Sopra Steria

Sopra Steria est une entreprise de services du numérique (ESN) française et une société de conseil en transformation numérique des entreprises et des organisations. Sopra Steria propose ainsi des prestations de conseil et des services technologiques (intégration de systèmes, gestion d’infrastructures, exécution de processus métier) et est un éditeur de logiciels métier (RH, banque, immobilier). Sopra Steria est le fruit de la fusion en des deux entreprises françaises de services numériques Sopra et Steria, créées respectivement en 1968 et 1969. Le groupe compte 46 000 salariés en 2020, répartis dans plus de 25 pays, dont 20 000 en France, et réalise en 2020 un chiffre d'affaires de 4,3 milliards d'euros[2].

Sopra Steria

Création
Dates clés 1968 : Création de Sopra
1969 : Création de Steria
Forme juridique Société anonyme
Action Euronext : SOP
Slogan The world is how we shape it
Siège social Paris
 France
Direction
  • Pierre Pasquier (Président)
  • Vincent Paris (DG)
  • John Torrie (DGA)
  • Laurent Giovachini (DGA)
Activité Entreprise de services du numérique, conseil en technologie de l'information (en) et éditeur de logiciel
Effectif 45 960 ()
SIREN 326820065
Site web www.soprasteria.com
Capitalisation 2 460 000 000 d’euro ()
Chiffre d'affaires 4 262 900 000 euro ()[1]
Résultat net 106 800 000 euro ()[1]
Société précédente Sopra et Steria

Histoire

Naissance de Sopra et Steria

La SOciété de PRogrammation et d'Analyses (Sopra) est créée en par Pierre Pasquier, François Odin et Léo Gantelet[3].

Le , la société Steria (Société d'étude et de réalisation en informatique et automatisme), société anonyme au capital de 400 000 F, est créée[4]. SODERI (SOciété pour le DÉveloppement et la Recherche en Informatique) possède 51 % de ce capital, le groupe BNP 29,5 % (BNP 19,5 % ; Banexi 10 %) et le groupe Indochine 19,5 % (Banque de l'Indochine 8 % ; Locafrance 11,5 %). La société est alors domiciliée dans les bureaux de la BNP, 14 rue Bergère à Paris 9e (ancien siège du Comptoir national d'escompte de Paris).

Développement des deux entreprises

En 1971, Sopra obtient son premier grand contrat d'infogérance bancaire globale, ce qui donne ensuite lieu à la création de la première plateforme bancaire l'année suivante[réf. nécessaire].

En 1972, Sopra lance sa première solution consacrée aux ressources humaines, appelée « Pacha ».[réf. nécessaire]

En 1973, Steria informatise l'AFP par la création d'un système de traitement de texte permettant une transmission de l'information en temps réel. En 1975, Steria rachète Sitintel, spécialiste de l'informatique miniaturisée.[réf. nécessaire]

En 1979, Sopra propose pour la première fois un logiciel bancaire.[réf. nécessaire]

En 1981, Steria participe au développement du Minitel, en concevant l'architecture du système, du logiciel de sécurité et de certaines applications.[réf. nécessaire]

En 1982, Sopra lance l'activité d'édition de solutions bancaires, avec le lancement de sa première solution bancaire (pour les crédits). En 1986, elle signe son premier grand projet national avec le ministère de l'Intérieur.[réf. nécessaire]

En 1987, Steria devient expert sur le marché des transports et de la mobilité grâce au projet d’automatisation du RER A en Île-de-France.[réf. nécessaire]

En 1990, Sopra Group a réalisé son introduction sur NYSE Euronext Paris. En 1992, Sopra annonce la première solution de reporting réglementaire bancaire, pour le BAFI.[réf. nécessaire]

En 1993, Steria élabore le système d’information de l'aéroport de Jakarta. La même année, la crise du secteur informatique entraîne pour Steria sa première année de pertes et l'arrêt de la croissance. En 1994, Steria réalise le système de gestion de la Centrale des règlements interbancaires et revient à des bénéfices et à une croissance modeste.[réf. nécessaire]

Acquisitions par Sopra et par Steria

En 1996, Sopra acquiert SG2 Ingénierie qui avait 650 salariés (Société de services informatique au service des établissements financiers et bancaires)[5], et de ProBF (Éditeur des solutions bancaires intégrées), ainsi que la progiciel Ressources Humaines Pléiades.[réf. nécessaire]

En 1997, Steria rachète la société indienne IIS Infotech basée à New Delhi. En septembre de la même année, François Enaud est nommé directeur général du groupe Steria.[réf. nécessaire]

En 1999, Sopra s'implante au Royaume-Uni, en Espagne, en Italie et en Allemagne. La société crée alors la suite EVOLAN (plusieurs modules dont la gestion crédits).[réf. nécessaire]

En 1999, Steria est introduit au second marché de la bourse de Paris.[réf. nécessaire]

En 2000, Steria rachète trois sociétés françaises : l'activité d'infogérance d'Experian France[6], Tecsi[7], société experte dans le domaine des logiciels embarqués et Equip, société spécialisée dans la gestion de parc micro-informatiques. Pour sa part, Sopra acquiert Orga Consultants, société spécialisée dans le Conseil en stratégie, en management et en organisation, ayant 200 collaborateurs[8].

En 2001, Sopra crée sa filiale Axway Software[9] et fait l'acquisition aux États-Unis des sociétés Viewlocity[10], Cyclone Commerce et Tumbleweed Communications et des sociétés italienne ITI et britannique CS Rand, toutes deux actives dans le conseil et l'intégration de systèmes. Par le biais de sa filiale Axway Software, la société décide de se développer sur le marché de l’EAI[10] (Enterprise Application Integration).

En 2001, Steria acquiert les activités de services informatiques de Bull[11] dans neuf pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Norvège, Danemark, Suède, Belgique, Luxembourg et Suisse) ; et développe la carte d'identité électronique belge.

En 2003, Sopra Group acquiert Inforsud Ingénierie[12] puis Valoris l'année suivante[13], société européenne de conseil et de services informatiques.

En 2005, Steria acquiert la société allemande Mummert Consulting[14]. Sopra ouvre des centres de services near et offshore en Europe et en Inde, acquiert la société Newell & Budge au Royaume-Uni et ses filiales irlandaise et indienne qui disposent d’une gamme complète de services informatiques allant du conseil à la mise en œuvre, ainsi que la société PROFit[15], société indépendante de conseil et d’intégration de systèmes basée en Espagne et au Portugal. En 2007, Steria acquiert la société Xansa au Royaume-Uni[16] lui permettant de développer considérablement ses parts de marché dans le secteur public au Royaume-Uni, ainsi que ses capacités de production offshore en Inde. Par ailleurs, les statuts de l'entreprise évoluent pour la mise en œuvre d’une « gouvernance participative » impliquant les salariés actionnaires. Steria signe avec le ministère des Finances français le contrat « Chorus », le plus important projet SAP en France. La société ouvre également deux centres nearshore en Pologne et au Maroc.

En 2008, Sopra acquiert la société CIBF[17], société indépendante de développement de progiciels et logiciels pour la gestion des portefeuilles, risques et échanges interbancaires, et aussi la société BAI[18], éditeur de solutions crédits.

Axway Software se sépare de Sopra Group en juin 2011 lors de son introduction en Bourse[19]. Parallèlement, le groupe acquiert 100 % de la société Delta Informatique[20], société indépendante éditrice d'une offre de solutions « Global Banking » destinée aux banques de détail en France et à l’international. Sopra lance aussi sa première solution de distribution bancaire, après son acquisition de Delta Informatique.

En , Sopra acquiert 100 % de la société Delta Informatique, société indépendante éditrice d'une offre de solution « Global Banking » destinée aux banques de détail en France et à l’international[8],[21].

En , Sopra acquiert la société bruxelloise Callataÿ & Wouters, spécialiste des progiciels dédiés au secteur bancaire en vue de la formation d’une entité commune[22],[23]. Le mois suivant, Sopra acquiert les filiales britanniques de Business & Decision et de Tieto[24]. En juillet, Sopra créé la filiale Sopra Banking Software à la suite des rachats de Callataÿ & Wouters et de Delta Informatique[25].

En 2013, Steria signe le contrat SSCL[26] afin de gérer sur une plateforme de services partagés les fonctions de back-office de plusieurs ministères britanniques[27].

Sopra Group fait l’acquisition de HR Access[28](Éditeur de solutions Ressources Humaines) et COR&FJA Banking Solutions GmbH[29] (éditeur de solutions bancaires), et renforce ainsi son offre de solutions des ressources humaines.

En 2014, La Banque postale et Sopra Banking Software signent un partenariat pour le déploiement d’une nouvelle plateforme de core banking à échelle nationale[30].

Fusion de Sopra et Steria

Le est annoncé un projet de rapprochement amical de Sopra et de Steria. Une offre publique d’échange (OPE) est lancée par Sopra sur son concurrent Steria, au taux d'une action Sopra pour quatre actions Steria, visant la totalité des actions Steria. Le , cette OPE est un succès.

L'opération de fusion-absorption de la société « Groupe Steria » par « Sopra Group » est réalisée le et devient effective le , donnant naissance au groupe « Sopra Steria Group », spécialiste de la transformation numérique[31].

Événements et acquisitions post-fusion

En 2015, Sopra Steria acquiert CIMPA, puis 2MoRO en 2018[réf. nécessaire].

En 2016, Sopra Steria acquiert 75 % de Cassiopae[32], éditeur spécialisé dans les solutions de crédits à l'entreprise et la gestion immobilière locative.

En 2017, Sopra Steria annonce l'acquisition de Kentor, société scandinave spécialisée dans le conseil, l'intégration de systèmes et la maintenance applicative[33] et acquisition de Galitt, éditeur de solutions sur le marché des systèmes de paiement et des transactions sécurisées (250 employés pour un chiffre d'affaires de 30 millions d'euros en 2016)[34]. Toujours en 2017, Sopra Steria porte à 100% sa participation dans Cassiopae[35].

En 2018, Sopra Steria annonce l’acquisition de Bluecarat[36], société de services informatiques en Allemagne, d’it-economics[37], société allemande de conseil dans le numérique, et de Sword Apak[38], fournisseur de solutions de crédits et filiale du groupe Sword. En , Sopra Steria annonce l'acquisition de SAB, une entreprise française spécialisée dans les applications bancaires[39].

En 2020, Sopra Steria annonce son projet d’acquisition de Sodifrance[40] afin de créer un leader français des services du numérique dédiés au secteur de l’assurance et de la protection sociale, et l’acquisition de cxpartners[41], société de conseil en design ergonomique au Royaume-Uni.

Dans le cadre de la crise du Covid-19, Sopra Steria participe au développement de l'application StopCovid[42],[43].

Controverse

À l'issue d'une campagne de testing initiée par le gouvernement français et menée à l'hiver 2018, Sopra Steria est soupçonnée de discrimination à l'embauche envers le candidat « présumé maghrébin ». Critiquant la méthodologie de l'enquête[44], l'entreprise est cependant convoquée en à une journée de formation au secrétariat d'Etat à l'égalité entre les femmes et les hommes[45].

Sopra Steria Next : le cabinet de conseil

L'activité de conseil est récente à l'échelle de l'histoire du groupe.

En 2000, Sopra acquiert Orga Consultants, société disposant de 200 collaborateurs et spécialisée dans le conseil en stratégie, en management et en organisation. En 2005, Steria acquiert l'entreprise allemande, Mummert Consulting.

À partir de 2006, les activités de conseil sont regroupées sous la marque Sopra Group Business Consulting.

À la suite de la fusion avec Steria en 2015, la marque devient Sopra Steria Consulting.

En 2016, deux acquisitions ont été réalisées dans le conseil, LASCE Associates en France[46] et Solid Group en Norvège[47].

En 2020, le groupe lance sa nouvelle marque de conseil, Sopra Steria Next.

Une spécialisation sur la défense

Depuis 2012, le groupe a opéré un virage stratégique vers le secteur de la défense sous l'impulsion de Laurent Giovachini, directeur général adjoint chargé des activités défense et sécurité intérieure.

Fin 2012, Sopra remporte le marché d'architecture-intégration du programme SIA (système d'information des armées) du ministère des Armées, qui vise à la convergence des différents systèmes d'information opérationnelle et de commandement (SIOC)[48].

En 2013, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian décide l'abandon de Louvois et annoncé en 2016 son remplacement par Source Solde. Sopra Steria remporte l'appel d'offres.

Le groupe se positionne également sur les projets de maintien en condition opérationnelle et de supply chain des trois armées.

Depuis 2017, le groupe est présent dans le cadre d'une offre intégrée avec Thales dans le cadre du programme d'intelligence artificielle et de big data ARTEMIS[49]. Le groupement est retenu pour la deuxième phase du partenariat innovant en 2019.

Sopra Steria investit également sur la cyberdéfense avec un centre dédié à Rennes au sein de l'écosystème autour du Pôle d'Excellence Cyber et du COMCYBER. Sopra Steria est partenaire du projet de Cyber Campus France[50] et investisseur du fonds d'investissement Brienne III sur la cybersécurité[51].

Actionnaires

Principaux actionnaires au [52]
Actionnaire Part
Sopra GMT (holding) 19,6 %
Amundi Asset Management 6,62 %
Fidelity Management & Research Co. 3,38 %
DNCA Finance 3,29 %
Oddo BHF Asset Management 3,15 %
JPMorgan Asset Management 2,92 %
Norges Bank Investment Management 2,41 %
The Vanguard Group 2,07 %
Dimensional fund advisors 1,35 %
Lazard Frères Gestion 1,32 %

Organisation

Gouvernance

En 2012, Sopra a désiré séparer les rôles de président du conseil d'administration et de directeur général. Cette organisation a été maintenue avec la fusion. Pierre Pasquier, co-fondateur et président de Sopra, devient le président du conseil d'administration tandis que François Enaud, gérant de Steria, est nommé directeur général.

À la suite de la réunion du conseil d'administration du , François Enaud quitte le groupe Sopra Steria sur fond de mauvais résultats de Steria en France, poussé dehors par une direction (celle de Sopra) qui n'a pas la même façon de diriger[53],[54]. Il est remplacé par Vincent Paris, ancien directeur des opérations France de Sopra puis directeur général délégué de Sopra Steria[53]. Celui-ci est secondé par John Torrie. Il avait rejoint Steria au Royaume-Uni en 2002[53]. En , Laurent Giovachini est également nommé directeur général adjoint pour rejoindre John Torrie et assister Vincent Paris[55].

Dirigeants

Président de Sopra Steria
Directeur général de Sopra Steria
  • De janvier à  : François Enaud
  • Depuis  : Vincent Paris
Directeur général adjoint
  • De janvier à  : Vincent Paris
  • De mars à  : John Torrie
  • Depuis  : John Torrie et Laurent Giovachini

Notes et références

  1. « Sopra Steria : Résultats annuels 2020 », (consulté le )
  2. « Sopra Steria : Résultats 2019 satisfaisants », communiqué de presse, sur Business Wire, .
  3. Yves Grandontagne, « P. Pasquier, Sopra Group : ‘Si c’était à refaire, je ne le referais pas !’ », sur silicon.fr, (consulté le ).
  4. 1969, création de Steria, Steria.com
  5. « SG2/SOPRA - LA TAILLE CRITIQUE PAR LA SPÉCIALISATION », L'Usine nouvelle, (consulté le ).
  6. « Experian France vend son infogérance à Steria, faute de taille critique », sur 01NET.com.
  7. « Steria se renforce dans les télécoms avec Tecsi », sur LesEchos.fr.
  8. Rapprochements conseil et SSII : quand l'amont et l'aval ne font qu'un
  9. l'EAI prend le chemin de l'indépendance - Information Builders, Sybase et Sopra ont tous trois regroupé leur activité d'éditeur d'EAI au sein d'une entité distincte.
  10. « Sopra acquiert l'activité EAI de l'éditeur américain Viewlocity », sur 01NET.com.
  11. « En achetant Integris Europe, Steria gagne du terrain », sur 01NET.com.
  12. « Sopra Group se porte acquéreur d'Inforsud Ingénierie », sur BFM TV.
  13. « Sopra veut racheter Valoris », sur L'Usine Nouvelle.
  14. Steria se rapproche de Mummert.
  15. « Sopra Group : Finalise l'acquisition de PROFit », sur ZoneBourse.
  16. SSII: le français Steria rachète Xansa pour 700 M€.
  17. « Sopra : finalisation de l'acquisition de CIBF et G2i », sur Capital.
  18. « Sopra Group se renforce dans le secteur financier avec BAI », sur Le Monde Informatique.
  19. Introduction en bourse d'Axway au NYSE Euronext Paris
  20. « Informatique : Sopra intègre l'éditeur Delta », sur Les Echos.
  21. Sopra s'offre l'éditeur de logiciels financiers Delta Informatique
  22. Callataÿ & Wouters racheté par le français Sopra
  23. « Callataÿ & Wouters signe un accord avec le groupe Sopra et formera ainsi un acteur européen majeur »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
  24. Sopra Group annonce la finalisation de deux acquisitions au Royaume-Uni
  25. Historique de Sopra Banking Software
  26. « Steria signe un contrat de 1,2 Md€ avec le gouvernement britannique », sur Le Magit.
  27. Un contrat à 1,2 milliard d’euros pour Steria.
  28. « Avec l'acquisition de HR Access, Sopra renforce son offre RH », sur Le Monde Informatique.
  29. « Sopra Group: acquisition de COR&FJA Banking Solutions GmbH », sur Le Figaro.
  30. « La Banque Postale lance sa révolution informatique », sur Les Echos.
  31. Sopra Steria Group, l’union pour la force, Les Échos.
  32. « Sopra Steria complète ses logiciels bancaires en rachetant Cassiopae », sur Le Monde Informatique.
  33. « SOPRA STERIA a finalisé l'acquisition de Kentor », Capital.fr, (lire en ligne, consulté le )
  34. « SOPRA STERIA finalise l'acquisition de Galitt », sur http://www.boursorama.com (consulté le )
  35. « Sopra Steria porte à 100% sa participation dans Cassiopae », Cassiopae, (lire en ligne, consulté le )
  36. « Sopra Steria a finalisé l'acquisition de Bluecarat », sur Capital, (consulté le ).
  37. « Sopra Steria finalise l’acquisition de it-economics », sur Capital, (consulté le ).
  38. « Sopra Steria acquiert l'éditeur de solutions de crédits spécialisés Sword Apak », Investir (consulté le ).
  39. Delphine Cuny, « Sopra Steria va acquérir l'éditeur de logiciels bancaires SAB », sur La Tribune,
  40. « Sopra steria group : De beaux résultats et l'acquisition de Sodifrance ramènent Sopra Steria au plus haut depuis août 2018 », sur BFM Bourse, (consulté le ).
  41. « Sopra Steria : acquisition de cxpartners au Royaume-Uni », sur Boursorama, (consulté le ).
  42. « Coronavirus : la tech française veut apporter sa pierre à l'appli StopCovid », sur Les Echos, (consulté le )
  43. « "Les meilleures compétences publiques et privées pour le Contact tracing français" (Laurent Giovachini) », sur La Tribune (consulté le )
  44. « Le gouvernement dévoile une liste de sept entreprises soupçonnées de discrimination à l'embauche selon l'origine », sur Franceinfo, (consulté le )
  45. Victor Vasseur, « INFO FRANCEINFO. Discriminations à l'embauche : sept entreprises convoquées par le gouvernement pour une formation », sur Franceinfo, (consulté le )
  46. « Fidal, conseil de Sopra Steria Group - LE MONDE DU DROIT : le magazine des professions juridiques », sur www.lemondedudroit.fr (consulté le )
  47. (en) Dragos Novac, « French IT giant Sopra Steria buys Norwegian SAP implementator Solid Group. », sur Nordic 9 (consulté le )
  48. « Communiqué », sur Z - Sopra Steria Corporate (consulté le )
  49. « La DGA a retenu Thales/Sopra Steria et ATOS pour le traitement massif des données du ministère des Armées », sur Zone Militaire, (consulté le )
  50. « 22 organisations rejoignent le projet de campus français de la cybersécurité pour un lancement fin 2020 », sur usine-digitale.fr (consulté le )
  51. « Un fonds d’investissement de 80 millions d’euros pour aider les pépites françaises de la cybersécurité », sur usinenouvelle.com
  52. Zone Bourse, « Sopra : Actionnaires », sur www.zonebourse.com (consulté le ).
  53. Ariane Beky, « Sopra Steria : le départ de François Enaud n’est pas une surprise », sur silicon.fr, (consulté le ).
  54. Sandrine Cassini, « Sopra Steria : Pierre Pasquier n'a toujours pas de successeur », sur lesechos.fr, Les Échos, (consulté le ).
  55. Sopra Steria Group annonce la nomination de Laurent Giovachini en qualité de Directeur général adjoint

Liens externes

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