Visé

Visé (en néerlandais Wezet, en allemand Weset ou Wesent, en wallon Vizé) est une ville francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Liège.

Pour l'écrivain français, voir Jean Donneau de Visé.

Visé
(nl) Wezet
(de) Weset/ Wesent

Vue de Visé depuis la rive gauche de la Meuse.

Héraldique

Drapeau
Administration
Pays Belgique
Région  Région wallonne
Communauté  Communauté française
Province  Province de Liège
Arrondissement Liège
Bourgmestre Viviane Dessart (MR)
Majorité MR, PS
Sièges
MR
PS
Ensemble
Oui Visé
Visons Demain
PTB
25
7
7
4
3
2
2
Section Code postal
Visé
Lanaye
Lixhe
Richelle
Argenteau
Cheratte
4600
4600
4600
4600
4601
4602
Code INS 62108
Zone téléphonique 04
Démographie
Gentilé Visétois(e)
Population
– Hommes
– Femmes
Densité
17 767 ()
48,13 %
51,87 %
635 hab./km2
Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
– 65 ans et +
()
20,97 %
61,58 %
17,45 %
Étrangers 8,64 % ()
Taux de chômage 17,14 % (octobre 2013)
Revenu annuel moyen 12 453 €/hab. (2011)
Géographie
Coordonnées 50° 44′ nord, 5° 42′ est
Superficie
– Surface agricole
– Bois
– Terrains bâtis
– Divers
27,99 km2 (2005)
41,47 %
6,53 %
43,75 %
8,26 %
Localisation

Situation de la commune au sein des arrondissement et province de Liège
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Visé
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Visé
Liens
Site officiel vise.be

    Située en bord de Meuse, à la frontière avec les Pays-Bas, à mi-chemin entre Liège et la ville néerlandaise de Maastricht, Visé est également surnommée la « Cité de l'Oie ». Peuplée par environ 17 000 habitants, elle présente la particularité d'être la seule ville belge francophone à avoir une frontière directe avec les Pays-Bas. Elle fait partie de la région de la Basse-Meuse.

    Dans l'église, la châsse de saint Hadelin est la plus ancienne à ce jour de l'art mosan (XIe et XIIe siècles).

    Démographie

    La commune comptait, au , 17 925 habitants (8 652 hommes et 9 273 femmes), pour une superficie de 74,28 km2, soit une densité de population de 241,32 habitants/km2[1].

    Le graphique suivant reprend sa population résidente au de chaque année[2].

    Les chiffres des années 1846, 1900 et 1947 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.

    • Source : DGS - Remarque: 1806 jusqu'à 1970=recensement; depuis 1971=nombre d'habitants chaque [3]

    Géographie

    Sections de commune

    Argenteau, Cheratte, Lanaye, Lixhe, Richelle et Visé.

    La commune compte aussi quelques hameaux comme Loën, Mons, Petit-Lanaye et Wixhou.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Visé
    Bassenge Fourons
    Oupeye Dalhem
    Herstal Liège Blegny

    Héraldique

    La ville possède des armoiries qui lui ont été d'abord octroyées le 28 juillet 1819 et confirmée le 21 juillet 1838. Elles ont été changées le 21 juillet 1923 et à nouveau le 28 septembre 1977.

    En 1819, elles étaient blasonnées : "Un bouclier d'or chargé d'une bande bleue allant du coin supérieur gauche au coin inférieur droit, le bouclier s'appuyant sur une colonne sur laquelle se trouve un globe terrestre, le tout en or". (Traduction libre du néerlandais)

    En 1838 : "D'or à la barre d'azur, l'écu ayant pour support une colonne posée sur trois degrés et surmontée d'un globe terrestre. le tout d'or".

    En 1923 : "D'azur à la bande d'argent, l'écu sommé d'une couronne murale et placé devant une colonne posée sur trois degrés et surmontée d'une pomme de pin portant une croix".
    Blasonnement : D'azur à une bande d'argent, l'écu sommé d'une couronne murale et placé devant un perron liégeois, le tout d'or.
    Source du blasonnement : Heraldy of the World[4].

    Histoire

    Avant

    Les plus anciens documents, des outils en silex taillés sur les deux faces, attestent une présence humaine à Visé dès la fin du paléolithique moyen (100 000 A.C.N.). Bien plus tard, à l'aube de l'ère chrétienne, les légions romaines imposent leur tutelle sur la région, massacrant ou chassant les Éburons. Ils implantèrent à la place les Tongres, peuple originaire de la rive droite du Rhin. C'est à partir du IXe siècle que Visé connaît son essor et devient le centre d'un commerce très actif. Très vite, s'y tiennent au printemps des foires internationales très fréquentées grâce à un privilège spécial de l'Empereur Charlemagne qui les affranchit de toute espèce de droits.

    Les diplomes médiévales les plus importantes sont: 814 et 841 ("Wasitico") identifiés avec Wasseiges. 870 ("Veosatum") et 942 ("Wegesata") identifés avec Visé. 983 ("Viesato") identifié avec Visé (Regesta Imperii I., 1480 + II., 909, commentaires des éditeurs).

    Selon ces commentaires, Visé est mentionné pour la première fois 870 dans le Traité de Meerssen.

    Bonne Ville de la Principauté de Liège, Visé est fortifiée en 1330 par le Prince-Évêque Adolphe de La Marck mais est aussi saccagée en 1467 par le Duc de Bourgogne Charles le Téméraire.

    En 1672 et en 1675 lors de la guerre de Hollande, le Roi de France Louis XIV séjourne à Visé sur la rive gauche dans la maison Houbart. L'illustre mousquetaire d'Artagnan qui meurt en 1673 au siège de Maastricht, qui est alors gouverneur militaire de Lille, n'accompagne pas le roi. Deux ans après la prise de celle-ci, Louis XIV fait abattre les fortifications visétoises et ses fossés au frais des habitants.

    Au XXe siècle, Visé connaît d'autres drames et notamment lors de la Première Guerre mondiale dont elle est la première ville martyre[5]. Les premiers gendarmes[6] et fantassins belges[7] y tombèrent le . Le , les Allemands mettent le feu à l'église et, le , près de 600 maisons furent détruites ainsi que la plupart des joyaux de son architecture comme l'hôtel de ville, les anciens couvents des Sépulcrines et des Récollets ou les maisons des Gildes. Face à l'adversité, la population visétoise y puise un regain d'énergie et en quelques années, la ville relève la tête et est entièrement reconstruite en préservant son originalité.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Ferme du Temple (Visé).

    Demeure privée, cette ancienne possession de l'ordre du Temple construite au XIIIe siècle fut une des huit commanderies belges de cet ordre religieux et militaire[8]. Le premier commandeur templier attesté est le frère Inguerrand en 1231[9] et le dernier commandeur, frère Eustache d'Argenteau, se serait enfui en Zélande[réf. souhaitée] à la suite de la suppression de l'ordre le [11].

    La dévolution de ce « manoir » aux Hospitaliers n'intervient qu'en 1318 mais il fut immédiatement baillé à un laïc[12]. Il faisait alors partie des possessions de la commanderie de Chantraine, appelée également baillie d'Avalterre[13],[14] puis fut rattaché ensuite à celle de Villers-le-Temple[15]. Il sera détruit en 1675 par les armées de Louis XIV[réf. nécessaire]. Rebâti, les Hospitaliers le conservèrent jusqu'à la révolution française puisqu'en 1783, ils en obtenaient un revenu de 2200 florins pour l'année[15].

    Maintenant

    Depuis 1977 et la fusion des communes, l'entité comporte Visé, Argenteau, Cheratte, Lanaye, Lixhe-Loën et Richelle.

    Le , la ville de Visé cède 14 ha contre 3 ha de territoire aux Pays-Bas afin de régulariser une zone de « non-droit » outre Meuse en présence du roi Philippe de Belgique[16]. Les terres échangées se trouvent près du hameau de Petit-Lanaye, sur la presqu'île de l'Ilal (nl).

    Patrimoine et tourisme

    La commune compte plusieurs monuments au patrimoine immobilier classé[17].

    Les Arbalétriers et Arquebusiers de Visé

    Visé compte dans ses murs trois gildes d'arbalétriers et d'arquebusiers qui sont reprises comme chefs-d’œuvre du Patrimoine oral et immatériel de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

    Elles furent créées en 1310 pour les arbalétriers et en 1579 pour les arquebusiers.

    Dissoutes lors de la disparition de l'Ancien Régime, elles se sont depuis le XIXe siècle constituées en sociétés d'agréments et défilent dans les rues de la cité mosane deux fois par an. Chaque compagnie possède également un musée riche de souvenirs de l'histoire locale.

    Les arbalétriers pour leur part ont fêté leur 700e anniversaire en 2010. C'est en effet une particularité de Visé ; alors que partout ailleurs dans le pays les gildes et corporations ont arrêté leurs activités à la Révolution française, à Visé elles se mirent parfois en sommeil mais ne disparurent jamais et continuent aujourd'hui encore à perpétuer leurs fêtes[18],[19],[20].

    L'église et ancienne collégiale Saint Martin-Saint Hadelin

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    Selon la tradition, la première église est érigée en 779 grâce à la bienveillance de la princesse Berthe, fille de l'Empereur Charlemagne. Peu de temps après, elle est ravagée lors d'un raid normand en 881.

    L'église devenue collégiale à la suite de l'arrivée de chanoines de Celles en 1338, fait partie intégrante du système défensif de la ville. Elle repose sur le mur d'enceinte et sa grosse tour carrée est fortifiée. Elle ne survit pas au sac de la ville par les Bourguignons de Charles le Téméraire en 1467.

    Reconstruite en plusieurs phases, l'église est à nouveau détruite le , incendiée par les Allemands. Seul le chœur gothique, datant de 1524 et classé en 1935, est conservé et les vitraux de l'abside sont miraculeusement épargnés. La reconstruction est réalisée sur les plans des architectes Edmond Jamar et Léon Habran en 1924 et c'est de cette époque que date la chapelle abritant les reliques de saint Hadelin, à ne pas confondre avec le saint patron de la paroisse, saint Martin.

    La châsse de saint Hadelin

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    Hadelin, né au début du VIIe siècle en Aquitaine, est un disciple du fondateur de l'abbaye de Stavelot, saint Remacle. Ses pérégrinations l’amènent à fonder lui-même un oratoire à Celles sur les bords de la Lesse. Il y meurt en 690 et un chapitre d'une douzaine de chanoines se consacre dans cette bourgade à vénérer sa mémoire.

    En l'an 1046, l'évêque de Liège Wazon fait déposer les restes du saint dans une châsse ornée de reliefs en argent. Les longs côtés sont parachevés vers 1170 pour en faire ce trésor de l'art mosan que l'on peut encore admirer à l'heure actuelle en l'église Saint-Martin de Visé. D'abord conservée à Celles, la châsse est transférée à Visé en 1338 lorsque les chanoines doivent s'y réfugier.

    En 1414, le crâne de saint Hadelin en est extrait pour être placé dans un reliquaire spécifique, restauré en 1654 par l'orfèvre liégeois Jean Goesin. Depuis 1788, tous les 25 ans, les Visétois fêtent par de grandes manifestations l'arrivée de la châsse dans leur ville. La dernière a lieu en 2013, la prochaine se déroulera en 2038. La châsse sort aussi chaque année, le troisième dimanche de septembre. La châsse est considérée comme un joyau de l'art mosan des XIe et XIIe siècles.

    L'hôtel de ville

    L’hôtel de ville de Visé.

    Fleuron de la Renaissance mosane, l'hôtel de ville de Visé, construit en 1611 et 1613, a été gravement endommagé lors de la Première Guerre mondiale. Le clocher bulbeux qui culmine à près de 34 mètres, abrite un carillon qui joue à l'heure « où on peut être mieux » de André Grétry, aux quart un air des Arbalétriers et trois-quarts d'heure, un air des Arquebusiers, et à la demi-heure le Valeureux Liégeois de l'abbé Ramoux, hymne à la révolution liégeoise.

    À l'entrée, au-dessus de la galerie aux trois arcades, se trouvent les armoiries sculptées des deux bourgmestres bâtisseurs, Frambach de la Haye et Denis de Marets de Charneux.

    Le perron

    Un perron de Visé.

    En Principauté liégeoise, le perron était le symbole de l'autorité du Prince-Évêque et de ce fait, il servait de plate-forme pour les crieurs publics. Il devint aussi l'emblème des libertés acquises par les Bons Métiers et la communauté locale. À Visé, le premier fut établi dès le XIIe siècle, sur la place du Marché, puis transféré en 1340 dans une rue appelée maintenant du Perron, où il resta jusqu'à la fin de l'ancien régime. Au bas de cette rue fut édifié au début du XVIIe siècle, l'Hôtel de Ville.

    Deux perrons, dont l'un offert par la Compagnie Royale des Anciens Arbalétriers Visétois et inauguré en 1960 par le Roi Baudouin, ont été replacés près des emplacements originaux.

    Musée régional d'archéologie et d'histoire

    Le musée donne l'image la plus complète possible du passé de Visé et de sa région, axée sur quatre thèmes : archéologie, architecture, histoire et traditions. De plus, une salle est consacrée entièrement aux armes et aux Gildes. Le conservateur du musée est Jean-Pierre Lensen.

    Gastronomie

    La ville de Visé est surnommée la « Cité de l'Oie » et ses habitants, appartenant ou non à la Confrérie de la Délicieuse Oie du Gay Savoir en Bien Mangier, y préparent traditionnellement[21] l’« oie à l’instar de Visé », cuisant le volatile dans un bouillon de légumes qui sert ensuite de fond pour une sauce à l’ail, puis le découpant, en panant les morceaux de cuisse qui vont être poêlés comme les morceaux de poitrine, juste avant d’être dressés et servis avec la sauce.

    Sport

    Équipes principales

    Organisation

    • Visé est le lieu de départ et d'arrivée du marathon de la Meuse (MaasMarathon). Le a eu lieu la dixième édition de ce marathon longeant la Meuse et passant par Maastricht.
    • Visé organise chaque année dans son hall omnisports un Open international de Judo.

    Sport Automobile

    • Chaque année depuis 1964 a lieu : les 6 heures de Visé.

    Notes et références

    1. http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/stat-1-1_f.pdf
    2. 3_Population_de_droit_au_1_janvier,_par_commune,_par_sexe_2011_2014_G_tcm326-194205 sur le site du Service Public Fédéral Intérieur
    3. http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/population-bevolking-20190101.pdf
    4. (https://www.heraldry-wiki.com/heraldrywiki/index.php?title=Sainte-Ode)
    5. « Visé, 1ère ville martyre, se souviendra de la Grande Guerre ce 4 août », sur RTBF Info, (consulté le ).
    6. arquebusiers.be
    7. francs-arquebusiers.be
    8. Ferd. Henaux, « Les Templiers au Pays de Liège : Le Temple de Visé », Bulletin de l'Institut Archéologique Liégeois, t. I, , p. 340 (lire en ligne)
    9. Laurent Dailliez, Les templiers : En Flandre, Hainaut, Brabant, Liège et Luxembourg: avec édition et facsimilé des "Chartes du Temple en Flandre", Nice, Alpes-Méditerranée, , 428 p. (ISBN 978-2-86320-017-9, présentation en ligne)
      « Un acte daté de 1231 nous précise que lors du Synode régional de Saint-Remacle, le doyen Gislebert reçut frère lnguerrand, commandeur de la maison du Temple de Visé... ». cf. Liège, Archives de l'Etat, Abbaye du Val-Saint-Lambert (Seraing).
      J. G. Schoonbroodt, Inventaire analytique et chronologique des archives de l'abbaye de Val-St.-Lambert, lez-Liége, t. I, (lire en ligne), p. 39 (no 100)
    10. (nl) Jan Hosten, De Tempeliers : de tempelorde tijdens de kruistochten en in de Lage landen, Pearson Education Benelux, , 354 p. (ISBN 978-90-430-1061-0, présentation en ligne), p. 329 ; Claude Gaier et André Joris, Armes et Combats Dans L'univers Médiéval, vol. 2, De Boeck Supérieur, , 298 p. (ISBN 978-2-8041-4543-9, lire en ligne), p. 181-187
      Les dates proposées par Jan Hosten correspondent à celles que l'on trouve chez Dailliez. Voir Claude Gaier pour l'étude des pierres tombales de Visé.
    11. Excepté, fr. Ingerrand en 1231, on connaît Roger de Quincy dont le croquis de la Pierre tombale a été conservé mais dont la date de décès diffère selon les sources (1277 ou 1298/99) et enfin Johan. De Salvesius, mort en 1310/11[10]. La date de décès ne signifie pas qu'ils étaient commandeurs à cette date.
    12. Henaux 1852, p. 341
    13. Henaux 1852, p. 342
      Notes 1-3: voir les titulatures employées dans les chartes: « Houwe le prevost, maistre de Chanteraine » (1368) ; « frere Henri de Saintron, maistre de Chantraines, humble commandeur delle bailherie d'Avalterres » (1377) ; etc.
    14. Anne-Marie Legras, L'enquête pontificale de 1373 sur les biens de l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem : L'enquête dans le prieuré de France, vol. 1, Editions du Centre National de la Recherche Scientifique, , 524 p. (ISBN 978-2-222-03404-9, présentation en ligne), p. 155, 349
      p. 155: « Domus de Vizey, cum capella, dudum Templi » ; Possessions d'Avalterre (chef-lieu : Chantraine), p. 349 : « La maison de Vyrei, a chappelle », jadis du Temple.
    15. Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, (OCLC 15151153, lire en ligne), p. 748, 751
    16. « Le roi Philippe aux Pays-Bas pour y modifier les frontières », La Libre, (lire en ligne, consulté le )
    17. Christelle Claassens, Le patrimoine de Visé, Agence Wallonne du patrimoine, coll. « Carnets du patrimoine » (no 60), , 32 p. (ISBN 978-2-930466-94-1)
    18. arbaletriers.be pour les Arbalétriers
    19. www.arquebusiers.eu pour les Anciens Arquebusiers
    20. arquebusiers.be pour les Francs Arquebusiers
    21. « Certaines localités ont des spécialités de productions, le nom fait presque partie de la chose. Ainsi : Tous les jambons sont de Bastogne. Les oies sont toutes à l’instar de Visé. »Joseph Dejardin, Dictionnaire des spots ou proverbes wallons, F. Renard, Liège, 1863, 628 p., p. 446.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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