Tréméven (Finistère)

Tréméven [tʁemevɛn] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Pour les articles homonymes, voir Tréméven.

Tréméven

L'ancienne mairie.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Quimper
Intercommunalité Quimperlé Communauté
Maire
Mandat
Monique Caudan
2020-2026
Code postal 29300
Code commune 29297
Démographie
Gentilé Trémévénois
Population
municipale
2 315 hab. (2018 )
Densité 150 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 54″ nord, 3° 32′ 00″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 97 m
Superficie 15,42 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Quimperlé
(banlieue)
Aire d'attraction Quimperlé
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Quimperlé
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Tréméven
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Tréméven
Géolocalisation sur la carte : France
Tréméven
Géolocalisation sur la carte : France
Tréméven
Liens
Site web tremeven.net

    L'autre commune Tréméven située dans le département des Côtes-d'Armor porte un nom identique mais se prononçant différemment en français ([tʁemevɛ̃] au lieu de [tʁemevɛn][1]).

    Géographie

    La commune de Tréméven est une commune appartenant à la communauté d'agglomération de Quimperlé Communauté.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 542 hectares ; son altitude varie entre 3 et 97 mètres[2].

    Hydrographie

    Le territoire communal est enserré entre les cours de l'Isole et de l'Ellé. Ces deux rivières sont d'ailleurs présentes sur le logo communal.

    Voies de communications et transports

    La commune est aujourd'hui traversée par la D 790 qui relie Quimperlé au Faouët et le long de laquelle se trouvent les principales activités économiques.

    Le réseau de transport TBK qui relie les différentes villes de Quimperlé Communauté a placé une ligne urbaine allant de Tréméven à Mellac. Cette ligne passe par la gare de Quimperlé où les passagers peuvent ainsi prendre une correspondance en bus vers d'autre villes de Quimperlé Communauté ou même prendre le train.

    Plan de la commune

    carte de la commune (limite communale en orange)

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 067 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lanvenegen », sur la commune de Lanvénégen, mise en service en 1994[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 189,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, dans le département du Morbihan, mise en service en 1952 et à 15 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13], à 12 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Tréméven est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Quimperlé, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[19] et 14 381 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Quimperlé, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 8,6 % 133
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 1,0 % 16
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 26,3 % 407
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 4,7 % 73
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 33,0 % 510
    Forêts de feuillus 20,3 % 314
    Forêts mélangées 4,1 % 63
    Forêt et végétation arbustive en mutation 1,9 % 30
    Source : Corine Land Cover[24]

    Logement

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 1 005, alors qu'il était de 861 en 1999[I 1].

    Parmi ces logements, 91,5 % étaient des résidences principales, 3,8 % des résidences secondaires et 4,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,7 % des appartements[I 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 87,3 %, en légère hausse par rapport à 1999 (84,7 %)[I 3].

    Aménagements

    En 2018, la Mairie est rénovée et modernisée pour laisser place à une médiathèque nommée l@ Passerelle qui remplacera l'ancienne bibliothèque. La mairie est quant à elle déplacée dans le presbytère qui est lui aussi rénové et modernisé. Le coût total des travaux sera d'environ 1 200 000 €, et environ 500 000 € seront dépensés par la commune[25].

    Toponymie

    Attestée sous les formes dans un aveu de la seigneurie de Quimerc'h , Tremenguen en 1426, puis Trefmeven en 1536, Tremeguen en 1574, et enfin Tréméven à partir de 1516.

    Le nom breton de la commune est Tremeven-Kemperle. Dans le dialecte breton du village, la transcription du nom est Tremeuhun (alphabet phonétique international, /tʁəmœʹyn/)[26].

    Le nom Tréméven associe selon toute vraisemblance l'éponyme de saint Mewen, fondateur du monastère de Saint Méen et compagnon de Saint Samson de Dol au vieux-breton tref , trève, "habitation, subdivision du bourg, mais aussi et surtout, un quartier dans un territoire donné", (cf. Tréô), remonte à un celt. treba qui répond peut-être au lat. tribus "tribu" et sûrement au germanique qui a donné l'ag. thorp et l'al. dorf "village"[27].

    Histoire

    Tréméven dépendait de Mellac au Moyen Âge, village desservi par une chapelle, dont le nom vient de saint Mewen, fondateur du monastère de Saint-Méen et compagnon de saint Samson de Dol. Une fontaine de Saint-Meven attestée en 1587 montre en tout cas qu'à cette date la paroisse est déjà sous le patronage de ce saint.

    À Coltas, une parcelle atteste l´existence d´une industrie de l´époque mésolithique ou néolithique. Outre une stèle datant de l´Âge du fer, une enceinte fossoyée existait au sud de La Garenne, lieu où furent également découvertes des haches polies, des meules et un outillage néolithique. D'autres enceintes fossoyées sont signalées à Beg ar Roz, Lande des Châtaigniers, Rosmaguer, Kergroez et Rospiriou. Du mobilier néolithique (meule, haches) a été trouvé à Loc Yvi. Un souterrain datant vraisemblablement de l'Âge du fer a été signalé à Kerlescouarn. Un habitat médiéval déserté se situe près de la ferme de Keriquel.

    En 1759 la paroisse de Tremeven devait chaque année fournir 16 hommes pour servir de garde-côtes[28].

    Un loup aurait été tué à Tréméven en 1913 ; ce serait le dernier loup tué dans le Finistère[29].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1959 mars 1977 Émile Le Naour    
    mars 1977 décembre 1980
    (décès)
    Pierre Zaouter PS Retraité de l'arsenal de Lorient
    janvier 1981 février 1983
    (décès)
    Louis Ropers PS Inspecteur central des PTT retraité
    mars 1983 mars 2001 Louis Le Lann[Note 6]. PS[31] Artisan plombier-chauffagiste, maire honoraire[32](2009)
    mars 2001 mai 2020 Roger Colas DVG puis PS[31] Animateur sécurité environnement
    mai 2020 En cours Monique Caudan[33] sans étiquette  

    Jumelages

    En 2005, la commune de Tréméven et le village de Monivea (environ 2 500 habitants), proche de Galway, en Irlande, commencent à travailler sur le projet de jumelage. Une association est créée en juin 2005, et une charte entre les deux collectivités est signée en juin 2009 à Monivea puis en septembre 2009 à Tréméven.

    Au 1er juin 2014, aucun jumelage n'est encore effectif[34].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2018, la commune comptait 2 315 habitants[Note 7], en augmentation de 1,58 % par rapport à 2013 (Finistère : +0,86 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    670720722759840855767837849
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7918418738028259421 0061 0721 143
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1511 2061 1821 1621 2741 3721 3041 3941 400
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 4021 4451 6521 9752 0762 0172 0572 0632 282
    2017 2018 - - - - - - -
    2 3242 315-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La ville de Tréméven accueille une année sur deux vers la fin août certaines représentations du festival des Rias. C'est un festival de théâtre de rue qui se déroule depuis sa création en 2012 sur le territoire de Quimperlé Communauté.

    Enseignement

    La commune administre une école maternelle et une école élémentaire regroupant 225 élèves répartis en 10 classes (145 élèves en monolingue et 80 élèves en bilingue breton ) en 2018-2019[39].

    Sport

    Tréméven possède un important club de football : l'AS Tréméven. Le club peut jouir d'un important espace de plus de 2 hectares comportant deux grands terrains de football et d'autres plus petits pour les compétitions jeunes dont un terrain synthétique.

    L'autre association sportive importante de la ville est le club "Équilibre". C'est un club de danse qui regroupe de nombreuses activités artistiques et sportives (zumba, danse classique, jazz...). Le club est installé dans la salle polyvalente de Tréméven.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 31 119 , ce qui plaçait Tréméven au 13 833e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[40].

    En 2009, 47,0 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 4].

    Emploi

    En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 1 354 personnes, parmi lesquelles on comptait 72,1 % d'actifs dont 66,6 % ayant un emploi et 5,5 % de chômeurs[I 5].

    On comptait 293 emplois dans la zone d'emploi, contre 168 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 914, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 8] est de 32,1 %, ce qui signifie que la zone d'emploi n'offre qu'un emploi pour trois habitants actifs[I 6].

    Entreprises et commerces

    Au , Tréméven comptait 99 établissements : 19 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 5 dans l'industrie, 19 dans la construction, 42 dans le commerce-transports-services divers et 14 étaient relatifs au secteur administratif[I 7].

    En 2011, 6 entreprises ont été créées à Tréméven[I 8], dont 5 par des auto-entrepreneurs[I 9].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments remarquables

    L'église Saint-Méen.

    La commune compte un monument inscrit à l'inventaire des monuments historiques[41] et 20 lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[42]. Par ailleurs, elle compte 3 objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[43] et aucun objet répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[44].

    L'église, construite au XVIIe siècle est inscrite depuis le 13 novembre 1939[45].

    Autres monuments

    La chapelle Saint-Diboan vers 1920.

    On peut également citer :

    • la chapelle Saint-Diboan (XVIIe siècle), située à Loc Yvi. Saint Diboan, dont le nom signifie en breton « celui qui enlève les douleurs », serait celui d'un compagnon de saint Guénolé (breton, Gwenole) de Landévennec. Sa vie est racontée dans le cartulaire de l'abbaye de Quimperlé[46]. Jusqu'à récemment, les passants jetaient des pièces dans la fontaine Saint-Diboan de Loc-Yvi pour s'assurer sa protection. Ce saint est surnommé « Tu-pe-du » qui signifie en français « d'un côté ou de l'autre » (la vie ou la mort). La fontaine porte la date de 1718. L'abbé Mével a écrit en 1924 : « Dans notre Cornouaille, trois centres sont plus particulièrement remarquables pour la dévotion dont saint Diboan est l'objet : Tréméven (...), Leuhan (...) et Plévin, paroisse appartenant aujourd'hui au diocèse de Saint-Brieuc. (...) Le pardon de saint Abibon se fait à Leuhan le troisième dimanche d'août. (...) Saint Abibon est invoqué pour les malades, mais on y vient aussi beaucoup pour les enfants »[47] ;
    • les vestiges du château de Lamarre : Restaurée durant la guerre de Cent Ans par le capitaine anglais Jehan Devereux qui voulait l’utiliser pour attaquer Quimperlé, la forteresse est ensuite assiégée par les Français commandés par Olivier V de Clisson. Afin de venir en aide à Jehan Devereux, les troupes anglo-bretonnes lèvent alors le siège de Saint-Brieuc. Finalement la « bataille de Tréméven » n’a pas lieu. La paix provisoire signée à Bruges le marque une pause dans le conflit. À l'issue de ce traité, le duc de Bretagne, Jean IV, reconnaît la suzeraineté du roi de France. Dès lors, le château de Lamarre tombe dans l’oubli[48] malgré le rétablissement de l'indépendance du Duché de Bretagne en 1379 ;
      Croix de Coltas.
    • trois manoirs (Roscado, Rosmaguer, reconstruit en 1588, et Kerlavarec des XVIe et XVIIe siècles) ;
    • la présence de stèles armoricaines : une à Coltas, une au bourg, deux à Loc Yvi, et de nombreuses croix sur le territoire de la commune ;
    • le moulin Fourden (XVIIIe siècle).

    Langue bretonne et culture

    La charte « Ya d'ar brezhoneg », engageant la commune à valoriser la langue bretonne dans la vie publique (signalisation, soutien aux filières bilingues...) a été signée le .

    L'école publique de Tréméven a sa filière bilingue français-breton, qui a ouvert en 2005. En novembre 2008, une association Div Yezh Tremeven (association de parents d'élèves) a été créée, elle défend et fait la promotion de l'enseignement bilingue public.

    À la rentrée 2016, 76 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue publique (soit 34,2 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[49].

    En mai 2014, Yann Ewan publie un recueil de nouvelles intitulé Les Chiens de Tremeven[50]. L'action de la plupart des nouvelles se situe sur le territoire de la commune.

    Le label de niveau 1 de la charte Ya d'ar brezhoneg a été remis à la commune le 14 mai 2017.

    Personnalités de la commune

    • TIM, né en 2000, youtubeur, humoriste, et musicien, avec plus de 2 500 000 abonnés, ayant passé son enfance à Tréméven
    • Nicolas Gestin, né en 2000, canoéiste trémévénois vainqueur des championnats du monde de slalom moins de 23 ans en 2019

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Louis Le Lann, décédé âgé de 73 ans en avril 2020.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
    4. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
    5. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    6. EMP T5 - Emploi et activité.
    7. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
    8. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    9. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

    Autres sources

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Lanvenegen - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Tréméven et Lanvénégen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Lanvenegen - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Tréméven et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Quimperlé », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Données statistiques sur les communes de Métropole communes; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    24. « Mairie et médiathèque. Double inauguration », sur Le Telegramme, (consulté le ).
    25. Pierre Le Roux, Atlas linguistique de Basse-Bretagne, 1927.
    26. Victor Henry', Lexique étymologique des termes les plus usuels du breton moderne, 1900, note 4 en bas de page 4, [lire en ligne].
    27. "Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne...", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f6.image.r=Pleuven?rk=107296;4
    28. François de Beaulieu, "Quand on parle du loup en Bretagne", éditions Le Télégramme, 2004, (ISBN 2-84833-096-1).
    29. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    30. Tréméven. Le maire sortant Roger Colas (PS) se représente, Ouest-France 11 octobre 2013.
    31. Journal Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, n° du 10 avril 2020.
    32. « Pays de Quimperlé. Tréméven : Monique Caudan à la tête de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
    33. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « École. Karine Bacon, nouvelle directrice », sur Le Telegramme, (consulté le ).
    39. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    40. « Liste des monuments historiques de la commune de Tréméven », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Liste des lieux et monuments de la commune de Tréméven à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Liste des objets historiques de la commune de Tréméven », base Palissy, ministère français de la Culture.
    43. « Liste des objets de la commune de Tréméven à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.
    44. « Église », notice no PA00090479, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Cartulaire de l'abbaye de Sainte-Croix de Quimperlé (2e édition revue, corrigée et augmentée) / par Léon Maître et Paul de Berthou », sur Gallica, (consulté le ).
    46. Abbé>mével, Nos saints bretons : Saint Diboan, "Bulletin diocésain d'histoire et d'archéologie", Quimper, 1924, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5729760q/f273.image.r=Leuhan.langFR
    47. Voir le site topic-topos Patrimoine des communes de France
    48. http://www.fr.opab-oplb.org/47-enseignement.htm
    49. http://www.ecrivainsbretons.org/livres/item/645-les-chiens-de-tremeven.html

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail du Finistère
    • Portail du pays de Lorient
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.