Andeville

Andeville est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France (anc. Picardie)[1],[2],[3].

Pour les articles homonymes, voir Andeville (homonymie).

Andeville

Vue depuis le toit de l'église.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes des Sablons
Maire
Mandat
Jean-Charles Morel
2020-2026
Code postal 60570
Code commune 60012
Démographie
Gentilé Andevilliens
Population
municipale
3 292 hab. (2018 )
Densité 789 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 37″ nord, 2° 09′ 57″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 178 m
Superficie 4,17 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Andeville
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Méru
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Andeville
Géolocalisation sur la carte : Oise
Andeville
Géolocalisation sur la carte : France
Andeville
Géolocalisation sur la carte : France
Andeville
Liens
Site web http://www.andeville.fr
    Eglise d'Andeville

    Ses habitants sont appelés les Andevilliens. Son maire actuel est Jean-Charles Morel depuis mars 2001.

    Géographie

    Localisation

    Située à km au nord-est de Méru, Andeville est constituée du bourg et d'un lieu-dit appelé Angleterre (auparavant appelé les Cornets). C'est une commune du pays de Thelle.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Andeville[4]
    Laboissière-en-Thelle Mortefontaine-en-Thelle
    Méru Esches

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 724 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[12] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 23 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Andeville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Andeville, une unité urbaine monocommunale[22] de 3 227 habitants en 2017, constituant une ville isolée[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,8 %), zones urbanisées (30,9 %), forêts (11,2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Toponymie

    Le nom d'Andeville vient de Andium Villa et Anatum Villa.

    Histoire

    Andeville ne fut longtemps qu’un village de « laboureurs ». Au XVIIIe siècle, apparaît la tabletterie qui consiste en la fabrication de tout un ensemble d’objets de petite ébénisterie (damiers, échiquiers, dés à jouer, éventails, dominos, boutons…) en os, ivoire, bois précieux ou nacre. Elle connaît un essor considérable jusqu’en 1900. Une des spécialités d’Andeville était les éventails.

    Andeville, étant sur un plateau, n'a pas de source. En 1904, Marchand-Hébert propose un don de 50 000 francs pour que la commune fasse creuser un puits avec des pompes pour alimenter la commune. En effet, l'eau potable ne se trouve que dans des puits de plus de 40 mètres ou grâce à l'eau de pluie. En 1911, on arrive à puiser péniblement 18 m3. L'eau potable n'arrive vraiment qu'en 1945 quand la commune adhère au syndicat de Laboissière[29].

    Quelques dates

    • En 1820 : création du cimetière.
    • Le  : création de la fanfare d'Andeville par M. Noël Dumage.
    • En 1839 : il y a 52 boutonniers à Andeville. La nacre occupe une place très importante.
    • En 1909 : grève dans les ateliers pendant trois mois[29].

    Les 17 martyrs

    Alors que la retraite des Allemands a déjà commencé, deux parachutistes se sont réfugiés à Andeville. Un soldat allemand se faisant passer pour un déserteur est recueilli en ville et est placé sous bonne garde. Il réussit à entrer en contact avec le réseau de résistance local, rattaché au maquis de Chambly. Quelques jours plus tard, il réussit à s'enfuir, et revient le , accompagné d'une troupe de SS stationnés non loin de là. Les Allemands arrêtent le maire Georges Petit. Sur son refus de dénoncer la résistance, il est abattu, puis tous les hommes du village sont rassemblés. Dix-sept d'entre eux seront fusillés sur place. Deux plaques commémoratives rappellent cet épisode douloureux à Andeville, et une rue sera baptisée rue des 17-Martyrs[30].

    L'usine de nacre Marchand Hébert.

    Histoire de l’école

    En , la préfecture impose la création d’une école. À l’époque, le maître faisait la classe chez lui. À ce moment, il s’agit du sieur Charles Cantin. Après 1824, la commune achète un corps de ferme où elle établira l’école. Un nouvel instituteur arrive et aura en plus la charge de clerc laïque. Il sera logé au presbytère. Son salaire est de 300 francs plus des casuelles et des écolages de 50 centimes par enfant et par mois[31].

    Il y a deux écoles dans Andeville (une école maternelle et une école primaire) :

    • École du Petit Bouton Nacré
    • École Anatole-Devarenne

    Lieux écarts dit quartiers

    Clos du bois, Angleterre.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie.
    Liste des maires successifs[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    17 février 1790 12 juin 1808 M. Leporcq d'Ausque    
    12 juin 1808 23 décembre 1809 Charles Boffu    
    23 décembre 1809 1817 M. Levasseur    
    1817 9 mai 1821 Germain Famin    
    9 mai 1821 1825 Jean Baptiste Bault    
    1825 21 juin 1837 Jean Baptiste Baude    
    21 juin 1837 19 août 1848 Thomas Remond    
    19 août 1848 4 février 1852 Jules Fleurant    
    4 février 1852 8 juillet 1855 Thomas Remond    
    8 juillet 1855 31 janvier 1858 Lucien Bault    
    31 janvier 1858 1894 M. Ferret    
    1900 décembre 1907 M. Vaillant    
    décembre 1907 mai 1909 Gustave Marchand-Hebert    
    mai 1909 décembre 1919 Elphège Bastard    
    décembre 1919 mai 1929 Lucius Hennegrave    
    mai 1929 1938 Robert Dourain    
    1938 1940 Durant    
    1940 27 août 1944 Georges Petit    
    août 1944 août 1944 M. Guerville   Abbé (remplacement temporaire suite fusillade).
    1944 1945 André Conty    
    1945 mars 1959 Robert Masson    
    1959 mars 1965 Gaston Houplon    
    mars 1965 mars 2001[33] Jacques Bergeret    
    mars 2001 En cours
    (au 23 août 2014)
    Jean-Charles Morel DVG Responsable informatique retraité
    Réélu pour le mandat 2014-2020[34],[35]

    Démocratie participative

    La commune s'est dotée d'un conseil municipal d'enfants qui a été renouvelé en [36].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2018, la commune comptait 3 292 habitants[Note 7], en augmentation de 7,09 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6757177547729099911 1001 1681 226
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1961 2051 2681 2531 2741 4061 3621 3511 349
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4181 5151 4961 5031 4991 4061 3941 2201 315
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 3061 4271 4651 7822 2822 9963 1283 1123 208
    2018 - - - - - - - -
    3 292--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Église Saint-Léger.

    Église Saint-Léger

    Classée en partie monument historique, fondée par Claude de Montmorency et sa femme Anne d'Aumont, elle fut construite à partir de 1538. Elle possède un chœur polygone de 1547 à fenêtres géminées de style ogival tertiaire ayant leur tête prohibée, agrandie au début du XIXe siècle (partie en brique).

    Dans l'église, quatre objets d'arts figurent à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[41] :

    • Deux pierres gravées relatant la fondation de l'église.
    • Un tableau de l'école espagnole du XVIIe siècle représentant saint Charles Borromée parcourant les rues de Milan, ce tableau a disparu de l'église.
    • Un cadre en bois sculpté et doré du XVIIIe siècle

    Héraldique

    Blason
    D'azur à la bande d'argent remplie de gueules, chargée d'un éventail, accosté de deux boutons percés de quatre trous, le tout du second ; accompagné en chef d'une gerbe de blé d'or et pointe de trois couverts du second, en pals mis en bande.
    Ornements extérieurs
    Écu timbré de la croix de guerre 1939 - 1945.
    Détails
    La gerbe de blé évoque le passé agricole de la commune. Les boutons, l'éventail, l'orfèvrerie représentent les spécificités d'Andeville pour le travail de la nacre.
    Officiel[42]

    Personnalités liées à la commune

    Anatole Devarenne.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. LOI n° 2015-29 du 16 janvier 2015
    2. Ministère de l'Intérieur.
    3. Conseil Constitutionnel
    4. « Communes limitrophes d'Andeville » sur Géoportail..
    5. « Communes limitrophes d'Andeville » sur Géoportail..
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    12. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Andeville et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Andeville et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Unité urbaine 2020 d'Andeville », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    23. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. archive de la mairie
    30. bulletin municipal de 1999
    31. Journal municipal d'Andeville no 30 de juillet 2005
    32. « Les maires de Andeville », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    33. P. C., « Jean-Charles Morel sera le prochain maire », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « À 20 h 30, le nouveau conseil municipal devrait désigner Jean-Charles Morel comme successeur de Jacques Bergeret. Ce dernier, après 36 ans de gestion, ne se représentait pas. L'élection ne fait guère de doute puisque la liste Andeville Autrement, menée par Jean-Charles Morel, a largement remporté le scrutin dimanche. Opposée à trois autres listes au 2 e tour, la liste Morel a raflé la totalité des 23 sièges d'élus. « Après le 1er tour, nous étions raisonnablement optimistes, confie Jean-Charles Morel. Les électeurs avaient rejeté à 70 % la liste Barlemont cautionnée par l'ancien maire ».
    34. « Jean-Charles Morel repart avec 11 conseillers sortants : Le maire sortant Jean-Charles Morel, et ses colistiers tiendront une réunion publique jeudi 13 mars, à 20h 30 au gymnase », L'Écho du Thelle, no 520, , p. 4.
    35. « J-C Morel, maire et ses adjoints ont été élus », L'Echo du Thelle, no 523, , p. 10.
    36. « Le conseil municipal des jeunes est en place : Le conseil municipal des jeunes d’Andeville a en partie été renouvelé. Les 22 élus du CE2 au CM2, vont apprendre la citoyenneté et mener à bien divers projets. », L'Écho du Thelle, no 556, , p. 10.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=LOCA&VALUE_98=%20Andeville&DOM=Tous&REL_SPECIFIC=3
    42. http://www.andeville.fr/fr/decouvrir-andeville/histoire/les-armoiries-dandeville.html
    • Portail de l’Oise
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.