Sylvie Vermeillet

Elle est maire de Cernans[1] de 1999[2] à 2015.

Elle est la présidente de l'Association des maires du Jura[3] à 2015[4].

Elle est conseillère régionale de Franche-Comté[5]^,[6] de 2004 à 2015. Lors du renouvellement de 2015[7], elle figure cette fois-ci en 3^e position[8]^,[9]^,[10] sur la liste d'union de la droite dans le Jura mais elle n'est pas réélue[11].

En octobre 2009, elle succède à Jean-François Humbert à la présidence du groupe UMP[12].

En mars 2010, elle devient vice-présidente du groupe UMP, Nouveau Centre et Divers droite au conseil régional[13]. En juillet 2010, elle succède à Alain Joyandet à la présidence du groupe[14]^,[15].

En octobre 2010, elle annonce qu'elle quitte l'UMP.

Elle est candidate lors des sénatoriales de 2011[16], mais elle n'est pas élue[17]^,[18].

En mars 2015, elle est élue conseillère départementale[19] du canton de Champagnole en tandem avec Clément Pernot[20]. Elle est nommée 9^e vice-présidente du conseil départemental du Jura, chargée des contractualisations et des politiques territoriales[21]^,[22].

En 2017, Sylvie Vermeillet est nommée chevalier de l'ordre national du Mérite[23].

Le 24 septembre 2017, elle est élue sénatrice du Jura[24]. Elle rejoint le Mouvement radical à sa création.

Le 15 septembre 2020, lors de la commission d'enquête du Sénat sur le coronavirus et de l'audition de Didier Raoult, la sénatrice du Jura, atteinte par le Covid-19 mi-mars, assure que ce dernier avait été « le premier à nous donner de l’espoir »[25].

Lors des élections régionales de 2021, elle soutient la liste de Denis Thuriot (LREM) dont la tête de liste jurassienne, Delphine Gallois, est membre du Mouvement radical.

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