Saint-Mont

Saint-Mont est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Mont (homonymie).

Saint-Mont

cave coopérative de Saint-Mont

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Armagnac Adour
Maire
Mandat
Michel Petit
2020-2026
Code postal 32400
Code commune 32398
Démographie
Gentilé Saint-Montais
Population
municipale
320 hab. (2018 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 08″ nord, 0° 08′ 57″ ouest
Altitude 130 m
Min. 89 m
Max. 165 m
Superficie 12,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Adour-Gersoise
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Mont
Géolocalisation sur la carte : Gers
Saint-Mont
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mont
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mont
Liens
Site web http://www.mairie-saintmont.com

    Géographie

    Localisation

    Saint-Mont est une commune d'Armagnac située sur le Saget et sur l'ancienne route nationale 646 entre Riscle et Projan.

    Sain- Mont est un vieux village accroché à une colline. Tout en haut domine une église très archaïque que l'on atteint par des ruelles en pente bordées de vieilles maisons.

    Le paysage est verdoyant, les terrasses s'abaissent et sur les pentes ensoleillées, la vigne prend de plus en plus de place pour produire des crus de qualité : madiran, pacherenc et côte de saint-mont. La plaine est dominée par la culture du maïs.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Mont[1]
    Saint-Germé Tarsac
    Corneillan Riscle
    Labarthète Viella

    Géologie et relief

    Saint-Mont se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    Hydrographie

    Le village est implanté au confluent de l'Adour et du Saget[3].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 008 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maumusson », sur la commune de Maumusson-Laguian, mise en service en 1963[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 020,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, dans le département des Pyrénées-Atlantiques, mise en service en 1921 et à 36 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Mont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,8 %), zones agricoles hétérogènes (20,1 %), cultures permanentes (18,7 %), forêts (15,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), eaux continentales[Note 4] (2,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Le village de Saint-Mont est bâti sur un éperon rocheux dominant l'Adour, fleuve gascon. Cette situation privilégiée a fait de ce village un lieu chargé d'Histoire. Habité dès l'aube de l'humanité, ce mont fut consacré par les druides, puis les Romains, qui firent de ce site stratégique un point fortifié : un oppidum. Introduisant différentes cultures dont celle de la vigne, ils installèrent des temples dans lesquels ils offraient des sacrifices aux dieux païens.

    En l'an 1050, le comte de Gascogne et d'Armagnac Bernard Tumapaler fonde sur les ruines de l'ancien oppidum, le monastère dédié à saint Jean et rattaché à l'ordre de Cluny. Les moines occuperont le lieu jusqu'à la Révolution française et en 1791, le monastère sera vendu aux enchères comme bien national.

    En 1822, Saint-Mont absorbe la commune de Cadillon[22].

    Politique et administration

    Liste des maires

    mairie de Saint-Mont
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
      mars 2001 Jean-Marie Jégun SE  
    mars 2001 2008 Michel Couture SE  
    mars 2008 En cours Michel Petit[23] PS Président de la Communauté de Communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25]. En 2018, la commune comptait 320 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    610579644701677722679700726
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    694625660629652629581568536
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    522504420412386366390347379
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    364351348322319304302299320
    2018 - - - - - - - -
    320--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Le village possède une école maternelle[28]. L'école élémentaire et le collège se trouve à Riscle. Les lycées les plus proches sont à Aire-sur-Adour et Nogaro.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête : [29].

    Économie

    Saint-Mont est le pays de l'AOVDQS/AOP côtes de saint-mont, de la polyculture, des foie gras, des confits, de l'eau de vie d'armagnac et surtout le siège de la cave coopérative "Vignerons du Saint-Mont" qui commercialise les meilleurs crus locaux: AOP saint-mont, madiran (AOP) et pacherenc du Vic-Bilh.

    Viticulture : saint-mont (AOP).

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Jean-Baptiste

    L'église Saint-Jean-Baptiste est classée au titre objet des monuments historiques depuis 1923[30].

    L'église appartenait autrefois au prieuré de Saint-Mont qui était rattaché à l'ordre de Cluny. Le prieuré avait d'abord été une abbaye fondée au cours d'une épidémie de peste, vers 1050, par un seigneur de Saint-Mont, Raymond, en faisant le vœu de s'y faire moine. Il fonda l'abbaye avec l'appui du comte de Gascogne et d'Armagnac, Bernard II d'Armagnac dit Tumapaler et en confia la direction des douze moines à l'abbé Trencardus. Après plusieurs années de vie errante, Raymond revint pour se faire moine. Découvrant le relâchement du monastère, il profita de la présence de l'abbé de Cluny, Hugues de Cluny, pour lui demander le rattachement de l'abbaye à l'ordre de Cluny qui devint alors un prieuré[31] le .
    Ce rattachement irrita l'archevêque d'Auch, saint Austinde (1050-1068), qui voyait lui échapper une abbaye au profit de Cluny. Un accord put être trouvé grâce à l'intervention du comte d'Armagnac qui comprit aussi la collégiale Saint-Nicolas de Nogaro.
    .En effet, le comte échangea ses droits sur Nogaro contre ceux que l'archevêque possédait sur Saint-Mont. Saint-Mont a été le premier prieuré clunisien en Armagnac. En 1068 est venu s'ajouter celui de Saint-Orens à Auch. Après avoir été battu en 1062 à la bataille de La Castelle par Guillaume VII d'Aquitaine, Bernard Tumapaler se retira à l'abbaye de Cluny, puis à l'abbaye de Saint-Mont.
    Le bâtiment était déjà dégradé quand les troupes protestantes commandées par Montgommery sont venues le saccager en 1569. Le prieuré a été restauré aux XVIIe et XVIIIe siècles. Le prieuré ne comportait plus que sept moines. Après leur dispersion en 1791, les bâtiments monastiques ont été vendus en 1795. L'église devint paroissiale.

    L'église abbatiale des XIe, XIIe et XIIIe siècles s'appuie sur de puissants contreforts nécessités par sa position sur une falaise abrupte de l'Adour.

    L'église possède une nef unique, un chevet plat, un grand arc triomphal, une absidiole semi-circulaire, de remarquables chapiteaux du XIe siècle et des traces de peintures romanes.

    L'extérieur

    Le chevet est composé de deux volumes simples et massifs, soulignés aux angles par des contreforts puissants et disposés perpendiculairement l'un à l'autre : l'un des volumes dans l'axe de la nef correspond au sanctuaire, l'autre qui forme comme le bras d'un transept abrite une chapelle. De l'autre côté de la nef, au sud, reste une absidiole du XIe siècle.

    Le portail occidental date du XVIIe siècle.

    L'intérieur

    Les chapiteaux du transept sont très mutilés pour certains. Toutefois, il est possible de distinguer certaines scènes ou des dessins : de grands quadrupèdes ailés qui dévorent la tête d'un homme debout à l'angle ; des personnages, en l'occurrence, deux moissonneurs, assis, attendent leur repas que le prophète Habacuc leur apporte dans un panier suspendu au bout d'un bâton reposant sur son épaule, mais un ange, debout, arrête son geste et saisit ses cheveux ; Daniel encadré de fauves.

    Dans la nef et le sanctuaire, on peut admirer des chapiteaux historiés de style roman, réemployés lors de la restauration du XVIIIe siècle : un ange arrête l'âne de Balaam ; David joue de la viole parmi des musiciens et des danseurs.

    La dimension actuelle de l'édifice est 38,40 m de longueur pour 24,90 m de largeur au niveau du transept et 13,20 m au niveau de la nef.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules au veau d'or léchant une pierre de sel d'argent sur une montagne du même mouvant de la pointe[32].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean Cabanot, L'église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Mont, p. 80–90, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970
    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF40101206)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. Courtès, Georges. et Société archéologique et historique du Gers (France), Les communes du département du Gers, Société archéologique et historique du Gers, 2003- (ISBN 2950590071, OCLC 60372477, lire en ligne).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Maumusson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Mont et Maumusson-Laguian », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Maumusson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Mont et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cadillon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    23. Site de la préfecture - Fiche de Saint-Mont
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Ministère de l'Éducation nationale, « Annuaire : présentation des écoles, collèges, lycées, etc. », Ministère de l'Éducation nationale, (lire en ligne, consulté le ).
    29. Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, notice BnF no FRBNF35576310).
    30. Notice no PA00094920, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église
    31. Notice no PA00094921, base Mérimée, ministère français de la Culture : Prieuré
    32. Banque du blason.
    • Portail du Gers
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.