l'emplacement de l'ancien donjon du château, l'hôtel de ville se compose de deux corps de bâtiments : l'ancien auditoire de la prévôté et la maison de ville, bâtis avant 1751 ; le bailliage, élevé dès mai 1789 sur les plans de l'architecte briotin Jean-François Henry. Cet édifice est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 27 février 1996[11].
    La gare, au début du XXe siècle.
    • Gare de Briey, XIXe siècle, détruite, aujourd'hui remplacée par un magasin discount.
    • Banque de France, époque de construction : 1er quart XXe siècle, actuellement transformée en logement.
    • Banque Caisse d'Épargne, époque de construction : 1er quart XXe siècle. Caisse d’Épargne construite en 1914, 1921, 1922 par les architectes Marchal et Toussaint, inaugurée le 24 septembre 1922, date portée.
    • Maison de Tanneur, située 1 rue Pasteur. Maison de tanneur au bord du Woigot, du début XIXe siècle, à appentis en encorbellement sur la façade postérieure.
    • Ancienne brasserie Saint-Antoine, époque de construction : 4e quart XVIIIe siècle (détruit) ; 2e moitié XIXe siècle. Brasserie établie à la fin du 4e quart du XVIIIe siècle (daté par travaux historiques) à l'emplacement de l'hôpital saint Antoine ; hôpital fermé en 1756 puis vendu en 1793 ; bâtiments reconstruits dans la 2e moitié du XIXe siècle ; désaffectée en 1918 à la suite de réparations (matériel détruit) effectuées par les Allemands, puis transformée en entrepôt de bière de Maxéville ; actuellement entrepôt de marchandises diverses, et magasin de commerce.
    • Maison natale du XVIIIe siècle de François Maillot (1804-1894), médecin spécialisé dans le traitement du paludisme.
    • Maison de la 2e moitié du XIXe siècle de l'écrivain et académicien Louis Bertrand (1866-1941).
    • Cimetière militaire allemand (1914-1918).
    • La Cité Radieuse : unité d'habitation construite en 1960 sur les plans de l'architecte Le Corbusier, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1993[12].
    • Le Cube, ancienne chaufferie de l'unité d'habitation Le Corbusier, réaménagée en atelier d'artiste en 2000. Inscrit au titre des monuments historiques depuis 2007[12].
    • Le plan d'eau de la Sangsue.
    • La forêt domaniale de Moyeuvre-Grande.

    Édifices religieux

    Beffroi de Briey.
    • Église Saint-Gengoult (XIIe siècle) avec le calvaire de Ligier Richier, ensemble sculptural en bois de six personnages à taille humaine : le Christ, saint Jean, sainte Marie-Madeleine, la Vierge et les deux larrons. Un Dit des trois morts et des trois vifs, représentation murale montrant trois jeunes gentilshommes interpellés dans un cimetière par trois morts, qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme. L'église est l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du 16 juillet 1987[13].
    • Ancien couvent de Cordeliers, destinations successives : manufacture, teinturerie ; sous-préfecture et tribunal, éléments remarquables : porte, époque de construction : XVIIIe siècle ; 4e quart du XXe siècle. Emplacement du château de Briey, propriété des ducs de Lorraine, vendu en 1709 aux cordeliers de La Chapelle-aux-Bois (Meurthe-et-Moselle) qui y transfèrent leur couvent en 1712. Vendu comme bien national en 1794, transformé alors en manufacture de draps et teinturerie, acheté en 1820 par le département de la Moselle pour y loger le tribunal et la sous-préfecture. Restauré et agrandi après 1975, porte en remploi, datée 1598, provenant de l'abbaye de Saint-Pierremont à Avril. Armoiries.
    • Maison le Galatas. Il s'agit sans doute d'un ancien couvent de femmes avec chapelle du XIVe ou XVe siècle ; transformé en maison au XIXe siècle et conservant des éléments gothiques : porte cochère et porte piétonne, deux baies au second niveau.
    • Chapelle Saint-Antoine construite en 1260 servait de chapelle à l'ancien hôpital Saint-Antoine fermé en 1756.
    • Chapelle de l'ancien hôpital Saint-Charles construite en 1877 (date portée sur le portail) seul vestige restant de la chapelle.
    • Chapelle du cimetière construite en 1868 pour remplacer l'oratoire du vieux cimetière autour de l'église et servir de sépulture aux prêtres de la paroisse, elle abritait le calvaire de Ligier Richier, aujourd'hui dans l'église paroissiale.
    • Chapelle de l'Assomption du lycée et collège.

    Personnalités liées à la commune

    Le plan d'eau de la Sangsue.

    Personnalités nées à Briey

    Personnalités mortes à Briey

    Héraldique

    Blason
    D'or à trois pals alésés et fichés de gueules,rangés en fasce.
    Détails
    Il s'agit des armes de la maison de Briey[15].
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Briey (Meurthe-et-Moselle)
    Anciennement : D'azur, à trois pals pointés d'or[15].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Alice Lavallée-Becq, Briey à travers les siècles, 2000, publié à Metz par Livre d'histoire.
    • Docteur Pierre Mangin, Histoire du Pays de Briey, 1983, Typo-Lorraine, Verdun.
    • François Heller, Briey, 2000 ans d'histoire, Briey d'hier et d'aujourd'hui.
    • Louis Bertrand, Mademoiselle de Jessincourt, 1935, Plon
    • Patrick Pécherot, Les Brouillards de la Butte (Grand Prix de Littérature policière 2002).
    • Kévin Gœuriot, La terre, la pierre et le fer, histoire et patrimoine du pays de Briey, 2011, Serpenoise, Metz.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. « Recueil des actes administratifs de Meurthe-et-Moselle, Édition n° 34 du 06 juillet 2016 », sur http://www.meurthe-et-moselle.gouv.fr/, (consulté le )
    2. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
    3. Centen'Air de l'aviation : Lucien Jean-Baptiste Bossoutrot.
    4. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 18/12/2009.
    5. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
    6. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    7. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
    10. « Beffroi de Briey », notice no PA00106441, base Mérimée, ministère français de la Culture
    11. « Hôtel de ville », notice no PA54000001, base Mérimée, ministère français de la Culture
    12. « Cité Radieuse », notice no PA00125522, base Mérimée, ministère français de la Culture
    13. « Église Saint-Gengoult de Briey », notice no PA00106004, base Mérimée, ministère français de la Culture
    14. « Histoire de la dynastie Gruss »
    15. Constant Lapaix, Armorial des villes, bourgs et villages de la Lorraine, du Barrois et des Trois-Évêchés, Nancy, Chez l'auteur
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