Saint-Nazaire-de-Pézan

Saint-Nazaire-de-Pézan [sɛ̃ na.zɛ.ʁə də pe.zɑ̃] (en occitan Sant Nazari de Pesan [sant na.'za.ri de pe.'zan]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Saint-Nazairois.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Nazaire (homonymie).

Saint-Nazaire-de-Pézan

Vue aérienne.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lunel
Maire
Mandat
Christophe Calvet
2020-2026
Code postal 34400
Code commune 34280
Démographie
Gentilé Saint-Nazairois
Population
municipale
621 hab. (2018 )
Densité 110 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 38′ 38″ nord, 4° 07′ 11″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 5 m
Superficie 5,66 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lunel
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunel
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Nazaire-de-Pézan
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Saint-Nazaire-de-Pézan
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Nazaire-de-Pézan
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Nazaire-de-Pézan
Liens
Site web www.saintnazairedepezan.fr

    Une grande partie de son territoire est située en zone humide. Le classement NATURA 2000 de ses milieux fragiles vise à protéger l’ensemble de ses richesses naturelles et sa biodiversité. Canards sauvages et autres espèces protégées : flamants roses, tortues cistudes, hérons, aigrettes… sont nombreux sur le territoire.

    Les traditions camarguaises font partie de son identité. La commune est bordée par les manades.

    Le village est marqué par une activité agricole prépondérante (pommiers, vignes, maraîchage, céréales etc.) et une zone artisanale dynamique

    Géographie

    Carte

    Saint-Nazaire-de-Pézan est un village situé à 3 km au sud-ouest de Lunel et à 20 km à l'est-nord-est de Montpellier.

    Le village est également proche de la région naturelle de la Camargue.

    Communes limitrophes de Saint-Nazaire-de-Pézan
    Saint-Just Lunel (sur 200 m)
    Lansargues Marsillargues

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 673 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,2 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marsillargues », sur la commune de Marsillargues, mise en service en 1988[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 621,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux[19],[20], mais aussi de la directive habitats, l'« étang de Mauguio » ou « étang de l'Or ». D'une superficie de 7 020 ha, cette lagune communique avec la mer par un grau qui relie le Sud-Ouest de l'étang au port de Carnon. L'étang est entouré par une gamme variée d'habitats naturels : un système dunaire, des milieux saumâtres à hyper salés sur les rives sud et est et des milieux saumâtres à doux influencés par l'eau douce sur les rives nord. Ce site présente une diversité des milieux et des conditions d'hygrométrie et de salinité, lui conférant un intérêt ornithologique remarquable[21].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[22] : le « marais de Tartuguière et du Grès » (662 ha), couvrant 5 communes du département[23] et la « mare du Christoulet » (5 ha)[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[22] : le « complexe paludo-laguno-dunaire des étangs montpelliérains » (14 344 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Gard et 13 dans l'Hérault[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Nazaire-de-Pézan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[26],[27],[28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lunel, une agglomération inter-départementale regroupant 9 communes[29] et 51 540 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,2 %), zones humides côtières (26,5 %), zones urbanisées (6,7 %), terres arables (5,6 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1745 1764 François Pagès    
    1764 1769 André Pagès    
    1769 1770 Jean Castan    
    1770 1771 François Ollivier    
    1771 1775 Pierre Coulondre    
    1775 1787 Jean Vitou    
    1787 1789 Antoine Ollivier    
    1789 1814 Pierre Rafin    
    1814 1830 Louis Boulet    
    1830 1841 Pierre Avesque    
    1841 1851 Louis Pagès    
    1851 1855 François Pagès    
    1855 1869 Louis Pagès    
    1869 1875 Guillaume Tourret    
    1875 1876 Julien Pagès    
    1876 1878 Baptiste Ollivier    
    1878 1881 Pierre Renard    
    1881 1898 Antoine Boyer    
    1898 1900 Julien Pagès    
    1900 1902 Eugène Dussol    
    1902 1919 Emile Nayral    
    1919 1925 Edouard Mazauric    
    1925 1929 Jean Manse    
    1929 1931 Jules Lauga    
    1931 1944 Gaston Brun    
    1944 1970 Joseph Dugaret    
    1970 juin 1995 Adrien Dugaret    
    juin 1995 mars 2008 Gilles Peyre de Fabrègues    
    mars 2008 mars 2020 Robert Pistilli    
    mars 2020 En cours Christophe Calvet    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 621 habitants[Note 8], en augmentation de 5,08 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    806859106106138145176153
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    181185201168180135143149170
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    185197218253233286205197215
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    235224200278469539556576622
    2018 - - - - - - - -
    621--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Toponymie

    Plan par masse de culture (an XII).

    Le nom de Saint-Nazaire est attesté en 1793, puis en 1801. La commune devient Saint-Nazaire-de-Pézan en 1956 (décret du [39]), mais ce changement ne devient officiel au niveau administratif qu'au 1er [40].

    Lieux et monuments

    • Le Village

    Un habitat du Bas-Empire a été mis au jour sous l’église : il est à l’origine de Saint-Nazaire-de-Pézan. Situé entre Lunel et le Mas Desports, le village se trouvait sur l’antique chemin qui reliait l’étang de l’Or à la baronnie. Son existence est attestée au VIIIe siècle à la suite du développement du trafic maritime. Des traces plus anciennes d’habitats de l’âge du Fer ont été découvertes dans un méandre du Dardaillon, dans un quartier appelé l’Hournède. Des sépultures de la première moitié du IVe ap. J-C. ont été découvertes aux Trentières le long du chemin appelé la Grande Draille. Saint-Nazaire-de-Pézan présente un environnement typique d’un village de petite Camargue avec ses roselières jadis réputées qui retrouvent aujourd’hui toute leur vitalité grâce aux efforts de la commune. Dans le cadre de la préservation de cette zone humide fragile, la gestion des niveaux d’eau y est primordiale.

    • Église Saint-Nazaire-et-Saint-Celse, place de la République.

    Des sarcophages paléochrétiens ont été découverts à côté de l’église paroissiale. L’église de type roman, construite au XI ou XIIe siècle sur un ancien lieu de culte carolingien a été détruite pendant les guerres de religion : seul le mur nord, en appareil dit de Montpellier (alternance d’assises plus ou moins grandes), a été conservé. Aux alentours des années 1600, elle est rebâtie avec les moellons de l’édifice primitif : la longueur est alors raccourcie, puisque la nouvelle construction ne comportera qu’une travée au lieu de deux précédemment. En 1617, la cloche classée au titre du Mobilier Historique et don des catholiques de Lunel à ceux de Saint-Nazaire-de-Pézan, est posée. En 1850, la façade clocher menace ruine. En 1870, elle est abattue et remplacée par le clocher actuel selon les plans de l’architecte Alaus.

    Héraldique

    Les armoiries de Saint-Nazaire-de-Pézan se blasonnent ainsi :

    D'azur à la demi-fasce ondée abaissée d'argent, mouvant de dextre, chargée d'ondes du champ et semée de roseaux de sable, à saint Nazaire au naturel brochant, ayant la main dextre appuyée sur une épée basse d'argent garnie d'or et tenant dans sa senestre une palme de sinople, accompagné de trois rocs d'échiquier d'argent ordonnés 2 et 1 au canton senestre du chef. (création 2011)

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean Ancette et Claude Raynaud, « Saint-Nazaire-de-Pézan : l'histoire viticole au miroir municipal », Études héraultaises, no hors-série, , p. 65-82
    • Benno Sternberg-Sarel, « Grands et moyens propriétaires dans deux villages de l'Hérault [Saint-Just et Saint-Nazaire de Pézan] », Revue française de sociologie, t. 2, no 4, , p. 259-271

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Marsillargues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Saint-Nazaire-de-Pézan et Marsillargues », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Marsillargues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Saint-Nazaire-de-Pézan et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « l'« étang de l'Or » », sur le site du conservatoire du littoral (consulté le )
    16. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Nazaire-de-Pézan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR9101408 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    21. « site Natura 2000 FR9112017 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Nazaire-de-Pézan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « marais de Tartuguière et du Grès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF la « mare du Christoulet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF le « complexe paludo-laguno-dunaire des étangs montpelliérains » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    29. « Unité urbaine 2020 de Lunel », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    30. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    31. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Journal officiel, 1956, n°86, p.3504
    40. Site annuaire-mairie.fr, Histoire de la commune, consulté le 25 décembre 2016.
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