Saint-Sauveur (Haute-Garonne)

Saint-Sauveur est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Sauveur.

Saint-Sauveur

Mairie de Saint-Sauveur

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes du Frontonnais
Maire
Mandat
Philippe Petit
2020-2026
Code postal 31790
Code commune 31516
Démographie
Gentilé Saint-Salvadoriens
Population
municipale
1 768 hab. (2018 )
Densité 251 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 44′ 59″ nord, 1° 24′ 05″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 175 m
Superficie 7,04 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villemur-sur-Tarn
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Sauveur
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Saint-Sauveur
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Saint-Sauveur
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Saint-Sauveur
Liens
Site web

    Ses habitants sont appelés les Saint-Salvadoriens.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Sauveur se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 15 km de Villemur-sur-Tarn[3], bureau centralisateur du canton de Villemur-sur-Tarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Cépet (2,5 km), Saint-Jory (2,6 km), Bruguières (2,9 km), Villeneuve-lès-Bouloc (3,1 km), Bouloc (3,5 km), Gratentour (4,0 km), Lespinasse (4,7 km), Castelnau-d'Estrétefonds (5,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Sauveur fait partie du Frontonnais, un pays entre Gaonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leus vins et leurs fruits[5].

    Saint-Sauveur est limitrophe de cinq autres communes.

    Communes voisines.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par l'Hers-Mort et le Girou qui y confluent. Ces deux rivières faisant office de frontière naturelle avec les communes de Saint-Jory à l'est pour l'Hers et Castelnau-d'Estrétefonds et Villeneuve-lès-Bouloc au nord et nord-est pour le Girou

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 704 hectares ; son altitude varie de 112 à 175 mètres[7].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 730 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villematier », sur la commune de Villematier, mise en service en 1994[13] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 722,1 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à 13 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[17], à 13,8 °C pour 1981-2010[18], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[20],[21],[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sauveur est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[24],[25]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[26] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[27],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[29],[30].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,6 %), zones urbanisées (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,2 %), forêts (3 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication

    Accès par l'autoroute française A62 sortie  10.1 (Eurocentre) par l'ancienne route nationale 20.

    Transports

    La ligne 329 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Borderouge du métro de Toulouse depuis Villeneuve-lès-Bouloc et la ligne 351 relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Villemur-sur-Tarn.

    Histoire

    Chondrite EH5 dit de Saint-Sauveur – Muséum de Toulouse

    C’est en pleine période des guerres civiles que les seigneuries de Villaudric et de Saint-Sauveur s’allièrent entre elles, par le mariage de Gui de Babut de « San-Salbadou » avec demoiselle de Séguier de Villaudric, en 1605.

    Soixante ans après, Guillaume Lacger de Babut. et ses trois fils Jacques, Pierre et François furent maintenus dans leur noblesse en vertu du capitoulat de leurs ancêtres, le , par M. de Bezons, intendant de Languedoc. Les Babut, seigneurs de La Pointe, furent également maintenus dans leur noblesse par M. le Pelletier, intendant de Montauban, le et, plus tard, par l’intendant Langeois, le .

    Nous trouvons ensuite Jean de Babut, ancien capitaine au régiment de l’Angoumois, dénombrant ses fiefs, le , et Joseph de Babut, seigneur de Roqueserrière, en faire autant pour les siens devant les capitouls de Toulouse, le .

    Le registre de la confrérie de Saint-Guillaume nous fournit quelques détails sur cette famille seigneuriale. En 1616, Jacquette et Marguerite de Babut sont enrôlées dans la « confrérie de Saint-Guillaume ». En 1669, nous constatons que Mlle de Paucy, femme de Bahut, seigneur de Saint-Sauveur, fait partie de la confrérie et qu’elle est alliée avec les seigneurs de Paucy de Villaudric.

    En , chute de la météorite de Saint-Sauveur, dans le champ de M. Esculié qui en fit don au Muséum de Toulouse[32].

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'argent embrassé à senestre de sinople

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de dix-neuf[33],[34].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Frontonnais et du canton de Villemur-sur-Tarn (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Sauveur faisait partie de l'ex-canton de Fronton).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 1983 Albert Angely    
    1983 décembre 2004 Pierre Plantade    
    19 mars 2005 7 juillet 2006 Jean-Louis Challier    
    13 juillet 2006 En cours Philippe Petit PS Président de la Communauté de communes du Frontonnais (2014-2020)
    Président du SCoT Nord Toulousain.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2018, la commune comptait 1 768 habitants[Note 6], en diminution de 1,17 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    342379412448443436443432420
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    424400385368367353368355341
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    319328301230205202209203256
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3095389121 0931 1591 3091 6521 7661 762
    2018 - - - - - - - -
    1 768--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Avec deux petites zones industrielles, la commune de Saint Sauveur est le troisième pilier économique de la communauté de communes du Frontonnais. En 2014 la commune comptait plus de 200 établissements actif pour, environ, 900 emplois.

    Enseignement

    Saint-Sauveur fait partie de l'académie de Toulouse.

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Frontonnais[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'édifice date de 1127. Le comte de Toulouse l'a donné à l'abbaye de Saint-Sernin, qui la comprenait encore dans sa juridiction à la fin du XVIIe siècle. C'est un édifice à nef unique, chevet semi-circulaire, et deux chapelles latérales. Clocher à arcades sur la façade ouest (cinq arcades sur trois niveaux). Les décors intérieurs datent XVIIIe siècle. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1979[40].

    Personnalités liées à la commune

    Charles Mouly y a résidé une dizaine d'années. L'école publique du village a été baptisée à son nom.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Sauveur », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Sauveur et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Sauveur et Villemur-sur-Tarn », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Saint-Sauveur », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 309-310.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Villematier - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Saint-Sauveur et Villematier », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Villematier - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Saint-Sauveur et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Sauveur », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Sauveur », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Sauveur », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    27. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    28. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. R. Mathieu & G. Fleury Bull. Soc. Nat. Toulouse, 174, 2011, 77-85
    33. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    34. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020 (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. http://www.cc-dufrontonnais.fr/index.php/amenager-proteger/environnement
    40. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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