Sauvillers-Mongival

Sauvillers-Mongival est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Sauvillers-Mongival

Monument aux morts.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité Communauté de communes Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Vincent Wable
2020-2026
Code postal 80110
Code commune 80729
Démographie
Gentilé Sauvillois
Population
municipale
176 hab. (2018 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 43′ 32″ nord, 2° 28′ 15″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 111 m
Superficie 5,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Sauvillers-Mongival
Géolocalisation sur la carte : Somme
Sauvillers-Mongival
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Sauvillers-Mongival
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Sauvillers-Mongival
Liens
Site web http://www.mairie-sauvillers-mongival.fr

    Géographie

    Localisation

    Le village de Sauvillers-Mongival est situé sur la route départementale D 83 entre Ailly-sur-Noye, Moreuil et Montdidier. Il comprend six rues :

    Communes limitrophes

    Mailly-Raineval Braches
    Thory N
    O    Sauvillers-Mongival    E
    S
    Grivesnes Aubvillers

    Urbanisme

    Typologie

    Sauvillers-Mongival est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76 %), forêts (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Mongival était jadis un hameau. Son nom vient du lieu ruiné par les Espagnols durant le siège de Corbie en 1636. En 1178, la cité portait le nom de Serpentwiler[réf. nécessaire].

    Histoire

    Le village est devenu une cité à partir du XIIe siècle[réf. nécessaire]. La seigneurie fut achetée en 1393 par le sire de Raineval et suivit alors le sort de la châtellenie[réf. nécessaire].

    Première Guerre mondiale

    Le village se trouve à l'arrière, lors de la bataille de la Somme de 1916[8],[9], et dans la zone des combats de l'offensive du printemps 1918 puis de la bataille d'Amiens[10],[11],[12].

    À la fin de la Première Guerre mondiale, le village est considéré comme détruit[13],[14],[15],[16],[17], seules trois maisons demeurèrent debout.

    En , le village a été libéré par les forces françaises du 87e régiment d'infanterie. Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton d'Ailly-sur-Noye[19], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [20], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

    Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[21], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[22],[23]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[24] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [25] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [26], qui prend effet le .

    La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2008 Christiane Depentis    
    2008[28] mai 2020[29] Gilles Peltiez[30]    
    mai 2020[31] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Vincent Wable    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2018, la commune comptait 176 habitants[Note 3], en diminution de 1,68 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    343338225322322281303309316
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    321309297289278263234235250
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    24923422671178169163172176
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    154164133148164179191186176
    2018 - - - - - - - -
    176--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés depuis 2018 au sein d'un regroupement pédagogique concentré (RPC) bipolaire, qui accueille les enfants de Mailly-Raineval, Sauvillers-Mongival, Aubvillers, Thory, Louvrechy et Rouvrel dans deux sites, à Louvrechy pour la moitié des élèves, soit une soixantaine de la petite section de maternelle au CP, les autres étant scolarisés à Rouvrel.

    La construction des nouveaux locaux a lieu en 2017-2018 et l'ancienne école, qui ne comptait qu'une classe, est transformée pour servir de cantine et de cuisine[35],[36],[37]. Ce RPC a succédé à un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) afin de prendre en compte la croissance des effectifs.

    Manifestations culturelles et festives

    La fête communale a lieu le second dimanche de juin[réf. nécessaire].

    Économie

    Sauvillers-Mongival est un village rural à vocation essentiellement agricole. Le bois, les céréales, la betterave, le fourrage ainsi que la chasse ont fait naguère vivre les Sauvillois. Une coopérative agricole existe toujours. En 1938, on dénombrait onze fermes et deux cafés[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin, dont la statue en bois créée en 1752 se trouve à l'intérieur de l'édifice religieux, datait du XIXe siècle[38]. Elle fut démolie pendant la Première Guerre mondiale et reconstruite en 1918. Elle contient une statue d'un saint évêque en bois peint de 1752[39]

    En , le village a été libéré par les forces françaises du 87e régiment d'infanterie. Depuis 1959, une plaque commémorative a été apposée sur un des murs du clocher afin de rappeler le sacrifice des soldats du 87e régiment d'infanterie qui ont libéré le village à la fin de la Première Guerre mondiale.

    D'autres monuments ont été édifiés en souvenir de ceux qui sont tombés au cours de la Première Guerre mondiale. C'est ainsi que le monument aux morts, édifié à la suite de la décision du conseil municipal du par le sculpteur Marius Giot[40], comporte les noms de quatorze militaires sauvillois et d'une victime civile Il est orné d'une statue allégorique d'un mitrailleur, également de Marius Giot[41].

    Entre Sauvillers-Mongival et Mailly-Raineval, une stèle a été édifiée en souvenir de trois militaires français morts pour la France. Il s'agit du sous-lieutenant Jean de Séganville, du sergent René Antoine et de Léon Hochet. Tous trois faisaient partie du 29e bataillon de chasseurs à pied.

    Le cimetière civil abrite cinq sépultures dédiées à des soldats anglais abattus avec leur bombardier Lancaster le à proximité de Sauvillers-Mongival[42].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Revue du 219e régiment d'infanterie après ses combats devant Deniécourt. Le lieutenant-colonel Le Gallois félicitant ses officiers », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    9. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Revue du 219e régiment d'infanterie après ses combats devant Deniécourt ; au premier plan lieutenant-colonel Le Gallois », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    10. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival (près). Avion allemand abattu dans nos lignes ; dans les débris, cadavres des deux aviateurs », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    11. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Dans les ruines ; poste de commandement et poste de secours du 87e régiment d'infanterie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    12. Section photographique de l'armée, « Photo : La Faloise. Un coin du village. Partie du butin conquis pendant les attaques sur Mailly-Raineval, Sauvillers, Mongival et Aubvillers », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    13. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    14. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    15. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village, le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    16. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village, le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    17. Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village, le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    18. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    21. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    22. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    23. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    24. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    25. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    26. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
    27. « Les maires de Sauvillers-Mongival », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    28. [xls] « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    29. « Gilles Peltiez candidatà un nouveau mandat de maire à Sauvillers-Mongival », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Gilles Peltiez a annoncé qu’il se représentait aux élections du printemps prochain. « Après deux mandats de maire, je me représente à nouveau, avec une partie de l’équipe actuelle et des nouveaux qui nous rejoignent. Le moment n’est pas venu de faire campagne, ni de faire des promesses, nous verrons cela en temps voulu ».
    30. Réélu pour le mandat 2014-2020  : « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    31. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Louvrechy (80) Ici, on vote contre la création d’une classe : Face au nombre d’enfants toujours en hausse dans le regroupement pédagogique, la commune a été choisie pour créer une classe en plus. Mais six conseillers ont voté contre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    36. Thierry Griois, « Le regroupement scolaire lancé : Le premier coup de pioche a été donné lundi à Louvrechy, qui accueillera maternelles et CP. À Rouvrel, où étudieront les écoliers du CE1 au CM2, ce sera le mois prochain », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    37. « Que deviendra l’ancienne école du village ? », Le Bonhomme picard, édition de Montdidier Roye, no 3533, , p. 16 « A également été rappelé le regroupement scolaire avec Louvrechy et Rouvrel qui a beaucoup occupé le conseil municipal à la veille de la rentrée. Il va maintenant falloir réfléchir au devenir du bâtiment de l’ancienne école, maintenant vide ».
    38. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Sauvillers-Mongival, d'après nature, 13 juin 1876. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    39. « Statue d'un saint évêque », notice no PM80002307, base Palissy, ministère français de la Culture.
    40. « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA80000025, base Palissy, ministère français de la Culture.
    41. « Statue : le mitrailleur », notice no IM80000064, base Palissy, ministère français de la Culture.
    42. (en) « Commonwealth War Graves Sauvillers-Mongival », sur https://www.tracesofwar.com (consulté le ).
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