Waziers
Waziers est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. La Compagnie des mines d'Aniche y a ouvert ses fosses Gayant, Notre Dame et Bernicourt. L'extraction a cessé en 1978.
Waziers | |||||
L'église Notre-Dame-des-Mineurs, inscrite sur la liste du patrimoine mondial par l'Unesco. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Douaisis | ||||
Maire Mandat |
Laurent Desmons 2020-2026 |
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Code postal | 59119 | ||||
Code commune | 59654 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
7 427 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 1 711 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 23′ 16″ nord, 3° 06′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 27 m |
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Superficie | 4,34 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Sin-le-Noble | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Communes limitrophes
Commune urbaine située sur l’ancien bassin minier, la ville de Waziers est juxtaposée à la ville de Douai (3 km au Nord Est de Douai).
Traversée par plusieurs départementales telles que la D 917 à l’Ouest, la D35, ainsi que par la voie ferrée, certains quartiers de la commune se trouvent isolés du centre-ville. Ces barrières rendent, en effet, les déplacements difficiles à l’intérieur même de la commune, les populations se trouvant captives de leur quartier, isolées socialement et économiquement.
La ville de Waziers est, également, délimitée par deux rocades (la rocade Est et la rocade Nord Lille - Valenciennes) limitant la mobilité des habitants vers l’extérieur.
Ce problème est d’autant plus important dans les quartiers défavorisés classés zone urbaine sensible.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douai », sur la commune de Douai, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 716,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 18 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Waziers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[17] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (62,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (51,3 %), terres arables (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (13,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,4 %), prairies (3,3 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Histoire
Le mot « wazier » est apparu au XIIIe siècle. Il désigne une étendue de terre marécageuse détrempée par l'eau. Plusieurs termes se sont succédé, parmi lesquels Wasers, Wassers, Wasiers.
« Il y a eu deux châteaux à Waziers. Le plus ancien était érigé à un endroit qu'au XIIIe siècle on appelait déjà le Viès-Motte. C'était le chef-lieu de la seigneurie de Waziers-Hainaut qui subsistait encore au commencement du XVIe siècle. Le Grand Chastel de Waziers, chef-lieu de la seigneurie de Waziers-FIandre, fut bâti dans la première moitié du XIIIe siècle. Il était situé derrière l'église sur les confins du Frais Marais et du Marais de Sin »[24]
De la monnaie gallo-romaine y a été trouvée en 1905. Aujourd'hui exposé au Musée de la Chartreuse de Douai, ce « trésor » atteste que le territoire de Waziers était habité dès le IIIe siècle.
Le , est rendue une sentence de noblesse de l'élection d'Artois pour Jean de Waziers, écuyer, seigneur de Femy, demeurant à Lagnicourt[25].
Waziers est une ville dont l'histoire plus récente est fortement liée à l'exploitation minière: le charbon a été mis en évidence en 1851. Le , la catastrophe de la Fosse Notre-Dame tue onze mineurs. En 1945, au lendemain de la guerre, le ministre communiste Maurice Thorez est venu à Waziers faire son discours historique sur l'augmentation indispensable de la production de charbon.
La ville de Waziers est considérée comme un bastion du Parti communiste français, puisque depuis la fondation du Parti en 1920, la ville a toujours eu un maire communiste, à l'exception de la période 1939-1945 (Seconde Guerre mondiale).
À la fin des années 2010 naît le projet d'installer sur l'ancien site de Grande Paroisse une centrale solaire photovoltaïque[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Wasers en 1117[27], Villa de Wasers en 1123[28], Wasers en 1125 et en 1163[29], Wasiers 1189 et au XIIIe siècle[24].
Le mot « wazier » est apparu au XIIIe siècle. Le nom provient de Wasarius (terrain marécageux), issu de la racine germanique wasa (marais)[30]. Il désigne une étendue de terre marécageuse détrempée par l'eau.
Héraldique
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Les armes de la commune de Waziers se blasonnent ainsi : D'azur à l'écusson d'argent, à la bande de gueules brochant sur le tout[31]. |
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Les maires sont communistes à Waziers depuis 1919[32].
Jacques Michon devient maire en 2002[32]. Il est conseiller général du canton de Douai-Nord de 1994 à 2015, suppléant du député Jean-Jacques Candelier puis d'Alain Bruneel.
Lors des élections municipales de mars 2014, Laurent Desmons échoue à quatre-vingt-onze voix près[33]. Jacques Michon est réélu maire[34].
Lors du second tour des élections municipales de 2020, la liste menée par Jacques Michon perd face à la liste divers gauche de son challenger Laurent Desmons[32].
Liste des maires
Identité | Période | Durée | Étiquette | Fonction | |
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Début | Fin | ||||
Jean-Pierre Fossiez (d) | 3 ans | ||||
Louis Caulet (d) | 6 ans | ||||
Jean-Pierre Fossiez (d) | 11 ans | ||||
Auguste Anselin (d) | 7 ans | ||||
Alfred Sede (d) | 1 an | ||||
Maurice Guironnet (d) ( - ) | 1 an | Section française de l'Internationale ouvrière | |||
Alexandre Henocq (d) | 1 an | Président de la délégation spéciale (d) | |||
Alfred Humery (d) | 4 ans | ||||
Maurice Guironnet (d) ( - ) | 19 ans | Parti communiste français | |||
Georges Larue (d) ( - ) | 1 an | Parti communiste français | |||
Jules Bassée (d) | Président de la délégation spéciale (d) | ||||
Georges Larue (d) ( - ) | 14 ans | Parti communiste français | |||
Roger Miquet (d) ( - ) | (mort en cours de mandat (en)) | 15 ans | Parti communiste français | ||
Marc Duquesne (d) ( - ) | 18 ans | Parti communiste français | |||
Michel Monsieur (d)[35] ( - ) | (démission) | 10 ans | Parti communiste français | ||
Jacques Michon (d)[36],[37] (né le ) | 17 ans et 7 mois | Parti communiste français | |||
Laurent Desmons (d)[38] (né le ) | En cours | 1 an, 2 mois et 11 jours | divers gauche |
- Buste de Maurice Guironnet près de la mairie de Waziers.
- Tombe de Maurice Guironnet au cimetière Faidherbe.
- Tombe de Georges Larue au cimetière Faidherbe.
- Tombe de Roger Miquet au cimetière Faidherbe.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2018, la commune comptait 7 427 habitants[Note 7], en diminution de 1,86 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame-des-Mineurs, construite en 1927 par l'architecte Louis Marie Cordonnier. Cette église est classée le à la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
- L'église Sainte-Rictrude.
- Le château de Jérusalem.
- Les écoles des cités de la fosse Notre-Dame-des-Mines d'Aniche.
- Le centre médical des cités de la fosse Notre-Dame-des-Mines d'Aniche.
- Écoles des cités de la fosse Notre-Dame.
- Centre médical des cités de la fosse Notre-Dame.
Personnalités liées à la commune
- Clément Découx, né le à Bruille-lez-Marchiennes, est habitant de Waziers lorsqu'il procède à l'attentat d'Aniche où il est tué par le souffle de la bombe qu'il portait, le .
- Patrick Masclet (1952-2017), sénateur du Nord et maire d'Arleux.
- François Mortelette, né à Waziers le , décédé à Saint-Sulpice (Loir-et-Cher) le . Conseiller municipal de Waziers en 1953, conseiller général de Loir-et-Cher en 1976, maire de Saint-Sulpice en 1977-2001.
- Georges Prêtre, né à Waziers le . Chef d'orchestre de renommée internationale, directeur de l’orchestre de l’opéra de Marseille, puis de Lille et de Toulouse ; successivement directeur des orchestres de Paris, Chicago, Londres, Vienne, Turin, Berlin, New York.
- Michel Stievenard, footballeur professionnel.
Pour approfondir
Bibliographie
- Waziers: notice sur ce village dans la Gallo Flandria du Père Buzelin 1624 [24]
Articles connexes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Douai - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Waziers et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Douai - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Waziers et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Statistique archéologique du département du Nord, vol. 2, Quarré, (lire en ligne).
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 13, lire en ligne.
- Gauthier Clausse, « Waziers. Une centrale photovoltaïque pourrait voir le jour sur l’ancien site Grande Paroisse », sur https://www.lobservateur.fr/douaisis/, L'Observateur du Douaisis, .
- Dans un titre de Saint-Pierre de Douai.
- Dans un titre de l'abbaye de Marchiennes (Le Glay)
- Dans des titres de Saint-Pierre de Douai (Mirœus)
- Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages du Nord, page 308 - (ISBN 2916344454).
- http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59654
- Laurent Decotte et Sébastien Leroy, « Aubry sur le fil, Bruay au RN et autres leçons », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24269, , p. 2-3.
- J. G., « Quatre des 26 engagements pour Waziers du candidat Laurent Desmons à la loupe », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162, , p. 18.
- « Jacques Michon félicite son opposant », L'Observateur du Douaisis, no 587, , p. 14.
- Julien Gilman, « Waziers : un an avant les élections, trois candidats pour un fauteuil de maire », La Voix du Nord, : « Maire communiste depuis que Michel Monsieur lui a cédé l’écharpe en 2002, Jacques Michon brigue un quatrième mandat et une troisième élection sur son nom. « Oui, je me représente, comme la santé est bonne et qu’il paraît que j’ai toujours la pêche ». »
- Nicolas Foissel, « Waziers: Quel bilan pour le mandat de Jacques Michon ? », L'Observateur du Douaisis, : « Le 30 mars 2014, à 51,4%, les Wazierois renouvelaient leur confiance en Jacques Michon et lui confiaient le soin de mettre en œuvre les seize promesses listées durant l’entre-deux tours. »
- Christophe Benoit, « Waziers : en 2019, Jacques Michon compte bien poursuivre le développement du commerce et du logement », La Voix du Nord, : « [...] avant de devenir premier adjoint en 1989 puis maire depuis 2002. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428) :
« Waziers : divers gauche »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Waziers en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15
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