Saint-Sulpice-de-Roumagnac

Saint-Sulpice-de-Roumagnac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Sulpice.

Saint-Sulpice-de-Roumagnac

Le village de Saint-Sulpice-de-Roumagnac.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Philippe Dubourg
2020-2026
Code postal 24600
Code commune 24504
Démographie
Gentilé Romagnosulpiciens
Population
municipale
283 hab. (2018 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 10″ nord, 0° 23′ 36″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 209 m
Superficie 10,70 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribérac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Sulpice-de-Roumagnac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Sulpice-de-Roumagnac
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sulpice-de-Roumagnac
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sulpice-de-Roumagnac
Liens
Site web saint-sulpice-de-roumagnac.fr

    Géographie

    Généralités

    Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, la commune rurale de Saint-Sulpice-de-Roumagnac se trouve sur les hauteurs entre les vallées de la Dronne et de l'Isle. Son territoire qui s'étend sur 10,70 km2 se répartit entre le Ribéracois au nord et la Double au sud. Au nord, la Peychay et ses affluents sont des tributaires de la Dronne. Au sud, les affluents de la Beauronne s'écoulent vers l'Isle.

    Au niveau géologique, la commune est divisée en deux : au nord avec des calcaires du Crétacé et au sud avec des sables, argiles ou graviers de l'Éocène[1]. L'altitude minimale, 85 mètres, se trouve à l'extrême-nord, au Moulin de la Faye, là où la Peychay quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Martin-de-Ribérac et Saint-Pardoux-de-Drône. L'altitude maximale avec 209 mètres est localisée à l'extrême-est, au lieu-dit les Quatre Frères, en limite de la commune de Saint-Vincent-de-Connezac[2].

    Le bourg de Saint-Sulpice-de-Roumagnac, à l'écart des routes principales, se situe, en distances orthodromiques, six kilomètres au sud-est de Ribérac et treize kilomètres au nord-ouest de Saint-Astier.

    Le territoire communal est traversé au centre, d'est en ouest, par la route départementale (RD) 43 (liaison de Saint-Astier à Saint-Antoine-Cumond) et au sud-ouest par la RD 709 qui relie Ribérac à Mussidan.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Sulpice-de-Roumagnac et des communes avoisinantes.

    Saint-Sulpice-de-Roumagnac est limitrophe de six autres communes, dont à l'est, au lieu-dit les Quatre Frères, Segonzac sur environ 130 mètres, et Chantérac sur une trentaine de mètres.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 919 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 40 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sulpice-de-Roumagnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,7 %), forêts (35,3 %), terres arables (10,5 %), prairies (1,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Saint-Sulpice-de-Roumagnac proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[22] :

    • les Boiges
    • Bois de Gilardie
    • Bry
    • les Chapelles
    • Chauvignac
    • chez Dominique
    • la Clergie
    • le Cluzeau
    • le Drillou
    • Eypinal
    • la Forêt de Planche
    • la Gilardie
    • le Grabis
    • les Jalagers
    • Laborie
    • Laborie de Planche
    • Lavergne
    • les Marteilles
    • le Menaud
    • Montagut
    • le Moulin de la Faye
    • le Moulin de Planche
    • la Panche
    • les Penods
    • Planche
    • Pontville
    • le Puid
    • Puythier
    • les Quatre Frères
    • Rabaudou
    • le Reyney
    • les Taluffes
    • le Tuquet.

    Toponymie

    Le nom de la commune fait référence à saint Sulpice, évêque de Bourges au VIIe siècle[23]. La deuxième partie du nom correspond au nom d'un personnage gallo-roman, Romanius, auquel a été ajouté le suffixe -acum[24], désignant le « domaine de Romanius ».

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Suplesís de Romanhac[25].

    Les habitants de la commune se nomment les Romagnosulpiciens[26].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu remonte au début du XIIIe siècle, sous la forme Sanctus Suplis, avant de voir apparaître Sanctus Sulpitius au siècle suivant[24].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de St Sulpice de Romagnac[27].

    Le , les Allemands de la Division Brehmer lancent une vaste opération contre les maquisards dans la forêt de la Double entre Montpon-sur-l'Isle, Mussidan et Ribérac[28]. Un détachement s'installe vers 17h30 à Saint-Sulpice-de-Roumagnac où sont fusillées cinq personnes[28].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Saint-Sulpice-de-Roumagnac a été rattachée au canton de Saint Vincent qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Ribérac dépendant de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926 puis de l'arrondissement de Périgueux[29].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , la commune reste rattachée à ce canton qui s'élargit, passant de 13 à 35 communes lors des élections départementales de mars 2015[30].

    Intercommunalité

    En 1993, Saint-Sulpice-de-Roumagnac intègre dès sa création la communauté de communes des Hauts de Dronne. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[31],[32].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1971 mars 2001 Marcel Janaillac   Assureur
    mars 2001 mars 2008 Jean-Paul Rosely    
    mars 2008
    (réélu en mai 2020)
    En cours Philippe Dubourg SE[33] Fonctionnaire de police

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Sulpice-de-Roumagnac relève[34] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2018, la commune comptait 283 habitants[Note 6], en augmentation de 12,75 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    672647630657693669670716718
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    760672656625625599575587492
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    511451455411432415406397335
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    301305238242232226217216214
    2013 2018 - - - - - - -
    251283-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 116 personnes, soit 43,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (douze) a augmenté par rapport à 2010 (cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,2 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-deux établissements[39], dont seize au niveau des commerces, transports ou services, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[40].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Au sud de la commune, les vallées des affluents et sous-affluents de la Beauronne font partie des vallées de la Double, considérées comme site important par le réseau Natura 2000[48] pour la conservation d'espèces animales européennes menacées. On peut y trouver notamment la cistude d'Europe (Emis orbicularis), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) ou encore la lamproie de Planer (Lampetra planeri)[49].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D’azur au château de Chérazac, essoré de gueules, ouvert de sable, accompagné de trois fleurs de lys aussi d’argent[50]
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    2. « les Quatre Frères » sur Géoportail (consulté le 26 novembre 2013)..
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-de-Roumagnac et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-de-Roumagnac et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « St-Sulpice-de-Roumagnac » sur Géoportail (consulté le 16 janvier 2015)..
    23. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 250.
    24. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 370.
    25. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 8 avril 2014.
    26. Fiche de la commune sur le site de l'Union des maires de la Dordogne, consulté le 15 janvier 2015.
    27. « St Sulpice de Romagnac » sur Géoportail (consulté le 16 janvier 2015)..
    28. Guy Penaud, Les crimes de la Division "Brehmer", éditions la Lauze, mars 2004, (ISBN 2-912032-65-2), p. 113-121.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    31. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
    32. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
    33. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 19.
    34. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. Dossier complet - Commune de Saint-Sulpice-de-Roumagnac (24504) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.
    39. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    40. Dossier complet - Commune de Saint-Sulpice-de-Roumagnac (24504) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.
    41. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN 2-912347-11-4), p. 316.
    42. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 262.
    43. « Château de Saint-Sulpice », notice no IA24000661, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 mars 2011.
    44. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 222.
    45. « Demeure du Puid », notice no IA24000699, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 janvier 2015.
    46. « Église paroissiale Saint-Sulpice », notice no IA24000637, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 novembre 2013.
    47. « Tabernacle (tabernacle à ailes), du maître-autel », notice no PM24000375, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 novembre 2013.
    48. Carte des Vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 26 novembre 2013.
    49. [PDF] FR7200671 - Vallées de la Double sur le site de l'INPN, consulté le 23 janvier 2015.
    50. Armorial de France
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.