Vermelles

Vermelles est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ne doit pas être confondu avec Vermelle.

Vermelles

Vitrail de l'hôtel de ville.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Alain de Carrion
2020-2026
Code postal 62980
Code commune 62846
Démographie
Gentilé Vermellois, Vermelloise
Population
municipale
4 741 hab. (2018 )
Densité 456 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 29′ 20″ nord, 2° 44′ 48″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 50 m
Superficie 10,39 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lens - Liévin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Douvrin
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Vermelles
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Vermelles
Géolocalisation sur la carte : France
Vermelles
Géolocalisation sur la carte : France
Vermelles
Liens
Site web vermelles.fr
    Le château de Vermelles, le 30 décembre 1914.

    La ville est au cœur du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais et faisait partie de la Compagnie des mines de Béthune.

    La ville fait partie de la Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane, anciennement nommée Communauté d'agglomération de l'Artois et faisant ainsi partie d'un ensemble de commune comptant 281 951 habitants.

    Vermelles.- la "Borne Michelin Hulluch-Pt à Vendin".

    Géographie

    La commune est séparée de sa ville voisine Noyelles-lès-Vermelles par une rivière nommée le Surgeon. Ce cours d'eau prend sa source dans la commune de Bouvigny-Boyeffles, parcourant plus de 14 kilomètres avant de se jeter dans le canal d'Aire.

    La commune est parfaitement placée car celle-ci est située entre les villes de Lens et Béthune, se situant tous deux exactement à 10 kilomètres de la commune de Vermelles.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Vermelles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[4] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,7 %), zones urbanisées (16,2 %), prairies (3,5 %), mines, décharges et chantiers (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    La ville s'appelait anciennement Vermeille avant de devenir Vermelles. En effet, il est possible d'observer ce toponyme sur les cartes de Cassini[11] durant le XVIIIe siècle et les cartes d'État-Major[12] durant le XIXe siècle.

    Histoire

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    La ville de Vermelles est situé à la limite géographie des plaines de Flandre et des collines de l'Artois.

    Peu de choses furent observables concernant le passé de la commune avant la Première Guerre mondiale. En effet, la présence d'une villa gallo-romaine sur le territoire de la commune et celle de Noyelles-lès-Vermelles était fortement possible après l'observation dans un champ, il y a quelques années, de la forme éventuelle d'enclos pouvant dater de l'époque gallo-romaine[13].

    Vermelles, commune rurale, voit surtout son importance grandir au XIXe siècle avec l'exploitation des mines de charbon avec la Fosse n° 3 des mines de Béthune qui voit le jour en première en 1857.

    Les recherches sur la commune sont complexes en raison de la Première Guerre mondiale qui a bouleversé le visage de la commune en la frappant de plein fouet au début du XXe siècle. Dans la nuit du 25 au , pour empêcher l'extraction du charbon, les Allemands emploient les gaz dans les galeries du puits 8 d'Auchy et du 4 de Vermelles[14].

    Carte postale de l'ancienne église de Vermelles.
    Photographie de l'église de Vermelles après la Première Guerre mondiale.

    La commune comprend de ce fait plusieurs cimetières militaires du Commonwealth, et notamment, le British Cemetery, situé en plein cœur de la ville et sur l'ancienne place du Château de la commune qui fut détruit au cours de cette même guerre, en . Ce cimetière militaire compte près de deux mille sépultures[15].

    La rue Montpellier, menant à la ville voisine de Noyelles-lès-Vermelles, fut baptisée ainsi car la ville héraultaise de Montpellier avait aidé financièrement la ville artésienne après la guerre afin que celle-ci se reconstruise. Et la ville héraultaise compte aussi une rue au nom de la commune artésienne.

    La Fosse 3

    Vermelles - Fosse no 3 des mines de Béthune (A).

    Mise en service en 1860, la Fosse 3 fonctionnera jusqu'en 1963. Cette fosse était attachée à la Compagnie des mines de Béthune.

    Son puits était d'une profondeur d'environ 500 mètres. Ce puits fut ravalé jusqu'à 633 mètres de profondeur mais ceci ne fut cependant pas suffisant pour augmenter la production de ce gisement de moyenne profondeur, restant très modeste au goût de la compagnie.

    Après la nationalisation de la Compagnie des mines de Béthune, un sondage révèle la présence de ressources plus en profondeurs mais le matériel sur place est jugé trop vétuste et limité pour chercher ces ressources enfouies profondément.

    Ainsi, en 1962, la décision fut prise de fermer le siège d'exploitation de la fosse n°3 de Vermelles. Au cours de l'année 1963, la plupart du personnel fut muté à la fosse n° 9 - 9 bis des mines de Dourges.

    Toute exploitation cessa de façon définitive le après avoir produit 12 408 000 tonnes de charbon. Le puits fut comblé en et le chevalement fut démantelé en .

    Actuellement, il ne reste que la présence du bâtiment abritant autrefois les douches de la fosse et le terrils no  49, 3 de Béthune.

    La Fosse 4

    Vermelles - Fosse no 4 des mines de Béthune (A).
    Vue aérienne de la Fosse 4 dans les années 1990.

    C'est le qu'est entrepris le fonçage du 4e puits à Vermelles.

    Mis en service en 1867, la Fosse 4 fonctionnera jusqu'en 1964. Cette fosse était attachée à la Compagnie des mines de Béthune. Le puits atteint une profondeur de 386 mètres. La fosse est exploitée jusqu'en 1876, date d'abandon du site suite à la constatation d'une forte concentration de grisou. L'exploitation du site ne reprendra qu'en 1911 avant de fermer définitivement en 1965.

    Après sa fermeture, le bâtiment d'extraction et le chevalement sont abattus. Il en sera de même par la suite pour la lampisterie, les ateliers-magasin, puis les bureaux, en 2007.

    Le site est reconverti pour la transformation et l'équipement de véhicules jusqu'en 2008. De nouveaux hangars sont construits autour des bâtiments miniers restants. Une autre partie du carreau est transformée par la construction de logements et d'un terrain de football.

    Le terril no  48A, 4 de Béthune Ouest fut en grande partie exploité entre les années 1970 et 1990 et il n'en reste que sa base, aménagée en parc.

    Politique et administration

    Vermelles dans son canton et dans l'arrondissement de Béthune.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune est rattachée à l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la onzième circonscription du Pas-de-Calais.

    Vermelles faisait historiquement partie du canton de Cambrin. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Douvrin.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté d'agglomération de l'Artois (Artois Com) avant que celle-ci ne disparaisse le en laissant place à la Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane à partir du [16].

    Politique locale

    Concernant les élections municipales de 2014, celles-ci fut annulées en par le tribunal administratif de Lille, compte tenu d'irrégularités du décompte des voix et de l'écart très faible (4 voix) séparant les deux premières listes. De nouvelles élections municipales se sont tenues le , aux termes desquelles Alain de Carrion fut réélu maire de la commune[17],[18].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      1899 Charles Brehon   Agriculteur en retraite
    1899 1911 Adolphe Neveu   Cultivateur
    1911 1919 Louis Fruchart    
    1919 1941 Émile Beaumont    
    1941 1944 Joseph Fouquenelle   Agriculteur (Hameau du Rutoire)
    1944 1946 Émile Beaumont    
    1946 1961 Charles Dupont SFIO Peintre en bâtiment - retraité
    1961 1971 Jules Boulongne SFIO Mineur - Retraité
    1971 1978 Henri Lucas PCF Chaudronnier aux Houillères
    Député du Pas-de-Calais (11e circ.) (1973 → 1978)
    Conseiller général de Cambrin (1973 → 1978)
    Décédé en fonction
    1978 1980 Joseph Cadart PCF Retraité des Mines
    1980 avril 2014[19] Jean-Marc Déalet PCF Ouvrier
    Conseiller général de Cambrin (1992 → 2004)
    avril 2014[20],[21],[22] 2020 Alain de Carrion DVG puis MRC Artisan, conseiller départemental depuis 2021

    Jumelages

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2018, la commune comptait 4 741 habitants[Note 3], en augmentation de 5,12 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    680717760777821792834832836
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8691 1481 6232 1052 3062 3252 4852 8093 007
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 3553 6643 7042 0033 2933 3893 4123 7344 600
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 8284 5184 2994 3394 5844 4874 4544 5264 718
    2018 - - - - - - - -
    4 741--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,8 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 19,9 %, 30 à 44 ans = 22,2 %, 45 à 59 ans = 20,1 %, plus de 60 ans = 15,9 %) ;
    • 51,8 % de femmes (0 à 14 ans = 20,4 %, 15 à 29 ans = 17,3 %, 30 à 44 ans = 19,8 %, 45 à 59 ans = 20 %, plus de 60 ans = 22,5 %).
    Pyramide des âges à Vermelles en 2007 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,8 
    4,6 
    75 à 89 ans
    9,4 
    11,3 
    60 à 74 ans
    12,3 
    20,1 
    45 à 59 ans
    20,0 
    22,2 
    30 à 44 ans
    19,8 
    19,9 
    15 à 29 ans
    17,3 
    21,8 
    0 à 14 ans
    20,4 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Manifestations culturelles et festivités

    Feu d'artifice le (commémoration de la libération de Vermelles).

    Spectacle de Variétés à l'occasion du .

    Vermelles Plage (mai à juin à l'Espace du Grand Marais).

    Téléthon (1er vendredi de décembre).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre.
    • Le monument aux morts.
    • La salle Nelson Mandela.
    • Le site du Grand Marais.
    Vue panoramique de Vermelles

    Personnalités liées à la commune

    • Henri Lucas (1926-1978) Né à Vermelles le . Maire de Vermelles de 1971 à 1978 et député de la onzième circonscription du Pas-de-Calais de 1973 à 1978.
    • Hutin de Vermelles (Hutin de Vermeilles) seigneur de Vermelles en Picardie, chevalier, chambellan des rois Philippe de Valois, Charles V (et/ou) Charles VI, il épousa Marguerite de Bourbon (fille de Louis Ier) en 1342[29] qui fut enterrée en 1362 dans l'église de Saint-Pierre d'Arronville; Hutin est donc l'oncle par alliance de Jeanne de Bourbon, reine de France, épouse de Charles V. Il est "le chevalier Hutin" de l'ouvrage poétique le "Livre des cents ballades", ayant grande réputation de loyauté et de respect pour les dames, il y enseigne au jeune bachelier la conception chevaleresque de l'amour. Certainement remarié à Catherine de Veauce (cf ci-dessous), il meurt entre le 27 février et le 9 juin 1390, à cette occasion, Charles VI fit faire à Paris en 1390, à l'église des Blancs Manteaux, l'"obsèque" pour le repos des âmes d'Olivier de Mauny (cousin de Bertrand du Guesclin (connétable après Robert de Fiennes) et un de ses principaux généraux[30]) et Hutin de Vermeilles chambellans[31],[32].
    • Hutin de Vermelles (probablement le même décédé vers 1390), époux de Catherine de Veauce, veuve de ce dernier en 1390 elle se remarie avec "Robert Dauphin" fils de Béraud Ier, 7e dauphin d'Auvergne[33]. Le contrat de mariage est daté d'octobre 1390: "Domini Roberti Dalphini militis domini Ruynarum et de Melzenio" et "domina Catharina de Velcia uxor quondam…relicta nobilis quondam viri domini Utini de Vermelles quondam militis". Elle se remarie en troisième noce à Geofroy de Sully (+ après 14 juin 1429), chevalier, seigneur de Beaujeu[34].
    • Hutin, fils d'Hutin de Vermelles, chevalier des comtes Jean Ier et Jean II d'Auvergne et de Boulogne[35].

    Héraldique

    Les armes de Vermelles se blasonnent ainsi :
    de gueules à la ruche d’or accompagnée de trois abeilles du même, au chef cousu d’azur semé de lys d’or chargé d’un lambel du même brochant sur le tout.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. « Géoportail Carte Cassini ».
    12. « Géoportail Carte État-Major ».
    13. Telmedia, « Les sites vus du ciel - Explorer - Archéologie - Archéologie - Pas-de-Calais le Département », sur archeologie.pasdecalais.fr (consulté le ).
    14. Cent ans de vie dans la région, tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 39
    15. « British Cemetery », sur http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/.
    16. « Communauté d'agglomération Béthune-Bruay, Artois Lys Romane | Agglomération de Béthune-Bruay », sur agglo.bethunebruay.fr (consulté le ).
    17. Camille Raad, « Municipales à Vermelles : Alain de Carrion « préfère le tribunal populaire » : Alain De Carrion a choisi de ne pas faire appel auprès du conseil d’État après l’invalidation des élections (par le tribunal administratif) qui l’avaient désigné maire. Dimanche, sa liste « Vermelles autrement » affronte de nouveau les urnes », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    18. Camille Raad, « Vermelles: Alain De Carrion élu maire, Serge Decaillon sonné : Cette fois, plus de doute : Alain de Carrion est maire de Vermelles. Le résultat de nouvelles élections, organisées après le recours déposé par son adversaire, Serge Decaillon. Quatre voix séparaient les deux hommes lors de la triangulaire du second tour, en mars. Dans le duel de ce dimanche, 872 votants ont fait la différence », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    19. Nicolas Chauty, « Bilan du maire de Vermelles : « L’endettement n’est pas notre politique, ce mandat a surtout été administratif » : Le costume de maire est souvent usant pour celui qui le porte. Et c’est forcément plus vrai après 34 ans de service. Jean-Marc Dealet bouclera bientôt un énième mandat, celui qui aura été sans doute l’un des moins intenses. On avance la conjoncture, peut-être un peu de lassitude aussi. Toujours est-il que si l’élu communiste se prête au jeu du bilan, il n’a pas encore fait savoir s’il rempilait », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    20. « Vermelles: le premier mandat municipal d’Alain de Carrion et son équipe a commencé dimanche : C’est à la salle du conseil municipal de l’espace Nelson-Mandela et pour l’événement, devant un public venu en très grand nombre que vient de se tenir la mise en place du nouveau conseil municipal. Ce nouveau conseil municipal sera composé de vingt membres de la liste Vermelles Autrement, dont huit seront adjoints, avec Alain de Carrion comme tête de liste », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    21. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    22. Virginie Pruvost, « Vermelles : le maire mise sur l’économie locale pour faire avancer sa commune : Après le recours déposé par son adversaire au lendemain des municipales, Alain de Carrion n’a repris ses fonctions de maire qu’à la mi-septembre après un second scrutin. Entouré de son équipe, il est serein et déterminé », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Évolution et structure de la population à Vermelles en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    28. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    29. Patrick Van Kerrebrouck, Christophe Brun , Hervé Pinoteau (Préfacier), La Maison de Bourbon 1256-2004, Patrick Van Kerrebrouck, , 1010 p., p. 9
    30. D'après les Anciens mémoires sur Du Guesclin (1), traduction de Claude-Bernard Petitot (2). (1) https://fr.wikisource.org/wiki/Anciens_m%C3%A9moires_sur_Du_Guesclin (2) https://data.bnf.fr/fr/12531154/claude-bernard_petitot/
    31. Christine de Pisan - Roy Maurice 1856-1932 éditeur scientifique, Œuvres poétiques de Christine de Pisan - Tome 2, Paris, (lire en ligne), p. 304
    32. Bibliothèque Nationale, Quittances, vol 26 024, n° 1493
    33. Baluze, Étienne (1630-1718), Histoire généalogique de la maison d'Auvergne justifiée par chartes, titres, histoires anciennes & autres preuves authentiques., Paris, (lire en ligne), p. 192
    34. Foundation for Medieval Genealogy, « AUVERGNE - E. DAUPHINS d'AUVERGNE, COMTES de CLERMONT », sur https://fmg.ac/ (consulté le )
    35. Revue Historique - vingtième année - Tome cinquante-neuvième, Paris, Librairie Germer Baillière - Félix Alcan éditeur, 1895 septembre-décembre (lire en ligne), p. 49
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