Bazian (Gers)

Bazian (Basian en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.

Bazian

Le château de Bazian.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Auch
Intercommunalité Communauté de communes d'Artagnan en Fézensac
Maire
Mandat
Véronique Coelho
2020-2026
Code postal 32320
Code commune 32033
Démographie
Gentilé Bazianais, Bazianaise
Population
municipale
108 hab. (2018 )
Densité 8,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 13″ nord, 0° 19′ 23″ est
Altitude 300 m
Min. 126 m
Max. 234 m
Superficie 12,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vic-Fezensac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Fezensac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Bazian
Géolocalisation sur la carte : Gers
Bazian
Géolocalisation sur la carte : France
Bazian
Géolocalisation sur la carte : France
Bazian

    Géographie

    Localisation

    Bazian est une petite commune de Gascogne gersoise. Elle est située à 10 km du chef-lieu du canton, Vic-Fezensac. Le village est bâti au sommet du coteau (altitude 177 mètres), sur le versant ouest dominant la vallée de l'Osse.

    Situation de la commune.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Bazian[1]
    Roquebrune Caillavet
    Tudelle
    Cazaux-d'Anglès Riguepeu

    Géologie et relief

    Bazian est bâtie sur un éperon rocheux qui domine la Mouliaque, modeste affluent de l'Osse.

    Bazian se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 821 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lupiac », sur la commune de Lupiac, mise en service en 1984[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 852,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 21 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[12] à 13,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bazian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vic-Fezensac, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), zones agricoles hétérogènes (30,5 %), prairies (19,4 %), forêts (1,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune de Bazian est sans doute d'origine gallo-romaine, du nom d'un propriétaire, Basius.[réf. nécessaire]

    Histoire

    L'emplacement d'une villa gallo-romaine, à quelque trois cents mètres du bourg actuel, a été récemment repéré et a livré son lot de matériaux de construction (tegulae, mortiers, marbre) et de fragments de poteries, de céramique sigillée, d'amphores. Après la période de stabilité gallo-romaine, une partie de la population se déplace en direction du sud-est vers la source du Buc où l'on retrouve les lieux-dits Au loc, A la place, et l'autre se disperse sur le territoire. A mesure que le christianisme s'établit, les vassi-dominici bâtissent quelques églises rurales, toutes aujourd'hui disparues : Saint-Pé de Yassa, Sainte-Christie, Saint-Michel et autre Gleyzette d'Antin.

    La date précise de la création du château et de son castelnau est inconnue, mais ils ont été sans doute édifiés sur l'emplacement d'une motte castrale. Le nom de son église figure[Où ?] dès le XIe siècle. Bazian apparaît comme un castelnau à l'urbanisme le plus achevé, l'enceinte villageoise épouse parfaitement la forme du sommet de l'éperon (Benoît Cursente) dominant la Mouliaque, modeste affluent de l'Osse. À l'ouest, le château occupe l'extrémité du promontoire. Toujours dans l'enceinte, l'église se trouve à l'opposé de ce dernier. On accède au village-rue en passant sous la tour-porche de plan carré encore conservée sur quatre niveaux. Autant d'éléments qui caractérisent bien le castelnau gascon.

    Les barons De Montesquiou apparaissent, dès le XIIe siècle, à l'origine du château et du castelnau. Ils y séjournent régulièrement comme le confirment de nombreux actes. Après le partage de la baronnie en 1479, la terre de Bazian passe par succession aux vicomtes de Lavedan, fondus au XVe siècle dans les Du Lyon puis dans la famille de Bourbon. Celle-ci transforme la bâtisse aux XVIe et XVIIe siècles par d'importantes adjonctions, créations d'ouvertures, de tourelles en surplomb.

    La Révolution n'arrête pas la lignée des seigneurs de Bazian, elle se perd seulement à la fin du XIXe siècle avec la comtesse De Mesnard. Avant sa mort, elle vend le château et la propriété contiguë à une famille d'agriculteurs. Cette dernière laisse la bâtisse à l'abandon jusqu'à la fin du XXe s. où les actuels propriétaires entreprennent une restauration réussie.

    Les commerçants (boulanger, épicier, cafetier) disparurent progressivement à partir des années 1950. Le boucher, le dernier, a pris sa retraite voici quelques années. Le prêtre n'habite plus le presbytère et l'école communale ne résonne plus des cris des enfants. Moins de vingt exploitations agricoles demeurent, mais l'âge des exploitants fait craindre une désertification encore plus dramatique.

    - Saint-Yors (Saint-Georges en gascon) était un petit castelnau fondé dans la seconde moitié du XIIIe siècle par la famille de Lasséran, branche cadette des De Montesquiou. En 1307, Guillaume De Lasséran accorde des coutumes aux habitants du lieu. Cette famille vend la seigneurie à la fin du XVe s. aux De Marrenx. Par succession, elle passera aux Du Barry qui conservent leur bien jusqu'au XXe siècle. Il ne reste rien aujourd'hui de ce qui fut le village de Saint-Yors. Des fortifications du castelnau ne reste qu'une tour-porche, vestige insolite, plantée en rase campagne. L'église, bâtie sur un promontoire, à quelques centaines de mètres, est aujourd'hui complètement ruinée. La commune de Saint-Yors est rattachée en 1840 à Bazian.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Bazian adhère depuis le , à la communauté de communes de d'Artagnan en Fezensac dont le siège est à Vic-Fezensac.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1893 1896 Bertrand Berges    
    1896 1912 Othon De Barry    
    1912 1933 Léon Magne    
    1933 1945 Victor Labat    
    1945 1965 Gustave Saint Martin    
    1965 1995 Elie Rey    
    1995 2008 Jacques Couzinet DVG  
    2008 2014 Alain Dadalt[20]    
    2014 En cours Véronique Coelho DVD Cadre supérieure

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22]. En 2018, la commune comptait 108 habitants[Note 5], en diminution de 6,9 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    346343428391382540551540513
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    487490464450443417420383369
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    380330253238238240211198176
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    171133129114102109111112116
    2018 - - - - - - - -
    108--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Bazian n'échappe pas au dépeuplement vécu par les communes rurales du Gers. Lors du premier recensement, Bazian comptait 343 habitants et Saint-Yors 132, soit un total de 475 habitants. Au recensement de 1826, la population culminera à 603 habitants (419 + 184), avant de chuter inexorablement : 540 en 1851, où l'on compte encore 124 maisons, 464 en 1872, 385 en 1906. La guerre de 14-18, 13 jeunes morts pour la patrie, amplifiera cette tendance. On ne compte plus que 211 habitants en 1946, 114 habitants en 1990 et seulement 102 en 1999.

    En ce début du XXIe siècle, environ un tiers du patrimoine bâti appartient à des ressortissants de la Communauté européenne ou Américains qui viennent passer ici leurs vacances, parfois leur retraite.

    Manifestations culturelles et festivités

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le village, modèle de castelnau avec son château, le reste de ses remparts, ses vieilles maisons dont certaines très anciennes à colombages, ses ruelles étroites engazonnées. Le prix du patrimoine de la Société Archéologique, décerné en 2001, est venu récompenser l'effort de restauration réalisé ces dernières années.
    • Le château de Bazian occupe la tête de l'éperon rocheux au sud-ouest du village. Une partie de son bâti en appareil moyen remonte à la création du château primitif par les De Montesquiou. La bâtisse actuelle, objet des aménagements des XVIe et XVIIe siècles, s'élève sur trois niveaux. Deux pavillons carrés la flanquent. La partie sud-est fortement dégradée, flanquée de deux tourelles en surplomb en cul de lampe, aujourd'hui découronnées, témoigne de cette aile sur un étage qui se raccordait au bâtiment principal. L'intérieur du château est riche d'un décoration peinte.
    • La tour-porte, de plan carré, conservée sur quatre niveaux et coiffée d'une couverture en tuiles canal à quatre eaux (I.S.M.H. 01/08/74).
    • L'église Saint-André, à l'entrée du village, a subi de profondes modifications depuis sa création ; son origine se confond avec celle du castelnau. La comtesse De Mesnard offrit, vers 1870, une partie de sa fortune pour embellir l'édifice. L'abbé Lahille, dernier curé de Bazian, en exercice pendant plus de 50 ans, fit intervenir, en 1929, les frères Lasséran pour décorer l'ensemble de l'édifice.
    • Tabernacle en bois doré des XVe – XVIe siècles (I.S.M.H.).
    • Dernier vestige de l'ancienne communauté de Saint-Yors (Saint-Georges) rattachée en 1840, la tour-porte trône, solitaire, au milieu d'un terrain agricole. Comme au village, la porte en arc brisé ouvre sur un couloir voûté en plein cintre ; elle n'a qu'un étage et pas de toiture[26].
    • La pietà de l'église de Saint-Georges, du XVIe siècle, en bois polychrome, a été transférée au trésor de la cathédrale Sainte-Marie d'Auch (I.S.M.H.).
    • Le petit patrimoine offre à celui qui sait le découvrir les moulins sur la crête du village, le pigeonnier hune sur le padouen, les puits aux abords du village et dans la cour du château, la source et lavoir au Buc, les fontaines au Buguet, Lassalle, Sainte-Christie, Cabos.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39151085)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Lupiac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Bazian et Lupiac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Lupiac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Bazian et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Site de la préfecture - fiche de Bazian
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, notice BnF no FRBNF35576310).
    26. I.S.M.H. 15/03/73
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