Valdoie

Valdoie est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Valdoie

Photo du pont traversant la Savoureuse et du clocher gris de l'église, visible au fond à droite.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Territoire de Belfort
Arrondissement Belfort
Intercommunalité Grand Belfort
Maire
Mandat
Marie-France Céfis
2020-2026
Code postal 90300
Code commune 90099
Démographie
Gentilé Valdoyens
Population
municipale
5 260 hab. (2018 )
Densité 1 129 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 02″ nord, 6° 50′ 33″ est
Altitude Min. 360 m
Max. 429 m
Superficie 4,66 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Belfort
(banlieue)
Aire d'attraction Belfort
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Valdoie
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Valdoie
Géolocalisation sur la carte : Territoire de Belfort
Valdoie
Géolocalisation sur la carte : France
Valdoie
Géolocalisation sur la carte : France
Valdoie
Liens
Site web ville-de-valdoie.fr

    Chef-lieu du canton de Valdoie, elle appartient à l'agglomération belfortaine. Ses habitants sont appelés les Valdoyens[1].

    Géographie

    Localisation

    Proche des frontières suisse et allemande, à la sortie nord de Belfort, sur la route de Giromagny et du Ballon d'Alsace.

    Géologie et relief

    La commune, au centre du couloir, la “Trouée de Belfort”, est entourée de deux massifs boisés, la forêt du Salbert à l’ouest et la forêt de l’Arsot à l’est.

    Le bassin houiller stéphanien sous-vosgien s’étend sur le territoire communal et aux alentours, entre Bouhans-lès-Lure, Ronchamp, Lomont à l'ouest et Rougemont-le-Château, Romagny à l'est.

    Sismicité

    • Commune située dans une zone de sismicité modérée[2].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[3].

    Voies routières

    La commune est traversée par plusieurs routes départementales : RD 5, RD 13, RD 23, RD 24, RD 465.

    La RD 5 relie Offemont à Sermamagny.

    La RD 13 relie Auxelles-Bas à la frontière suisse, via Valdoie, Vézelois, Vellescot et Réchésy.

    La RD 23 relie Grosmagny à Valdoie, via Éloie.

    La RD 24 relie Riervescemont à Valdoie, via Rougegoutte, Sermamagny et Évette-Salbert

    La RD 465 relie Belfort à Saint-Maurice-sur-Moselle. Il s'agit de l'ancienne RN 465, classée dans la voirie nationale dans les années 1930[4] ; elle a été déclassée et reclassée dans la voirie départementale en [5].

    Transports en commun

    Communes limitrophes

    Sermamagny Éloie
    Évette-Salbert
    Belfort
    N Offemont
    O    Valdoie    E
    S
    Belfort

    Intercommunalité

    Urbanisme

    Typologie

    Valdoie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belfort, une agglomération inter-départementale regroupant 16 communes[10] et 80 035 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,8 %), zones urbanisées (40,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), eaux continentales[Note 3] (1,1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Toponymie

    Wedo (1350), Vaydhoye (1617), Vaidoye / Vaidhoye / Vaidhoy / Vauldoye / Vaudoye (1621-1655), Valdoye (1793).

    Histoire

    Faits historiques

    Le nom de Valdoie (Val d'Oye, Wedaw, Waido, Vaydoie...) viendrait, selon J. Liblin, du latin vadum (guè, endroit guéable) et du celtique Oye (eau, rivière) qui aurait alors désigné la rivière la Savoureuse. Ce gué permettait à la voie romaine secondaire de Mandeure à Auxelles-Bas de franchir la rivière, du moins en période d'étiage. Valdoie n'est citée dans les écrits qu'à partir de 1350. Le village était partie de la seigneurie du Rosemont à ses origines et a été rattaché aux domaines autrichiens comme le comté de Ferrette de 1347 à la fin de la guerre de Trente Ans en 1648. Fin décembre 1674, Turenne a bivouaqué à Valdoie avant d'aller en Alsace remporter la victoire de Turckheim.
    La ville a été rattachée à la paroisse de Belfort jusqu'en 1778. Après avoir été pendant quelques années dépendante de Belfort, Valdoie est devenue une paroisse autonome en 1780. À la fin du XVIIIe siècle, les villages de Cravanche et de Salbert lui ont été rattachés. L'église Saint-Joseph du début du XXe siècle a été construite à l'emplacement d'un premier bâtiment érigé en 1780.

    La première fois que l'on trouve le nom de Valdoie dans les écrits, c'est sous la forme « We Doh », ce qui signifie « malheur ici » en vieil allemand. En effet, la région étant de sismicité moyenne et le terrain marécageux, des tremblements de terre et inondations y ont été relevés à proximité de Valdoie[18].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1793 Georges Baume    
    1793 1794 François Poyvet    
    1794 1794 François Rady    
    1794 1802 Alexis Courtot    
    1802 1804 Jacques Besançon    
    1804 1818 Jean-Claude Bardot    
    1818 1830 Nicolas Juster    
    1830 1845 Jean-Claude Bardot    
    1845 1848 Jacques Colinart    
    1848 1871 François Henriot    
    1871 1875 Constant Barberot    
    1875 1878 Béat Tisserand    
    1878 1892 Constant Barberot    
    1892 1897 Edmond Chaudel-Page    
    1897 1902 Eugène Tscheiller    
    1902 1904 Georges Charpentier-Page    
    1904 1906 André Larger Républicain Conseiller général du canton de Belfort (1905-1906)
    décédé en fonctions
    1906 1908 Emile Marchegay    
    1908 1912 Emile Romond    
    1912 1914 Charles Dreyfus    
    1919 1925 Edouard Hengy PCF Conseiller général du canton de Belfort (1922-1928)
    1925 1941 Georges Merckle[19] SFIO  
    1941 1945 Oscar Ehret    
    1945 1953 Georges Merckle SFIO  
    1953 1958 Charles Guldemann[20] MRP Syndicaliste CFTC
    Conseiller général du canton de Belfort (1951-1958)
    décédé en fonctions
    1958 1971 Victor Frahier    
    1971 1977 Paul Kiffel PS Conseiller général du canton de Valdoie (1967-1985)
    1977 1986 Daniel Pierquet PS Conseiller général du canton de Valdoie (1985-1998)
    1986 12 avril 2004 Yves Ackermann PS Conseiller général du canton de Valdoie (1998-2015)
    Sénateur (sept. 2008)
    13 avril 2004 21 mars 2008 Robert Bolle Reddat PS  
    21 mars 2008 17 juillet 2017 Michel Zumkeller Rad. puis UDI - Rad. Député depuis 2002
    17 juillet 2017 23 mai 2020 Corinne Coudereau UDI  
    23 mai 2020 En cours Marie-France Céfis MRSL Conseillère départementale du canton de Valdoie depuis 2015

    Budget et fiscalité 2017

    La mairie de Valdoie.

    En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[21] :

    • total des produits de fonctionnement : 4 220 000 , soit 752  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 3 725 000 , soit 664  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 4 133 000 , soit 737  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 4 038 000 , soit 720  par habitant ;
    • endettement : 7 809 000 , soit 1 392  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 11,96 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 19,37 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 36,81 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 340 [22].

    Population et société

    Évolution démographique

    En 1999, les Valdoyens étaient 4 843, soit 20 fois plus qu'en 1803. L'évolution a été importante entre 1872 et 1901 avec l'arrivée nombreuse d'Alsaciens optant pour la nationalité française ; la population a été multipliée par cinq en moins de trente ans passant de 523 à 2 575 habitants. L'industrie s'est fortement développée avec cette main-d'œuvre qualifiée : construction mécanique (Page, 1852) et industrie textile (Dollfus et Noack, 1898).

    En 2010, elle était la troisième commune du département en nombre d'habitants, loin derrière Belfort et ses 50 078 habitants, un peu moins loin de Delle avec 5 916 habitants et tout juste devant Beaucourt et ses 5 060 habitants.

    En 2014, elle compte 5 900 habitants.


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

    En 2018, la commune comptait 5 260 habitants[Note 4], en diminution de 2,48 % par rapport à 2013 (Territoire de Belfort : −1,71 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    301272281328387413385416428
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4335225375237321 1561 3711 6651 985
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5752 7253 1663 1213 2663 5803 3803 2953 538
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    3 9863 9834 4664 5724 3144 8435 0005 0225 044
    2013 2018 - - - - - - -
    5 3945 260-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Écoles primaires

    L'école élémentaire Paul-Kiffel.
    • École élémentaire André-Chenier ;
    • École élémentaire Paul-Kiffel ;
    • École élémentaire Victor-Frahier.

    Collège

    • Collège René-Goscinny (collège public).

    Lycée

    • Lycée professionnel agricole Lucien-Quelet (lycée public ; Centre de Formation Agricole pour Adultes ; Centre de Formation Agricole pour Apprentis).

    Cultes

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[28] :

    Personnalités liées à la commune

    Économie

    Agriculture

    • Exploitation lycée agricole Lucien Quelet[29].

    Tourisme

    • Restaurant[30].
    • Hôtels à Belfort.

    Commerces et services

    • Commerces et services de proximité[31].
    • Filature de laine peignée Schwartz et Cie, puis usine de teinturerie Achtnich, actuellement magasin de commerce[32].
    • Usine de transformation des métaux Charpentier, puis Charpentier-Vogt, puis usine de construction électrique (usine d'isolants électriques) Samica, actuellement Von-Roll Isola[33].
    • Moulin à farine, puis tissage de coton Meyer, puis Alexandre, puis Couleru et Chatel, puis Schmerber, puis Schwob, puis de la Cotonnière d'Héricourt, actuellement magasin de commerce[34].
    • Usine de feutre Dollfus-Noack, actuellement centre commercial[35].
    • Usine de passementerie de la Société industrielle de Rubans, puis usine de peintures et vernis Gauthier, puis des Industries des Peintures Associés, actuellement Sigma Coatings[36].
    • Usine de matériel d'équipement industriel Page, puis Chaudel-Page, puis Socolest, actuellement usine de mécanique de précision Crelier[37].
    • Usine de construction métallique et usine de menuiserie A. Lutringer et Cie, actuellement magasin de commerce et atelier[38].
    • Usine de teinturerie des Ets Georges Koechlin, puis usine de bonneterie et usine de confection Lama, actuellement usine d'articles en matière plastique Danplast[39].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    Patrimoine naturel

    • La forêt de Valdoie est composée de deux massifs boisés, la forêt du Salbert à l'ouest et la forêt de l'Arsot à l'est.

    Patrimoine militaire

    • Le fort de Valdoie[42].

    Construit entre 1889 et 1891, et aussi connu sous le nom de fort du Monceau. Il s'agit d'une ancienne caserne militaire.

    Aujourd'hui, la forêt a repris ses droits sur cet édifice.Il reste en bon état malgré les quelques tags qui recouvrent certains murs. Un projet prévoyait de le restaurer pour l’ouvrir au public, mais il est resté sans suite. Il appartient à la commune depuis 2010.

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    d'argent à la bande ondée d'azur, accompagnée de deux fleurs de lys de gueules.


    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Gentilé, Territoire de Belfort, habitants.fr
    2. Didacticiel de la règlementation parasismique
    3. Table climatique
    4. Circulaire du 8 septembre 1933 modifiant la nomenclature des routes nationales, Journal officiel de la République française, 14 septembre 1933, p. 9702
    5. Arrêté du 15 septembre 1972, Journal officiel de la République française, 17 septembre 1972, p. 9927
    6. Réseau Optymo
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Belfort », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. Plan local d'urbanisme
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. Tremblements de terre près de Valdoie
    19. https://maitron.fr/spip.php?article121741, notice MERCKLE, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010.
    20. https://maitron.fr/spip.php?article168249, notice GULDEMANN Charles, version mise en ligne le 7 décembre 2014, dernière modification le 7 décembre 2014.
    21. Les comptes de la commune
    22. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Paroisse Saint Marc Belfort-Montbéliard
    28. Professionnels et établissements de santé
    29. Exploitation lycée agricole Lucien Quelet
    30. Restaurant du Pont
    31. Commerces et services de proximité
    32. « Filature de laine peignée Schwartz et Cie, puis usine de teinturerie Achtnich, actuellement magasin de commerce », notice no IA90000107, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « usine de transformation des métaux Charpentier, puis Charpentier-Vogt, puis usine de construction électrique (usine d'isolants électriques) Samica, actuellement Von-Roll Isola », notice no IA90000105, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « moulin à farine, puis tissage de coton Meyer, puis Alexandre, puis Couleru et Chatel, puis Schmerber, puis Schwob, puis de la Cotonnière d'Héricourt, actuellement magasin de commerce », notice no IA90000109, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « usine de feutre Dollfus-Noack, actuellement centre commercial », notice no IA90000108, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Usine de passementerie de la Société industrielle de Rubans, puis usine de peintures et vernis Gauthier, puis des Industries des Peintures Associés, actuellement Sigma Coatings », notice no IA90000106, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « usine de matériel d'équipement industriel Page, puis Chaudel-Page, puis Socolest, actuellement usine de mécanique de précision Crelier », notice no IA90000104, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « usine de construction métallique et usine de menuiserie A. Lutringer et Cie, actuellement magasin de commerce et atelier », notice no IA90000111, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « usine de teinturerie des Ets Georges Koechlin, puis usine de bonneterie et usine de confection Lama, actuellement usine d'articles en matière plastique Danplast », notice no IA90000110, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. L'église Saint-Joseph sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux
    41. Monument aux morts
    42. L'ouvrage du Monceau
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