Saint-Gervais (Val-d'Oise)

Saint-Gervais est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Gervais.

Saint-Gervais

La mairie, datée de 1888.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Vexin - Val de Seine
Maire
Mandat
Florence Binaux Le Clech
2020-2026
Code postal 95420
Code commune 95554
Démographie
Gentilé Bercagniens
Population
municipale
908 hab. (2018 )
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 10′ 00″ nord, 1° 46′ 00″ est
Altitude 115 m
Min. 55 m
Max. 158 m
Superficie 13,18 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
Législatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Saint-Gervais
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Saint-Gervais
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Gervais
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Gervais
Liens
Site web https://www.mairie-saintgervais.fr/

    Ses habitants sont appelés les Bercagniens[1].

    Géographie

    Description

    la rue Robert-Guésnier.

    Saint-Gervais est un bourg périurbain du Vexin français dans le Val-d'Oise situé sur un flanc de coteau, jouxtant au nord-ouest Magny-en-Vexin, situé à la limite du département de l'Oise, à 28 km au nord-ouest de Pontoise, à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de Paris, à 12 km au sud de Gisors, à 58 km au sud-est de Rouen et à 21 km au nord de Mantes-la-Jolie

    La commune se situe dans le Parc naturel régional du Vexin français.

    Elle est desservie par l'ancienne Route nationale 14 (France) (actuelle RD 14) qui reprend en partie le tracé de la chaussée Jules César, une ancienne voie romaine qui reliait Lutèce (Paris) à Rotomagus (Rouen) et à Juliobona (Lillebonne), ainsi que par l'ancienne route nationale 183 (actuelle RD 983).

    Le territoire communal, vaste de 1 319 ha, a une altitude variant de 55 à 158 mètres[2].

    Communes limitrophes


    Hydrographie

    La commune accueille les sources de Aubette de Magny, un affluent de l'Epte et donc un sous-affluent de la Seine.

    Elle compte plusieurs étangs le long de ce cours d'eau.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gervais est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6],[7].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Le hameau le plus connu de la commune est Magnitot et son château, mais l'on compte également Ducourt, Estreez, Archemont et le Petit Saint-Gervais


    Histoire

    Saint-Gervais faisait partie des villes présentes lors des invasions normandes du IXe siècle. L'on y mit à l'abri les reliques de Saint Gervais et de Saint Protais, d'où le nom de l'église et du village[réf. nécessaire].

    Toponymie

    Le village s'appelait autrefois Sanctus Gervasius avant 1112[8]. Son nom actuel lui vient du dépôt dans l'église de la ville, au IXe siècle, de reliques de saint Gervais qui se trouvaient auparavant à Rouen et que l'on voulait mettre à l'abri des incursions vikings.

    Le hameau de Magnitot représente peut-être un transfert du nom de Manitot[9], écart de Giverny, qui pourrait être un toponyme norrois en -topt « site constructible » et qui explique la plupart des noms en -tot de Normandie. Le passage de Manitot à Magnitot peut être lié à l'attraction du lieu voisin Magny-en-Vexin.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[10], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Magny-en-Vexin de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise[11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Vauréal

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Saint-Gervais est membre depuis 2013 de la communauté de communes Vexin - Val de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[12]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    An III 1811 Jean Jacques Guimier    
    avril 1813 avril 1816 Louis Vincent Boullanger    
    avril 1816 mars 1826 Joseph Félix Petit    
    mars 1826 février 1829 Jean Louis Nicolle    
    février 1829 octobre 1831 Louis Denis Seheut    
    octobre 1831 avril 1848 Rémond Bertaut    
    avril 1848 décembre 1855 Pierre Etienne Fleury    
    décembre 1855 septembre 1865 Charles Jorelle   cultivateur
    septembre 1865 mai 1892 Marie Jean Baptiste Coville    
    mai 1892 août 1944 Robert Guesnier[Note 3]    
    octobre 1944 octobre 1947 Alphonse Subtil    
    octobre 1947 mars 1959 Bernard Dauchez[Note 3]    
    mars 1959 mai 1973 Louis de Magnitot    
    juin 1973 mars 1989 Louis Denis    
    mars 1989 mars 2008 Étienne de Magnitot DVD  
    mars 2008 mai 2020 Monique de Smedt[13] DVD  
    mai 2020[14],[15] En cours
    (au 10 juin 2021)
    Florence Binaux Le Clech    

    Équipements et services publics

    La commune accueille les enfants dans une école de trois classes comptant en 2020-2021, 61 élèves de maternelle et de primaire, la quatrième ayant fermé en 2018[14]. L'école dispose d'un accueil pré et post-scolaire, ainsi que d'une cantine[16].

    Un foyer rural contribue à l'animation de la commune[17].

    Un marché mensuel a lieu le dernier mercredi de chaque mois[18].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

    En 2018, la commune comptait 908 habitants[Note 4], en diminution de 5,02 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    540591616659653662665678668
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    635625649690648648645698650
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    597616584564590536483530550
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    602581597675703893934963954
    2018 - - - - - - - -
    908--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Saint-Gervais compte deux monuments historiques sur son territoire :

    • Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais (classée monument historique en 1909[22]) :
      Sa fondation remonte vraisemblablement à l'époque carolingienne. L'édifice actuel date pour l'essentiel du second quart du XVIe siècle, et le style gothique flamboyant est dominant. La façade occidentale avec son porche est la dernière partie construite. C'est une œuvre du maître-maçon Jean Grappin, et l'une des principales réalisations de la Renaissance dans le Vexin français.
      L'intérieur de la nef est également de style Renaissance, et surprend par son élégance, qui contraste avec la physionomie trapue de l'édifice.
      Le clocher roman ne compte qu'un seul étage, qui est presque entièrement noyé dans les toitures. Il est coiffé de l'une des quatorze pyramides de pierre romanes que l'on recense dans le Vexin français, et sa base voûtée d'arêtes n'a pratiquement pas changé depuis la construction au second quart du XIIe siècle. Elle constitue la première travée du chœur liturgique. Ses trois autres travées présentent des voûtes du XIVe siècle, mais le reste a été fortement remanié au XVIe siècle[23],[24].


    • Château de Magnitot (inscrit monument historique en 1977[25]) :
      Ce château constitue le noyau d'un petit hameau au nord-sud-ouest du bourg, entre les hameaux de Ducourt au nord et Gerville (commune d'Omerville) au sud.
      La cour d'honneur s'ouvre en direction du nord-ouest, et c'est dans ce sens que part l'allée du château, laissant à côté le hameau. Le château a été bâti en 1780 selon les plans de l'architecte Baraguey, influencé par l'œuvre de Andrea Palladio. Le corps de logis principal possède trois niveaux sous un toit à deux croupes, et est large de sept travées. Un larmier le sépare le premier du second étage. Les fenêtres du rez-de-chaussée sont plein cintre et surmontées par une série de moulures simples, les autres sont rectangulaires.
      Deux pavillons latéraux flanquent le corps de logis ; ils ne comportent qu'un seul étage et leurs toits plats sont dissimulés derrière des balustrades.
      À l'intérieur, l'escalier avec sa rampe en fer forgé, le vestibule, le grand salon, le petit salon et la salle à manger avec leur décor sont également protégés au titre des monuments historiques.
      Dans le parc, se trouvent un ancien colombier réhabilité en tour médiévale, une chapelle dédiée à la Vierge fondée en 1322 et une orangerie de 1780, dessiné par l'épouse du propriétaire du château, Sophie de Jussieu, fille de Antoine-Laurent de Jussieu. Ces trois bâtiments sont partiellement visibles depuis la rue du Prieuré, à proximité de la ferme[24].


    On peut également signaler :

    • Rue de l'Escalier : Situé près de l'église, elle relie le centre du village à l'ancienne route nationale (rue Robert-Guésnier). L'escalier est fait de pierre sèche[24].
    • Ancien presbytère, 25 rue Robert Guesnier (voisin de la Mairie) : il a été construit en 1783, sous l'abbé Verdier, curé de Saint-Gervais de 1779 à 1812 et révolutionnaire. Verdier est également le commanditaire des boiseries qui ornent le chœur de l'église[24]. En dessous du bâtiment, aujourd'hui rénové et habitable, un souterrain non retrouvé mènerait à la sacristie de l'église un peu plus haut, utilisé par les prêtres.
    • Lavoir municipal, chemin rural n° 27 dit de la Messe, au sud de la mairie : Lavoir ouvert entouré de murs des quatre côtés, accesibble par quelques marches d'escalier.
    • Château de Gueptant, rue du Petit-Saint-Gervais : Ce petit château de style classique du XVIIIe siècle a remplacé une maison de maître plus ancienne[24]. Le somptueux parc s'étale sur plusieurs niveaux délimités par des balustrades, et il est garni de nombreuses statues.
    • Source du rû de l'Aubette, au hameau d'Estréez : Cette source alimente l'Aubette de Magny par son petit ruisseau qui s'écoule le long de la sente rurale n° 12 d'Estréez à Magny-en-Vexin, aboutissant au lavoir de la Digue à Magny-en-Vexin.
    • Réservoir d'eau potable, rue Fernand-Jorelle : Il a été offert en 1901 par un particulier, M. Letort, afin de permettre à la commune l'adduction d'eau potable. Une plaque en marbre rappelle ce don. La citerne a assuré à elle seule l'approvisionnement en eau des habitants jusque dans les années 1950[24].
    • Ferme de Magnitot : Bel ensemble homogène de bâtiments agricoles du XIXe siècle[24].
    • Lavoir de Magnitot : Il est protégé par un abri en bois, qui s'ouvre sur le pré descendant vers la mare.
    • Les calvaires et croix de chemin : Saint-Gervais compte un nombre important de croix de chemin et calvaires sur son territoire, la plupart étant des croix en pierre. On en trouve près du cimetière ; sur la RD 135 à mi-chemin entre le bourg et Magnitot ainsi que peu avant la sortie de la commune vers Omerville ; rue du Prieuré à Magnitot ; au sud de Ducourt ; sur l'ancienne route nationale abandonné au nord-ouest du bourg. Le calvaire d'Estréez, rue Cour Céleste, est en fonte.
    • Croix pattée dite croix Dançon, à l'ouest du château d'eau de Ducourt, sous un arbre dans un champ : Petite croix trapue semblable à celles d'Omerville et de Villers-en-Arthies. Ses bras sont particulièrement courts. La croix n'est guère visible pendant la période de végétation.

    Un Sentier de randonnée PR parcourt le village.


    Voir aussi

    Bibliographie

    • M. Pierron (l'abbé), « Notice sur Saint-Gervais-lès-Magny (histoire civile jusqu'en 1789) », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, Imprimerie Lucien Pâris, vol. 21, , p. 99-124 (ISSN 1148-8107, lire en ligne), sur Gallica.
    • Claude Lobruto et Stéphane Lobruto, La petite histoire de Saint-Gervais, Saint-Gervais / Théméricourt, Commune de Saint-Gervais / Parc naturel régional du Vexin Français (ISBN 2-9519658-0-X) (disponible en mairie)

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Saint-Gervais », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. http://www.capeutservir.com/postaux/
    2. « Situation géographique », Le Village, sur https://mairie-saintgervais.fr (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1546
    9. Celui-ci ne se trouve pourtant pas dans l'aire de diffusion des toponymes norrois, cependant Houlbec à quelques km de Vernon étant un archétype norrois avéré, il peut s'agir d'un cas exceptionnel.
    10. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. « Les maires de Saint-Gervais », Le village / Histoire et patrimoine, sur https://mairie-saintgervais.fr (consulté le ).
    13. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
    14. Maxime Laffiac, « Municipales 2020 : Florence Binaux Le Clech candidate à la mairie de Saint-Gervais : Adjointe aux finances depuis 2014 à Saint-Gervais (Val-d'Oise), la candidate se dit prête à devenir la future maire de la commune », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Elle tentera de succéder à Monique de Smedt, qui a décidé de ne pas briguer de nouveau mandat. Arrivée en tant que conseillère municipale en 2008, avant d’être propulsée aux finances en 2014, Florence Binaux Le Clech se dit prête à accéder à la fonction suprême ».
    15. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    16. « L’école de Saint Gervais », Enfance et jeunesse, sur https://mairie-saintgervais.fr (consulté le ).
    17. Joseph CANU, « Le foyer rural fait peau neuve : Une nouvelle équipe vient de se constituer au sein du foyer rural de Saint-Gervais », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    18. « Le marché », Vie communale, sur https://mairie-saintgervais.fr/ (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais », notice no PA00080195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Saint-Gervais, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 281-282.
    24. Jean-Loup Corbasson, Pascal Goutrat et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Saint-Gervais », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 596-600 (ISBN 2-84234-056-6).
    25. « Château de Magnitot », notice no PA00080194, base Mérimée, ministère français de la Culture.


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