Saint-Plaisir
Saint-Plaisir est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Saint-Plaisir | |||||
L'église Sainte-Placide. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Allier | ||||
Arrondissement | Moulins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Bocage Bourbonnais | ||||
Maire Mandat |
Didier Thevenoux 2020-2026 |
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Code postal | 03160 | ||||
Code commune | 03251 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Plaisirois Saint-Plaisiroises [1] |
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Population municipale |
378 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 7,2 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 37′ 24″ nord, 2° 58′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 207 m Max. 319 m |
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Superficie | 52,54 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Moulins (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bourbon-l'Archambault | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Allier
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Les habitants se nomment les Saints-Plaisirois et se surnomment les Cocheriaux (allusion à d'abondantes cueillettes de cocherelles, espèce de champignons).
Géographie
Saint-Plaisir s'étend sur 5 234 hectares, dont 1 130 hectares de forêt (Civrais, Champroux). Le bocage caractérise le paysage. L'altitude au centre du bourg est de 248 m.
La commune de Saint-Plaisir est traversée par trois rivières : le Cotignon et le Pont-Lung qui se jettent dans la Bieudre.
Les élevages de bovins allaitants (environ cinq mille têtes) et d'ovins (plus de deux mille cinq cents reproducteurs) dominent la production agricole de la commune.
Le climat de Saint-Plaisir est tempéré.
Villages et lieux-dits [2] :
- Provenchère, à 1 km à l'ouest du bourg, sur la D14 (route de Couleuvre) ;
- Grasset, à 3 km à l'ouest du bourg, sur la D14, à l'intersection d'une route traversant la forêt de Civrais vers Cérilly ;
- Gennetines, à 4 km à l'ouest du bourg, sur la D14 (route de Couleuvre), à 274 m d'altitude ;
- la Faix, à 3 km à l'ouest du bourg, sur la D128 (route de Theneuille), à 258 m d'altitude ;
- Bouillole, à 4,25 km au sud-ouest du bourg, sur la D17 (route de Theneuille), à 276 m d'altitude ;
- les Grands Cris, à 3,5 km au sud du bourg, sur la D228 (route de Bourbon-l'Archambault), à 296 m d'altitude ;
- Tilly, à 1,5 km au nord du bourg, sur la D234 (route de Couleuvre), à 242 m d'altitude ;
- Trancheronde, à 2,5 km à l'est du bourg, sur la D14 (route de Bourbon), à 263 m d'altitude ;
- les Theilles, à 2,7 km au sud est du bourg, sur la D135 (route de Bourbon), à 284 m d'altitude ;
- Gondoux, à 3,6 km au sud du bourg, sur la D17 (route de Cérilly), à 279 m d'altitude.
Communes limitrophes
Ses communes limitrophes sont[3] :
Urbanisme
Typologie
Saint-Plaisir est une commune rurale[Note 1],[4]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Moulins, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55,3 %), forêts (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), terres arables (5,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Histoire
Des recherches archéologiques ont révélé une occupation du territoire au néolithique avec la découverte de nombreux silex taillés, de flèches, de plusieurs haches polies ou encore un couteau de type pressignien. Une hache de bronze datant de l'époque protohistorique a aussi été découverte près de Tilly.
Il aurait également existé dans la commune un dolmen constitué d'une grande pierre plate de 3 mètres de long sur un mètre d'épaisseur, soutenue par deux murs de pierres sèches au lieu-dit La Bussière. Il est aussi à noter que d’intrigantes grosses pierres parsèment les champs de la Grosse Pierre et des parcelles dites Pierres Folles.
Plusieurs voies antiques ont traversé la commune, dont la grande voie de Bourges et le chemin des Allemands ou encore le grand chemin Royal qui reliait Paris à Lyon. On remarque aussi la présence sur un plan datant de 1831 d'une route en pierre dont la chaussée a été détruite plus tard par les cultures. Ce dernier chemin marquait la frontière entre Saint-Plaisir et le village voisin, Franchesse.
La densité des voies antiques découvertes sur la commune laisse suggérer que le territoire était un important carrefour de marchandises et d'échanges. Le village se serait d'ailleurs construit dans un premier temps à partir d'une maison de repos, permettant aux voyageurs de faire une halte entre Bourbon-l'Archambault et Lurcy-Lévis. On relève aussi la présence de tegulae et d'une Villa Jovis proche de la forêt de Civrais.
On note également qu'avant sa destruction, on pouvait découvrir en pleine forêt de Civrais une mystérieuse croix érigée sur un gros bloc rocheux taillé et sur lequel figuraient des inscriptions. Il se serait agi du lieu où serait morte une femme effrayée et attaquée par des chiens Saint Hubert qui la poursuivaient.
Le site accueillit une communauté religieuse aux XIe et XIIe siècles. À l'origine, la paroisse se nommait Sainte-Placide et dépendait du diocèse de Bourges. C'est en 1403 qu'elle devient Saint-Plaisir[11]. En 1615, la commune accueillit des visiteurs de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
Il est également probable qu'il ait existé plusieurs maisons fortes aujourd'hui disparues sur le territoire de la commune. Une dernière est encore debout sur le hameau de Gennetines où il existerait un souterrain aujourd'hui en partie effondré. On suspecte également l'existence ancienne d'un château sur le bourg en raison d'un titre de noblesse référencé au XVe siècle : sieurs de Saint-Plaisir. Une organisation circulaire du bourg laisse aussi songer à une construction castrale, évoquée d'ailleurs par le toponyme La Barre, au-dessus du gué de la Bieudre.
Pendant la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le village prit le nom de La Bieudre[12].
Beaucoup plus proche de notre temps, on apprend qu'une femme ayant habité à Saint-Plaisir aurait eu le don d'éloigner les orages du bourg. Cette dernière aujourd'hui décédée et enterrée dans le cimetière du village continuerait à protéger les terres de la commune des orages violents[réf. nécessaire].
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[15].
En 2018, la commune comptait 378 habitants[Note 3], en diminution de 4,55 % par rapport à 2013 (Allier : −1,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Manifestations culturelles et festivités
- Fête du muguet (premier mai).
- Foire aux plantes (deuxième dimanche de mai).
- Brocante (deuxième dimanche de juillet).
- Fête patronale (premier week-end de septembre).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Placide datant de la seconde moitié du XIIe siècle. D'art roman, elle est composée de trois nefs terminées par un chevet carré sur lequel on construisit au XIVe siècle deux chapelles de chaque côté. Plus tard, l'édifice fut voûté en tiers-point. Le sanctuaire se termine par un chevet plat à trois baies, ce qui est particulièrement rare dans les églises bourbonnaises. Une décoration peinte du XIXe siècle est composée de feuillages. La porte d'entrée a été conçue comme celle de l'église de Saint-Hilaire. On a découvert également dans le monument une huile sur toile représentant l'Assomption de la Vierge, ainsi que plusieurs sarcophages dont certains couvercles se révèlent être les bancs utilisés sur le parvis. Par ailleurs, on remarque sur les flancs de l'église des gargouilles grimaçantes, qui pourraient aussi être la signature de ceux qui ont construit l'édifice.
- Stèle de la Bouillole. Stèle en la mémoire de dix jeunes résistants tués en 1944 par les troupes allemandes dans le combat de la ferme de la Bouillole. Cette stèle est positionnée à l'intersection des routes D 17 et D 128 : 46° 36' 11,7" nord / 2° 55' 25,8" est.
- À Saint-Plaisir se trouvait une fontaine au nom de Saint-Eustache, dont l'eau avait la réputation de guérir les yeux malades. Cette fontaine se situait près du moulin de la Planche[17].
- Le bénitier de Gennetines a donné l'expression « sec comme le bénitier de Gennetines[18] ». Ce bénitier proviendrait du château de Gennetines, un grand hameau appartenant à la commune. Selon la légende, il s'agissait d'une pierre fruste et creusée trouvée au lieu-dit la Chapelle avec, dit-on, des boules et des quilles en or. Selon les récits transmis par Y. et J.-M. Guet[19], on hissa le bénitier sur un chariot tiré par quatre bœufs afin de le transporter jusqu'au site de l'église, qui était encore en construction. Mais en raison du mauvais état du chemin, les bêtes s'arrêtèrent et ne voulurent plus avancer, ce qui fut compris comme un mauvais signe divin. On déchargea alors la pierre dans une haie qui pendant des siècles fut surmontée d'une croix au lieu-dit La Faix, avant d'être brisée en deux pour réparer une fontaine. La partie principale du bénitier demeure aujourd'hui sur le flanc d'une maison du même lieu-dit, en étant toujours à sec…
- La Chaire
- La nef
- Bas-côté droit
- Bas-côté gauche
- Huile sur toile de L'Assomption de la Vierge
Traditions et coutumes
Il existait à Saint-Plaisir bon nombre de traditions relatives au milieu paysan et antérieures à la Seconde Guerre mondiale.
• Au moment du Réveillon de Noël, on ne faisait que deux repas simples à midi et au soir. Les habitants avaient pour habitude de préparer une oie et une dinde rôties. La journée était exclusivement dédiée à la confection de pains et de "pompes de Noël" pour les donner ensuite aux pauvres. On profitait aussi de la chaleur des fours pour sécher des feuilles de chêne destinées à fabriquer des "cordets" tressés. On ramonait également toutes les cheminées à l'aide d'une perche de chêne au bout de laquelle était fixée un bouquet de houx.
Avant le dîner, on lavait la Chandelle de Noël faite de suif jaune et décorée en rouge et bleu. Ces dernières chandelles étaient encore achetées à une épicière du village surnommée affectueusement la "Mère Pardoux". L'allumage de cette chandelle était très important et redouté, car il se disait que si l'on ratait l'allumage, on risquait de mourir dans l'année. Chacun des membres d'une famille l'allumait, la soufflait et faisait le signe de croix avant de passer la chandelle à un autre jusqu'au dernier qui la laissait allumée. Cette même chandelle était utilisée quelques fois dans l'année, notamment lors des violents orages pour protéger les maisons de la foudre ou encore posée et enveloppée de soie sur la poitrine des enfants enrhumés.
Comme dans le reste de la France, on plaçait dans la cheminée la "cosse de Noël" ou encore "bûche de noël" que l'on faisait brûler. On faisait également "bletter" le tison et plus ce dernier bléttait, plus les récoltes de l'année à venir seraient abondantes. Avant de partir à la messe de minuit, on plaçait sur le tison des cendres afin de garder le feu en vie et pour permettre aux anges, dit-on, de venir se réchauffer. Pour la suite de l'année, un morceau de bûche était gardée pour protéger des orages et dont les cendres étaient répandues dans les champs de blé, ou encore sur les choux et les salades pour les protéger de toutes menaces. Pendant la messe de minuit, les Cocheriaux savaient qu'ils ne fallait pas se rendre auprès de leur bêtes et notamment les bœufs, qui croyait-t-on, parlaient les nuits de Noël. Les surprendre, c'était causer un grand malheur. Malheur aussi si le coq chantait pendant de la messe.
Enfin, le jour de Noël, on faisait tourner les roues des chariots pour éloigner les sorciers ou bien l'on tirait des coups de fusil.
• La procession de saint Eustache lors des étés secs. Autrefois, les habitants de Saint-Plaisir effectuaient un pèlerinage en portant la statue de saint Eustache dont on faisait tremper les pieds dans l'eau d'une font située près du moulin de la Planche. Cette font avait pour réputation de guérir toutes les maladies des yeux. Ce rituel se produisait lors des périodes de grande sécheresse. Mais un jour, après une cérémonie, un terrible orage de grêle des plus dévastateurs se serait abattu. Dès lors, on remplaça le trempage des pieds de la statue par le jet de grès provenant de la roche des colonnes du portique de l'église, qui était raclé à l'aide de couteaux. On observe encore aujourd'hui ces traces qui ont aussi leur origine dans l'affûtage des lames de couteaux par les paysans.
• Divers remèdes et rituels pour soigner un grand nombre de maux.
- Ainsi, pour soigner les brûlures : on appliquait des fragments de coquilles écrasées et chauffées à la pelle rougie au feu, avant d’appliquer de la crotte de chèvre sèche réduite en poudre.
- Pour les coupures : on étendait sur la plaie une toile d'araignée.
- Pour les verrues : on piquait à l'aide d'une aiguille chauffée la zone concernée, avant d'y placer un oignon coupé, ou encore un os trouvé sur la route.
- Pour le mal de dents : on piquait la gencive avec un clou que l'on jetait par la suite dans un puits ou bien on faisait un cataplasme constitué de plumes de chat-huant.
- Contre la coqueluche : on faisait porter au malade un collier d'ail ou de laine de mouton, et l'on faisait boire le malade dans le même seau d'eau que l'âne.
- Contre la tuberculose : on faisait boire au malade de la tisane de limaces ou du lait d'ânesse.
- Certaines prières pouvaient guérir bon nombre de maladies, prévenir de la foudre ou encore soigner le bétail.
Biodiversité
La commune de Saint-Plaisir abrite une faune et une flore diversifiées sans doute grâce à ses deux forêts de chênes et sa position dans le Bocage Bourbonnais.
En effet, il est possible d'observer une riche biodiversité notamment des oiseaux et des insectes, y compris des espèces sensibles : le Grand Capricorne, le Lucane Cerf-Volant, la Cigogne Noire, la chouette effraie, le hibou moyen-duc, le milan royal ou encore l'épervier.
Parmi les oiseaux bien présents : les buses, l'hirondelle rustique, le martin-pêcheur ou bien encore le guêpier d'Europe.
On observe aussi une importante population d’amphibiens, et notamment de salamandres ou de divers tritons notamment sur les domaines forestiers de Champroux et Civrais. Dans ces mêmes espaces, on observe des populations de cervidés, de renards et de blaireaux ou encore de martres et de quelques putois.
Au printemps, il est possible d'observer facilement des Grands Paons de nuit, des grillons champêtres ou bien encore des hannetons.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- https://www.habitants.fr/allier-03
- IGN
- Géoportail (consulté le 4 mai 2017).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Le Patrimoine des communes d'Allier, t. I, éditions Flohic, 1999.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Liste nominative des communes de l'Allier » [PDF], sur maires-allier.fr, Association des maires et présidents d'intercommunalité de l'Allier, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Camille Gagnon, Folklore bourbonnais, t. I et II, Roanne, Horvath, 1979.
- Camille Gagnon, op. cit.
- Anciens professeurs de Gennetines, Travaux de recherches sur Saint-Plaisir, Saint-Plaisir, 13 p.
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