Villemagne-l'Argentière

Villemagne-l'Argentière, en occitan Vilamanha, est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Villemagne (homonymie).

Villemagne-l'Argentière

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Orb
Maire
Mandat
Olivier Roubichon-Ouradou
2020-2026
Code postal 34600
Code commune 34335
Démographie
Gentilé Villemagnais
Population
municipale
419 hab. (2018 )
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 07″ nord, 3° 07′ 13″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 481 m
Superficie 8,06 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bédarieux
(banlieue)
Aire d'attraction Bédarieux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Villemagne-l'Argentière
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Villemagne-l'Argentière
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Villemagne-l'Argentière
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Villemagne-l'Argentière

    Ses habitants sont appelés les Villemagnais.

    Géographie

    Carte.

    Située dans les Hauts cantons de l'Hérault, Villemagne-l'Argentière est bâtie dans la vallée de la Mare.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Villemagne-l'Argentière
    Le Pradal la Tour-sur-Orb
    Taussac-la-Billière Bédarieux
    Hérépian

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 966 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bedarieux », sur la commune de Bédarieux, mise en service en 1991[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 008,6 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 52 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[15]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[16],[17].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 3] est recensée sur la commune[18] : le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du département[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Villemagne-l'Argentière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bédarieux, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[23] et 13 053 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,1 %), forêts (25,9 %), cultures permanentes (11,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), zones urbanisées (0,1 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Il s'agit d'un toponyme, variante d'Argentière, avec le sens de mine d'argent (ou de minerai argentifère). Autres sens possibles : rivière aux eaux argentées.

    Hameau

    • La Gure
    • Le lieu de naissance du Dr Jean Léon Privat. Célèbre pour ses études empiriques sur les maladies nerveuses. L'un des pères fondateurs de la ville thermale moderne de Lamalou les Bains. Né ici, le fils d'un cordonnier

    Histoire

    Clocher de Saint-Majan
    Linteau sculpté de la maison des Monnaies
    Pont du Diable sur la Mare

    Fin du VIIe siècle : fondation d'une abbaye par Clarinus Lubila qui était un moine de l'ordre de Saint-Benoît du Mont Cassin.

    Ce monastère détruit par les Sarrazins, est rétabli au temps de Charlemagne. Il se trouvait dans le diocèse de Béziers.

    Au concile d'Aix-la-Chapelle (Aachen) (vers 818), apparaît le nom de Villemagna parmi les dix neuf monastères de Septimanie qui étaient exemptés de présents et de soldats, mais ne devaient à l'Empereur que leurs prières. Le nom de Villemagne découle de la présence d'une villa gallo-romaine dans la vallée de la Mare.

    En 893, l'abbaye, qui était placée sous le vocable de Saint-Martin, y ajoute celui de Saint-Majan. Deux moines de Villemagne, Sulsani et Centulle, dérobent à l'abbaye de Lombez les reliques de saint Majan, confesseur d'Antioche.

    Au Xe siècle, les seigneurs de Narbonne donnent à l'abbaye de nombreuses reliques. L'abbaye se trouvait sur une des branches du chemin de Saint-Jacques, allant vers Saint-Pons, Castres, etc.

    Le nom de l'Argentière vient de l'exploitation de mines de plomb argentifère qui faisaient la richesse de l'abbaye ainsi que celle des vicomtes de Narbonne et Béziers.

    En 1156, Louis VII autorise l'abbé de Villemagne à mettre l'abbaye et ses dépendances à l'abri de fortifications et de fossés. Cette autorisation est renouvelée en 1212 par Philippe Auguste.

    Au XVIe siècle, l'abbaye est pillée et ruinée par les troupes protestantes commandées par Claude de Narbonne, baron de Faugères.

    Au XVIIe siècle, l'abbaye est réunie à la congrégation de Saint-Maur. Des travaux de restaurations de l'abbaye et de l'église paroissiale Saint-Martin sont entrepris.

    En 1793, l'abbaye et ses dépendances sont vendues comme biens nationaux.

    Le , la commune de Villemagne prend le nom de Villemagne-l'Argentière.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001   Luc Salles SE  
             
    2020 En cours Olivier Roubichon-Ouradou DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2018, la commune comptait 419 habitants[Note 6], en diminution de 6,47 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    587559460483540508505473422
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    436478425473542508484441449
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    446438452405403415407368336
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    308320291317365429426426425
    2013 2018 - - - - - - -
    448419-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Jean-Claude Carrière

    Dr Jean-Léon Privat  Né La Gure

    Héraldique

    Blason
    D'azur à la ville fortifiée mouvant des flancs, sommée d'une croix et de deux girouettes, surmontée d'une fleur de lis, elle-même surmontée d'une mitre chargée d'une croisette d'or, le tout d'argent, la fleur de lis et la mitre accostées de deux crosses affrontées d'or, au pied fiché dans ladite ville posée sur une terrasse de gueues chargée d'un chemin d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Le blason historique de la commune est le suivant:

    Blason
    "de gueules au pairle losangé d'argent et d'azur"[33].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Bedarieux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Villemagne-l'Argentière et Bédarieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Bedarieux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Villemagne-l'Argentière et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    16. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Villemagne-l'Argentière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « massif de l'Espinouse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Unité urbaine 2020 de Bédarieux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    24. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Charles d'Hozier, "Armorial général de France(1697-1709)XVI Languedoc, I." {{https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111467n.r=Armorial+g%C3%A9n%C3%A9ral+de+France+Languedoc}}, p 195.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Andrée Candau, « Questions soulevées sur Villemagne-l'Argentière par le compoix de 1624 », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 39, , p. 91-97
    • Louis Fargier, Villemagne l'Argentière : son passé, son abbaye, sa communauté, ses mines, ses monuments historiques, Lodève, Imprimerie des Beaux-Arts, , 142 p.
    • Roland Galtier, « La cession à la commune de l'abbatiale de Villemagne-l'Argentière (Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 20, , p. 117-122
    • Robert Gourdiole, « Villemagne-l'Argentière d'après un compoix de 1624 », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 30, , p. 37-60
    • Robert Guiraud, « Vestiges préhistoriques près de Villemagne-l'Argentière », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 13, , p. 11-20
    • Florence Journot et Gilles Bellan, Le bourg abbatial de Villemagne-l'Argentière (Hérault) : dynamique économique et commande monumentale XIe - XIVe siècles, Oxford (England), Archaeopress, coll. « British archeological reports », , 253 p.
    • Gérard Thébault, « L’abbaye de Villemagne en 1656. Le plan ancien confronté aux relevés actuels. Les vestiges », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 32, 2009, p. 111-126.
    • Gérard Thébault, « Le pignon oublié de l ‘ancienne abbaye de Villemagne », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 33, 2010, p. 117-150.
    • Gérard Thébault, « Sur les traces de l’abbaye de Villemagne en 1789. La maquette », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 34, 2011, p. 141-174.
    • Gérard Thébault, « Les cadrans solaires de l’abbaye de Villemagne. Article 1 la découverte », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 36, 2013, p. 97-118.
    • Gérard Thébault, « L’ancienne abbaye de Villemagne-l’Argentière (suite). La chaire et l’orgue », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 37, 2014, p. 107-124.


    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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