Taillecavat

Taillecavat (Talhacavat en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Taillecavat

Église Notre-Dame, centre-bourg et mairie
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes rurales de l'Entre-Deux-Mers
Maire
Mandat
Danièle Fostier
2020-2026
Code postal 33580
Code commune 33520
Démographie
Gentilé Loubatons
Population
municipale
289 hab. (2018 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 38′ 50″ nord, 0° 09′ 03″ est
Altitude Min. 28 m
Max. 101 m
Superficie 9,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Taillecavat
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Taillecavat
Géolocalisation sur la carte : France
Taillecavat
Géolocalisation sur la carte : France
Taillecavat
Liens
Site web http://www.taillecavat.fr/

    Ses habitants sont appelés les Loubatons[1].

    Géographie

    Centre-bourg (août 2010)

    La commune, dont le Dropt constitue la limite nord-est du territoire communal, se trouve dans l'Entre-deux-Mers, dans l'est du département de la Gironde, en limite du département de Lot-et-Garonne, à 72 km à l'est-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 39 km au nord-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 6,5 km au nord-est de Monségur, chef-lieu de canton[2].

    Les communes limitrophes en sont Duras (Lot-et-Garonne) au nord-est, Saint-Pierre-sur-Dropt (Lot-et-Garonne) à l'est, Lévignac-de-Guyenne (Lot-et-Garonne) au sud-est, Saint-Géraud (Lot-et-Garonne) au sud et Cours-de-Monségur à l'ouest.

    Communes limitrophes de Taillecavat
    Duras
    (Lot-et-Garonne)
    Cours-
    de-
    Monségur
    Saint-Pierre-sur-Dropt
    (Lot-et-Garonne)
    Saint-Géraud
    (Lot-et-Garonne)
    Lévignac-de-Guyenne
    (Lot-et-Garonne)

    La commune est traversée, dans le village, par la route départementale D124 qui mène à Saint-Vivien-de-Monségur au sud-ouest et à Duras au nord-est. Dans le village, commencent la route départementale D124e2 qui mène à Saint-Géraud vers le sud et la route départementale D124e1 qui mène à Lévignac-de-Guyenne vers le sud-est.
    L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est celui de  4 La Réole distant de 29 km par la route vers le sud-ouest.
    L'accès  1 Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 47 km vers le sud-ouest.
    L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de  12 Montpont-Ménestrol qui se situe à 45 km vers le nord.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 16 km par la route vers le sud-sud-ouest, de Sainte-Bazeille sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Aquitaine. Celles de La Réole et de Marmande offrant plus de trafic se trouvent toutes deux à 21 km par la route, la première vers le sud-ouest, la seconde vers le sud-est.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 796 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Duras », sur la commune de Duras, mise en service en 1962[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 803,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 35 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Taillecavat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,7 %), cultures permanentes (25,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), forêts (5,9 %), zones urbanisées (2,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Taillecavat s’est développée à partir d’un castrum (camp romain) et fut chef-lieu de juridiction.

    Le nom de Taillecavat est, sous la forme Terra Talleburgi[22], une formation médiévale caractéristique, composée de l'élément « Taille- », déverbal de tailler. On retrouve d'ailleurs ce déverbal dans le nom des communes Taillebois, Taillebourg (Charente-Maritime), Taillebourg (Lot-et-Garonne), Taillecourt ou Taillefontaine[22].
    Le nom de la commune a subi de nombreuses altérations, on lit successivement :

    • 1081 - Taiatavat
    • 1087 - Tallacauvat
    • 1126 - Talacavat
    • 1127 - Taliacavat
    • 1253 - Tailetlecale pour Tailechevale
    • 1627 - Talhacavat parfois en Tailelecaba
    • 1887 - Taillecavat.

    Il est cependant fort possible que ces différentes formes ne soient dues qu'à une méconnaissance, de la part du transcripteur, de la graphie exacte si tant est qu'elle existait ou était nécessaire à l'époque.

    À la Révolution, la paroisse Notre-Dame de Taillecavat forme la commune de Taillecavat[23].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Michel Cassin    
    mars 2001 mars 2014 Bernard Bordas    
    mars 2014 2020 Philippe Trabut-Cussac   Agriculteur
    2020 En cours Danièle Fostier    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le , la communauté de communes du Monségurais ayant été supprimée, la commune de Taillecavat s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sauveterrois siégeant à Sauveterre-de-Guyenne.

    Elle intègre ensuite la communauté de communes rurales de l'Entre-deux-Mers le .

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2018, la commune comptait 289 habitants[Note 5], en diminution de 7,67 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    919786754721640746679641654
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    623584540526505485475497466
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    435444418356357360370371372
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    374337290241250263290294298
    2013 2018 - - - - - - -
    313289-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église romane Notre-Dame de Taillecavat (XIIe) : cette église assez massive se compose d’une nef romane terminée à l’est par une abside semi-circulaire. Côté est, on trouve également un cadran solaire. La façade ouest est surmontée d’un clocher-pignon percé de cinq baies montrant l’ambition que le clergé avait d’y mettre un carillon de cinq cloches relativement important pour la région. La cloche, fondue en 1808, est faite à partir de l'une des plus anciennes cloches de France, offerte par le comte Études en 888 pour récompenser les habitants d'avoir résisté aux Normands.
      Au sud, sous le porche, une porte est couronnée par une cornière dont il reste trois modillons dont deux représentant des têtes d’animaux frustes et le troisième un bossage. La nef autrefois voûtée en berceau est lambrissée. Le bas-côté ajouté au XVIe siècle a conservé l’ébauche de voûtes et un lambris peint où figurent les litanies de la Vierge.
      L’intérêt de cette église réside surtout dans le chœur où les chapiteaux romans représentent au sud Daniel puis l’évocation de l’Éden dans l’abside et la Tentation avec l’arbre, le serpent, Eve, Adam nu, un personnage habillé et un oiseau[28].
    • Ancien château fort : il ne reste aujourd'hui que des vestiges de l'imposant château fort qui se trouvait à Taillecavat. Seules l'arche, une partie des douves sèches et l'enceinte ont subsisté.
    • Porte du cimetière datant de 1860.

    Personnalités

    • Pierre Grenier (1744-1794), prêtre, né à Taillecavat, curé de Cours-de-Monségur, guillotiné à Bordeaux[29].
    • Le docteur Rouhet, célèbre pour le dressage des chevaux et pour avoir mis au point une méthode de gymnastique naturelle a habité dans la commune.
    • Jean Pouvereau militaire originaire de Taillecavat, qui deviendra lieutenant-colonel en chef du 6e bataillon de volontaires de la Gironde

    Vie locale

    Commerces

    La commune dispose d'une boulangerie-pâtisserie et d'un bar situés en centre-bourg.

    École

    L'école de Taillecavat travaille en collaboration avec celle de Cours-de-Monségur. On y dispense des cours du CE1 au CM2 tandis que l'école de Cours-de-Monségur s'occupe de la maternelle et du cours préparatoire.

    Équipements de la commune

    Taillecavat est équipé d'un terrain de pétanque et d'une grande salle des fêtes.

    Fêtes et évènements

    Différents évènements sont organisés chaque année dans la commune. Un vide-greniers a lieu chaque année le dernier dimanche d'août. La fête de la Saint-Jean, avec son feu, est également célébrée chaque année en juin. Des concours de belote et des lotos sont organisés à la salle des fêtes du village.

    Haut-débit

    Avant 2010, les lignes téléphoniques des logements de la commune étaient reliées au répartiteur téléphonique de Monségur. Seuls les logements situés au centre-bourg du village disposaient du haut débit, les autres étant situés trop loin du central.
    En , par l'initiative de Gironde Numérique[30], Taillecavat a été équipée d'un répartiteur téléphonique (ou NRA-ZO) installé directement en centre bourg.
    Depuis cette installation, la totalité des logements de la commune est éligible au haut débit avec un débit minimum de 512 kb/s (ReADSL ou ADSL) et un débit maximum de 22 Mb/s (ADSL 2+).

    Vin et agriculture

    De nombreux exploitants agricoles habitent Taillecavat. La commune est située dans l'Entre-deux-Mers et les vins produits (rouges et rosés pour la plupart) sont classés en AOC Bordeaux supérieur.
    Outre la viticulture et les cultures céréalières, certains exploitants agricoles de Taillecavat produisent également des pruneaux.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 6 avril 2012.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 61,2 km pour Bordeaux, 33,3 km pour Langon et 5,6 km pour Monségur. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 6 avril 2012.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Duras - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Taillecavat et Duras », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Duras - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Taillecavat et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. p. 667.
    23. Historique des communes, p. 64, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 8 avril 2013.
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Source : Gralon.net
    29. Liste chronologique des guillotinés de Bordeaux
    30. Gironde Numérique
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