Villeneuve-les-Sablons

Villeneuve-les-Sablons est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France .

Pour les articles homonymes, voir Villeneuve et Sablons.

Villeneuve-les-Sablons

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC des Sablons
(siège)
Maire
Mandat
Christian Neveu
2020-2026
Code postal 60175
Code commune 60678
Démographie
Gentilé Villeneuvois, Villeneuvoises
Population
municipale
1 176 hab. (2018 )
Densité 265 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 15″ nord, 2° 04′ 39″ est
Altitude Min. 91 m
Max. 133 m
Superficie 4,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Méru
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Villeneuve-les-Sablons
Géolocalisation sur la carte : Oise
Villeneuve-les-Sablons
Géolocalisation sur la carte : France
Villeneuve-les-Sablons
Géolocalisation sur la carte : France
Villeneuve-les-Sablons
Liens
Site web https://www.villeneuve-les-sablons.fr/

    Géographie

    Description

    La commune est située sur la RD 923 (ancienne route nationale 323) à 4 km de Méru, à 16 km de Chaumont-en-Vexin, à 24 km de Pontoise et à 26 km de Beauvais. La gare la plus proche est celle de Méru, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Beauvais..

    La commune est peu boisée et ne compte que deux bois : à l'est, le bois des Saules bordé par le centre d'enfouissement technique et, à l'ouest, le bois de la Gloriette où un parcours santé a été aménagé.

    Communes limitrophes

    Villeneuve-les-Sablons est bordée par Méru à l'est, Saint-Crépin-Ibouvillers au nord, Ivry-le-Temple à l'Ouest, Hénonville au sud-ouest et Amblainville au sud.

    Communes limitrophes de Villeneuve-les-Sablons
    Saint-Crépin-Ibouvillers
    Ivry-le-Temple Méru
    Hénonville Amblainville

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 698 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Villeneuve-les-Sablons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81 %), zones urbanisées (11,3 %), forêts (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous la forme Villa nova en 1196, « le nouveau domaine ».

    Durant la Révolution française, la commune, alors nommée Villeneuve le Roi, porte le nom de Villeneuve-les-Sablons[21]. Sablons évoquerait des terrains sableux.

    Ce nom, abandonné à la sortie de la période révolutionnaire, est repris en 1930[22].

    Histoire

    Le village est fondé en 1195 dans la forêt d'Hénonville sous le nom de Villa nova sanctus melaris.

    Villeneuve-les-Sablons est sur l'ancienne route royale qui allait de Beauvais à Pontoise.

    Une maison templière dépendant de la commanderie d'Ivry-le-Temple a existé dans le village

    [réf. nécessaire]

    .

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie depuis 1793 du canton de Méru[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 20 à 16 communes.

    Intercommunalité

    La commune est le siège de la communauté de communes des Sablons, créée en 2000.

    Politique locale

    Lors du 1er tour des élections municipales de 2020, deux listes étaient en lice, celle menée par le maire sortant, Christian Neveu, et celle Corinne André-Bauchet, également sans étiquette. Elles ont obtenu strictement le même nombre de suffrages exprimés, 246[23].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      mars 2001 Robert Charpentier    
    mars 2001[24] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Christian Neveu SE Agent EDF
    Vice-président de la CC des Sablons (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[25],[26]

    Jumelages

    Le bourg est jumelé avec :

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2018, la commune comptait 1 176 habitants[Note 7], en diminution de 7,33 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    411402433424419389400414446
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    418403403457470528510507506
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    507528551512484389380411450
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    4194114537881 0241 0841 2441 2811 210
    2018 - - - - - - - -
    1 176--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (10,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,8 %) est supérieur au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 47,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 26,7 %, 15 à 29 ans = 13,6 %, 30 à 44 ans = 26,7 %, 45 à 59 ans = 23,7 %, plus de 60 ans = 9,2 %) ;
    • 52,8 % de femmes (0 à 14 ans = 27,1 %, 15 à 29 ans = 15,5 %, 30 à 44 ans = 26 %, 45 à 59 ans = 19,9 %, plus de 60 ans = 11,4 %).
    Pyramide des âges à Villeneuve-les-Sablons en 2007 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,3 
    2,4 
    75 à 89 ans
    3,8 
    6,8 
    60 à 74 ans
    7,3 
    23,7 
    45 à 59 ans
    19,9 
    26,7 
    30 à 44 ans
    26,0 
    13,6 
    15 à 29 ans
    15,5 
    26,7 
    0 à 14 ans
    27,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    Villeneuve-les-Sablons fait partie de l'Académie d'Amiens (zone B).

    Le village possède un groupe scolaire[Quand ?], composé d'une école maternelle et d'une école élémentaire. Son collège de rattachement est le collège du Thelle de Méru.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église de la Nativité-de-la-Vierge, du XIIe siècle.
    • Monument aux morts

    Personnalités liées à la commune

    • Félix Guattari, né dans la commune en 1930, psychanalyste et philosophe français.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : La Villeneuve-les-Sablons, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 330-332

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Villeneuve-les-Sablons », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Villeneuve-les-Sablons et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Villeneuve-les-Sablons et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Décret du , Journal officiel du 12 mars 1930, p. 2787, sur Légifrance.
    23. Clémence Bauduin, « Municipales : dans ce village de l’Oise, égalité parfaite et ras-le-bol général : Après un premier tour ayant débouché sur un score parfaitement symétrique entre les deux candidats, les habitants de Villeneuve-les-Sablons ont hâte que les municipales ne soient plus qu’une histoire ancienne », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Au premier tour, les deux candidats en lice à Villeneuve-les-Sablons — le maire sortant Christian Neveu (SE) et son adversaire Corinne André-Bauchet (SE) — ont chacun obtenu 246 voi ».
    24. « Christian Neveu à Villeneuve-les-Sablons.… », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « À 47 ans, agent EDF, il succède à Robert Charpentier. Le nouveau maire a fait du « développement de l'école » sa priorité ».
    25. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Villeneuve-les-Sablons : Le maire réélu s'entoure de 3 adjoints », L’Écho du Thelle, no 525, , p. 9.
    26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Évolution et structure de la population à Villeneuve-les-Sablons en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    31. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
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