Vivier-au-Court

Vivier-au-Court est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est. Les habitants sont les Vivaroises et les Vivarois. Comme la commune voisine de Vrigne-aux-Bois, c'est un lieu important de l'histoire de la métallurgie ardennaise. Malgré un cadre au caractère rural, c'est une commune ouvrière, la «ville de la fonte».

Vivier-au-Court

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Ardennes
Arrondissement Charleville-Mézières
Intercommunalité Ardenne Métropole
Maire
Mandat
Dominique Nicolas-Viot
2020-2026
Code postal 08440
Code commune 08488
Démographie
Gentilé Vivarois, Vivaroises [1]
Population
municipale
2 930 hab. (2018 )
Densité 314 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 08″ nord, 4° 49′ 54″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 200 m
Superficie 9,34 km2
Unité urbaine Vrigne aux Bois
(banlieue)
Aire d'attraction Charleville-Mézières
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villers-Semeuse
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Vivier-au-Court
Géolocalisation sur la carte : Ardennes
Vivier-au-Court
Géolocalisation sur la carte : France
Vivier-au-Court
Géolocalisation sur la carte : France
Vivier-au-Court
Liens
Site web http://www.vivier-au-court.fr/
    Église.
    Café de la gare.

    Géographie

    Localisation

    Située à mi-chemin entre Charleville-Mézières et Sedan, Vivier-au-Court est à moins de km de la frontière belge. Le village est desservi par l'autoroute A34.

    Vivier-au-Court est située dans ce que l'on appelle les crêtes pré-ardennaises, succession de collines pentues (>7 %) et de vallées boisées.

    L'altitude est comprise entre 50 et 200 m, 50 m étant l'altitude de l'église et 200 celle du lieu-dit la Vallée Chausson.

    Hameaux et écarts

    La commune regroupe plusieurs hameaux : Vivier, Piermé, Aucourt et Tumécourt.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Vivier-au-Court est une commune urbaine[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vrigne aux Bois, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[5] et 6 577 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (32,1 %), forêts (24,1 %), terres arables (23 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,4 %), zones urbanisées (9,4 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Vivier provient du mot désignant l’endroit où on élevait des poissons[12]. Au court ou Aucourt est un hameau à proximité, qui dérive peut-être du bas-latin curtis (enclos, tenure, exploitation agricole).

    Histoire

    Sur le territoire de cette commune, des vestiges d'habitats ou de sépultures d'époques anciennes sont constatés à plusieurs reprises : ainsi, des sépultures mérovingiennes sont mises à jour en 1914 au lieu-dit les Tumains, des vestiges datant du premier âge de fer sont identifiés en 2007 au lieu-dit la Couturelle, ainsi qu'en 1999 au lieu-dit la Boutillette avec également des céramiques datées de l'âge de bronze[13],[14].

    La situation frontalière de ce territoire se traduit ensuite au fil des siècles suivants par le passage de bandes armées rentrant sur le royaume de France, et la nécessité de sécuriser les hameaux en fortifiant les églises. La fortification des églises est chose courante dans les environs comme en Thiérache. L'église de Vivier est apparue au XVe et XVIe siècles). Des postes militaires et des tourelles sont également mis en place, comme pour de nombreuses locatilitns situées entre la ligne de défense établie sur la Semoy et celle mise en place sur la Meuse[15].

    Vivier-au-court est un regroupement de plusieurs hameaux : Vivier, Piermé, Aucourt, Tumécourt, pour les principaux (les noms des anciens hameaux sont annotés aux noms des rues).

    Le territoire de Vivier-au-court, après avoir été envahi et occupé à la fin du Premier Empire est également un lieu de passage de troupes, proche de sites de batailles décisives durant les guerres franco-allemandes successives de 1870, 1914-1918, et 1939-1945. Lors de la guerre franco-allemande de 1870, ce territoire est tenu par les forces prussiennes qui encerclent les Français durant le siège de Sedan[16]. Lors de la Première Guerre mondiale, la commune est, au début de la guerre, un point d'appui pour l'offensive française du , avant le reflux de ces troupes françaises à la suite de l'échec particulièrement meurtrier de la bataille des Ardennes[17]. La commune est ensuite occupée et ce jusqu'en 1918, comme une grande partie du département des Ardennes.

    Lors de la percée allemande en 1940 à Sedan, une grande partie des villageois partent sur les routes. Une partie d'entre eux se réfugie en Vendée, en la ville de Mareuil-sur-Lay, ce qui traduira après-guerre par le jumelage des deux villes. Les Ardennes étant en zone interdite, les Vivarois et Vivaroises ne reviennent souvent dans le village qu'après la libération du département, en .

    Histoire de l'industrie métallurgique à Vivier-au-Court

    Château Camion.
    Vue des installations de lLa Fonte Ardennaise.

    La vallée de la Vrigne, et les affluents de cette rivière qui se déverse dans la Meuse, ont favorisé l'émergence d'activités préindustrielles travaillant le fer. Les environs réunissent trois éléments, le minerai de fer, l'eau et le bois. Au XIXe siècle, la première dynastie de patrons d'industrie de Vivier-au-Court est la famille Camion. Louis Camion et son père Jean-Barthélémy font en effet l'acquisition, en 1820, d'un moulin (de farine), utilisant l'énergie d'une petite chute d'eau, et installé sur le ruisseau de Twywé (un affluent de la Vrigne), au lieu-dit Moraimont (inclus ensuite dans le bourg de Vivier-au-Court). Ils y installent une polierie pour polir et émoudre (aiguiser) des objets de ferronnerie. Les Camions sont des cousins d'un entrepreneur particulièrement actif à l'époque, Jean-Nicolas Gendarme. Ils ont quitté Vrigne-aux-bois, lorsque leur cousin a commencé à accaparer par ses installations l'énergie motrice de la Vrigne, mettant en place des retenues d'eau en amont de leurs installations[18],[19].

    L'usine est repris en par François Moranvillé. Un cubilot (appareil de fusion de la fonte) est installé en 1855.L'ouverture d'un tronçon ferroviaire désenclave la localité. À la mort de François Moranvillé, en 1893, l'activité est dirigée par son fils Léon Moranvillé, et son neveu Jules Huet. Jules Huet se retrouve seul aux commandes de l'entreprise familiale en 1903. D'autres industriels (des entreprises de ferronnerie et de fonderie) s'installent aussi à proximité, provoquant l'essor démographique de la commune dans la deuxième moitié du XIXe siècle. La finesse du sable, extrait de carrières à proximité, donne à la production des fonderies une qualité recherchée sur le marché. Politiquement, la commune bascule à gauche[19]. Jules Huet meurt en 1911, laissant l'entreprise à son gendre , Gaston Bernard. En 1914, le territoire est occupé par l'armée allemande qui saisit le matériel et l'envoie outre-Rhin. Gaston Bernard est interné comme otage, à partir de mi-1915, dans différents camps en Allemagne. À la fin de la guerre, de à , les ateliers sont remis en état et rééquipés. L'usine redémarre en décembre 1919 sous la direction de Gaston Bernard[20].

    Dans l'entre-deux-guerres, et les années 1920, d'autres personnalités issus des familles d'ouvriers locales, lancent leur propre activité métallurgique, sur place, comme Émile Grosdidier. À partir de 1939, avec l'entrée de la France dans la Deuxième Guerre mondiale et la mobilisation d'une bonne partie des effectifs, les activités tournent au ralenti. Gaston Bernard meurt en 1941, et laisse l'entreprise Bernard-Huet à son gendre Paul Meunier. Les grèves d'après-guerre dans les années 1948-1950 sont assez dures[20]. Mais les Trente Glorieuses qui commencent s'avèrent une période propice aux industriels, favorisant les investissements et la croissance économique jusqu'au milieu des années 1970. L'entreprise Bernard-Huet dépose son bilan en 1975, après le premier choc pétrolier. Par contre, une autre entreprise locale, Manil, est reprise en 1972 par une société américaine, Eaton, qui la faisait bénéficier, dès les années 1960, de l'exclusivité d'un procédé de fabrication de pièces en fonte. Chez Eaton-Manil, les conflits sociaux se succèdent aussi, le rapport de force étant longtemps favorables aux syndicats : les dirigeants voulent absolument éviter les ruptures d'activités pour être en mesure de répondre à une demande soutenue, notamment de l'industrie automobile. Mais l'exclusivité technique du procédé Eaton tombe dans le domaine public, permettant à la concurrence d'y recourir, dans la même période où l'activité en Europe subit les chocs pétroliers successifs. L'entreprise Manil est en difficulté. C'est le début d'un ,nouveau conflit social qui s'éternise, sans que les gouvernements successifs y puissent quelque chose, en particulier les gouvernements de Raymond Barre, puis Pierre Mauroy. L'activité de Manil s'arrête en effet en 1980, mais l'arrivée de la gauche au pouvoir en crée momentanément un espoir de relance. D'autres entreprises sont contraintes de stopper leur activité, mais une des sociétés locales, celle créée par Émile Grosdidier en 1927, devient le noyau de départ d'un nouveau groupe, La Fonte Ardennaise[18],[21],[22],[23].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Charleville-Mézières du département des Ardennes. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1982 de la première circonscription des Ardennes.

    Historiquement, elle fait partie du canton de Villers-Semeuse [24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 8 communes entières et une fraction de commune, à 11 communes.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du Pays sedanais, créée fin 2000.

    Celle-ci a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Ardenne Métropole, dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 octobre 1947 Lucien Singlit[32]
    (1896-1980)
    PCF Ouvrier métallurgiste, contremaître
    Syndicaliste
    octobre 1947 octobre 1958
    (démission)
    René Gouverneur[33]
    (1906-1962)
    PCF Ouvrier mouleur
    Syndicaliste
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1965 mars 1971 André Marcel Dubois[34]
    (1913-2000)
    PCF Ouvrier métallurgiste
    Syndicaliste CGT
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 mars 2001 Georges Bigotte[35]
    (1931-2019)
      Commerçant
    mars 2001 mars 2008 André Dutertre    
    mars 2008[36] mars 2014[37] Jean Mehault DVD  
    mars 2014[38] En cours Dominique Nicolas-Viot
    Réélue pour le mandat 2020-2026[39]
    DVD Inspectrice du Trésor retraitée
    Conseillère départementale de Villers-Semeuse (2015 → )

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

    En 2018, la commune comptait 2 930 habitants[Note 3], en diminution de 3,87 % par rapport à 2013 (Ardennes : −3,23 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    302314307345421478523540570
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 0031 2051 5161 7501 9682 0242 1992 3282 555
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    2 6482 4602 5622 5842 3791 9292 3342 4913 121
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013 2018
    3 1373 4723 4883 2983 3753 3843 3923 0482 930
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sécurité publique

    La commune fait partie[Quand ?] du territoire de compétence de la gendarmerie de Vrigne-aux-Bois.

    Économie

    Vivier au Court possède deux sites de production de l'entreprise La Fonte Ardennaise, spécialisée dans la fonderie de métaux ferreux (6 sites de production dans les Ardennes).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le bâtiment le plus intéressant est l'église fortifiée du village dédiée à saint Julien. Ce territoire fait partie de la paroisse Saint Éloi des fonderies, qui comprend, outre le clocher de Vivier-au-Court, trois autres clochers, à Vrigne-aux-Bois, Bosseval, et Donchéry[43]. Elle fut édifiée entre le XVe et le XVIe siècle. Les fortifications sont constituées de deux tours rondes flanquant le chœur. L'épaisseur des murs est d'environ 70 cm. Lors d'un violent orage au début du XXe siècle, le clocher perdit son toit et ne fut jamais remplacé, ce qui lui donne cette apparence actuelle. À l'extérieur de l'église, sur le flanc gauche près de la tour, on peut encore apercevoir une inscription datant du XVIIIe siècle.
    • Le château Camion, 6 rue de l'Union, d'architecture éclectique, maison de maître de la fin du XIXe siècle construit pour Charles Camion et situé à l'est de l'usine de quincaillerie Camion[44],[45].
    • D'anciens sites industriels, notamment : l'usine Camion puis Moranvillé puis Bernard-Huet[46], l'usine Joseph Samson[47], la fonderie Gibarut, devenue la Fonte ardennaise[48].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Écartelé de gueules et d'argent, chargé en cœur d'une enclume d'azur sommée d'un sanglier de sable brochant sur un bouquet de trois épis de blé d'or, soutenue par deux branches de chêne de sinople osées en chevron renversé et englantées en pointe de trois pièces de gueules accolées 2 et 1, le tout brochant sur l'écartelé.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/ardennes-08
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Vrigne aux Bois », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Librairie Droz, (lire en ligne)
    13. Sandy Poirier et Mathieu Kiefer, Vivier-au-Court. 15 rue Jules Fuzelier. Rapport de diagnostic archéologique, Conseil général des Ardennes, (lire en ligne)
    14. Numa Albot, A. Baulmont et Paul Laurent, « Une découverte de sépultures mérovingiennes à Vivier-au-Court », Revue Historique Ardennaise, t. 21,
    15. Michel Desbrière, Chronique critique des lignes de défense de la Champagne septentrionale 1644-1748, Éditions Terres Ardennaises, , p. 81, 259
    16. Pierre Congar, Jean Lecaillon et Jacques Rousseau, Sedan et le pays sedanais, vingt siècles d’histoire, Éditions F.E.R.N., , 577 p., p. 507
    17. Général Dubois, Deux ans de commandement sur le front de France, 1914-1916, t. 1, Henri Charles-Lavauzelle (Paris),
    18. Michel Cossardeaux, « Vrigne-aux-Bois - Vivier-au-Court. Un chapitre méconnu de l'histoire industrielle ardennaise », Terres Ardennaises, no 85, , p. 1-4
    19. René Colinet, « L'usine Bernard Huet à Vivier-au-Court, cinq générations d'industriels. De la Polierie Moranvillé à l'usine Bernard Huet, l'affirmation d'une dynastie patronale », Terres Ardennaises, no 98, , p. 1-8
    20. Robert Jonet, « L'usine Bernard Huet à Vivier-au-Court, cinq générations d'industriels. Deuxième partie », Terres Ardennaises, no 99, , p. 1-15
    21. « La société américaine Eaton est autorisée à racheter les fonderies Manil », Le Monde, (lire en ligne)
    22. « La grève d'Eaton-Manil dans les Ardennes. Des O.S. " privilégiés " contre le plan Barre », Le Monde, (lire en ligne)
    23. Claude Le Heutre, « Dans les Ardennes. Des chômeurs en " état de légitime défense " », Le Monde, (lire en ligne)
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Généalogie de Michel Lang sur geneanet.com (consultation du 27 avril 2016
    26. Actes d'état-civil de la commune de Vivier-au-Court pour la période 1886-1890 sur le site des Archives départementales des Ardennes (consultation du 27 avril 2016). Disparition du nom de Charles Barthélémy Camion à la fin de l'année 1887
    27. Almanach-Annuaire historique, administratif et commercial de la Marne, de L'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, de 1876, p197.
    28. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    29. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    30. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    31. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    32. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    33. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    34. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    35. Mirko Spasic, « Décès de Georges Bigotte, ancien maire », L'Ardennais, no 23871, , p. 8.
    36. Conseil général des Ardennes consulté le 23 juin 2008 (fichier au format PDF)
    37. Orianne Roger, « « J’ai 76 ans, je ne sais pas comment je serai à 82 » : Je n'arrête pas parce que ça ne me plaît plus mais parce que j'ai 76 ans », La Semaine des Ardennes, no 234, , p. 3.
    38. Virginie Menvielle, « Maire depuis moins d’un mois, D. Viot a déjà été reçue par le Président : Que ce soit dans son métier ou dans son action publique, Dominique Viot a toujours voulu faire partie de ses femmes qui comptent », La Semaine des Ardennes, no 240, , p. 3 (ISSN 0753-3454)
    39. https://reader.cafeyn.co/fr/1926593/21599230
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. « Paroisse Saint-Eloi des fonderies », sur le site du Diocèse de Reims
    44. « Logement patronal dit château Camion », notice no IA08000628, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 p. (ISBN 978-2-87825-458-7, lire en ligne), « Logement patronal dit château Camion », p. 262
    46. Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 p. (ISBN 978-2-87825-458-7, lire en ligne), « Usine de transformation des métaux Camion, puis F. Moranvillé, puis Moranvillé-Huet, puis fonderie Bernard-Huet, puis BH Industrie, actuellement D2I », p. 262-263
    47. Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 p. (ISBN 978-2-87825-458-7, lire en ligne), « Usine de petite métallurgie Joseph Samson, actuellement L'Etoile », p. 263-264
    48. Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 p. (ISBN 978-2-87825-458-7, lire en ligne), « Fonderie de fer Gibarut, puis Sté Ardennaise de fonderie, puis Dumas, puis la Fonte Ardennaise 5 », p. 264
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