Tourrettes-sur-Loup

Tourrettes-sur-Loup est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle porta le nom de Tourrettes-lès-Vence du XVIe siècle à la Révolution. Au début du XXe siècle et jusque dans les années 1970[1], elle s'appelait Tourette-sur-Loup. Ses habitants sont appelés les Tourrettans.

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Tourrettes-sur-Loup

Vue du village depuis la route des Quenières.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis
Maire
Mandat
Frédéric Poma
2020-2026
Code postal 06140
Code commune 06148
Démographie
Gentilé Tourrettans
Population
municipale
4 019 hab. (2018 )
Densité 137 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 01″ nord, 7° 03′ 38″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 1 246 m
Superficie 29,28 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valbonne
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Tourrettes-sur-Loup
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Tourrettes-sur-Loup
Géolocalisation sur la carte : France
Tourrettes-sur-Loup
Géolocalisation sur la carte : France
Tourrettes-sur-Loup

    Le village doit sa renommée à la violette, devenue sa principale culture en 1880[2].

    Géographie

    La cité est célèbre par son village médiéval situé sur un éperon rocheux tombant à pic ; ses maisons extérieures forment un rempart. Autour de ce centre historique, les quartiers résidentiels s'étendent depuis les contreforts de ses puys (pic de Courmettes, puy de Tourrettes, Naouri), jusqu'aux gorges et à la vallée du Loup.

    Hydrographie

    Urbanisme

    Typologie

    Tourrettes-sur-Loup est une commune urbaine[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[6] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,4 %), zones urbanisées (20,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Histoire

    Tourrettes-sur-Loup

    Préhistoire

    Le territoire de Tourrettes-sur-Loup, est riche en sites préhistoriques et protohistoriques (17 ont été recensés). En effet, dès le Paléolithique moyen, la grotte de la Baume Obscure et, surtout celle de Pié Lombard ont été fréquentées. L’occupation paléolithique de Pié-Lombard, datée d’environ 70 000 ans a également livré quelques restes d’homme de Néandertal.

    Quelques traces d’installation des derniers chasseurs nomades (Épipaléolithique et Mésolithique, entre 11 000 et 6000 av. J.-C.) ont été identifiées à Pié-Lombard ou à Courmettes.

    Beaucoup plus près de nous, dans le courant du Ve millénaire av. J.-C., on observe quelques traces de fréquentation des grottes par les pasteurs et paysans du Néolithique moyen (Chasséen) : Baume obscure, grotte de Schlumberger, petit abri du Vallon de la Tuilière.

    La fin du Néolithique (3500-2000 av. J.-C.) n’est documentée que par des sépultures collectives, qu’il s’agisse de mégalithes (Dolmen de Camptrassier, fouillé au début du XXe siècle) ou de grottes (Baume Obscure, grotte du Sanglier).

    La plupart de ces sites ont été réutilisés au cours de l’âge du bronze (2000-750 av. J.-C.) mais à la fin de cette période on remarque des traces de fréquentation humaine sur les hauteurs (Courmettes, Les Sabières II).

    Enfin, trois enceintes semblent avoir été édifiées au cours de l’âge du fer. Deux d’entre elles se situent sur le sommet de la Colle de Naouriès et la dernière, sur le pic de Courmettes. Toutefois, les fragments de céramique non tournée, ramassés sur chacun des sites, n’autorisent pas une datation précise. Des structures pouvant s’apparenter à des habitats ont été observées à l’intérieur ou dans le voisinage de chaque enceinte, mais elles sont peu nombreuses. En outre, l’altitude des sites (1024 m et 1248 mètres), et la pauvreté du sol, rendent difficile une implantation humaine à l’année. Certaines particularités architecturales observées dans les murs de l’enceinte (présence d’un enclos, dimensions importantes des ouvertures), permettent d’envisager la pratique d’activités pastorales, sur ces sommets

    Ruelle de Tourrettes-sur-Loup

    La tradition locale veut qu'un oppidum celto-ligure se trouve sous le village actuel et se serait transformé en un camp romain occupé et ce jusqu'en 476. L'oppidum protohistorique n'est pas attesté. Quant à la présence d'un camp romain, on peut évoquer quelques blocs ouvragés en réemploi dans les murs du village, ainsi que quelques céramiques sigillées qui semblent évoquer le tracé possible d'une enceinte d'époque romaine.

    Moyen Âge

    On fait référence au site de Tourette en 1024, sous le nom de Castrum de Torretis. La ville s'organise autour du château et les maisons construites jusqu'au bord des ravins servent de remparts.

    La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Puis, Aix se soumet en octobre 1387, ce qui précipite le ralliement des carlistes, dont le seigneur de Tourrettes-sur-Loup, Guichard de Villeneuve. Il obtient un « chapitre de paix » de Marie de Châtillon le 2 janvier 1388 et prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans[13].

    Lors de la dédition de Nice à la Savoie, en 1387, le village, possession des Grimaldi qui se sont ralliés à la Savoie, est confisqué par le comte de Provence et attribué à Guichard de Villeneuve, dit Bâtard de Vence, issue d'une branche illégitime des Villeneuve-Vence[14]. Ses descendants conserveront la seigneurie jusqu'en 1789. La population s'empare alors du château et en fait son hôtel de ville, ce qu'il est toujours. Le dernier marquis s'enfuit mais est assassiné à Vintimille.

    XVIIIe siècle

    Au cours de l'été de 1786, André Chénier, qui est alors sous-lieutenant dans le Royal Angoumois se rendant en Italie, fait avec les frères Trudaine, une halte chez le marquis de Tourrettes, dont il avait fait la connaissance, dans la ville d'Aix lors des réceptions données par le Président du Parlement de Provence : Monsieur de la Tour. Il fut invité au Château du Caire, avec d'autres invités comme l'abbé de Grimaldi, l'abbé de Vence, Monsieur de Rochechouart-Mortemart, le marquis Perier-Montacarrel, Madame de Constantin, l'abbé Baussy, maître Ferron, notaire.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1799 1807 Michel Lions    
    1807 1816 Pierre Isnard    
    1816 1821 Pierre Curel    
    1821 1822 Michel Lions    
    1822 1830 Joseph Alexandre Curel    
    1830 1849 Pierre Garent    
    1849 1869 Christophe Euzière    
    1869 1873 Émile Dominique Baussy    
    1873 1874 Jean Joseph Raymond    
    1874 1875 Émile Dominique Baussy    
    1875 1879 Paul Garent    
    1879 1888 Jean-Joseph Raymond    
    1888 1896 Camille Tajasque    
    1896 1913 Alexandre Giraud    
    1913 1920 Honoré Marius Bareste    
    1920 1935 Louis Duhet    
    1935 1943 Adolphe Augier    
    1943 1961 Eugène Geoffroy    
    1961 1961 Marius Honorat    
    1961 1983 Maximin Escalier DVD  
    1983 1995 Damien Bagaria (Père) DVD  
    1995 2001 Paul Ceuzin DVD  
    2001 2014 José Bertaina UDI  
    2014 2020 Damien Bagaria (Fils) SE Retraité fonction publique
    2020 En cours Frédéric Poma SE  

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[16].

    En 2018, la commune comptait 4 019 habitants[Note 3], en augmentation de 0,73 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +0,5 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1691 1801 0991 1151 1461 2731 1791 2111 061
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0261 0271 1799791 0229769211 476912
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0498751 044881933834810734894
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 1151 5482 2672 7273 4493 8704 1994 0073 995
    2018 - - - - - - - -
    4 019--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Confiserie Florian.

    La cité est essentiellement un centre touristique et un lieu de résidence apprécié. La cité médiévale abrite un artisanat d'art réputé : tissages, poteries, peintures, sculptures, bijoux. L'économie locale est axée sur :

    • la culture de la violette ;
    • la confiserie : fleurs cristallisées, fruits confits, etc. ;
    • l'artisanat d'art avec une quarantaine d'artisans, regroupés dans le village médiéval ;
    • la production de fromage de chèvre bio ;
    • l'apiculture ;
    • la viticulture, la production locale de légumes ;
    • le tourisme : hôtels, restaurants, chambres d'hôtes, meublés et campings.

    Quant à la charge fiscale supportée par les habitants, le taux d'imposition de la taxe d'habitation était pour 2008 et 2009 de 13,23 %. Elle se classe 53e sur les 193 communes les plus taxées des Alpes-Maritimes[19].

    Culture locale et patrimoine

    Église saint Grégoire, triptyque anciennement attribué à l’école des Bréa.

    Patrimoine naturel

    • Vallée du Loup : après Tourrettes, on découvre une très belle perspective sur la vallée du Loup et, peu après, le nid d'aigle de Gourdon apparaît sur son promontoire.

    Patrimoine religieux

    • L’église Saint-Grégoire (XVe siècle) abrite un triptyque anciennement attribué aux Bréa (tardif façon XVe siècle), plusieurs retables dont deux en bois sculpté et doré, quelques statues du XVIIe siècle, d’autres œuvres en bois : bustes des XVe et XVIe siècles, reliquaires du XVIIe siècle. Derrière le maître-autel, autel du Ier siècle dédié à Mercure.
    • La chapelle Saint-Jean, décorée de fresques de Ralph Soupault (restaurées en 2005).

    Patrimoine civil

    • La Bastide aux Violettes : musée vivant consacré à la fleur de violette, a été inaugurée le 6 mars 2010.
    • L'Oreille de Gaïa (ou l'Oreille) : construction en pierre en forme d'oreille, d'environ 40 m de long sur 10 m de large. Il s'agit d'une aire de battage destinée au dépiquage des céréales, d'époque moderne. Malheureusement l'Oreille n'est maintenant plus accessible au public, la municipalité ayant autorisé la construction d'une villa sur le site.
    • Vestiges du viaduc (au hameau de Pont-du-Loup) : achevé en 1892, le viaduc mesurait 310 mètres de long et 55 mètres de haut avec une courbe de 200 mètres. En 1944, les Allemands l'ont fait exploser. Plus tard, la Compagnie des grands travaux de Marseille a ordonné la destruction du viaduc qui menaçait de s'écrouler. Les piliers considérés comme non dangereux, ont été conservés[20].

    Châteaux

    • Château du Caire, C'est César de Villeneuve, seigneur de Tourrettes et Malvans de 1630 à 1672 qui fait édifier cette demeure en 1646, plus tard le bâtiment sera en 1754 et 1765 flanqué de deux tours quadrangulaires, saisi à la Révolution et vendu.
    • Château des Valettes
    • Château de Courmettes
    • Château des Villeneuve

    Héraldique

    Blasonnement : « De gueules fretté de six lances d'or, entresemé de petits écussons du même, et sur le tout un écusson d'azur chargé d'une fleur de lys d'or »[21].

    Les armoiries de Barrême reprennent celles des Villeneuve.

    Divers

    La devise de Tourrettes-sur-Loup est Mantenen se, qui signifie « Se maintenir » (c'est-à-dire « toujours debout, vaillant »), en patois provençal.

    Une communauté non-violente fondée par Lanza del Vasto sur le modèle des ashrams de Gandhi s'est établie pendant quelque temps au début des années 1950 à Tourrettes-sur-Loup.

    Personnalités liées à la commune

    • Émile Dominique Baussy, né à Vence le , élève de l'École des arts et métiers d'Aix, il devint agent secondaire des Ponts et Chaussées et attaché au bureau de l'Ingénieur en chef du Service spécial de la Durance à Marseille, puis nommé notaire à Tourrettes par décret du 5 mai 1867. Il y exerça jusqu'à fin avril 1877. Nommé maire de Tourrettes le 7 août 1869, il sera maintenu en 1870, démissionnaire en 1873, renommé en 1874 à la demande des habitants, il redémissionnera en 1875.
    • Le compositeur Francis Poulenc (1899-1963) a vécu dans le village.
    • Jacques Prévert (1900-1977) et ses amis Joseph Kosma, Alexandre Trauner ont séjourné pendant la Seconde Guerre mondiale à la pension Les Belles Terrasses, ancien hôtel de la place de la Mairie. Une plaque marque aujourd'hui cet honneur sur la maison. Le film Les Visiteurs du soir fut tourné à cette époque dans les environs. C'est à Tourrettes-sur-Loup que Jacques Prévert et Joseph Kosma ont composé Les feuilles mortes[22].
    • Raphaël (dit Ralph) Soupault (1904-1962), dessinateur de presse, a résidé dans la commune de 1951 à 1962. Il a laissé des fresques d'inspiration religieuse dans la chapelle Saint-Jean.
    • Seund Ja Rhee (1918-2009), artiste peintre coréenne, a vécu depuis 1968 jusqu'à son décès en 2009 à Tourrettes-sur-Loup. Elle construisit un atelier aux formes uniques (rappelant le ying et le yang), nommé Rivière Argent (La maison Rhee).
    • Guy Bourguignon (1920-1969), chanteur français, membre des Compagnons de la Chanson, est enterré à Tourrettes-sur-Loup.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Guide Vert Michelin 1973
    2. L'express international, 2002, page 48.
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 408 (note 33).
    14. Georges Doublet, Les Alpes-Maritimes, A. Michel, (lire en ligne), p. 322.
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    19. Le Journal de l'Eco : Nice Matin Lundi 12 octobre 2009
    20. Vincent Paschetta, Nice et sa région, Didier Richard (lire en ligne), p. 84.
    21. « La banque du blason2 - Tous vos sujets en décoration ! », sur La banque du blason2 (consulté le ).
    22. Guide du Routard Côte d'Azur 2019, page 287.
    23. Jean Ordan, Juste parmi les nations

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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