Vayrac

Vayrac est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Vayrac

La Dordogne à Vayrac devant le hameau de Mézels.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Loïc Lavergne-Azard
2020-2026
Code postal 46110
Code commune 46330
Démographie
Gentilé Vayracois, Vayracoises
Population
municipale
1 303 hab. (2018 )
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 57′ 13″ nord, 1° 42′ 18″ est
Altitude 139 m
Min. 110 m
Max. 312 m
Superficie 16,33 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Vayrac
(ville-centre)
Aire d'attraction Biars-sur-Cère - Saint-Céré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Martel
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Vayrac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Vayrac
Géolocalisation sur la carte : France
Vayrac
Géolocalisation sur la carte : France
Vayrac
Liens
Site web http://www.vayrac.fr

    Les habitants de Vayrac se nomment les Vayracois.

    Géographie

    Localisation

    Vayrac est située dans le Haut Quercy, au nord du département du Lot, dans la vallée de la Dordogne Lotoise entre Martel et Bretenoux sur l'ancienne route nationale 703 et au bord de la Sourdoire et du Maumont.

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe du département de la Corrèze.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 883 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Branceilles », sur la commune de Branceilles, mise en service en 1989[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 002,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].

    Deux autres espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Dordogne quercynoise »[21], d'une superficie de 5 567 ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Six ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[23] :

    • « la Dordogne quercynoise » (2 081 ha), couvrant 26 communes dont trois dans la Corrèze, deux dans la Dordogne et 21 dans le Lot[24] ;
    • les « pelouses sèches et bois de la partie Nord du causse de Gramat et rivière souterraine de Padirac » (3 605 ha), couvrant 10 communes du département[25] ;
    • les « pentes forestières d'Ourjac et Mézels » (167 ha), couvrant 3 communes du département[26] ;
    • les « pentes forestières du Puy d'Issolud » (41 ha), couvrant 2 communes du département[27] ;
    • les « prairies du Cambous » (99 ha), couvrant 2 communes du département[28] ;
    • les « prairies et milieux aquatiques de la Guierle basse et de cap Sourdoux » (73 ha), couvrant 2 communes du département[29] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[23] :

    • le « plateau et bassin d'alimentation du système karstique de Padirac » (10 133 ha), couvrant 11 communes du département[30] ;
    • la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 30 communes dont trois dans la Corrèze, deux dans la Dordogne et 25 dans le Lot[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Vayrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[32],[33],[34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vayrac, une agglomération inter-régionale regroupant 6 communes[35] et 4 233 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[36],[37].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[38],[39].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,7 %), forêts (30,9 %), prairies (22,5 %), zones urbanisées (7,7 %), eaux continentales[Note 8] (3,2 %)[40].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Vayrac, d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Varius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. C'est le domaine de Varius[41].

    Histoire

    Vayrac possède sur son territoire l'oppidum gaulois du Puy d'Issolud (environ 300 m d'altitude). Ce site est reconnu officiellement par le ministère de la culture (avril 2001) comme étant l'antique Uxellodunum[42], où eut lieu la dernière bataille de Jules César en 51 av. J.-C. contre les Gaulois rebelles de l'après Alésia.
    En plus d'une impressionnante quantité d'armements (flèches gauloises et romaines), on y a découvert les fameuses galeries souterraines construites par les sapeurs de César afin de détourner les veines d'eau alimentant la seule source à laquelle les Gaulois pouvaient venir s'approvisionner en eau.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, un certain nombre d'œuvres du musée du Louvre fut caché dans la "Maison Bournazel" dans le bourg de Vayrac. Un jour d'été particulièrement chaud et sec, un feu se déclara. Les paysans abandonnèrent tous leurs champs pour venir faire la « chaîne d'incendie » et sauvèrent ainsi des trésors nationaux[43]

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[44]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1794 Jean Langles    
    1794 1794 Raymond Ayme    
    1794 1798 Jean Langles    
    1798 1801 Pierre Labrouë    
    1801 1808 Antoine Miramon    
    1808 1813 Jean Baptiste Bournazel    
    1813 1816 Jean Miramon    
    1816 1820 Jean Langles    
    1820 1825 Jean Baptiste Gaillard Bournazel    
    1825 1829 Jean François Lacoste Bournazel    
    1829 1838 Gabriel Basile    
    1838 1846 Jean Gaillard Bournazel    
    1846 1850 Urbain Bourdarou    
    1850 1855 François Gaillard Lacoste Bournazel    
    1855 1870 Jean Gaillard Bournazel Delille    
    1870 1873 Baptiste Baraut    
    1873 1874 Jean Perinet    
    1874 1878 Jean Baptiste Henri Dubousquet    
    1878 1881 Baptiste Baraut    
    1881 1882 R. Bouyssou    
    1882 1884 Théodore Lacambre    
    1884 1888 Jean Baptiste Henri Dubousquet    
    1888 1892 Aloïs Labergne    
    1892 1896 Henri Salamage    
    1896 1898 Aloïs Labergne    
    1898 1904 Léon Granouillac    
    1904 1912 Raoul Lapierre (de)    
    1912 1919 Marius Salamagne    
    1919 1935 Alexandre Laquieze    
    1935 1942 Lézin Triolet    
    1943 1944 Lézin Triolet    
    1944 1952 Jean-marie Laquieze    
    1952 1953 Louis Amblard    
    1953 1971 Jean Martin    
    1971 1977 Guy Charriere    
    1977 1983 Georges Libet    
    1983 1989 Roger Bergougnoux    
    1989 2001 Hubert Laquieze    
    mars 2001 2020 Hugues du Pradel SE Chargé de Clientèle
    2020 en cours Loïc Lavergne-Azard    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

    En 2018, la commune comptait 1 303 habitants[Note 9], en diminution de 3,12 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9951 0371 2641 5131 6221 7131 7301 7751 816
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8741 9602 0101 8751 8521 8672 0471 7951 760
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5981 6081 5311 3561 3221 3251 2561 1901 059
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1571 1831 1491 1901 1661 1851 3091 3181 342
    2017 2018 - - - - - - -
    1 2921 303-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au début du XXe siècle, Vayrac comptait 1760 habitants[49].

    Enseignement

    L'éducation est assurée sur la commune de Vayrac depuis la crèche jusqu'au collège

    Culture

    • École de musique, de statut associatif.
    • Harmonie municipale.
    • Cinéma « L'Uxello ».

    Activités sportives

    • RCBBV - Rugby Club Biars Bretenoux Vayrac ;
    • FCHQ - Football Club du Haut Quercy ;
    • Tennis-club de Vayrac.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'argent au soleil de gueules
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Branceilles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Vayrac et Branceilles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Branceilles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Vayrac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    15. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    17. « Bassin de la Dordogne - zone tampon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « le « cours lotois de la Dordogne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « les « falaises lotoises (rapaces) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vayrac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR7300898 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Vayrac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF « la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « pelouses sèches et bois de la partie Nord du causse de Gramat et rivière souterraine de Padirac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « pentes forestières d'Ourjac et Mézels » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « pentes forestières du Puy d'Issolud » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF les « prairies du Cambous » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF les « prairies et milieux aquatiques de la Guierle basse et de cap Sourdoux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF le « plateau et bassin d'alimentation du système karstique de Padirac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF la « vallée de la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    34. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Unité urbaine 2020 de Vayrac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    36. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    37. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    41. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 125.
    42. Uxellodunum
    43. (épisode raconté par Frédérique Hébrard dont la mère, Lucie Mazauric, veillait sur les œuvres du Louvre - consulter Le Louvre en voyage de Lucie Mazauric)
    44. « Les maires de Vayrac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    49. Le Lot partie Chemins de fer p.195 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - (ISBN 2-7455-0049-X).
    50. Notice no PA00095279, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Liens externes

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