Arkema

Arkema est un groupe chimique français, plus particulièrement de la chimie de spécialité et des matériaux de performance. Son siège social est situé à Colombes, dans les Hauts-de-Seine en France.

Arkema

Création 2004 par scission avec Total
Dates clés 2005 : 1re cotation boursière
Forme juridique société anonyme
Action Euronext : AKE
Slogan « Innovative chemistry »
Siège social Colombes
Direction Thierry Le Hénaff (PDG)
Activité Industrie chimique
Effectif 20 500
SIREN 319632790
TVA européenne FR55445074685[1]
Site web www.arkema.com

Capitalisation 7 029 M€ (avril 2019)
Dette 1,910 milliard € (fin 2020)
Chiffre d'affaires 7,9 milliards € (2020)
-9,8% vs 2019
Résultat net 391 M€
-37,4% vs 2019

Le groupe emploie 20 500 personnes dans 55 pays[2]. En 2020, son chiffre d'affaires s'élève à 7,9 milliards d'euros[3].

Historique

Origines

En 1941, la Société Nationale des Pétroles d'Aquitaine (SNPA) est créée avec pour objet l'exploitation pétrolière du Sud-Ouest de la France[4]. En 1963, alors que s'intensifie l’exploitation du gisement de gaz de Lacq, la SNPA fonde Aquitaine-Plastiques, pour la synthèse de matières plastiques. En 1966, Organico fusionne avec Aquitaine-Plastiques. La nouvelle entité prend le nom d'Aquitaine Organico.

En 1971, Aquitaine Organico réorganise sa production et de l'exploitation pétrolière. L'État fonde l'Union Chimique Elf-Aquitaine et Total Chimie, dans un groupement économique au nom d’Aquitaine-Total-Organico (ATO).

En 1980, Chloé Chimie, une coentreprise entre Total, Elf-Aquitaine et Rhône-Poulenc, est créée. En 1983, Atochem est créé par la fusion d'ATO-chimie, de Chloé Chimie et d'une grande partie de PCUK (Produits chimiques Ugine Kuhlmann). En 1992, ATO-chimie change de nom pour Elf Atochem.

En 2000, Atofina est créé comme une filiale de Total, née en 2000 de la fusion de la chimie de Total-Fina et de celle d'Elf (ex-Elf Atochem).

Arkema

Le groupe Arkema est né en octobre 2004 de la réorganisation d’Atofina, la branche chimie du groupe pétrolier Total, dont il se sépare le 18 mai 2006 par une introduction à la Bourse de Paris[5].

Depuis son entrée en bourse, le groupe Arkema a procédé à de nombreux cessions, acquisitions et investissements afin de se recentrer progressivement sur la chimie de spécialités. Il a ainsi vendu ses activités agrochimiques Cerexagri[6] et son porte-feuille de résines urée-formaldéhyde en 2007[7].

En juillet 2012, Arkema cède pour 1 euro symbolique son pôle d'activité des produits vinyliques au groupe Klesch pour des raisons de rentabilité mais aussi, pour se recentrer exclusivement sur la chimie de spécialités. Dans le cadre de cette cession, Arkema verse 100 millions d'euros de trésorerie au groupe Klesch et prend à sa charge 470 millions d'euros de dettes[8] pour aider à relancer l'activité[9]. Face aux craintes de licenciements et à la mobilisation des salariés de plusieurs sites de production, les organisations syndicales ont négocié avec la direction d’Arkema, des garanties industrielles et sociales et des mesures d’accompagnement visant à protéger les droits des salariés dans le cas où le Groupe Klesch viendrait à procéder à des licenciements après la reprise des activités vinyliques. Deux fiducies pour un montant de 20 M€ ont ainsi été mises en place pour sécuriser les indemnités et droits des salariés des sociétés cédées[10].

Il a également acquis entre 2007 et 2012, la société Coatex spécialisée dans les additifs pour peintures, papiers et autres spécialités industrielles[11], certains actifs acryliques de Dow en Amérique du Nord, les activités résines de spécialité pour revêtements de Total (Cray Valley, Cook Composites & Polymers et Sartomer)[12] et les sociétés chinoises Hipro Polymers et Casda Biomaterials qui fabriquent des polyamides de spécialités bio-sourcés[13].

Le 20 juin 2011, Arkema est rentré au CAC Next 20[14].

En 2012, dans le cadre de sa réorientation stratégique sur la chimie de spécialité, Arkema s'est doté d’une nouvelle identité visuelle et d’une nouvelle signature « Innovative Chemistry »[15].

En octobre de la même année, Arkema et son partenaire coréen CJ débutent la construction d'une unité de thiochimie (chimie issue du soufre) à Kerteh en Malaisie. Celle-ci doit avoir une capacité de production de 80 000 tonnes de bio-méthionine et de 50 000 tonnes de dérivés soufrés. Le projet représente un investissement de 450 millions de dollars[16], répartis à parts égales[17].

En septembre 2014, Arkema annonce son souhait d'acquérir la filiale de chimie de spécialité Bostik appartenant à Total pour 2,2 milliards d'euros[18]. Le , Arkema annonce avoir clôturé la procédure d'acquisition de Bostik[19],[20].

En juillet 2016, Arkema annonce l'acquisition de Den Braven, entreprise néerlandaise spécialisée dans le mastic, qui sera intégrée à sa filiale Bostik pour 485 millions d'euros[21].

En novembre 2016, Arkema cède son activité « Charbons actifs et agents de filtration » à l'américain Calgon Carbon (en), spécialisé dans le domaine des charbons actifs et des solutions de purification et filtration[22].

En mars 2017, Arkema annonce la cession de sa participation de 50 % à Ineos son partenaire suisse, dans leur filiale commune de production d'alcool, Oxochimie[23].

En mai 2018, Arkema annonce l'acquisition de Nitta Gelatin, société japonaise spécialisée dans les adhésifs industriels[24]. En mai 2019, Arkema annonce l'acquisition d'ArrMaz pour 570 millions de dollars[25].

En décembre 2020, Arkema annonce la cession de son activité de Plexiglas, dans le cadre d'un plan de recentrage présenté en avril de la même année. Cette activité est cédée au groupe américain Trinseo pour un montant de 1,1 milliards de dollars. Elle représentait un peu plus de 5% du chiffre d'affaires du groupe et 860 employés sur plus de 20 000 au total. Le plan de recentrage évoqué doit consister pour Arkema à se concentrer sur son cœur de métier, à savoir la chimie des matériaux de spécialité, en se séparant d'activités non stratégiques comme le Plexiglas mais aussi le verre acrylique, le peroxyde d'hydrogène ou les gaz fluorés de climatisation, et en réalisant des acquisitions sur les matériaux de spécialité tels que les revêtements ou les adhésifs[26],[27],[28].

En août 2021, Arkema annonce l'acquisition de l'activité d'adhésif d'Ashland pour 1,65 milliard de dollars[29].

Organisation de l'activité

Unité de production de La Chambre en Maurienne (Savoie), installée en 1929[30].

Jusqu'en 2012, Arkema était composé de trois pôles d'activité : la chimie industrielle, les produits de performance et les produits vinyliques. Avec l'ambition de devenir en 2024 un pur acteur des Matériaux de Spécialités, Arkema est aujourd'hui organisé autour de trois segments complémentaires, résilients et fortement innovants qui leur sont dédiés et qui représentent 80% du CA : les matériaux haute performance, les spécialités industrielles et les « Coating solutions », qui représentent chacun un tiers du chiffre d'affaires de l'entreprise[31].

Le pôle des matériaux haute performance représente 47% du chiffre d’affaires d’Arkema en 2018[32]. Il rassemble les activités polyamides de spécialités et fluoropolymères, les spécialités chimiques de CECA et les additifs fonctionnels pour plastiques. Les principales marques commercialisées sont Evatane (polyoléfines fonctionnelles), Orgasol (poudres ultra-fines), Kynar (fluoropolymères), Pebax (polyéthers bloc amides) (PEBA), Luperox (peroxydes organiques)[33].

Le pôle des spécialités industrielles représente 29% du chiffre d’affaires d’Arkema en 2018[32]. Il regroupe quatre grandes filières intégrées : la thiochimie, les gaz fluorés que l’on retrouve dans les systèmes de réfrigération ou climatisation, Altuglas International qui fabrique du verre acrylique (ou PMMA) et l’eau oxygénée utilisée pour le blanchiment de la pâte à papier ou encore le traitement des effluents industriels. Les principales marques sont Altuglas, Albone (peroxyde d'hydrogène) et Forane (fluide frigorigène)[34].

Le pôle des Coating solutions qui représente 24% du chiffre d’affaires d’Arkema réunit une offre de matériaux et technologies pour revêtements, issue de la chimie des acryliques : des émulsions et additifs acryliques, additifs rhéologiques pour émulsions base aqueuse (Coatex), des résines photoréticulables (Sartomer) pour fibres optiques, arts graphiques ou électronique, etc. Les marques les plus connues sont Sarbio[35], Crayvallac, Celocor ou Encor[36].

Le pôle des produits vinyliques intégrait toute la filière de l’électrolyse du sel jusqu’à la transformation du polychlorure de vinyle (PVC). Il regroupait quatre lignes de produits : chlore/soude, polychlorure de vinyle, compounds vinyliques, et tubes profilés. Ce pôle, qui représentait 25 % du chiffre d'affaires d'Arkema en 2006 et 12 % en 2011, a été vendu au groupe Klesch en car il ne faisait plus partie des activités cœur de métier d’Arkema qui s’est recentré depuis sa création en 2004 sur ses activités de chimie de spécialité[31]. Toutes ces activités PVC ont appartenu au groupe Klesch[37]. En , Alain de Krassny, industriel français, devient président de Kem One.

Filiales

Le groupe Arkema possède sept filiales[réf. nécessaire] :

  • Altuglas International produit et commercialise du polyméthacrylate de méthyle (PMMA). L’entreprise opère sur huit sites de production (trois en Europe, quatre sur le continent américain et un en Corée du Sud). Il produit trois gammes de produits : des résines acryliques, des perles acryliques, des plaques acryliques ;
  • Bostik est spécialisé dans les solutions de collage[38] ;
  • Coatex produit des additifs rhéologiques pour formulations en phase aqueuse. Ses sites de production sont situés en France (Genay), aux Pays-Bas (Moerdijk), aux États-Unis (Chester, Caroline du Sud), en Corée (Kunsan), en Chine (Changshu) et au Brésil (Araçariguama). Les principales marques de cette filiale sont Rheocoat, Coadis, Rheocarb, Ecodis, Viscoatex et Coapur[39] ;
  • MLPC International est spécialisé dans la chimie du sulfure de carbone, du chlorure de cyanogène et des amines. Il produit des auxiliaires pour l’industrie du caoutchouc[40] ;
  • Sartomer est l’un des principaux producteurs d’acrylates de spécialités pour les systèmes de réticulation par rayons UV (photo-réticulation). Cette technologie de photo-réticulation améliore les performances des revêtements, des encres, des adhésifs, des composites, des fibres optiques, du caoutchouc et autres applications exigeantes[41] ;
  • Den Braven, leader des mastics de haute performance pour l'isolation et la construction en Europe[42] ;
  • Casda, leader mondial de l'acide sébacique issu de l'huile de ricin[43].

Répartition géographique

Usine Arkema de Pierre-Bénite

Arkema possède 144 sites industriels, dont 61 en Europe, 43 en Amérique du Nord et 40 en Asie et dans le reste du monde, et des filiales commerciales dans une cinquantaine de pays[44]. Elle compte également treize centres de recherche : sept en France (Lacq, Serquigny (Cerdato[45]), Pierre-Bénite, Venette Carling, Verneuil, et Genay), trois aux États-Unis (Cary, Milwaukee, Philadelphie et King of Prussia), un au Japon (Kyoto)[46] et deux en Chine (Shanghai et Changshu).

Répartition du chiffre d'affaires, de l'activité
par zone géographique en 2019[32]
Part du CA
(%)
Nombre
d'usines
Amérique du Nord et du Sud 32 43
Europe 36 61
Asie et reste du monde 32 40

Données financières

Chiffre d'affaires

Le chiffre d’affaires d’Arkema s’élève à 7,9 milliards d’euros (résultats de 2020)[47] et se répartit entre ses trois pôles : 32% pour le pôle Matériaux Avancés, 25,5% pour le pôle Adhésifs, 24,5% pour le pôle Coating Solutions et 18% pour le pôle Intermédiaires[47]. La société équilibre son chiffre d'affaires entre les trois continents où elle est implantée entre l'Europe (36% du chiffre d'affaires[47]), l'Amérique du Nord (32% du chiffre d'affaires[47]) et l'Asie et le reste du monde à (32% de son chiffre d'affaires[47]). La dette nette de la société est de 1,910 milliards d’euros fin 2020[47].

Impacté de plein fouet par le Covid-19, Arkema voit son bénéfice net reculer de plus de 34 % au troisième trimestre 2020[48]. La direction estime toutefois qu'une reprise de l'activité est à constater après les déboires du premier confinement au printemps[49].

Au total, le bénéfice net d'Arkema recule de près de 40 % en 2020, à 332 millions d'euros, avec un net rebond des ventes et de l'activité au quatrième trimestre[50].

Actionnaires

  • Détenant plus de 5 % au 31 décembre 2011[51] : Groupe Bruxelles Lambert : 10 % et Greenlight Capital : 5,5 %
  • Depuis le 1er janvier 2012, franchissements de seuil de 5 % déclarés à l'AMF : FMR LLC (Fidelity Management & Research) : franchissement à la hausse du seuil de +5 % du capital ()[52]. Groupe Bruxelles Lambert : a cédé la totalité de sa participation (). Actionnaires individuels : 9,4 %[53]. Salariés du groupe : 5,5 %[54]

Situation au 27 avril 2019[55] :

Nom  %
Edmond de Rothschild Asset Management 6,22
Amundi Asset Management 5,08
The Vanguard Group 2,56
BlackRock Investment Management 2,23
BlackRock Fund Advisors 1,37
Norges Bank Investment Management 1,22
Dimensional Fund Advisors 0,76
Alken Asset Management 0,73
JPMorgan Asset Management 0,72
Eurizon Capital 0,70

Conseil d'administration

Le conseil d'administration d'Arkema est composé de treize membres en 2018[56] :

  • Thierry Le Hénaff (PDG) ;
  • Yannick Assouad (directeur général du groupe Latécoère) ;
  • Jean-Marc Bertrand (chef de projet au sein du département infrastructures informatiques de la direction informatique iTeam d'Arkema) ;
  • Marie-Ange Debon (directrice générale France de Suez et directrice générale adjointe Groupe, en charge de la France, l'Italie et de l'Europe Centrale) ;
  • François Enaud (directeur général de Sopra Steria Group) ;
  • Alexandre de Juniac (directeur général de l'AITA, Association internationale du transport aérien) ;
  • Victoire de Margerie (fonctions d'administrateur au sein de sociétés cotées, notamment Eurazeo, Morgan Advanced Materials (UK) et Italcementi (Italie)) ;
  • Hélène Moreau-Leroy (PDG de Hispano-Suiza, Groupe Safran) ;
  • Thierry Morin (président de Thierry Morin Consulting) ;
  • Marc Pandraud (Chairman JP Morgan France et Belgique) ;
  • Laurent Mignon (PDG de Natixis) ;
  • Isabelle Boccon-Gibod (représentante du Fonds stratégiques de participations) ;
  • Nathalie Muracciole (responsable de l'accompagnement du changement dans le cadre du projet AMBITION chez Arkema).

Accident industriel

À la suite du passage de l'ouragan Harvey en 2017, le site Arkema Inc. de Crosby, Texas a été inondé. Après une perte d’énergie, des stocks de peroxydes n'ont plus été réfrigérés, leur stabilité n'a plus été garantie et ces stocks ont explosé[57].

Condamnations et controverses

Ententes illicites

Le groupe est impliqué dans différentes procédures anciennes aux États-Unis et en Europe à propos de violation des règles du droit de la concurrence en matière d'ententes pour des pratiques antérieures à la création d'Arkema par les sociétés Elf Atochem et Atofina[58]. Dès sa création en octobre 2004, Arkema a clairement réaffirmé sa condamnation des ententes illicites et son engagement pour l’instauration de relations commerciales dans le strict respect des règles de concurrence inscrites dans son Compliance Program[59].

En juin 2006, le groupe Total est condamné par la Commission européenne à une amende de 219 millions d'euros, pour une entente illicite sur le prix du verre acrylique à laquelle a participé sa filiale Atofina (devenue Arkema en 2006) entre 1997 et 2002. Le groupe engage un recours auprès de la Cour de justice, qui tient compte du fait qu'Atofina soit devenue Arkema, entreprise juridiquement autonome : le montant de l'amende est recalculé en fonction du chiffre d'affaires de cette dernière. Arkema est ainsi condamné à une amende de 113 millions d'euros[60].

En juillet 2011, la Cour de justice de l'Union européenne confirme une autre amende d'un montant de 78,66 millions d'euros prononcée par la Commission européenne à l'encontre de Total et d'Arkema. Les deux groupes ont constitué une entente illicite sur le marché de la chimie, entre 1995 et décembre 2000[61].

En mars 2012, Arkema est condamné avec sept autres producteurs de chlorate de sodium pour avoir pris part à une entente illicite sur les prix et les quantités entre 1994 et 2000. Le montant de son amende est majoré de 90 % car c'est la quatrième fois qu'Arkema est condamné pour des pratiques anticoncurrentielles. La commissaire européenne à la concurrence Neelie Kroes déclare : « Ces entreprises doivent apprendre à leurs dépens que la Commission infligera des amendes élevées chaque fois qu'elles abuseront leurs clients, et, en fin de compte, des consommateurs, en constituant une entente. »[62].

Politique de recrutement

À l'issue d'une campagne de testing initiée par le gouvernement français et menée à l'hiver 2018, Arkema est soupçonnée de discrimination à l'embauche envers le candidat « présumé maghrébin ». Critiquant la méthodologie de l'enquête[63], l'entreprise est cependant convoquée en juin 2020 à une journée de formation au secrétariat d'Etat à l'égalité entre les femmes et les hommes[64].

Activité de lobbying

Aux États-Unis

Selon le Center for Responsive Politics, les dépenses de lobbying d'Arkema aux États-Unis s'élèvent en 2016 à 730 000 dollars[65].

Auprès des institutions de l'Union européenne

Arkema est inscrit depuis 2011 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2017 pour cette activité des dépenses annuelles d'un montant de 67 397 euros[66].

En France

Pour l'année 2017, Arkema déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France pour un montant qui n'excède pas 200 000 euros[67].

Notes et références

  1. « https://amadeus.bvdinfo.com/version-2019829/ » (consulté le )
  2. « Arkema en bref – Arkema.com », sur www.arkema.com (consulté le )
  3. « Arkema : Résultats 2020 », sur AFP (consulté en )
  4. Jean-Marie Michel, « Contribution à l’histoire industrielle des polymères en France » [PDF], sur www.societechimiquedefrance.fr (consulté le ).
  5. « Arkema entre en Bourse », sur Les Échos, .
  6. « Arkema a finalisé la vente de Cerexagri à un groupe indien », Capital.fr, 2 février 2007.
  7. « Arkema : la cession du pôle vinylique est faite ! », Boursier.com, (lire en ligne, consulté le ).
  8. « Arkema paye pour se défaire de son pôle PVC », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  9. « A quoi joue le groupe Klesch ? - Info Chimie », sur www.industrie.com (consulté le ).
  10. Deux nouvelles fiducies conclues entre la Caisse des Dépôts et Arkema, 20 septembre 2012.
  11. « Arkema : finalise l'acquisition de la société Coatex », sur sicavonline, .
  12. « Arkema : finalise l'acquisition de la société Coatex », sur www.daily-bourse.fr, (consulté le ).
  13. « Arkema : finalisation de l'acquisition des sociétés chinoises Hipro Polymers et Casda Biomaterials », Boursier.com, (lire en ligne, consulté le ).
  14. « Arkema : Entre dans l'indice cac next 20 », sur www.tradingsat.com (consulté le ).
  15. « Arkema : Ancrage chimie et innovation, performance et leadership : Arkema se dote d'une nouvelle identité visuelle », Zone bourse, (lire en ligne, consulté le ).
  16. « Arkema : le groupe tient son planning en Malaisie », Boursier.com, (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Arkema et CJ démarrent officiellement la construction de leur complexe de bio-méthionine et de thiochimie en Malaisie », BFM Business, (lire en ligne, consulté le ).
  18. (en) Dominique Vidalon et Ron Bousso, « Arkema offers Total $2.2 billion for Blu-Tack maker Bostik », Reuters, (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Le chimiste français Arkema met la main sur Bostik, filiale de Total », La Tribune, (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Arkema : les adhésifs Bostik officiellement dans le périmètre », Boursier.com, (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Arkema va racheter Den Braven », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Arkema finalise la cession de son activité Charbons », sur www.fusacq.com, (consulté le ).
  23. « Arkema finalise la cession à Ineos d'Oxochimie ».
  24. « Arkema : acquisition au Japon dans les adhésifs », sur Le Figaro, (consulté le ).
  25. « French group Arkema to buy U.S.-based ArrMaz in deal worth $570 million », sur Reuters,
  26. « Arkema parachève son recentrage sur la chimie de spécialités », sur Les Echos, (consulté le )
  27. « Le recentrage d'Arkema avance à grands pas », sur Les Echos, (consulté le )
  28. « Chimie : Arkema se dit bien préparé pour le rebond », sur Les Echos, (consulté le )
  29. (en) « France's Arkema agrees to buy Ashland's performance adhesives unit », sur Reuters,
  30. Arkema, « L’unité de production Arkema de La Chambre », sur arkema.fr (consulté le ).
  31. « Arkema se fixe des objectifs de croissance ambitieux », sur lesechos.fr (consulté le ).
  32. « Arkema : Résultats 2019 », sur ABC Bourse (consulté le )
  33. « arkema.com/sites/group/fr/prod… »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
  34. « arkema.com/sites/group/fr/prod… »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
  35. « arkema.com/sites/group/fr/prod… »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
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  37. « KEM ONE - Solutions vinyliques intégrées », sur www.kemone.com (consulté le ).
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  40. MLPC-INTL, « Production d'auxiliaires de spécialités pour l'industrie du caoutchouc (thiourées, guanidines, carbazides, prédispersés d'additifs caoutchouc) et d'intermédiaires de chimie fine pour l'agrochimie et la pharmacie », sur www.mlpc-intl.com (consulté le ).
  41. Arkema, « Sartomer EMEA corporate website », sur www.sartomereurope.com (consulté le ).
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  51. Document de référence 2011 fr, p. 130 (téléchargeable sur http://www.arkema.com/sites/group/fr/finance/publications.page).
  52. « Arkema : FMR LLC dépasse les 5 % des droits de vote », Le Figaro Bourse, (lire en ligne, consulté le ).
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  64. Victor Vasseur, « INFO FRANCEINFO. Discriminations à l'embauche : sept entreprises convoquées par le gouvernement pour une formation », sur Franceinfo, (consulté le )
  65. (en) « Arkema Inc », sur www.opensecrets.org (consulté le ).
  66. « Registre de transparence », sur le site de la Commission européenne (consulté le ).
  67. « Fiche Organisation « Haute Autorité pour la transparence de la vie publique », sur www.hatvp.fr (consulté le ).

Voir aussi

Liens externes

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