Saint-Quentin-Fallavier
Saint-Quentin-Fallavier est une commune française de l'unité urbaine de Villefontaine, située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle a été en grande partie aménagée dans le cadre de la ville nouvelle de L'Isle-d'Abeau, dont elle héberge l'important parc d'activités de Chesnes.
Saint-Quentin-Fallavier | |||||
Vue générale depuis le château. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | La Tour-du-Pin | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Porte de l'Isère | ||||
Maire Mandat |
Michel Bacconnier 2020-2026 |
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Code postal | 38070 | ||||
Code commune | 38449 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
6 083 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 266 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 37′ 59″ nord, 5° 06′ 40″ est | ||||
Altitude | Min. 206 m Max. 364 m |
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Superficie | 22,83 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Villefontaine (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lyon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Verpillière | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Isère
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | st-quentin-fallavier.eu | ||||
Géographie
Localisation
Saint-Quentin-Fallavier est située en Isère, à la limite du département du Rhône, sur l'axe A43, Lyon/Grenoble/Chambéry, respectivement à 24 km de Lyon et, 80 km de Grenoble. La ville est adossée à une série de collines, signes des préalpes. L'aéroport Lyon-Saint-Exupéry se situe à 15 km. Saint-Quentin-Fallavier faisait partie de la ville nouvelle de l'Isle d'Abeau transformée en 2007 en communauté d'agglomération Porte de l'Isère (CAPI).
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 2 283 hectares ; son altitude varie de 206 à 364 mètres[1].
Sites géologiques remarquables
Le gisement fossilifère des carrières souterraines de Saint-Quentin-Fallavier est un site géologique remarquable de 1,15 hectare. En 2014, ce site d'intérêt paléontologique est classé « deux étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[2].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par :
- le train : TER Lyon - Bourgoin-Jallieu - Saint André-le-Gaz ;
- la route : A43 (Lyon-Chambery-Grenoble), D518 ;
- les autocars : ligne Transisère 1920 (Lyon-Bourgoin-Jallieu), 1390 ;
- les autobus : réseau Ruban de la CAPI ligne A (Saint-Quentin-Fallavier Gare - L'Isle d'Abeau).
Le passage par Saint-Quentin-Fallavier dans le cadre du contournement ferré de l'agglomération lyonnaise (CFAL) est encore[Quand ?] à l'étude.
Urbanisme
Typologie
Saint-Quentin-Fallavier est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villefontaine, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[6] et 37 745 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (45,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (37 %), terres arables (25,3 %), forêts (13 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), zones urbanisées (8,6 %), prairies (3,1 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Morphologie urbaine
Depuis 1970, la ville voit des changements radicaux avec la construction d'HLM et de quartiers :
◾ Les Furins ◾ Les Moines ◾ La Lieuse ◾ Les Marronniers ◾ Les Salvias
En 2002, le département de l'Isère finance un projet qui aide les quartiers prioritaires de Saint-Quentin-Fallavier.
Depuis 2016, la ville subit beaucoup de changements comme la destruction de la salle des fêtes puis de l'ancienne mairie et de la maison des services de la mairie.
D'ici 2050, la population saint-quentinoise va augmenter de 70 %, elle passera de 7 000 habitants à 15 000 habitants, c'est pour cela que la ville subit une profonde restructuration pour accueillir de nouvelles habitations, on passera de 5 quartiers à 11 quartiers en 2045.
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 2 089, alors qu'il était de 1 958 en 1999[I 1].
Parmi ces logements, 95,8 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 3,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 75,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 24,2 % des appartements[I 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 62,9 %, en légère augmentation par rapport à 1999 (58,9 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 27,3 % contre 31,2 % en 1999, leur nombre ayant diminué de 580 à 546[I 3].
Projets d'aménagements
Les projets d'aménagement sont des démolitions de bâtiments ou de structures anciennes ainsi que la créations de nouvelles routes et structures
Toponymie
Par un décret présidentiel du , Fallavier est rattachée à Saint-Quentin pour former « Saint-Quentin-Fallavier ».
Histoire
Antiquité et Moyen Âge
Le site de Fallavier était occupé dès la préhistoire, il y a 16 000 ans environ. Une nécropole gallo-romaine, et un ouvrage hydraulique du IIe siècle ont été découverts sur place.
Un premier château existait déjà au XIIIe siècle et, après l'avoir acquis en 1250, les comtes de Savoie le font agrandir et renforcer. Les comptes de la châtellenie de Fallavier, mis en place par Pierre II de Savoie, sont parmi les plus anciens conservés de la gestion par les Savoie, ils remontent à 1246-1247[13].
À la fin du conflit frontalier entre la Savoie et le Dauphiné, le château est peu à peu délaissé au profit de la maison forte des Allinges.
Époque contemporaine
Des mines de fer sont exploitées au XIXe siècle.
La proximité de l'agglomération lyonnaise (environ une trentaine de kilomètres), la création de l'Aéroport de Lyon-Saint-Exupéry et la naissance de la ville nouvelle ont permis de créer une zone d'activité de taille européenne en partie sur le territoire de la commune.
Événement du 26 juin 2015
Le , un terroriste se rend à son lieu de travail, dans une usine de production de gaz industriels, il décapite son patron, c'est la première décapitation effectuée à l'intérieur des frontières actuelles de la France dans le cadre d'un acte terroriste, pratique souvent utilisée par l'État islamique en Irak et en Syrie[14].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[15].
En 2010, la commune a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[16].
Liste des maires
Depuis 1946, trois maires seulement se sont succédé :
Jumelages
Au , Saint-Quentin-Fallavier est jumelée avec[20] :
- Freigericht (Allemagne) depuis 1971 ;
- Gallicano nel Lazio (Italie) depuis 2002.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].
En 2018, la commune comptait 6 083 habitants[Note 4], en augmentation de 2,82 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Saint-Quentin-Fallavier est située dans l'académie de Grenoble.
Elle administre trois écoles maternelles (dont une est rattachée près de l'école élémentaire les Marronniers) et trois écoles élémentaires (l'école élémentaire les Marronniers et le groupe scolaire les Tilleuls et le groupe scolaire les Moines) communales et dispose d'une école maternelle et d'une école élémentaire privée (école privée Françoise Dolto)[25].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 31 160 €, ce qui plaçait Saint-Quentin-Fallavier au 13 769e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[27].
En 2009, 48,6 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 4].
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 3 987 personnes, parmi lesquelles on comptait 64,6 % d'actifs dont 56,6 % ayant un emploi et 8,0 % de chômeurs[I 5].
On comptait 11 006 emplois dans la zone d'emploi, contre 9 542 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 267, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 5] est de 485,6 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre près de cinq emplois par habitant actif[I 6].
Entreprises et commerces
Au , Saint-Quentin-Fallavier comptait 723 établissements : 19 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 75 dans l'industrie, 47 dans la construction, 511 dans le commerce-transports-services divers et 71 étaient relatifs au secteur administratif[I 7].
En 2011, 46 entreprises ont été créées à Saint-Quentin-Fallavier[I 8], dont 18 par des autoentrepreneurs[I 9].
La ZI comptait[Quand ?] 283 entreprises pour un total de 11 200 salariés. Le principal employeur est le secteur de la logistique ; les autres secteurs sont principalement le BTP et les autres activités de services.
Parmi les 723 établissements de la commune, on peut citer :
- la société de robinetterie Thermador, créée après 1968. Elle emploie 257 salariés et a un chiffre d'affaires de 194 millions d'euros. La grille des salaires se situe dans une fourchette de 1 à 10 et tous les salaires y sont exposés et discutés de manière publique[28] ;
- la société Martinet qui y a implanté son siège social ;
- la société RueDuCommerce qui y a implanté son retour SAV.
- La société de transport Dupessey qui annonce en 2016 son installation dans un entrepôt de 18 000 m2[29]
- Le centre de recherche de la société Parex Group
Saint-Quentin-Fallavier possède une plateforme industrielle et logistique qui est considérée comme d'importance internationale et qui ne cesse de croître, avec un trafic estimé à 5 000 poids lourds par jour et 1,5 million de m² d’entrepôts début 2007. L'activité logistique bénéficie de la présence de l'échangeur de l'A43, la proximité de l'aéroport Saint-Exupéry, et la ligne SNCF Lyon-Grenoble. Les embranchements frets y sont nombreux, et une future extension vers l'Italie et notamment Turin est toujours d'actualité bien que la mise en service de cette liaison soit sans cesse reportée (Pour plus d'info voir ligne Lyon-Turin).
Culture locale et patrimoine
Monuments historiques
La commune compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[30] :
- la maison forte des Allinges (XIVe siècle)[31], inscrite depuis le [32] ;
- La Sarrazinière à Monthion. Ses vestiges de l'époque romaine sont classés depuis le [33].
Autres lieux et monuments
Outre les deux monuments historiques, l'espace naturel de Fallavier, zone protégée et classée, englobe également :
- le château de Fallavier (XIIIe siècle) qui comprend deux enceintes et un donjon circulaire. Il offre une vue panoramique exceptionnelle. C'est aussi le lieu où furent tournés certains épisodes de la série télévisée Kaamelott lors des scènes du château des livres I à III ;
- le hameau de Fessy (architecture rurale traditionnelle, certaines parties datent du Moyen Âge) ;
- les étangs de Fallavier et des Allinges ;
- une partie des marais de la Bourbre ;
- la colline du Relong, qui abrite l'observatoire du club d'astronomie Sirius de Villefontaine (commune voisine) ;
- le site du Relong, labellisé Patrimoine en Isère[34].
Patrimoine naturel
La pierre à cupules de Saint-Quentin (pierre du vallon de la Fuly) a été déplacée et déposée au flanc de l'église paroissiale [Note 6].
- Le château de Fallavier.
- L'église paroissiale.
- Pierre à cupules de Saint-Quentin-Fallavier.
Patrimoine culturel
Un musée de la vie rurale est situé dans la commune.
Espaces verts et fleurissement
En , la commune confirme le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[35].
Personnalités liées à la commune
- Pierre Arnaud (1942), ancien professeur d'éducation physique, historien spécialiste de l'histoire du sport, y a fait ses études primaires.
- Jérémie Bréchet (1979), footballeur, formé à l'OSQ football de Saint-Quentin-Fallavier.
Héraldique
Blason | Cinq points d’or équipolés à quatre d’azur, le point du chef chargé de 12 étoiles ordonnées en anneau, celui du flanc dextre d’une fleur de lys et celui du flanc senestre d’un dauphin, à la tour de Fallavier sur un mont mouvant de la pointe, brochant sur le pointe et en partie sur les cantons de la pointe et le cœur, le tout aussi d’or, aux ceux clous de mineur d’argent passées en sautoir brochant sur le tout. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
- 45° 37′ 57″ N, 5° 06′ 42″ E .
Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
- DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
Autres sources
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Villefontaine », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 2-05-101676-3), p. 355.
- « Isère : décapitation d'une victime de terrorisme, une première en France », sur LCI, .
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 18/12/2009.
- « Attentat à St-Quentin-Fallavier : le chef d'entreprise décapité avant le début de l'attaque », sur le site du quotidien Le Dauphiné libéré, (consulté le ).
- « Résultats des Municipales à Saint-Quentin-Fallavier en Isère - 1er tour », sur le site de la chaîne de télévision France 3, (consulté le ).
- « Article de presse »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Isère (38), Saint-Quentin-Fallavier, écoles », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Isère (38), Saint-Quentin-Fallavier, collège », sur le site du ministère de l'Éducation nationale, (consulté le ).
- « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Céline Deval, « [www.capital.fr/enquetes/strategie/chez-thermador-tous-les-salaires-sont-publics-790811 Chez Thermador, tous les salaires sont publics] », Capital, publié le 26 novembre 2012, consulté le 28 novembre 2012
- « Un entrepôt à Saint-Quentin-Fallavier pour Dupessey - Mon local industriel », sur Mon local industriel (consulté le ).
- « Liste des monuments historiques de la commune de Saint-Quentin-Fallavier », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Élisabeth Sirot 2007, p. 11.
- « Maison forte des Allinges », notice no PA38000030, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ruine romaine dite La Sarrazinière », notice no PA00117272, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les labels patrimoine en Isère », sur isere-patrimoine.fr, Conseil Général de l'Isère (consulté le ).
- « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
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