Voies du port de Rouen-Rive-Droite

Les voies du port de Rouen-Rive-Droite sont une ligne de chemin de fer française à écartement standard située à l'intérieur de l’agglomération de Rouen[1]. Desservant les quais et les établissements industriels de la rive droite du port de Rouen, elles ont subi les vicissitudes des guerres, des crises économiques ainsi que des aménagements portuaires et urbains. Aujourd'hui, bien que de moindre capacité que les lignes de la rive gauche du port, elles sont elles aussi largement sous-utilisées compte tenu à la fois de la disparition de certains trafics du port de Rouen, du déclin du transport ferroviaire et de la désindustrialisation de leur zone de chalandise.

Voies du
port de Rouen-Rive-Droite

Début du raccordement de Rouen-Martainville (voies partant à gauche), qui mène aux voies du port de Rouen-Rive-Droite (ces dernières commençant après l'ancienne gare de Rouen-Martainville).
Pays France
Villes desservies Rouen
Concessionnaires Compagnie du chemin de fer du Nord (1885 1888)
Compagnie du chemin de fer du Nord (2/3) et Compagnie des chemins de fer de l'Ouest (1/3) (1888 1908)
Compagnie du chemin de fer du Nord (2/3) et Administration des chemins de fer de l'État (1/3) (1909 1938)
SNCF (depuis 1938)
Caractéristiques techniques
Écartement standard (1,435 m)
Électrification Non électrifiée

Histoire

En 1867, la Compagnie des chemins de fer du Nord avait établi à Rouen le terminus de sa ligne venant d'Amiens dans une gare située à l'est de la ville sur la rive droite de la Seine, dite de Rouen-Martainville puisque construite dans le quartier éponyme. Peu avant leur arrivée en gare ses voies croisaient sous un passage inférieur celles de la ligne Paris – Rouen de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest franchissant en remblai les vallées de l'Aubette et du Robec, mais par accord initial entre les deux concessionnaires[2], il n'existait à cet endroit aucune communication entre leurs réseaux respectifs.

Cette situation apparut rapidement préjudiciable tant aux deux compagnies qu'à l'économie locale, et à l'issue de nombreuses démarches, la loi du 31 décembre 1875 déclara d'utilité publique, entre autres opérations, la création d'une liaison entre les deux lignes[3]. Ainsi, un peu plus de deux kilomètres après la gare de Darnétal[4] celle venant d'Amiens fut séparée en deux branches à double voie, l'une restant à la Compagnie du Nord et suivant à droite le fond de vallée pour arriver directement en gare de Martainville 1,5 km plus loin, l'autre, concédée à la Compagnie de l'Ouest[5], partant à gauche et se hissant au niveau du remblai de la ligne Paris - Le Havre pour former un triangle en s'y raccordant dans ses deux sens, vers la gare de Rouen-Rive-Droite côté nord et vers Sotteville et Rouen Rive-Gauche côté sud[6].

Entretemps, afin de développer son trafic des marchandises, la Compagnie du Nord avait, avec l'accord et le soutien des autorités administratives et économiques locales, notamment de la Chambre de commerce, poussé ses voies au-delà de sa gare de Martainville sur environ cinq cents mètres le long d'une voie nouvelle[7] longeant les terrains vagues dits du Champ-de-Mars, jusqu'aux quais de la rive droite de la Seine. La jurisprudence administrative assimilant cette extension de fait à la création d'une ligne de tramway régie par la loi du 11 juin 1880[8], elle devait être juridiquement entérinée par une concession, accordée par décret du 4 septembre 1885[9] légalisant les installations établies et concédant au Nord la desserte ferroviaire des quais de la rive droite du port de Rouen. Trois ans plus tard, sur réclamation de la Compagnie de l'Ouest revendiquant sa part de trafic, un décret du 17 mars 1888 l'associera à la concession aux mêmes conditions que pour la ligne principale (2/3 Nord, 1/3 Ouest)[10], répartition reprise en 1909 lorsque l'Administration des chemins de fer de l'État se substituera à l'Ouest.

Ainsi se développera sur les quatre kilomètres de quais existant à l'époque un réseau de voies ferrées, aussi bien de circulation que de garage, desservant vers l'amont par le quartier d'Eauplet[11] les quais du Pré-aux-Loups et Lescure jusqu'à Amfreville-la-Mi-Voie, et vers l'aval les quais de Paris, Pierre-Corneille, de la Bourse, du Havre et du Mont-Riboudet (devenu quai Gaston-Boulet), jusqu'aux terrains dits des prairies Saint-Gervais situés au confluent de la Seine et du Cailly.

Faisceau de La Madeleine sur la rive droite du port de Rouen en 1925

L'environnement urbain des quais de la rive droite multipliait les croisements à niveau entre circulations routière et ferroviaire en plein centre ville, les rendant toujours plus difficiles alors qu'elles se développaient avec les activités portuaires fluviales et maritimes et qu'avait été inauguré en 1888, en aval du pont Corneille, un second pont moderne sur la Seine[12]. Aussi, au début des années 1900, la réflexion entamée sur l'avenir des prairies Saint-Gervais, acquises par l'État en 1908 avec le concours financier de la Chambre de commerce et du département[13], fut-elle l'occasion d'un certain nombre de propositions en faveur de l'abandon de la desserte ferroviaire par Martainville et le Champ de Mars au profit d'un nouveau tracé incluant une gare maritime et remontant le flanc est de la vallée du Cailly pour rejoindre la ligne Le Havre – Rouen à un point à déterminer entre Maromme et le tunnel Saint-Maur débouchant sur la gare Rive-Droite[14].

La loi du 16 avril 1910 « relative à l'acquisition des prairies Saint-Gervais pour l'extension du port de Rouen et à l'établissement de la plateforme d'un faisceau de voies ferrées de manœuvre »[15] laissait ouverte cette option en se bornant à déclarer d'utilité publique l'acquisition de ces terrains d'une superficie de 84 hectares et les travaux d'établissement « de la plateforme d'un faisceau provisoire de voies de manœuvres destiné à faciliter l'exploitation des voies ferrées des quais du port de Rouen (rive droite) ». Cependant, trois ans plus tard, une nouvelle loi, du 26 août 1913 « relative à l'amélioration et l'extension du port de Rouen et de ses accès »[16] ruinait les espoirs des partisans d'un tracé alternatif. En effet, autorisant la création sur les terrains en question de deux nouveaux bassins du port maritime, et l'allongement sur 1400 mètres des quais rive droite jusqu'à Croisset[17], afin de permettre de faire face au surcroît de trafic découlant de ces aménagements, elle confirmait le tracé initial, dont l'amélioration était attendue par doublement des voies et passage sous la culée du pont Boieldieu[18].

La guerre de 1914-1918 retarda le creusement des bassins, mais provoqua l'augmentation du trafic du port de Rouen pour en faire le premier port français, contraignant à étendre ses emprises sur la rive droite jusqu'à une douzaine de kilomètres en aval du pont Boieldieu, en établissant en urgence de nouveaux quais et appontements à Dieppedalle, puis Biessard[19], puis à Val-de-la-Haye[20], installations elles aussi rapidement complétées par le prolongement des voies ferrées existantes.

Après l'achèvement en 1924 des bassins Saint-Gervais, la vocation agroalimentaire de l'activité portuaire de la rive droite, déjà prépondérante de longue date avec le commerce des vins en foudres, s'était affirmée encore plus avec la construction d'installations de réception et de stockage destinées à l'importation des bananes des Antilles[21] et des agrumes et primeurs d'Afrique du Nord[22], dont une grande partie était ensuite réexpédiée par fer vers le Nord et la région parisienne.

Afin d'assurer les opérations et manœuvres nécessaires à ce trafic s'effectuant majoritairement par wagon isolé, trois faisceaux avaient été établis sur le port à proximité du fleuve ou des bassins. Le premier, dit de la Madeleine[23], irriguant les quais situés à ses abords immédiats et également par rebroussement ceux d'amont jusqu'à Eauplet, servait à la réception, à la coupe et à la formation des rames. Le second, dit de Saint-Gervais, comprenait des voies de circulation et d'évitement. Le troisième, plus important, dit triage de l'ouest, comprenait des voies de réception et de départ ainsi que des voies de garage en cul-de-sac. De la gare Martainville à Val-de-la Haye, l'ensemble était relié par une voie de circulation partiellement en site propre sur laquelle se greffaient de nombreux embranchements particuliers.

L'exploitation de cet ensemble ferroviaire situé pour l'essentiel en milieu urbain et comportant de nombreuses traversées de chaussée exigeant un personnel d'accompagnement était d'autant moins commode[24] que sauf pour la faible part de trafic s'effectuant directement par la ligne d'Amiens, tous les autres trains devaient rebrousser par le raccordement de Martainville, manœuvre augmentant les coûts et les temps de transport des marchandises[25].

Emplacement de l'ancienne gare Martainville (direction Sotteville). Le bâtiment voyageurs était à gauche.
Rampe vers le nouveau raccordement.
Passage devant les immeubles du Champ de Mars

Pourtant, après les importantes destructions de la Seconde Guerre mondiale, la reconstruction de la ligne desservant la rive droite du port reprendra le même tracé. Ainsi, en mai 1947, les rails venant de la gare Martainville seront rétablis le long du boulevard Gambetta[26] et permettront à nouveau la jonction avec les quais. Lancé en 1946 par la Chambre de commerce de Rouen le concours pour la construction d'un chai à vin sur un terre-plein jouxtant le bassin Saint-Gervais[27] aboutira en 1950 à l'installation de stockage la plus grande d'Europe, recevant ses produits par navires-citernes spécialisés dits pinardiers, et les réexpédiant notamment par wagons-foudres. Peu après viendra également se greffer sur le faisceau Saint-Gervais l'embranchement particulier du chemin de fer industriel de Déville-lès-Rouen, ligne privée à écartement normal d'environ deux kilomètres desservant l'usine métallurgique de la Compagnie des Tubes de Normandie et son réseau interne de onze kilomètres de voies de circulation et de garage[28], qui servira aussi par la suite pour la desserte du Marché d'intérêt national de Rouen ouvert en 1969 et des entrepôts de Bapeaume[29] des Économiques de Normandie.

À la fin des années 1970, l'influence conjuguée de l'évolution des trafics portuaire et ferroviaire et des aménagements d'urbanisme projetés par la ville entraînera d'importants changements dans la configuration de la ligne. Ainsi, son trafic dérisoire ne justifiant plus le maintien de l'embranchement jadis ouvert vers les voies de quai remontant le fleuve côté Amfreville-la-Mi-Voie, celui-ci est supprimé. De même, le déplacement des activités maritimes vers l'aval rendant désormais inutile l'existence du faisceau de la Madeleine, il lui est substitué au cours des années 1990 une unique voie de circulation s'insérant entre divers aménagements de voirie et d'espaces verts.

Et surtout, les changements opérés dans le quartier Martainville, classé en zone d'aménagement concerté[30], transforment complètement le début de la ligne. En premier lieu les voies primitives reliées directement à la ligne d'Amiens sont supprimées et remplacées par un raccordement courbe à double voie en direction de Sotteville[31] rejoignant en remblai la ligne Le Havre – Paris juste avant son entrée dans le tunnel Sainte-Catherine, mis en service le 22 mars 1981 en même temps que le PRS des bifurcations de Darnétal[32] et procurant un gain de temps de 30 minutes par train. En second lieu toutes les installations de l'ancienne gare, bâtiment voyageurs, halles, dépôt des machines, et leurs faisceaux de desserte, sont par la suite progressivement démolis et leurs vastes emprises récupérées pour des aménagements de voirie et des constructions immobilières[33], seules subsistant deux voies de circulation, réduites à une seule à leur sortie le long du boulevard Gambetta.

Caractéristiques

À la différence des voies de la rive gauche du port, celles de la rive droite ne sont pas électrifiées.

Tracé et équipements

Débouché sur le quai de Paris.
Vestiges de la branche vers Eauplet

Le schéma des voies de la rive droite du port figure en annexe du Document de référence du réseau ferré portuaire du Grand port maritime de Rouen[34]. Elles commencent par un embranchement à double voie de 1, 2 km quittant sur la gauche[35], la ligne du Havre à la sortie du tunnel Sainte-Catherine, et rejoignant le fond de vallée sur un remblai en pente de 8 à 12 ‰, alternant courbe[36] et alignement[37].

À l'emplacement de l'ancienne gare de Martainville, la voie devient unique et chemine ensuite en accotement le long du boulevard Gambetta par un parcours en site propre mais jalonné d'un certain nombre de passages à niveau. Après traversée en souterrain de l'avenue Aristide-Briand, elle débouche sur les quais bas où, s'intercalant entre une voie de circulation automobile et un espace destiné à la promenade et aux loisirs, elle passe successivement sous les ponts Corneille, Boieldieu, Jeanne-d'Arc, Guillaume-le-Conquérant et Gustave-Flaubert, avant de traverser le faisceau Saint-Gervais, comportant trois voies de circulation, dont une donnant accès par un passage inférieur sous l'avenue du Commandant-Bicheray, à l'embranchement du chemin de fer industriel d'intérêt général de Déville-lès-Rouen, désormais concédé à la société Vallourec[38].

Laissant sur sa gauche des voies d'accès au terminal dit des Antilles destiné jadis aux fruits et aujourd'hui essentiellement aux tubes métalliques, ainsi qu'aux silos Pastacorp (pâtes sèches Lustucru et Rivoire et Carret), la voie traverse le triage dit de l'ouest, comportant deux faisceaux[39] encadrant une butte de débranchement, et poursuit sur 5 500 mètres par une voie de circulation dite de Biessard, desservant un certain nombre d'embranchements particuliers et de silos à grains, jusqu'à Val-de-la Haye, au PK 150+900.

Exploitation

Faisceau Vallourec avec, à gauche, le départ de l'ancienne voie de desserte du MIN de Rouen, aujourd'hui déposée.
Locotracteur Vallourec au triage de l'Ouest

Encore fréquentées dans chaque sens par une dizaine de trains réguliers et deux ou trois facultatifs jusque dans les années 1980[40], les voies de la rive droite ont aujourd'hui perdu une part importante de leur trafic de jadis. Au fil des années, l'évolution des courants commerciaux et des modes de transport a entraîné la fermeture des centres de réception de bananes, d'agrumes et de primeurs ainsi que du chai à vins du bassin Saint-Gervais, la suppression de la desserte ferroviaire du Marché d'intérêt national et des Économiques de Normandie et l'abandon de la majorité des onze embranchements particuliers les jalonnant jusqu'à Val-de-la-Haye. Elles ne sont plus empruntées désormais que par quelques trains complets de tubes métalliques en provenance ou à destination de l'usine Vallourec, d'hydrocarbures vers le terminal Rubis, et de céréales vers les silos Soufflet et Lecureur, assurés par divers opérateurs de fret ferroviaire à l'aide de machines diesel type BB 60000 (Fret SNCF), BB 75000 (Linéas) ou Classe 66 (Euro Cargo Rail). Fin 2018, Vallourec a obtenu l'agrément d'opérateur ferroviaire portuaire lui permettant de circuler sur toutes les voies de la rive droite du port pour assurer non seulement ses propres transports, mais aussi ceux des autres entreprises, notamment d'une société de démantèlement de matériel ferroviaire nouvellement implantée dans une ancienne fonderie de son usine[41]. Il utilise à cet effet son propre locotracteur et deux autres, loués à Akiem.

Galerie de photographies

Notes et références

  1. Figurant avec le code-ligne 340 506 dans la nomenclature des lignes SNCF (voir SNCF Open data, lignes par statut).
  2. Par un traité du 27 décembre 1862 (lire en ligne).
  3. Bulletin des lois de la République française, 1875, p. 1310
  4. Au point kilométrique 115,060.
  5. Convention du 31 décembre 1875
  6. Dans une zone aujourd'hui encore couramment appelée « Bifurcation de Darnétal », bien que non située sur le territoire de cette commune, mais à Rouen dans le quartier du Mont-Gargan.
  7. Qui sera baptisée boulevard Gambetta.
  8. Voir le rapport à l'assemblée générale 1886 des actionnaires de la Compagnie du Nord (lire en ligne)
  9. Qui approuve la Convention passée entre le Ministre des Travaux publics et la Compagnie du chemin de fer du Nord pour la concession des lignes de Rouen à la gare de Martainville, Bulletin des lois de la République française, juillet 1885, p. 1123.
  10. Consulter.
  11. Quartier en bord de Seine de la ville de Bonsecours.
  12. Baptisé pont Boieldieu, et remplaçant un fragile pont suspendu à arche mobile dit « pont fil de fer ».
  13. Voir : Conseil général de la Seine-Inférieure, Rapports et délibérations, 2e session de 1908.
  14. Voir par exemple M. J. DE COENE: Le Port maritime et fluvial de Rouen – État actuel. Projet de dégagement des voies ferrées. Garage des chalands. Outillage. Bulletin de la société industrielle de Rouen, 1908, p. 368, et G. Maréchal: Extension du Port de Rouen et création d'une Gare maritime, Bulletin de la Société industrielle de Rouen, 1909, p. 192-199
  15. Loi du 16 avril 1910, JOLD 1910 p. 3606.
  16. JOLD 30 août 1913 p. 7829
  17. Hameau de la commune de Canteleu
  18. Voir : Le Journal des Chambres de commerce du 10 septembre 1912, p. 237.
  19. Deux autres hameaux de la commune de Canteleu.
  20. Alfred Uhry, « Le port de Rouen », Annales de géographie, 1919, p. 99-120, voir notamment p. 110.
  21. Des bananes des Antilles sont importées pour la première fois à Rouen en 1932 par la société de transit et transport Jules Roy.Histoire de DB Schenker en France
  22. Les deux quais destinés à ce trafic seront baptisés des Antilles et d'Afrique.
  23. Car situé face à l'église Sainte-Madeleine.
  24. Voir par exemple R. Le Besnerais, « Le Port de Rouen », Revue Industrielle, janvier 1925, p. 289-298; voir notamment p. 295.
  25. Déjà, en 1923, une conférence avait réuni les principaux intéressés afin d'envisager les améliorations urgentes à apporter à la circulation des trains (voir Le Temps du 9 septembre 1923, p. 2).
  26. Guy Pessiot, Histoire de Rouen, T. 3 1939-1958:la guerre 39-45 et la reconstruction, en 900 photographies, éd. du P'tit Normand, 1983, p. 197.
  27. JO du 11 avril 1946, p. 3059
  28. Voir la prolongation de l'autorisation de travaux de premier établissement donnée à la Compagnie des tubes de Normandie par décret du 31 août 1959, JOLD p. 8700
  29. Autre hameau de Canteleu.
  30. Sous l'appellation de ZAC Aubette-Martainville.
  31. Dont la construction est financée par la Direction départementale de l'équipement de Seine-Maritime (voir La Vie du rail, no 1988 du 4 avril 1985, p. 14).
  32. Voir La Vie du rail, no 1789 du 16 avril 1981, p. 2, et B.C. : Nouveau raccordement et installations de contresens, La Vie du Rail, no 1794 du 21 mai 1981, p. 55-56.
  33. Les dernières halles à marchandises de la gare sont tombées en juillet 2006.
  34. Consulter en ligne ce document.
  35. Au PK 137+980.
  36. De 200 à 1000m. de rayon.
  37. Ce tronçon est dit «raccordement de Rouen-Martainville» avec le code-ligne 340 311 dans la nomenclature SNCF.
  38. Par décret du 26 décembre 1977 prononçant le transfert de la concession du chemin de fer industriel d'intérêt général de Rouen à Deville-lès-Rouen et convention du même jour.
  39. L'un de huit voies, l'autre de dix-huit, dont dix en cul-de-sac (La Vie du rail, numéro 1794 précité, p. 16), installation largement surdimensionnée compte tenu de son utilisation actuelle.
  40. Voir La Vie du rail, numéro précité, p. 56.
  41. Voir Paris Normandie du 31 janvier 2019, p. 22 et Première en France : Vallourec crée un opérateur ferroviaire portuaire

Voir aussi

Article connexe

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