Barentin

Barentin est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Barentin (homonymie).

Barentin

Le viaduc de Barentin sur la ligne Paris - Le Havre.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes Caux-Austreberthe
Maire
Mandat
Christophe Bouillon
2020-2026
Code postal 76360
Code commune 76057
Démographie
Gentilé Barentinois
Population
municipale
12 211 hab. (2018 )
Densité 958 hab./km2
Population
agglomération
532 559 hab.
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 43″ nord, 0° 57′ 16″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 128 m
Superficie 12,74 km2
Élections
Départementales Canton de Barentin
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Barentin
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Barentin
Géolocalisation sur la carte : France
Barentin
Géolocalisation sur la carte : France
Barentin
Liens
Site web ville-barentin.fr

    C'est la ville-centre d'une agglomération de trois communes, l'unité urbaine de Barentin.

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Situation

    Ville de 11 957 habitants, Barentin s'étend sur 1 274 hectares, est remarquablement située à l'intersection des grands axes routiers qui joignent Paris au Havre et Dieppe à la vallée de la Seine. Distante de 20 km de Rouen et d'Yvetot (capitale du pays de Caux), c'est une localité en plein essor qui s'inscrit dans le cadre verdoyant et agréable de la vallée touristique de l'Austreberthe, qui traverse la commune.

    Voies de communication et transport

    Barentin est traversée par l'ancienne RN 15 devenue RD 6015 (axe Rouen-Le Havre). La commune est située à 17 kilomètres au nord-ouest de Rouen accessible par l'A150. Depuis février 2015, l'autoroute contourne la ville par le sud jusqu'à Yvetot via le viaduc de l'Austreberthe.

    La gare de Barentin est desservie par les trains de la ligne ligne Rouen - Le Havre du réseau TER Normandie.

    Faune et flore

    La commune est classée « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Barentinum[1], Barentini vers 1006[2], Barentin au XIIIe siècle.

    Ce toponyme, repose sur un radical prélatin barant, peut-être gauloise, comme pour Barenton, qui évoque l'eau[3].

    Histoire

    Dès 1006, « Barentin » se fait connaître et remarquer par ses activités économiques.

    Une branche des seigneurs de Barentin donna des personnalités politiques de Jersey au Moyen Âge notamment deux homonymes connus sous le nom de Drouet de Barentin.

    En 1846 : effondrement du viaduc de Barentin.

    Du Moyen Âge à aujourd'hui, les moulins, les papeteries, les filatures, puis la haute technologie ont marqué le développement de la ville.

    Le 13 septembre 1888, la ville reçoit la visite du président Sadi Carnot[4].

    Une vie culturelle locale attractive, son musée dans la rue (exceptionnel en France[réf. nécessaire]), de nombreux magasins, une vaste zone commerciale artisanale et industrielle permettent de recevoir les touristes en toutes saisons.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Pavilly de Seine-et-Oise[5]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du canton de Barentin

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Seine-Maritime.

    Intercommunalité

    Barentin est membre de la communauté de communes Caux-Austreberthe, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2012 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Tendances politiques et résultats


    Lors des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, une seule liste était présente, celle menée par Christophe Bouillon (PS)  soutenue par le maire sortant  qui a donc été élue dès le premier tour lors d'un scrutin marqué par 70,08 % d'abstention et près de 10 % de votes blancs et nuls. Cette liste est donc élue, avec 33 conseillers municipaux dont 18 conseillers communautaire

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1881 1908 Auguste Badin[6]   Industriel
    Conseiller général de Pavilly (1874 → 1880)
    Officier de la Légion d'honneur
    Les données manquantes sont à compléter.
    1920 1944 Julien Neveu Rad. Pharmacien
    1945 1974 André Marie Rad. Avocat
    Député de la Seine-Inférieure (1928 → 1942 et 1945 → 1962)
    Ministre (1947 → 1949 et 1951 →1954)
    Président du Conseil (1948 → 1948)
    1974 mars 1989 Gaston Sanson UDF Instituteur
    mars 1989 mai 2020 Michel Bentot PRG puis
    MR
    Instituteur retraité
    Conseiller général de Pavilly (1992 → 1998)
    Président de la CC Caux-Austreberthe (2012 → 2020)
    mai 2020[7],[8] En cours
    (au 10 août 2020)
    Christophe Bouillon PS puis
    sans étiquette
    Député de la Seine-Maritime (5e circ.) (2007 → 2020)
    Conseiller départemental de Barentin (2015 → )
    Maire de Canteleu (2001 → 2014)
    Président de la CC Caux-Austreberthe (2020[9] → )

    Jumelages

    Barentin est jumelée avec :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[10],[Note 1]

    En 2018, la commune comptait 12 211 habitants[Note 2], en augmentation de 2,12 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5101 9001 8591 4381 7882 1642 5023 0183 073
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6713 0723 2902 7293 1723 7434 2754 4185 082
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5 5706 0396 2016 2996 2515 9895 4905 2796 371
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7 9629 79010 77312 36412 72112 83612 20812 23912 061
    2018 - - - - - - - -
    12 211--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[11].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Manifestations culturelles et festivités

    Santé

    La ville comporte de nombreux services médicaux. D'abord, l'hôpital et la maison de retraite, en centre-ville, ainsi qu'un centre de convalescence aux Campeaux, quartier de Barentin, situé à côté du Hamelet. Enfin, la ville accueille plusieurs médecins (comme sept dentistes, en centre-ville). La plupart sont regroupés dans un centre médical spécialisé (le centre médical Aristide-Briand), au niveau de la zone commerciale. On y trouve un ophtalmologiste, une orthoptiste, un dermatologue, cardiologue, des ORL... Et plus haut, un nouveau cabinet s'est ouvert, avec des médecins généralistes, spécialistes et une diététicienne.

    Sports

    Le site de la mairie communique les informations suivantes[13] :

    • Athlétic Club de Barentin : A.C.B ;
    • Barentin Badminton Club : BBC créateur et président entraîneur encore actuellement et depuis 1962 : Bernard Lechalupe. C'est lui qui a découvert et entrainé Ghislaine Auzou (Pichard), sept fois championne de France.
    • La Boule Barentinoise ;
    • Boxing Club Barentinois ;
    • Football Club Barentinois ;
    • Hockey Club Barentin : club évoluant en National 2
    • Rugby Club de Barentin : créé en 1978 ;
    • Sport U.S. Barentin :
      • Les Crazy Bees : équipe de Flag +17 ans, engagée en championnat National Flag +17 ans depuis 2010 (10e de la poule Nord en 2012-2013[14], 6e en finale de la coupe de France 2014 masculine ). L'équipe +17ans des Crazy Bees fut invaincue dans le championnat de D2 lors de la saison 2014-2015 et jouera en D1 pour la saison 2015-2016. Les Crazy Bees possède également une équipe -11/-13 ans,
      • Les Killer Bees : équipe de football américain engagé dans le championnat de Normandie de Football Américain depuis 2013.

    Médias

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Martin.
    • L'église Saint-Martin, vaste construction romane a été édifiée entre 1855 et 1860. Elle est construite d'après les plans de Désiré Martin et du chanoine Charles Robert, architecte du diocèse de Rouen. De style néoroman, elle fait référence à l'abbatiale Saint-Georges de Boscherville. L'intérieur d'une extrême sobriété, comporte de simples voûtes sur croisées d'ogives et des arêtes sur arcs boutés. Les verrières d'origine, posées en 1856, ont été presque totalement détruites en 1944. Les panneaux actuels ont été réalisés par François Lorin, d'après des dessins de Georges Mirianon. L'un des vitraux de la façade représente le premier blason de la ville de Barentin[15].
    • La chapelle Saint-Hélier, date du XVIe siècle, suivant la légende, le pape Clément VI, ancien archevêque de Rouen, ayant vendu une partie de Barentin, en réserva la jouissance viagère à ses deux nièces. Elles y auraient fondé un couvent de femmes, dont la chapelle Saint-Hélier aurait été l'oratoire[16]. En réalité, il s'agit de l'ancienne chapelle du château seigneurial de Barentin détruit durant la guerre de Cent Ans, elle est bâtie selon un assemblage en damier de pierre blanche et silex. Son chevet remonte vraisemblablement au XIVe siècle ; le reste de l'édifice date du XVIe siècle. Le fief de Saint-Hélier devint la possession des Clémentins au milieu du XIVe siècle. Il appartient ensuite aux seigneurs de Pôville, au chevalier de Bardouville et à la famille d'Esneval. Au début du XXe siècle, le saint est célébré le 16 juillet par un pèlerinage[15].
    • L'hôtel de ville, construit entre 1901 et 1906 est dû à l'architecte rouennais Georges Bourienne.
    • Sur la place de la Libération, a été ré-édifiée une fontaine attribuée à Guillaume Coustou.
    • Le théâtre Montdory, inauguré en 1959, est de l'architecte Michel Percheron. Les glaces et les peintures visibles dans l'escalier, proviennent du transatlantique Liberté.
    Le presbytère de Barentin.
    • L'un des ouvrages les plus visibles est le viaduc ferroviaire sur la ligne Paris - Le Havre, conçu par l'ingénieur Joseph Locke. Ce viaduc (haut de 33 mètres et long de 480 mètres) permet de traverser l'Austreberthe et sa vallée.
    • La municipalité de Barentin a poursuivi la création du « Musée dans la Ville », programme original d'installation de statues en de nombreux points de la ville réalisé par André Marie. Elle revendique le titre de ville aux cent statues, en fait on peut y voir 160 statues. La plus célèbre est une réplique de la Statue de la Liberté de 13,5 mètres de hauteur, réalisée en polyester originellement pour le film Le Cerveau et offerte à la ville par Gérard Oury. Des œuvres de Paul Belmondo, Antoine Bourdelle, Auguste Rodin, embellissent ainsi la ville.
    • Le théâtre de Verdure, anciennement « Tuileries-Courvaudon » : y ont été remontées dix-sept colonnes provenant du palais des Tuileries, incendié en 1871[17]. Elles avaient d'abord orné le parc du couturier Charles Frederick Worth à Suresnes (Hauts-de-Seine), détruit pour laisser place à l'hôpital Foch dans les années 1930. Elles restent alors dans les jardins de l'hôpital. Le maire de Barentin André Marie les achète à la fondation Foch en 1956 et fait aménager ce théâtre en plein air. Les colonnes entourent une scène de 20 mètres d'ouverture, tandis que six autres venues d'Antibes indiquent avec une statue l'entrée du parc du théâtre. De 1956 à 1975, il accueille le festival Pierre et Thomas Corneille puis un festival de rock. La représentation inaugurale a lieu le 22 juin 1957, avec la pièce Le Cid, devant 3000 personnes. Sur les dix-sept colonnes initialement installées à Barentin, seulement cinq sont restaurées et ré-installées en 2011 dans le théâtre de Verdure[18]. Trois autres sont placées à l'entrée du parc et les gradins en pierre sont remplacés par de la pelouse. Certaines parties dégradées des colonnes (fûts, chapiteaux) ont été copiées à l'identique lors de la restauration et les originaux détruits[19].

    Personnalités liées à la commune

    • Drouet de Barentin, est le patronyme de deux notables de Jersey issue de la même famille de la noblesse normande originaire du village de Barentin près de Rouen. Le plus ancien des deux Drouet de Barentin fut le premier bailli de Jersey et vécut au XIIIe siècle ; le second vécut au XIVe siècle et fut gardien de l'île de Jersey.
    • Auguste Badin (1830-1917), industriel, maire de Barentin de 1881 à 1908.
    • Émile Duboc (1852-1935), commandant, héros du combat de Shipu né à Barentin.
    • André Marie (1897-1974), homme politique élu maire de Barentin de 1945 à 1974.
    • Père Jacques (1900-1945), prêtre catholique, résistant, né à Barentin.
    • Odile Pierre (1932-2020), organiste internationale, y a passé sa jeunesse et commencé sa carrière aux orgues de l'église Saint-Martin.
    • Abdel-Kader Chékhémani, athlète né à Barentin.
    • Jacques Mauger, tromboniste né à Barentin.
    • Nilda Fernández (1957-2019), auteur-compositeur-interprète, y a été professeur d'espagnol. Il a d'ailleurs enregistré une chanson dénommée 76 360 où il fait une description peu flatteuse de la ville.
    • Pat O'May, guitariste, chanteur.
    • Aurélien Bellanger, écrivain français.
    • Françoise Mabille, première femme sapeur-pompier en France.

    Héraldique

    Les armes de la commune de Barentin se blasonnent ainsi :

    D'azur au viaduc de trois arches et deux demies d’argent maçonné de sable, mouvant des flancs, surmonté de trois abeilles d’or rangées en chef.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Émile Lefort, Barentin autrefois, aujourd'hui, Rouen, 1933 et 2004, Le Livre d'histoire-Lorisse, Monographies des villes et villages de France de Micberth (ISBN 2-84373-627-7)
    • Louis Leseigneur, Guerre de 1870-71. Les Prussiens à Barentin, Rouen, 1872 et 1992, Le Livre d'histoire-Lorisse, Monographies des villes et villages de France de Micberth (ISBN 2-87760-900-6)
    • Claude-Paul Couture, Histoire De Barentin, Marcel Etaix,
    • Claude-Paul Couture, Images de Barentin. 1900-1950, Barentin,
    • Claude-Paul Couture, Images de Barentin. 1950-2000
    • Claude-Paul Couture, Images de Barentin. Au fil du temps passé
    • Laurent Thomas, Le viaduc de Barentin, revue "Voies ferrées", Grenoble, 2011
    • Jean-Marie Grisel et Jean-Pierre Dugelay, Images de Barentin. Le musée dans la rue
    • Barbara Pellerin, Barentin, 76 rue Auguste Badin, Point de vues, , 76 p.
    • Émeline Osmont, « Les Établissements Badin à Barentin : quand l'usine devient patrimoine », dans Études normandes, 2009
    • Philippe Gaury et Georges Verdure, Barentin, préface d'Alain Alexandre, Éditions Le Pucheux, 2011, 255p (ISBN 978-2-918856-08-5)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Marguerite Bruneau - 1999 - Seine-Maritime - Page 150 - (ISBN 2862532401).
    2. François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime - Page 37.
    3. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), notice BnF no FRBNF36174448), p. 58.
    4. Le Journal de Rouen, 14 septembre 1888
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. « Badin, Augiste Amant », base Léonore, ministère français de la Culture.
    7. « Christophe Bouillon briguera la mairie de Barentin en 2020 : Le maire de Barentin Michel Bentot a officiellement adoubé hier, samedi 30 mars, le député de la 5e circonscription de Seine-Maritime comme candidat à sa succession aux élections municipales de 2020 », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    8. Sophie Bogatay, « Municipales 2020. Christophe Bouillon officiellement nouveau maire de Barentin : Le député socialiste retrouve un fauteuil de maire. Il a officiellement été installé jeudi après la victoire de son équipe le 15 mars », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « {{{1}}} ».
    9. « Christophe Bouillon élu président de la communauté de communes Caux Austreberthe : Dirigé par Christophe Bouilllon, l’exécutif de la communauté de communes est élu avec huit vice-présidents et trois femmes déléguées », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    10. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    11. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    12. http://colleges.ac-rouen.fr/marie/
    13. http://www.ville-barentin.fr/default_zone/fr/html/page-168.html
    14. http://www.fffa.org/medias/4f0711643d3b9/files/Documents%20%C3%A0%20t%C3%A9l%C3%A9charger%20Flag/Classements_Championnat_Flag_2012_2013.pdf
    15. « Barentin », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5)
    16. Joseph Bunel et Albert Tougard, Géographie du département de la Seine-Inférieure. Arrondissement de Rouen, E. Cagniard, (ISBN 2-86743-057-7)
    17. « Barentin : inauguration ce matin des colonnes restaurées des Tuileries au théâtre de verdure », paris-normandie.fr, 15 octobre 2011.
    18. Renée Grimaud, Hauts-de-Seine insolites : Trésors cachés et lieux secrets, Parigramme, 2013, p. 50.
    19. Les Tuileries. Grands décors d’un palais disparu, éditions du Patrimoine, 2016, p. 250-251.
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