Natixis

Natixis est un établissement financier français créé en 2006, filiale du groupe BPCE, lui-même issu de la fusion des groupes Caisse d'épargne et Banque populaire.

Natixis

Création 2006
Dates clés 2006 : création à la suite de la fusion des banques d'investissement[1] :
Fondateurs Banque populaire
Personnages clés Laurent Mignon (PCA)
Tim Ryan (DG)
Forme juridique Société anonyme à direction générale et conseil d'administration
Action Euronext : KN
Siège social 30, av. Pierre Mendès-France
75013 Paris
 France
Actionnaires BPCE et Caisse d’épargne
Activité Conseil et solutions financières
Société mère BPCE SA (Banque populaire Caisses d'épargne)
Filiales Présence dans 38 pays :
Natixis Investment Managers (Ostrum AM, AEWE, AEWCM etc.)
Natixis Assurances (dont NLF)
Natixis Interépargne
Natixis Wealth Management
Natixis Payment
Effectif 16 000 en 2020[2]
SIREN 542044524
Site web www.natixis.com

Capitalisation 13,587 milliards d’€ (février 2020)[3]
Fonds propres 11,2 milliards d’€ (fin 2019)
Dette 475,580 milliards d’€ (2018)
Chiffre d'affaires 9,616 milliards d’€ (2018)
+ 1,6%
Actifs sous gestion 934,1 milliards d’€ (au 31 décembre 2019)[4]
Bilan comptable 513,2 milliards d’€ (2019)
Résultat net 1,37 milliard d’€ (2019)[5]
+ 3,0%[6]

L'entreprise de dimension internationale est spécialisée dans la gestion d'actifs et de fortune, la banque de financement et d'investissement, l'assurance et les paiements. Elle intègre des équipes de recherche en économie.

Histoire

Natixis sur le quai de la Rapée, à gauche de la gare de Lyon à Paris

Natexis Banques populaires

En 1996, Natexis SA est créée à la suite de la fusion de la BFCE (Banque française du commerce extérieur) et du Crédit national. Le nom regroupe nat de Crédit national, et ex de commerce extérieur[7].

En 1998, le groupe Banque populaire rachète amicalement Natexis SA puis en 1999 lui apporte les activités opérationnelles de la Caisse centrale des Banques populaires (CCBP) ; c'est-à-dire quasiment tout le personnel[8],[Note 1].

IXIS Corporate & Investment Bank

En 1999, CDC IXIS est fondée par une volonté de la Caisse des dépôts (et du gouvernement de l'époque) de séparer les activités concurrentielles de l'institutionnel. En 2001, CDC IXIS va être apportée par la CDC à la coentreprise EULIA fondée à quasi-parité par la Caisse des dépôts et consignations et la CNCE. En 2004, dans des conditions rocambolesques, la CNCE va prendre le contrôle total de CDC IXIS renommée IXIS[9],[Note 2].

Fusion

En , surgit l'idée de regrouper Ixis et Natexis. Des banques d'affaires, dont Rothschild où exerce François Pérol soutiennent ce projet[10]. En , Dominique Ferrero est chargé d'une mission de réflexion[11]. Alors chez Merrill Lynch, ce dernier a dirigé Natexis Banque de 1997 à 1999.

Le groupe Caisse d'Épargne et le groupe Banque populaire annoncent le rapprochement de leurs banques d'investissement, respectivement Ixis CIB et Natexis Banques populaires[12]. À cette occasion, Natexis devient Natixis[12]. Elle s'introduit en bourse le au prix de 19,55 euros l'action. Natixis est alors, en partie, détenue à parité avec 35 % du capital chacune par la Caisse nationale des Caisses d'Épargne et la Banque Fédérale des Banques populaires.

Elle est dirigée par Philippe Dupont, président du conseil de surveillance[13] et par Dominique Ferrero, qui en pris la direction générale en 2006[14]. En , l'équipe de direction est connue[15].

Des erreurs de gestion en pleine crise financière

Affectée par ses choix de gestion, notamment durant la crise des subprimes, l'action Natixis a en moins de deux ans perdu près de 95 % de sa valeur, en passant sous le seuil de en , stabilisée autour de 3,5  en 2010[16].

Entre autres exemples, Natixis avait choisi d'être actionnaire de CIFG, société créée en mai 2002 dans l'État de New-York, mais qui a depuis son siège aux Bermudes. CIFG est l'un des huit premiers rehausseurs de crédit (monolines) aux États-Unis, chargés de transformer les créances hypothécaires risquées (les subprimes) en placements recevant la meilleure notation financière, soit AAA. Les deux maisons-mères de Natixis, le Groupe Caisse d'Épargne et le Groupe Banque populaire, ont été contraintes de racheter CIFG le et de le recapitaliser de 1,5 milliard d'euros. L'encours de CIFG a été chiffré à 70 milliards d'euros par Nicolas Merindol, directeur des Caisses d'Épargne, lors d'une audition officielle[17].

Natixis avoue également faire partie des banques touchées par l'escroquerie de Bernard Madoff[18].

Les erreurs de management sont notables. Par exemple, Dominique Ferrero, directeur général de Natixis, embauche, en , Jean-Pascal Beaufret, un proche qui a également fréquenté dans les années 1980 les cabinets ministériels de la gauche, mais « qui n'a aucune expérience dans la banque d'investissement », en tant que directeur financier, ce pour un salaire exorbitant. Celui-ci est limogé en avec une indemnité de départ[19].

La matérialisation des risques entraîne la chute

Juste avant l'annonce des pertes, du 4 au , la mise sur le marché de 1,7 milliard de titres a permis une augmentation de capital de 3,7 milliards d'euros[20], ce qui porte le nombre total d'actions à 2,9 milliards. Néanmoins, avec un cours de 2,55  au moment de l'annonce, la capitalisation totale espérée n'est plus que de 7,4 G€.

Car le à 15 h 50, prise dans ses erreurs de gestion à la suite de la crise des « subprimes », la valeur de l'action atteint un plus bas à 1,75  soit une perte de 91,04 % par rapport à sa valeur d'introduction. Le vendredi noir du , l'action atteint brièvement un nouveau plus bas à 1,24 , valeur qu'elle retrouve en après l'annonce de provisions d'un montant de 450 millions d'euros à la suite de l'affaire Madoff[18].

Le vendredi , le conseil de surveillance annonce parmi diverses mesures la suppression de 15 % des postes de la BFI, banque de financement et d'investissement, et l'arrêt des activités les plus risquées. L'objectif affiché est la réduction des sources de pertes[21].

Le , la valeur du titre est de , soit 5 % de sa valeur initiale.

Le , les comptes de l'année 2008 indiquent une perte de 2 622 M€[22],[23]. Les comptes de la banque doivent être alors amputés à hauteur de 3,452 milliards d'euros par des dépréciations de son portefeuille d'actifs devenus illiquides. Le total de ces actifs – d'une valeur de 55 milliards d'euros – est cantonné dans une structure interne pour être cédé[22].

L'impasse dictée par ces difficultés s'est propagée aux maisons mères, les Caisses d'Épargne et les Banques populaires, affectées par de considérables moins-values. L'État français soutiendra, pour plus de 7 milliards d'euros, le plan d'assainissement de Natixis et de ses actionnaires, les banques populaires et les caisses d'épargne, pour l'essentiel[24].

Dirigeants renouvelés par l'État

Le , sous l'impulsion du gouvernement, Bernard Comolet et Bruno Mettling[25],[26] démissionnent[Note 3]. Bruno Mettling, arrivé des Caisse d'épargne aux banques populaires en 2004[27], en avait pris la stratégie, puis la direction générale, sous l'autorité de Philippe Dupont[28].

François Pérol qui a contribué à la création de Natixis[29], soutenu par le président de la République, est nommé président du conseil de surveillance[30],[31].

Au premier trimestre 2009, la banque enregistre une nouvelle lourde perte de 1,839 milliard d'euros[32].

En , Dominique Ferrero démissionne à son tour de ses fonctions de directeur général de Natixis[33]. Mais, Dominique Ferrero reste salarié de Natixis d' à [34],[35]. En tant que « Conseiller spécial » de François Pérol, durant cette période de près de trois années, Dominique Ferrero a bénéficié d'une rémunération annuelle de l'ordre de 600 000 euros[36].

Le cours du titre Natixis (KN) vaut alors moins de . Les actionnaires floués portent plainte[37],[38].

Mise en place d'un plan d'apurement et de redressement

La banque envisage le départ volontaire de 166 salariés[39] dans l'activité titres et 130 autres dans l'activité de banque de financement et d'investissement (BFI)[40]. Le président de son conseil de surveillance, François Pérol, ne touchera que 550 000 euros annuels sans bonus en 2009[41]. Le magazine Les Échos révèle dans son édition du que 90 millions d'euros vont être distribués aux traders de la société sous forme de primes à un moment où se déroule un débat en France « sur les rémunérations des cadres dirigeants, notamment pour celles qui licencient ou bénéficient d'aides publiques »[42].

Le , l'assemblée générale a été accompagnée par des CRS. Une action de « lancer de pantoufles » a été provoquée par le collectif Sauvons les Riches[43]. Lors de cette AG est annoncée la possible présence dans le bilan de 50 milliards d'euros d'actifs douteux[44].

Le , alors que certaines banques annoncent des bénéfices pour le 1er trimestre 2009, Natixis annonce 1,9 milliard de pertes[45].

Le , une perquisition est ordonnée au siège de la banque à la suite des plaintes en cours des actionnaires estimant avoir été trompés[46].

Concernant la fusion des actionnaires majoritaires (projet « Sequana »), le projet de loi est accepté le par les députés et sera vu le par les sénateurs. Les syndicats font appel à divers experts afin de les aider à juger du projet[47]. Le cabinet Secafi rend son rapport le [48].

Le , les comités d'entreprise informent de leurs intentions de déposer un recours en justice pour défaut d'information[49].

Le , les sénateurs approuvent le rapprochement des deux banques par 187 voix pour et 154 contre. Le secrétaire d'État au Commerce Hervé Novelli indique que la création du « nouvel organe central pourra être effective dès le mois de juillet »[50].

Le , Natixis annonce la mise en place d'une garantie de sa maison mère, BPCE, issue du rapprochement des groupes Banque populaire et Caisse d'épargne, sur environ 35 milliards d'euros d'actifs dits en jargon interne « de GAPC »[Note 4]. La valeur s'envole de 33,26 %, sans dépasser 3,07 euros à l'ouverture de la séance. Fort de la mise en place de la garantie apportée par la BPCE, Natixis confirme ses objectifs de croissance et de retour à la rentabilité attendu pour le second semestre 2009[Note 5].

Depuis 2009

Bâtiment avenue de la Liberté à Charenton-le-Pont (Val-de-Marne)

François Pérol arrive à la tête du groupe BPCE. Philippe Dupont et Dominique Ferrero sont remerciés[51], mais demeurent dans le groupe. En , Laurent Mignon remplace Dominique Ferrero en tant que directeur général de Natixis[52].

En , Natixis entre dans la composition du CAC 40.

En 2011, Natixis sort du CAC 40[53].

En 2013, il est prévu de réduire l'entreprise de 700 postes au sein du cash management[54]. En ,Natixis annonce la suppression de 136 postes supplémentaires[55].

En 2016, 14 salariés de l'entreprise perçoivent une rémunération supérieure au million d'euros[56].

En , Natixis reprend les participations de 25% et 15% appartenant à respectivement la Macif et la Maif, dans BPCE Assurances, pour 272 millions d'euros[57].

En , Natixis annonce un projet de cession et d’acquisition par BPCE SA du pôle services financiers spécialisés (filiales affacturage, cautions et garanties, crédit-bail, crédit à la consommation et titres) pour un prix de 2,7 milliards d'euros.

En , Natixis Investment Managers acquiert une participation de 11% dans la société de gestion de placements indépendante canadienne, Fiera Capital. Ce partenariat stratégique fait de Fiera Capital le distributeur canadien privilégié des stratégies de placements et produits de Natixis. Ce dernier donnant également accès à ses clients internationaux aux stratégies complémentaires de Fiera Capital.

En , avec trois autres entreprises du secteur, sa filiale Natixis Intertitres est condamnée par l'Autorité de la concurrence française à une amende de 83 millions d'euros, à la suite d'un fonctionnement de cartel, comprenant l'échange d'informations confidentielles et un verrouillage du marché du titre restaurant[58],[59].

Retrait de la bourse

En février 2021, BPCE annonce l'acquisition de la participation de 29,3 % qu'il ne détient pas dans Natixis, pour 3,7 milliards d'euros[60]. En avril 2021, Natixis comparaît devant le tribunal correctionnel de Paris pour information trompeuse dans la crise des subprimes, une amende de 7,5 millions d’euros est requise[61].

En 2021, Jean Raby quitte la direction de la gestion d'actifs du groupe au profit de Tim Ryan[62]. En mai 2021, Natixis Payments rachète la start-up Jackpot[63].

Le , BPCE, actionnaire majoritaire, lance une OPA pour racheter le capital de Natixis coté en bourse, atteindre plus de 90 % et achever par un retrait du titre. L'offre de rachat est de 4 € (pour un prix d'introduction de 19,55 €)[64]. La gestion qui amène à une perte de capital est comparée à l'affaire des emprunts russes[65].[pas clair]

Actionnaires

Liste des principaux actionnaires au [66].

BPCE 70,6%
Natixis (plan d'épargne) 2,92%
Natixis (auto-contrôle) 0,090%
Enseignants retraités du Texas 0,016%
Nationwide Fund Advisors 0,011%
David M. Knott Partnership 0,0047%
Boston Advisors 0,0040%
Massachusetts Mutual Life Insurance 0,0037%
ClearArc Capital 0,0005%

Controverses

Conflits d'intérêts

En 2006, Natexis et Ixis, alors respectivement filiales des Banques populaires et des Caisses d'épargne, annoncent leur fusion. Cette dernière est notamment conseillée par François Pérol, exerçant alors pour la banque d'investissement Rothschild[67].

Dès la nomination de François Pérol, des syndicats portent plainte sur ses conditions d'arrivée pour « prise illégale d'intérêts ». Le , on annonce l'ouverture d'une information judiciaire à la demande de l'ADAM, afin d'éclaircir les déclarations et les comptes de la banque auprès des autorités et des actionnaires et aussi les conditions de vente par des conseillers clientèle incitant à la fermeture d'un livret A (placement sécurisé) au profit de l'achat de titres spéculatifs à risques[68]. Pour l'ADAM, le cas Natixis présente le « sinistre financier le plus important » depuis qu'elle défend les intérêts des actionnaires minoritaires[68].

Le , le cabinet Deminor porte plainte au nom de 730 actionnaires pour « diffusion d'informations fausses, mensongères ou trompeuses ».

En , Natixis annonce la nomination comme directeur, d'un ancien conseiller du premier ministre[69],[70].

Le , le Parquet demande au juge d'instruction de renvoyer François Pérol devant le tribunal correctionnel, pour « prise illégale d'intérêts »[71], réquisition suivie le [72]. Les audiences publiques du Tribunal correctionnel se tiennent du au [73]. Elles sont l'occasion de décrire « un système poreux entre sphère privée et sphère publique »[74] ou encore, de dénoncer la proximité entre les grands corps de l'État et les banques[75],[76]. François Pérol est relaxé par la justice[77]. Après la relaxe de François Pérol, le parquet interjette appel[78], en . La décision de la Cour d'appel de Paris est rendue le . Il est relaxé définitivement[79].

En , un ancien collaborateur de l'Élysée, conseiller à la présidence de la république du temps de la création de Natixis[80] est nommé à un poste de direction de Natixis[81] après un parcours interne.

Spéculation sur les matières premières

En , dans un rapport intitulé « Ces banques françaises qui spéculent sur la faim », l'ONG Oxfam France indique que les quatre principales banques françaises – BNP Paribas, Société générale, Crédit agricole et Natixis (BPCE) – géraient, pour leurs clients, en , au moins 18 fonds qui spéculent sur les matières premières. La majorité de ces fonds ont été créés une fois qu'avait commencé en 2008 la crise alimentaire, dans le but manifeste de faire des profits en spéculant sur les aliments et d'autres commodities.

Pertes sur les dérivés actions

Fin 2018, Natixis annonce une déficience de couverture qui coûtera au total 260 millions d'euros de revenus à la banque au quatrième trimestre[82].

Pour le 1er trimestre 2020, Natixis annonce un impact de -130 millions d'euros sur actions lié aux marquages de dividendes à la suite d'annulation de dividendes sur entreprises au titre de 2019 et de l'évolution brutale des courbes de futures sur dividendes[83].

Pour le 2ᵉ trimestre 2020, Natixis annonce un impact de -143 millions d'euros sur actions lié aux marquages de dividendes à la suite d’une seconde vague d’annonces d’annulation de dividendes sur entreprises au titre de 2019[83].

Anomalies dans la gestion d'actifs : fonds structurés et à formule

Le , Natixis annonce le remplacement du dirigeant de Natixis Asset Management, après son départ précipité, le [84].

Lors de sa séance de commission des sanctions du , l'Autorité des marchés financiers réclame 35 millions d'euros de sanction contre Natixis Asset Management[85], précisant : "Il n'y a aucun doute que ces commissions de rachats bénéficiaient à Natixis Asset Management, en contradiction avec ce qui figurait dans le prospectus de présentation du fonds", jugeant "particulièrement choquant" le fait que les principes fondateurs de la gestion d'actifs aient ainsi été remis en cause.

La décision finale de la commission des sanctions est attendue.

Discriminations

En , Natixis est condamné pour discrimination raciale[86].

Lanceurs d'alerte

Dans un arrêt du , la Cour d'appel de Paris condamne Natixis à réintégrer un lanceur d'alerte[87].

Communication lors de la crise financière de 2008

Le , Natixis annonce sa mise en examen, pour deux communiqués émis au deuxième semestre 2007[88]. Natixis est soupçonné de ne pas avoir correctement informé ses actionnaires qu'ils détenaient un titre (l'action Natixis) comportant un fort potentiel de baisse[89]. Cette procédure fait suite à une plainte déposée par l'Association de Défense des Actionnaires Minoritaires (ADAM) en 2009[89]. La banque est condamnée en juin 2021 à une amende de 7,5 millions d'euros[90], « montant correspondant à la peine maximale encourue, pour le délit de diffusion d’information fausse ou trompeuse en vue d’agir sur le cours des titres négociés » selon le procureur de la République financier. Nicolas Namias s'est par ailleurs félicité du fait que les retombées dans la presse financière, au sujet de cette affaire, soient limitées[91].

Discrimination femme/homme en matière salariale

En mai 2020, Cash Investigation diffuse un sujet sur les discriminations de salaire entre les hommes et les femmes, mettant notamment en exergue les inégalités de rémunération au sein de Natixis, l'entreprise du secteur bancaire ayant le plus gros écart, soit 43 %[92].

Présentation de l'entreprise

Natixis Investment Managers

Natixis Investment Managers est un des leaders de la gestion d'actifs[réf. à confirmer][93]. Créée en 2004[94], la société gère en 2018 près de 1 008 milliards de dollars d'actifs[95]. Filiale de Natixis, NIM est elle-même la holding de[96] :

  • Active Index Advisors
  • AEW Capital Management (de)[97],[98],[99],[100]
  • AEW Europe
  • Alliance Entreprendre
  • AlphaSimplex Group
  • Axeltis
  • Caspian Private Equity
  • Darius Capital Partners
  • Dorval Asset Management
  • DNCA Investments
  • Eagle Asia
  • Emerise
  • Euro-PE
  • Gateway Investment Advisers
  • H2O Asset Management
  • Harris Associates (en)
  • IDFC Asset Management (en)
  • Loomis, Sayles & Company (en)
  • Managed Portfolio Advisors
  • McDonnell Investment Management, LLC
  • Mirova
  • Ostrum Asset Management
  • Naxicap Partners
  • Ossiam
  • Seeyond[101]
  • Seventure Partners
  • Vaughan Nelson Investment Management
  • Vega Investment Managers

Natixis Assurances

La holding Natixis Assurances est une Société anonyme à conseil d'administration dont les entités juridiques s'organisent autour de deux pôles d'activité assurantiels :

  • L'assurance de personnes :
    • BPCE Vie
      • BPCE Relation Assurances (CERC)
    • BPCE Prévoyance
    • Natixis Life (Luxembourg)
    • Écureuil Vie Développement (←49% CNP)
  • L'assurance non-vie :
    • BPCE IARD (←50% MAAF)
    • BPCE Assurances (100% Natixis depuis )
      • BPCE APS (←45% CE)

Natixis Interépargne

Natixis Interépargne est une filiale de Natixis spécialisée, essentiellement, dans la gestion de l'épargne salariale. En novembre 2017 Christophe Eglizeau est nommé directeur général de Natixis Interépargne[102].

Natixis Wealth Management

Natixis Wealth Management (anciennement Banque Privée 1818) est une filiale de Natixis qui conçoit et met en œuvre des solutions financières sur mesure pour optimiser son patrimoine.

Natixis Payments

Natixis Payments (anciennement Natixis Payment Solutions) est une filiale de Natixis qui conçoit et met en œuvre des solutions de paiement. Elle gère ainsi plus de 23 millions de cartes de paiement, et plus de 8 milliards de transactions par an[103].

Les métiers

Natixis est organisée autour de trois pôles fonctionnels[104] :

Le pôle gestion d'actifs et de fortune

L'un des leaders mondiaux de la gestion d'actifs[105],[106],[107], Natixis IM (en) est la holding de plusieurs entreprises à travers le monde :

  • Active Index Advisors
  • AEW Capital Management
  • AEW Europe
  • Alliance Entreprendre
  • AlphaSimplex Group
  • Axeltis
  • Caspian Private Equity (Capital-investissement)
  • Darius Capital Partners
  • Dorval Asset Management
  • DNCA Investments
  • Eagle Asia
  • Euro-PE
  • Gateway Investment Advisers
  • H2O Asset Management
  • Harris Associates
  • Loomis, Sayles & Company
  • Managed Portfolio Advisors
  • McDonnell Investment Management
  • Mirova
  • Ostrum Asset Management
  • Naxicap Partners
  • Ossiam
  • Seeyond
  • Seventure Partners
  • Vaughan Nelson Investment Management
  • Vega Investment Managers

Natixis Wealth Management, anciennement Banque Privée 1818 (ou BP 1818)[108], est spécialisée dans la gestion de fortune. Elle compte parmi ses filiales :

  • Sélection 1818
  • Vega Investment Managers
  • 1818 Immobilier

Banque de grande clientèle

La banque de grande clientèle conseille et accompagne les entreprises, les investisseurs institutionnels, les sponsors financiers, ainsi que les acteurs du secteur public. Elle leur propose une gamme diversifiée de financements, une large palette de produits de couverture, financement et investissement sur les marchés de capitaux et des services de banque transactionnelle.

Elle est particulièrement présente dans quatre secteurs stratégiques : énergie et ressources naturelles, aviation, infrastructures, immobilier et hospitality. Elle dispose également d’un centre d’expertise dédié en finance verte.

Le pôle regroupe les filiales suivantes[109] :

  • Natixis SA Intl. (Bur./ Succ.)
  • Natixis Australia Proprietary Limited
  • Natixis Banco Múltiplo SA
  • Natixis Belgique Investissements S.A.
  • Natixis Japan Securities Co., Ltd
  • Natixis Luxembourg Investissements
  • Natixis Moscow Bank (ZAO)
  • Natixis North America Inc.
  • Natixis Pfandbriefbank AG
  • Nexgen Reinsurance Limited

Pôle assurance

Il se décompose en :

Natixis Payments

Natixis Payments propose à tous les acteurs économiques publics et privés en Europe une gamme complète de solutions de paiements et de services associés. Elle se compose de trois business units (processing, merchant solutions et issuing & prepaid) et possède plusieurs filiales :

  • Natixis Payments Solutions (solutions de processing)
  • Natixis Intertitres
  • Dalenys
  • Payplug
  • Comitéo
  • Titres Cadeaux
  • Le Pot Commun
  • S-money
  • E-Cotiz

En 2019, le pôle Payments a créé avec Visa Xpollens, une solution proposant en marque blanche des services de paiements innovants aux fintechs, aux marchands et aux entreprises[111].

Dans le monde

Natixis est présente dans 38 pays[104] répartis sur 5 grandes zones géographiques : les Amériques, l'Asie-Pacifique, l'Europe et le Moyen-Orient.

Activités

Banque de financement et d'investissement :

  • Financement de projets (Europe)
  • Financement immobiliers (France)
  • Primaire obligataire corporate (France)
  • Émission de CDO (Europe)
  • Marché de l'euro en primaire obligataire
  • Trade finance (Afrique et Moyen-Orient)
  • Financement aéronautique

Gestion d'actifs :

  • Gestion d'actifs (international)
Capital investissement et gestion privée :
  • Capital investissement dédié aux PME

Services:

  • Gestion d'épargne salariale en France
  • Assurance cautions (France)
  • Conservation institutionnelle
  • Conservation de détail (France)
  • Opérateur monétique (France) par l'intermédiaire de sa filiale Natixis Paiements
  • Bancassurance IARD (France)

Poste clients :

  • Poste clients (France)
  • Affacturage (international)
  • Assurance-crédit
  • Gestion de créances
  • Information d'entreprise

Identité visuelle (logo)

Jusqu'en 2009, le logo[112] se composait de deux losanges : l'un, bleu, signifiait son appartenance à la Banque Populaire alors que le second, de couleur rouge, suggérait la couleur de la Caisse d'Épargne.

En , Natixis se pare d'une nouvelle identité visuelle[113]. Les deux losanges bleu et rouge disparaissent pour laisser place à un « N » stylisé d'un coup de pinceau, qui rappelle une signature d'un geste de la main. Le violet, du même ton que le logo de la nouvelle BPCE, fusionne le rouge de la Caisse d'Épargne et le bleu de la Banque populaire.

Logo en écho à celui de BPCE, la maison mère, représentant un cercle de la même couleur violet.

En 2017 le message de marque « Beyond Banking » vient compléter le logo officiel. Ce message vient signifier le désir de la marque de se surpasser pour ses clients[114].

Mécénat et sponsoring

Domaine de la culture

L'entreprise œuvre en faveur de la conservation et de l'accessibilité du patrimoine culturel français et international. En 2010, Natixis a financé la rénovation de la galerie des impressionnistes du Musée d'Orsay[115] ; en 2012, Natixis a participé au financement de travaux de rénovation des bâtiments de la Comédie Française, notamment pour l'isolation acoustique de la Salle Richelieu[116].
Natixis a aussi participé, au titre de ses actions de mécénat, à l'organisation de plusieurs expositions au Grand Palais :

Domaine du sponsoring sportif

Natixis est le parrain officiel du Racing Metro 92[120] depuis 2007.
Depuis , Dan Carter a même été nommé ambassadeur de la marque[121]

Natixis sera également le parrain des Jeux Olympiques de Paris en 2024.

Fondation d'entreprise Natixis

La Fondation d'entreprise Natixis pour la recherche quantitative est créée en 2006, avec le concours de son comité scientifique[122], elle œuvre en faveur de la recherche dans le domaine des mathématiques financières au niveau international. Le soutien de la fondation se distingue à travers différentes actions telles que le financement de travaux de recherche universitaire, la remise de prix, tels que le Grand Prix Louis Bachelier Natixis – Académie des Sciences, la co-organisation et le sponsoring de conférences d'institutions universitaires internationales.

Notes et références

Notes

  1. La structure juridique de la CCBP servira par ailleurs à construire la Banque fédérale des banques populaires qui reprendra les prérogatives de la chambre syndicale des Banques populaires organe central du groupe Banques Populaires
  2. La banque de financement étant IXIS CIB
  3. Bernard Comolet reconnaîtra à la radio que c'est normal
  4. en clair : le montant des actifs pourris acquis par la banque
  5. les actifs compromis ne sont plus comptabilisés comme éléments de cette rentabilité

Références

  1. Natixis, Registration document & annual finance report 2016 > Presentation of Natixis > History and links with BPCE, Natixis, mars 2017
  2. https://www.natixis.com/natixis/upload/docs/application/pdf/2020-03/natixis__urd2019_06032020.pdf
  3. https://www.boursorama.com/cours/1rPKN/
  4. https://www.im.natixis.com/fr/profil
  5. https://www.natixis.com/natixis/upload/docs/application/pdf/2020-02/200206_natixis_resultats_4q19_natixis_cp.pdf
  6. https://www.natixis.com/natixis/upload/docs/application/pdf/2019-03/natixis_document_de_reference_2018.pdf
  7. Isabelle Chaepron et Pascal Henisse, « Le Crédit National-BFCE va s'appeler Natexis », sur Les Echos,
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