Steinbourg

Steinbourg est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Steinbourg

Mairie de Steinbourg.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Saverne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saverne
Maire
Mandat
Viviane Kern
2020-2026
Code postal 67790
Code commune 67478
Démographie
Gentilé Steinbourgeois
Population
municipale
1 965 hab. (2018 )
Densité 154 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 14″ nord, 7° 24′ 50″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 232 m
Superficie 12,73 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saverne
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saverne
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Steinbourg
Géolocalisation sur la carte : Alsace
Steinbourg
Géolocalisation sur la carte : France
Steinbourg
Géolocalisation sur la carte : France
Steinbourg
Liens
Site web http://www.steinbourg.com

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Géographie

    La commune de Steinbourg est située à km à l'est de Saverne, chef-lieu du canton et d’arrondissement.
    Outre les voies de communication qui la desservent (sortie autoroute A4, route départementale no 421, chemins départementaux n° 83 et 716, voie ferrée Strasbourg-Paris, canal de la Marne au Rhin), le village est doté d’un aérodrome, jadis terrain d’exercices des troupes françaises puis allemandes, où s’entraînent aujourd’hui les amateurs de vols aériens, planeurs et ULM.
    Le village se regroupe sur une colline, autour d’un point central formé par l’église, les écoles, l’ancien château (mairie).
    Au fil des années, il s'est étendu le long des quatre grands axes qui se recoupent en lui ; çà et là, des lotissements ont vu le jour.
    Aujourd'hui, le village s'étend sur près de 2,5 km. Le gros du bourg se situe néanmoins sur la rive gauche de la Zorn, qui traverse la commune et conflue avec la Zinsel du Sud à la sortie de l’agglomération. L’autre partie (rive droite) et plus précisément celle au-delà de la voie ferrée et du canal de la Marne au Rhin, constitue ce qu’on pourrait appeler le nouveau Steinbourg avec ses lotissements « Gross Gerieth », « Klein Gerieth » et « Kreutzwald ».
    Steinbourg est traversée par le grand itinéraire cyclable EuroVelo 5 (EV5 Via Francigena de Londres à Rome/Brindisi) qui emprunte le chemin de halage du canal.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Steinbourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saverne, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[4] et 18 734 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,2 %), terres arables (19,6 %), prairies (19,3 %), zones urbanisées (8,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,9 %), cultures permanentes (5,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Jusqu'à un passé récent, l'histoire du village nous semblait relativement jeune, comparée aux villages voisins de Monswiller, Dettwiller ou encore Waldolwisheim.
    Aujourd'hui il ne fait aucun doute quant à une occupation antérieure de notre territoire. Tout d'abord dans la forêt de Monsau, deux tumuli ont été signalés par F. Conrad en 1997. Un premier, intact, d'un diamètre de 20 mètres, un deuxième de 90 mètres fut éventré par l'implantation d'une route au XVIIIe siècle.
    Par ailleurs un lingot de fer gallo-romain (?) bipyramidal détenu par le Musée archéologique de Saverne témoigne d'une présence d'une population à Steinbourg, à cette époque.
    Les fouilles archéologiques effectuées à l'emplacement du futur tracé LGV, au nord du village sur la colline de l'Altenberg et du Ramsberg, en 2008, 2009 et 2010 sous la direction de Jean-Batiste Gervreau ont mis au jour d'importants vestiges d'un établissement rural gallo-romain de type villa, un temple et une statue . Une ferme gauloise et des tombes moyenâgeuses ont aussi été trouvées.
    D'après le mobilier archéologique mis au jour, la datation a pu être établie entre le début de l'Antiquité et la première moitié du IVe siècle (source ?).
    Le nom original du village "Steinwirki" (aujourd'hui encore appelé le village Steiweri en alsacien, nouvelle dénomination écrite sur les pancartes depuis 1995) est d'origine francique et signifie « installations défensives. » Steinbourg était en effet situé sur une colline surplombant la Zorn et à la croisée de la route romane du piémont des Vosges et de la route préromaine de la Moselle. L'origine des armoiries de Steinbourg, l'épée de saint Paul et la clé de saint Pierre rappellent les Saints Patrons de la paroisse qui sont également ceux du couvent de Schwarzach-Rheinmunster (Rastatt).
    Le nom de Steinbourg apparaît pour la première fois dans un acte d'échange de terres établi au palais impérial d'Aix-la-Chapelle en l'an 828 entre l'abbé Waldo du couvent de Schwarzach-Rheinmunster et le comte Erchanger, comte Souabe et de Brigsau, père de sainte Richarde, fondatrice de l'abbaye d'Andlau[11].
    On datait la création de la commune du temps des châteaux forts (nom en -burg et forteresse présente au XIIe siècle), évacuant un peu trop vite le fait que Steinbourg en réalité était entré dans l'histoire sous une autre appellation, celle de Steingewircke, en 1120, dans la comptabilité de l'abbaye d'Andlau.
    Au XIVe siècle, Steinbourg est relevée comme appartenant aux nobles Stahel de Westhoffen. C’est en 1412 que Jean Stahel de Westhoffen vendit à l’évêque de Strasbourg, Guillaume II, le domaine direct du village avec tous ses droits.
    Andlau gardait encore la cour colongère et le droit de patronage du village. C’est ainsi qu’en 1439 la commune fut le théâtre d’une bataille entre le comte de Lichtenberg et les Armagnacs.
    En 1487 et 1525, on relève le nom de Steinberg ; sous Louis XIV on trouve même la commune sous le nom d’Istambourg.
    Ce n’est qu’en 1588 que l’évêque de Strasbourg réunit tout le domaine à l’évêché. En 1622, Steinbourg était le quartier général des troupes de Mansfeld, qui occupaient Saverne. En 1636, les Suédois détruisirent complètement le village.
    Ce n’est qu’en 1669 qu’apparaît enfin le nom de Steinbourg - le radical Stein (pierre) revenant toujours dans ces variations en raison des anciennes carrières de pierres qui existaient dans la commune.
    En 1681, celui-ci accorda en fief à la famille des Mayerhoffen les biens et dépendances de la colonge ainsi que le château.
    Devenu propriété privée, le château fut vendu en 1860 puis revendu en 1938, pour finalement devenir propriété communale en 1955. Il abrite actuellement les locaux de la mairie et de la bibliothèque municipale.
    En 1870, des escarmouches eurent lieu entre les zouaves de l’arrière-garde des forces françaises de Mac-Mahon et les éclaireurs prussiens. Le village fut menacé par l’artillerie lourde allemande de destruction totale si les francs-tireurs ne se soumettaient pas.
    Grâce à l’intervention du maire et d’une religieuse, la localité fut épargnée. Sous l’occupation allemande de 1940, la commune se distinguait une nouvelle fois.
    On releva d’abord une résistance passive, puis virulente au fur et à mesure des revendications des occupants.
    Exaspérés par le comportement des Steinbourgeois, les Allemands investirent le village un dimanche de 1941 avec plusieurs compagnies.
    La population se barricada dans les maisons et dans l’église.
    Les militaires arrachaient les volets et firent sortir les habitants sur la place de l’école, certains furent humiliés et frappés.
    Par la suite, il y eut des déportations au camp de Schirmeck et l’incorporation de force des jeunes gens dans l’armée allemande, dont un nombre important fut envoyé sur le front russe.
    Steinbourg fut libérée le et ce à la plus grande joie d’une population qui n’avait jamais perdu l’espoir de redevenir française.

    Héraldique

    Dans l'armorial de la généralité d'Alsace, recueil officiel dressé sous les ordres de Louis XIV, les armes de la commune de Steinbourg sont définies ainsi :
    "Porte d'azur à un St Pierre posé à dextre et un St Paul posé à séquestre, le tout d'or".
    Sur les papiers officiels de la mairie de Steinbourg, les armes sont simplifiées sous la forme d'une clé et d'une épée qui se croisent, attributs des princes des apôtres saints Pierre et Paul, patrons de la paroisse et de l'évêché de Strasbourg auquel appartenait la commune du XVe au XVIIe siècle.
    La description héraldique est la suivante :
    « Sur fond rouge, une épée d'argent et une clé se croisent en diagonale de gueules, à l'épée d'argent et à la clé d'or posées en sautoir »[12].

    Politique et administration

    Liste des maires d'hier à aujourd'hui
    Période Identité Étiquette Qualité
    Michel Joseph    
    Alphonse Lips    
    Robert Heschung (1932-2018)    
    Michel Dupuy    
    [13] Jean-Paul Kraemer   Réélu en 2008[14]
    [15]
    (décès)
    Gilles Dubourg (1975-2017) DVD Cadre
    [16] En cours
    (au 31mai 2020)
    Viviane Kern [17]
    Réélue pour le mandat 2020-2026
    Sans étiquette Cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

    En 2018, la commune comptait 1 965 habitants[Note 3], en diminution de 2,14 % par rapport à 2013 (Bas-Rhin : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7137538621 0391 1441 1441 1111 2341 207
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 1261 1741 2121 2241 3711 4441 4061 4721 437
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4991 5031 5401 4011 3721 4061 4571 4951 801
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 7441 8782 0402 0271 9271 9171 9322 0012 019
    2018 - - - - - - - -
    1 965--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Usine Doveurope (Mars Incorporated) : fabrication de crème glacée en barres individuelles.

    Steinbourg possède un site pollué à la créosote, jadis utilisé pour traiter les traverses de chemins de fer[22].

    Lieux et monuments

    Ancien château - Le village appartenait sans doute à l'abbaye d'Andlau dès la fin du IXe siècle (héritage supposé du comte Erchanger, père de sainte Richarde, fondatrice de l'abbaye). Au XIIe siècle, le château était une petite forteresse féodale entourée de fossés et de hautes courtines. Il est mentionné pour la première fois en 1408, puis à nouveau en 1412, date de vente à l'évêque de Strasbourg.
    Il était habité jusqu'en 1587 par les Münch de Wilsperg, inféodés du village et du château par les Stahel de Westhoffen, les Münch étaient une famille de petite noblesse qui assurait la garde du château et du passage du col de Saverne (le dernier de cette famille mort sans héritier, fut enterré chez lui, à Steinbourg).
    En 1636, le château est détruit par les Suédois pendant la guerre de Trente Ans puis reconstruit pour devenir propriété privée. En 1681, J. G. Mayerhoffen en fut investi par l'évêché, famille qui le garda en sa possession jusqu'en 1860.
    D'héritage en héritage, il fut ensuite vendu en 1938 pour devenir en 1955 la propriété de la commune.
    L'édifice avec les terrains environnants appartient aujourd'hui à la commune de Steinbourg et abrite les services administratifs ainsi que la bibliothèque municipale.

    C'est en 1897 qu'a été construit le presbytère et la nouvelle église de Steinbourg, l'ancienne étant devenue trop petite pour une population en forte augmentation. L'église actuelle couvre l'implantation de l'ancienne église et de l'ancien cimetière désaffecté qui l'entourait.
    Elle comprend une nef à large couloir central, un chœur à pans coupés et une tour porche avec flèche (clocher).
    Le bas-relief encastré dans le mur extérieur du chœur, sous le vitrail central, représente les symboles des apôtres Pierre et Paul, saints patrons de la paroisse de Steinbourg.
    Ce bas-relief est un des rares vestiges qui nous reste de l'ancienne église. L'achèvement des travaux de construction de l'église actuelle fut marqué par une histoire mouvementée des cloches.
    D'abord avec l'inauguration des premières cloches qui mirent à l'honneur plusieurs personnes promues parrains et marraines pour cet évènement.
    Puis c'est en 1917 que furent démontées les trois plus grandes cloches par les Allemands à des fins militaires.
    Les nouvelles cloches qui les remplacèrent furent bénies en 1924.
    Pour le centenaire de l'église, d'importants travaux ont été réalisés par la commune : peinture intérieure, rénovation complète, et ravalement extérieur du bâtiment, et par la paroisse avec un nouveau beffroi et la mise en place de six nouvelles cloches.

    • Centre tout-terrain de la vallée de la Zorn.
    • Espaces naturels :

    Personnalités liées à la commune

    • Louis André Delenne né à Nîmes le , mort à Steinbourg le , colonel de la Révolution et du Premier Empire.

    Associations

    • D'schneller Von Steiweri, association pour la sauvegarde culturelle du village telle que la tradition des conscrits
    • Le P.O.N.S.E. (association de protection des oiseaux et de la nature à Steinbourg et dans ses environs) Site Internet du P.O.N.S.E.
    • FC Steinbourg 1924, club de football local crée en 1924.

    Événements et fêtes à Steinbourg

    • 1er mai : Marche populaire
    • le 10e dimanche après Pâques : Fête-Dieu
    • le premier week-end de juillet : Messti du village.
    •  : Fête populaire - Bal du 14-Juillet
    • le premier weekend d'août : Festival Pow Wow
    • le premier samedi du mois de décembre : Fête de la Sainte-Barbe

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Saverne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Steiweri unser Dorf, Mémoire du village de Steinbourg, Fernand Gemmerlé
    12. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    13. « Jean-Paul Kraemer ne se représentera pas », Dernières nouvelles d'Alsace, (lire en ligne).
    14. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
    15. « Décès du maire Gilles Dubourg », Dernières nouvelles d'Alsace, (lire en ligne).
    16. « Viviane Kern, première femme maire de Steinbourg », Dernières nouvelles d'Alsace, (lire en ligne).
    17. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. La France toxique association Robin des Bois page 89 (ISBN 978-2-0813-6379-3).
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